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Evevincent
19 août 2016
Ève est une nymphe 3


Soudain, on sonne à la porte.
Ève ne réagit même pas et semble toujours plongée dans sa folie sexuelle.
- Qui cela peut-il bien être ? Je vais voir, dis-je à mes amis qui ne se bougent pas plus.

Le temps d'enfiler mon pantalon et je me retrouve devant Yann, un collègue de bureau qui s'excuse.
- Désolé. Tu dormais peut-être, mais j'ai oublié mon portable chez toi et comme je pars demain en vacances il faut à tout prix que je le retrouve.

Nous mettons bien dix minutes pour le retrouver.
Après des excuses renouvelées, il part et je remonte l'escalier qui mène à l'étage.

Arrivé à mi-hauteur j'entends déjà un bruit qui vient de la chambre.
J'avais laissé la porte ouverte et, dès mon entrée, j'ai pu constater que ces bruits n'étaient pas innocents.

Ève est en train de baiser avec Éric.
Elle le chevauche et ses fesses claquent sur ses cuisses, ce qui explique le bruit.




Ils n'ont pas perdu de temps et je reconnais bien là le comportement frénétique d'Ève dans sa nymphomanie.

J'ai une vue splendide sur sa croupe qui s'active, ses fesses qui montent puis redescendent pour que sa chatte engloutisse la queue de son amant.
Une vue splendide sur ses hanches qui ondulent pour que le bâton d'Éric frotte au mieux sur les parois sensibles de son vagin.


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J'ai aussi une vue parfaite de Maryline qui caresse les amants, les fesses de son amie, les couilles de son mari.




Ève se penche un peu plus et se couche littéralement sur Éric.
Sa queue apparaît dans toute sa splendeur, sortant totalement, pour replonger immédiatement dans la chatte ouverte.
Nul besoin de la guider, elle trouve son chemin toute seule.
L'anus n'est pourtant pas loin et il suffirait de peu pour que ce soit lui qui profite de la chose.




L'anus !
Corolle que les fesses écartées laissent voir dans toute sa simplicité.

Un déclic dans ma tête.
Mon pantalon tombe au sol.
Ma propre bite est redevenue raide et fait de mon sexe un bâton qui se tient à l'horizontale.
Deux mètres me séparent des amants qui ne me voient pas, plongés dans leur trip.

D'une main ferme je bloque les mouvements d'Ève et, d'une main précise, je guide mon mandrin au contact de son anus.




D'une poussée sans grande délicatesse je force la corolle.

Je ne me lasse pas de voir mon gland repousser le muscle serré et lui imposer sa loi.
Depuis qu'Ève m'a laissé maître de son cul, chaque fois que je la prends par ce chemin, la vue participe autant que le toucher.
C'est pourquoi je l'encule presque toujours en levrette afin de pouvoir suivre ce moment magique.


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Le muscle cède, mon gland se retrouve étranglé mais ne continue pas moins son avancée.
Et puis le passage entre le gland et la hampe, où, à chaque fois, je me dis que le sphincter va trancher net cette partie plus étroite.
Et non, le miracle continue, le muscle remonte la pente de la hampe et la laisser glisser, totalement soumis à ma bite.




Mais aujourd'hui, le gland passé, c'est autre chose qui ralentit mon entrée.
Le bâton d'Éric a déjà pris ses aises.
Un coup de reins, parti tout seul, et, en une seconde, j'ai forcé le passage et ouvert les entrailles pour y trouver ma place.


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La violence de la pénétration laisse Ève sans voix.
Elle s'est cambrée sous le choc, la tête relevée, quittant un instant l'épaule de son amant où elle reposait.
Elle se tourne vers moi et son profil montre une bouche ouverte mais d'où ne sort aucun son.
Elle cherche de l'air comme si la violence du piston qui vient de lui labourer le cul avait chassé l'air de ses poumons.


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Que dire du mugissement qu'Ève vient de pousser, après ce manque d'air, suivi de mots sans suite :
- Ahhhhhhhhhhhhhhhhh... Salaud... Vincent...

Je ne sais pas ce qui m'a pris.
Bien sûr, je sais que celle que j'encule n'est pas Ma Ève, mais un double qui apparait sous l'influence de l'alcool.
Bien sûr, je sais qu'une nymphomane n'est plus maitresse de son corps et qu'elle ne veut que se faire "mettre" et jouir jusqu'à épuisement.

Mais moi aussi je veux participer à cette "folie".
- C'est toi la Salope. Et les Salopes, moi je les encule...


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Ma queue prend vie, sort un peu et je la pousse à nouveau très fort.
- Ahhhhhhhhhhhhhhhhh...
- Voilà comment je traite les cochonnes...

Et je recommence, encore et encore...
Ma queue sort totalement par moments, emportée par cette fièvre qui m'a prise, mais le trou reste assez ouvert pour qu'elle retrouve le chemin facilement.




Chaque poussée est accompagnée par une injure de ma part, retrouvant un vocabulaire fleuri que je ne pensais même pas connaitre : traînée, pute, suceuse de bites...

Chacune de mes injures est suivie d'un "Ahhhhhhh" de sa part, dont la longueur diminue pour céder la place à des "Oui", des acquiescements "oui je suis un roulure" et bien d'autres...

Petit à petit, c'est Ève qui bouge vers moi, cherchant ma queue.


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Insensiblement, c'est elle maintenant qui se baise sur mon vit et celui d'Éric.

Nous, les hommes, devenons les propriétaires, immobiles mais au combien sollicités, des queues que cette femme utilise pour son plaisir.
Ses mouvements deviennent si violents que ma première enculade n'était qu'une caresse.




La chambre résonne de nos cris.

Je balance ma purée.




La grimace d'Éric signifie que lui aussi vient et crache son jus.
Ève continue encore quelques secondes mais elle aussi arrive au bout de ses forces.




Le corps libéré de toute tension Ève s'écroule sur le lit à côté d'Éric.

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Depuis nous avons entrepris une "désensibilisation" d'Ève.
Il faut à tout prix que sa sensibilité à l'alcool soit diminuée.




C'est trop risqué pour elle et pour moi.
Chaque jour, elle ingurgite une dose infime d'alcool pour la rendre insensible.
Chaque week-end, nous vérifions l'avancée de notre traitement.




Pour l'instant elle reste encore trop sensible.
Mais que c'est bon ces parties avec Maryline et Éric !




Surtout qu'ils nous ont fait connaître des amis qui partagent nos expériences.




Je veux qu'elle conserve cette spontanéité et cette envie de baise qui la rend si salope,




si cochonne,


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presque pute,


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mais ô combien désirable...




On dit que l'alcool fait voir en double si on en abuse...

Moi, c'est ce que je veux :

Une femme libérée, partageuse, amoureuse, volontaire pour le libertinage...


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Une femme rendue Nympho par l'alcool, et qui se réserve pour les soirées spéciales...




Deux en une...




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