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Ève est une nymphe 2 Il fait jour. J'ouvre les yeux. Juste à côté, Ève dort encore. Elle est couchée sur le côté. Son visage est celui d'un ange. Elle a dû aller faire un brin de toilette. ![]() images similaires Je me suis endormi à côté d'une nympho, une dingue du cul et je me réveille à côté de la Ève que je connaissais avant. Elle ouvre les yeux. Je lui souris. - Bonjour... - Bonjour mon chéri. Elle bouge un peu, semble s'étonner... - Je ne sais pas ce que j'ai, j'ai mal au fesses... ![]() images similaires Elle ne termine pas sa phrase. Je peux voir dans son regard l'étonnement et puis... - Oh ! J'ai honte... Je me souviens... Ce n'est pas moi... Ce n'est pas moi... C'est l'alcool... Je sais qu'il ne faut pas que je boive... Mais Éric... J'ai peur qu'elle ne pleure. Aussi, je m'approche et je la prends dans mes bras. - Ce n'est rien... - Mais non, ce n'est pas rien ! Tu as vu ce que je deviens avec un verre ? ![]() images similaires J'essaye de relativiser, de montrer le bon côté. - C'était une vraie nuit de fête ! Cinq fois ! Une virginité ! Quel homme critiquerait ? Elle se love contre moi. - Mais tu ne me respecteras plus comme avant...! - Mais si ! Dis-moi plutôt... Cet effet de l'alcool sur toi, tu le connaissais ? J'imagine que c'est la raison qui t'empêche de boire ? - Oui. - Tu le sais depuis longtemps ? - Je préfère ne pas en parler... Et, manifestement pour changer de sujet, elle ajoute : - Et le matin d'une nuit de fête, on fait quoi ? ![]() images similaires Je sens sa main qui va chercher ma verge. Il suffit d'une caresse et je bande. - Voilà qui est mieux ! Viens mon chéri, j'ai envie... Ce n'est plus la furie de la nuit, mais c'est tout de même une femme qui apprécie mes caresses. ![]() images similaires Elle se tourne pour que je me glisse profondément dans sa chatte, c'est notre position fétiche du matin et il ne faut pas longtemps pour que nous explosions ensemble dans un long et puissant orgasme. ![]() ----------------------------------------------------------------- Deux jours après, je rencontre Éric. - Alors cette fin de soirée ? me demande-t-il d'entrée. - Tu savais ? - Je savais quoi ? - Ne fais pas l'idiot, je te parle d'Ève et de l'alcool. - Oui. - Mais comment ? - C'est tout simple. Son copain, avant toi, l'a fait boire sans le lui dire à l'occasion d'une soirée. ![]() - J'imagine que c'était juste pour jouer. Mais le résultat a été bien plus fort que prévu. Ève s'est déchaînée. Tu sais maintenant ce que cela signifie. Elle s'est jetée sur tous les mecs disponibles, dont moi. ![]() - Pourquoi elle ne m'en a jamais parlé ? Alors que toi tu le sais ? - Mais parce qu'entre elle et moi c'était juste pour le fun. Avec toi c'est plus important. - Peut-être... mais c'est un peu frustrant ! Et si elle ne buvait pas à l'époque, cela veut dire qu'elle savait déjà. Comment l'a-t-elle découvert ? Tu sais ? - Je crois que c'est pendant une soirée entre ados, chez elle où elle avait invité des copines. Les parents n'étaient pas là et elles ont picolé. Tu devines la suite. Elle a même été chercher les godes que ses parents cachaient dans leur chambre, pour se baiser avec. C'est aussi à ce moment qu'elle a eu sa première relation avec une fille. ![]() images similaires - Première nouvelle...! - Tu sais, Vincent, c'est son jardin secret. Laisse-la venir spontanément. Si elle ne t'en parle pas c'est qu'elle a peur de ton jugement. - C'est ridicule. Ce n'est pas une perversité affreuse. ![]() images similaires Et j'ajoute, me rappelant ma nuit après la soirée : - Avec bien des avantages. Il faudrait juste qu'elle puisse mieux contrôler... - Ça, c'est une autre histoire... Et nous nous séparons. ----------------------------------------------------------------- Les mois passent. Que ce soit avec Ève ou Éric, nous ne reparlons plus du sujet. Il ne me reste que des souvenirs et aussi la possibilité, dont je ne me prive pas, de profiter de la virginité perdue d'Ève, en l'enculant très souvent... ![]() images similaires Elle y a finalement pris goût et en redemande de plus en plus... ![]() images similaires Pourtant une sorte de suspicion se distille en moi. Éric, que je considérais comme un ami, était détenteur d'un secret sur Ève, que je ne connaissais pas... Lors de soirées, ou même de simples repas à quatre, j'avais l'impression qu'ils étaient complices et que cela cachait quelque chose. Et s'ils étaient amants ? ![]() Je ne pus m'empêcher d'en parler à Maryline, la femme d'Éric. - Tu ne trouves pas qu'ils sont de plus en plus complices. Je me demande s'ils ne seraient pas amants ? Tu ne crois pas ? - Non, je ne pense pas. C'est juste qu'ils se connaissent bien et, en plus, ils travaillent ensemble, répond Maryline avec assurance. - Ce sont toujours les conjoints les derniers informés. Alors...! - Non, je le saurais. Éric me l'aurait dit. ![]() images similaires - Parce que tu crois qu'il te le dirait ? - Parfaitement. - Tu rêves !? - Non. S'il couche avec une autre femme, il m'en parle. ![]() - Et si moi, j'ai une aventure, je lui en parle. ![]() - Quoi ? - Ne fais pas cette tête. Comme si tu ne le savais pas. Ève ne t'en a jamais parlé ? - Parlé de quoi ? - Que nous sommes assez libres. - Libres ? Libres de quoi ? En la posant, je me rends compte que cette question est idiote. Je viens de comprendre, mais Maryline répond. - Libertins si tu préfères ! - Ah ! Mais pourquoi Ève m'en aurait-elle parlé ? Elle le sait ? - ... - Allons, Maryline tu m'en as trop dit, ou pas assez - ... - Ne me dis pas qu'Ève participe à vos échanges ? ![]() Maryline réagit aussitôt. - Non, non. Mais elle le sait. - Alors, comment le sait-elle ? - Parce que... Parce que... avant de te rencontrer elle a participé au moins une fois. - Ève ? - Oui, mais dès qu'elle t'a connu elle a arrêté. ![]() - J'imagine que tu es aussi au courant pour sa réaction à l'alcool ? - Oui, répond Maryline. Ève et Éric n'étaient donc pas amants. Quant à ses aventures d'avant : elles seront une petite excitation supplémentaire lorsque je la baiserai... ----------------------------------------------------------------- Traditionnellement, au mois de juin, un des collaborateurs de mon entreprise doit inviter tout le monde, patron compris, pour une soirée chez lui. Cette année, je me suis proposé. C'était l'occasion de faire connaître Ève à tous. Ève est plus que belle, elle en impose toujours beaucoup et j'en suis fier. ![]() images similaires Tout s'est très bien passé. La preuve est que si certains couples et collègues sont déjà partis, car ils habitent assez loin, le patron et son épouse, avec d'autres, sont encore là même s'il commence à se faire tard. Je bavarde avec mon boss. Un peu plus loin sa femme est en grande conversation avec Éric. Maryline est juste à quelques pas. J'ai en effet invité quelques amis, comme eux, afin de casser le côté "réunion de travail". ![]() Un rire attire soudain mon attention. Un coup d'œil par-dessus l'épaule de mon patron me confirme que c'est Ève. Elle est au bar et bavarde avec l'extra que j'ai embauché pour la circonstance afin que nous soyons libres pour nos invités. Elle a un verre à la main qu'elle vient manifestement de finir et l'extra lui en sert un autre. C'est à ce moment que je réalise la catastrophe qui se prépare. ![]() J'ai, pour Ève et ceux qui ne veulent pas trop boire, préparé un cocktail sans alcool que, dans un souci de discrétion, j'ai fait de la même couleur que le vrai cocktail, lui avec alcool. Et la carafe que tient le serveur est celle du cocktail alcoolisé. Je comprends qu'Ève a déjà bu de ce breuvage et son rire, un peu étrange, me le confirme... ![]() images similaires Trop tard, elle a déjà fini son verre. Je n'ai que quelques minutes avant que sa nature de nympho se réveille. Comment l'éviter ? Mon patron est justement en train de me parler d'un poste qu'il envisage de me proposer. Maryline ! Maryline est juste en face. Nos yeux se croisent. Pendant que mon boss tourne la tête je lui fais des signes vers le bar, en montrant mon verre que je bois ostensiblement. Il ne lui faut que quelques secondes pour réagir. Un second rire qui éclate sans retenue lui confirme la situation. ![]() images similaires D'un signe de la tête elle me signifie qu'elle va s'en occuper. La retenue d'Ève s'est déjà relâchée. Ses seins, sous l'excitation, se sont dégagés de son décolleté. Bien sûr, elle ne fait rien pour les en empêcher. Lorsque Maryline la rejoint, elle se jette sur elle et l'embrasse pleine bouche. - Maryline, tu es trop belle, j'ai envie de toi, baise-moi... ![]() Maryline la laisse l'embrasser pour éviter qu'elle n'attire l'attention. Dans un brouillard d'angoisse, je vois Maryline lui parler et lui demander de la suivre. Elles quittent finalement la pièce. Le regard d'Ève est fixé sur le décolleté que Maryline a largement (et volontairement ?) ouvert (pour l'attirer ?)... ![]() images similaires Quelques minutes plus tard, les invités partent presque tous ensemble. J'excuse Ève en évoquant un étourdissement qui l'a obligée à aller s'allonger. Il ne reste plus qu'Éric et moi. Éric n'a rien remarqué et je l'en informe. - Elles doivent être dans notre chambre. Il y a de la lumière. Nous montons. J'ai eu beaucoup de chance que Maryline ait été là et ait pu la canaliser. Je vais pouvoir prendre sa suite et ils pourront partir. Mais, en entrant dans la chambre, nous constatons qu'il n'y a personne. Par contre on entend parler dans la salle de bain qui la jouxte. La porte n'est pas totalement fermée. - Allez, Ève, sois raisonnable. Prends cette douche. Cela va te calmer un peu et tu pourras aller saluer tes invités. ![]() images similaires C'est la voix de Maryline. Nous approchons de la porte entrebâillée. Ève est presque nue. Maryline lui tient la porte de la douche ouverte en essayant de l'y faire entrer. - Mais ce n'est pas une douche qu'il me faut. C'est toi. Fais-moi l'amour et je te promets que je descends après. - Non, ce n'est pas possible ! - Mais pourquoi ? Ce ne serait pas la première fois ! - Parce que tu es avec Vincent maintenant... - Ah ! Oui. C'est vrai... Alors viens avec moi sous la douche. Juste comme cela. Promis. ![]() images similaires Maryline hésite... Elle relâche sa prise sur la porte de la douche. - Promis ? - Oui. - Alors d'accord. Maryline n'a pas le temps de se déshabiller complètement. Ève se rue sur elle et elle l'entraîne sous la douche. Elle l'emprisonne de ses bras et cherche à l'embrasser tout en la poussant dans l'angle d'où elle ne peut s'échapper. La lutte ne dure pas longtemps. Ève l'embrasse partout et sa main n'hésite pas un instant pour se glisser dans son string. Maryline était très excitée par la situation, même si elle fut très délicate. Elle succombe donc, en frissonnant, à toutes ces caresses. ![]() images similaires Elle a toujours eu plus qu'une attirance pour Ève lorsqu'elle est ainsi, complètement libérée. Moi je n'avais vu Maryline qu'en maillot de bain. Je la découvre complètement excitée et sensuelle sous les caresses d'Ève qui deviennent de plus en plus sexuelles... ![]() images similaires Plantureuse avec ses deux gros seins qui ne bougent pas lorsque le soutien-gorge tombe. Sensuelle avec sa chatte bombée que j'imagine accessible pour ses amants. ![]() images similaires Ève lui dévore les lèvres à pleine bouche et bien vite Maryline se met aussi à ces jeux de mains. - Viens. Allons dans la chambre, dit Ève tout en prenant son amie par la main. - Ce n'est pas raisonnable. On nous attend. Vincent pourrait monter. Pas de réponse. Ève pousse Maryline sur notre lit. ![]() images similaires Nous avons juste le temps de nous pousser contre le mur, Éric et moi. La porte s'ouvre en grand, faisant du battant notre cachette. Aussitôt, Ève vient sur elle pour se placer en 69 et plonge entre les cuisses que son amie a spontanément ouvertes. ![]() images similaires Tout se passe dans l'ombre de leurs cuisses. Maryline a les jambes pliées et la tête d'Ève, qui s'agite, y disparait presque totalement. La même chose de l'autre côté... Maryline est entourée par les cuisses de son amie. ![]() Éric et moi ne sommes qu'à quelques pas du lit. Le battant repoussé nous permet de voir, mais nous ne sommes que des témoins frustrés. Impossible de voir la bouche ou la langue qui se glissent dans la fente humide, ou le clitoris qui gonfle sous les caresses... - Putain que c'est bon. J'avais oublié comme... dit la voix d'Ève alors qu'elle détache un instant son visage de la chatte de son amie. ![]() images similaires Un grognement lui répond. Sûrement Maryline qui est littéralement étouffée entre les fesses de sa copine. Des lapements, des grognements, des mains qui se glissent entre les cuisses et qu'on imagine venir se joindre à la langue pour pénétrer et branler un peu plus... ![]() images similaires C'est Ève qui jouit la première. Elle se redresse d'un coup et éructe toute une série de "Oui" à un rythme de plus en plus rapide jusqu'à le transformer en un "Ouiiiiiii" sans fin qui concrétise son orgasme. ![]() images similaires Même si je ne l'ai vécu que l'espace d'une nuit j'ai pu constater que l'alcool, non seulement la transformait en "chaude du cul", mais lui procurait des orgasmes fulgurants. Le temps de reprendre son souffle, et elle replonge entre les cuisses de Maryline pour apporter à son amie une jouissance bien méritée. ![]() images similaires Maryline bascule, libérant Ève de son poids. C'est à cet instant qu'Ève nous aperçoit. ![]() images similaires C'est vrai que nous ne sommes pas discrets, debout côte à côte et très proches, car, inconsciemment, nous nous sommes avancés pour profiter au mieux de ce spectacle dont la densité érotique est fascinante. - Regarde qui est là ? annonce Ève qui ne semble même pas gênée par notre présence. Et elle ajoute : tu vois, pas la peine de descendre, ils sont montés ! Les deux femmes se relèvent. Maryline reste assise sur le lit. ![]() images similaires Mais Ève avance vers nous. - Alors, mon Vincent chéri, quel effet cela fait de découvrir ta femme en train de se gouiner ? Elle est déjà en face de moi et, telle une pute qui vient vérifier la marchandise, me palpe le sexe au travers du pantalon. Bien sûr elle y découvre mon sexe tendu qui cherche à repousser les limites du tissu qui l'étouffe. - Oh ! Oh ! ![]() images similaires Et, continuant son manège, elle fait de même à mon voisin. - Maryline, on ne peut pas les laisser sur leur faim. Tu t'occupes de mon mec. Moi je m'occupe d'Éric. Et sans attendre une réponse, elle commence à pousser mon voisin contre le lit. En quelques mouvements le pantalon et le slip tombent sur ses chevilles et, lorsqu'Éric se retrouve assis sur le lit, ma cochonne d'Ève lui a déjà retiré le bas. Le haut c'est lui qui s'en charge et en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, voilà Ève à genoux caressant des mains le sexe et les bourses d'Éric. ![]() images similaires Ève est à genoux devant lui. Elle vient de se saisir du gland entre les lèvres et rampe lentement en enfournant le maximum de la bite dans la gorge. Je me découvre spectateur et regarde le couple avec des yeux de voyeur. D'un geste des bras je montre mon impuissance devant cette scène. Impuissance n'est pas la bonne expression car, alors que Maryline s'approche de moi pour remplir le rôle que son amie lui a confié, elle découvre mon sexe totalement dur qui jaillit de mon slip comme un diable de sa boîte. ![]() images similaires Quelle drôle d'impression de se retrouver, à poil, à côté d'un autre homme, nos hanches se frôlant dans une promiscuité totale, et de voir deux femmes à nos pieds. Ève, consciente de ma présence, la bouche pleine de la queue d'Éric, me regarde avec une lueur de vice que je reconnais comme étant celle de notre nuit d'ivresse. ![]() Maryline s'active sur mon bâton qu'elle a bien du mal à gober. Gourmande, elle saisit mes couilles à pleine bouche, ce qui a pour effet d'augmenter encore mon excitation. ![]() images similaires On dirait que les femmes ont fait cela toute leur vie, pomper des mecs côte à côte, perverses, cochonnes, expertes dans l'action comme dans l'attitude et le regard. La complicité de ces regards qu'elles échangent, chacune répondant à l'autre par une action sur nos bites...! L'abîme de stupre dans les yeux d'Ève lorsqu'elle nous défie l'un après l'autre, Éric et moi...! Celui de Maryline est plus polisson, moins habité par la folie pornographique d'Ève...! ![]() images similaires Elles nous sucent. Elles nous pompent. Leurs lèvres ouvrent la porte de leurs gorges. ![]() Nos glands ruissellent de leur salive. C'est divin. J'apprécie autant de me faire sucer que de voir Ève le faire à Éric. ![]() images similaires Et puis mon voisin donne des signes de faiblesse. Ses petits coups de reins sont le signe de l'éjaculation qui approche. Bien sûr, Ève est aux premières loges pour en deviner l'imminence. Elle se dégage un peu pour ne gober que le gland. Je vois, comme dans un livre ouvert, la montée de la jouissance sur le corps d'Éric. ![]() images similaires J'imagine le jus se ruer après une si longue attente. Je perçois sur le visage d'Ève l'arrivée de la première giclée. Je devine que la langue est là pour la recevoir, la diriger et éviter que la force du jet n'éclabousse le fond de sa gorge. ![]() images similaires Les autres se succèdent. Ève a fermé les yeux comme pour se concentrer sur ce moment si particulier pour un homme mais aussi pour celle qui accepte de recevoir cet hommage. Les lèvres ferment l'écrin pour conserver la semence d'Éric et ne pas en perdre une goutte. Mais cette semence, trop abondante, la force à ouvrir la bouche et le sperme d'Éric inonde également ses seins... ![]() images similaires Je comprends à cet instant que Maryline ne m'a pas tout dit et que le "une fois au moins" de la participation d'Ève à des paries libertines est loin d'être la vérité. Sinon, comment expliquer la complicité des deux femmes ? La complicité qui fait que Maryline se déplace un peu, laissant ma bite, orpheline de sa bouche, juste maintenue verticale par ses doigts ? La complicité d'Ève, qui referme lentement ses lèvres en se soulevant et en rampant vers moi ? La complicité de ses lèvres gourmandes qui ne s'entrouvrent que pour glisser sur mon propre gland ? ![]() images similaires Ma salope s'active sur moi, me pompe, me suce, déclenchant des gargouillis ô combien excitants. Il ne faut pas longtemps pour que ma jouissance vienne. Ève tend ma queue à Maryline qui reçoit toute ma purée dans sa gorge et sur ses seins tendus de désir. Car il s'avère qu'elle est aussi une vraie nymphomane... Mais elle, elle n'a aucun besoin d'alcool pour le devenir... ![]() Elles sourient de leurs exploits. Comment dois-je réagir ? Je serais un faux-cul de première si je ne reconnaissais pas que j'ai apprécié, même si je ne m'attendais pas à tant de perversité et de coquinerie. ----------------------------------------------------------------- |