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Ninon
1er octobre 2016
A l'écoute - 08


Ce jour de congé est une aubaine. Nous essayons de ne pas nous lever trop tard Paul et moi car nous avons rendez-vous au Club Aquaviva avec André et Jérémy. A peine sommes-nous en route pour le centre de sport que Paul reçoit un coup de fil. Sa mine s'assombrit et, quand il raccroche, il peste :
- C'est ma veine. Ils ont une attaque informatique sur les serveurs et ont besoin de moi en urgence. Je suis d'astreinte... je n'ai pas le choix. Je te dépose au club et je vous rejoins dès que possible.
Il m'abandonne donc devant la salle de sport.
- A toute à l'heure...
Il me tend une petite bouteille d'eau avant de repartir. J'entre en contournant de grands échafaudages installés pour des travaux de restauration le long du complexe et je passe rapidement au vestiaire pour me changer. Dans la salle principale, je retrouve André et Jérémy :
- Salut les gars.



- Ninon ! Tu es venue seule ?
- Non, Paul a été appelé pour son boulot. Il nous rejoint plus tard...
- Ok.
André et Jérémy se remettent à leurs activités, haltérophilie, abdominaux, et je les vois souvent lorgner vers mes seins que l'absence de soutien-gorge révèle sous mon petit débardeur blanc. Je m'installe sur un appareil pour les imités quand, entends la voix métallique, je prends conscience que j'ai mis machinalement les boucles de d'oreille ce matin.
# Asperge-toi la poitrine avec la bouteille d'eau.
Fabrice serait-il ici ? Je suis un peu surprise et j'hésite. C'est mon jour de congé et je peux tout à fait ignorer ces instructions dans l'oreillette. En même temps, cela m'excite un peu et j'ai envie de m'amuser un peu avec Jérémy et André. Je porte la bouteille à ma bouche et laisse volontairement l'eau s'écouler sur ma poitrine.



André réagit aussitôt :
- Merde, Ninon, qu'est-ce que tu fous ?!
- Oh zut, je n'ai pas fait attention...
Mon débardeur est transparent et mes seins parfaitement visibles. Les gars s'approchent. Je souris :
- Dites-donc les gars, qu'est-ce que vous venez faire ?
- On s'intéresse... Ce serait possible de toucher ?
- Tu ne t'emmerdes pas... Bon Ok. Profitez-en avant que Paul n'arrive.
André et Jérémy ne se privent pas et me pelotent à travers mon débardeur trempé.



Rapidement, les gars soulèvent mon débardeur et je les gronde sans grande motivation :
- Hé ! Arrêtez ! Quelqu'un pourrait venir...
- Tu sais très bien qu'il n'y a que nous à cette heure en semaine...
Ils bandent tous les deux franchement dans leur pantalon. Je les libère et les masturbe.



André me félicite :
- C'est sympa de faire du sport avec toi quand Paul n'est pas là !
- Ne t'emballe pas. Je vous masturbe et on s'en tient là.
Jérémy se met nu et s'assoit avec la queue dressée :
- Je suis certain que tu ne vas pas résister à l'envie de t'enfiler ma belle queue...
Ce salaud a raison. André profite de mon trouble pour me retirer mon débardeur et baisser mon pantalon de jogging.
- Bon... Ok. Je veux bien vous faire l'amour l'un après l'autre en attendant Paul.



Jérémy m'attire à lui:
- Prem's !
Je le chevauche et me glisse sa virilité entre les cuisses. Aussitôt, lui comme moi, on pousse un profond soupir de contentement. Cela faisait un moment qu'on n'avait pas baisé ensemble. J'entends André derrière moi, que j'imagine bien reluquer mon cul :
- Et si Paul arrive... ?



- Si Paul arrive, il trouvera une place !
- Sauf si cette place est déjà prise...
Je sens alors le gland d'André qui appuie sur ma rosette :
- Hé, non ! J'ai dit chacun son tour !
- Trop tard !
Effectivement, d'un coup de rein, André vient de s'emmancher en moi et m'arrache un gémissement peu discret.


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Comme André m'oblige à me cambrer pour me sodomiser, Jérémy en profite pour me sucer les seins. C'est un vrai plaisir de sentir les deux queues de mes collègues en moi. Je regarde régulièrement vers la porte, espérant que Paul va arriver et se joindre à nous, mais craignant aussi qu'on se fasse surprendre par d'autres gens... Heureusement, personne ne vient et en quelques minutes, les garçons me portent jusqu'à l'orgasme. Eux-mêmes ne tardent pas à jouir et se déversent en moi presque en même temps, m'inondant les entrailles de leur semence.



André se rajuste et file dans une autre salle avant qu'on ne se décolle Jérémy et moi. Quand je me relève, je me rends compte que mon débardeur et mon pantalon ont disparu :
- L'enfoiré ! André est parti avec mes fringues !
Jérémy rigole :
- Et alors ? Tu peux bien rester comme ça. C'est idéal pour faire du sport.
Cela m'amuse et je me dis qu'effectivement, vu qu'on est entre nous, ce serait rigolo que Paul me surprenne dans cette tenue. Tandis que Jérémy file dans le sauna attenant, je me mets à faire du step.



Après quelques minutes et une bonne suée, je décide de rejoindre Jérémy dans le sauna. Je n'avais pas remarqué qu'il était resté nu, lui aussi. Epuisé par notre petite partie de jambes en l'air, il somnole et ne remarque pas mon arrivée. Son sexe a bien débandé mais cela m'excite qu'on soit nu tous les deux et j'ai encore envie de m'amuser un peu.



Me positionnant face à lui, j'écarte les cuisses et me mets à me caresser la moule pour me faire mouiller. Comme j'en rajoute un peu au niveau gémissements, Jérémy finit par ouvrir un œil :
- Oh, je suis si excitée d'être ainsi nue au club avec vous...
Jérémy se redresse et ouvre grand les yeux en observant ma moule humide.



Je vois sa queue se gonfler et se redresser aussitôt. Sur le ton du reproche, il me dit :
- Mais qu'est-ce que tu fous, Ninon ?! Tu n'as pas baisée depuis une semaine ou quoi ?
Je me lève et le rejoins pour le branler un peu :
- Si mais, mais justement je baise beaucoup et je deviens accroc...



- Tant mieux pour Paul. Il ne doit pas s'ennuyer... Vous faites l'amour combien de fois par jour ?
Je n'ose pas en dire davantage puisque Paul est loin d'être le seul à profiter de mon tempérament de débauche. Pour ne pas avoir à répondre, je me penche sur sa grosse queue et la prends en bouche pour la sucer.



- La vache, Ninon ! C'est génial ! Tu aurais dû le dire plus tôt que tu avais besoin d'aide ! Je suis toujours prêt à vous rendre service à Paul et toi, tu le sais ?
Je ne réponds pas et je me concentre sur la fellation. Après quelques minutes, il se met debout. Je parviens à le garder en bouche pendant la manœuvre. Dès qu'il est debout, je sens son foutre jaillir entre mes lèvres. Il se déverse intégralement dans ma bouche.



- Bon sang, Ninon ! Quel pied !
- Tu pourrais aller au vestiaire pour me récupérer mon maillot de bain ? C'est le premier casier en entrant. Un sac blanc, bikini rouge. Je vais aller lézarder au bord de la piscine puisque Paul ne se décide pas à arriver. J'ai eu mon quota de sport...
Jérémy remet ses fringues et retourne au vestiaire. Il me ramène mon bikini. Je l'enfile et Jérémy me précède à la piscine. Je m'allonge sur une serviette au bord du bassin



Alors que je suis allongée sur le ventre, André viens nous rejoindre. Je l'engueule :
- Dis donc, toi ! Mes fringues !?
Il s'approche de moi et me répond :
- Ils sont en lieu sûr. Et tu as quand même trouvé le moyen de mettre un maillot alors qu'on est entre nous ?
Il s'amuse alors à baisser ma culotte, dégageant mes fesses.

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- T'es con !
Descendant dans le bassin, il me répond :
- T'es bandante !
Il baisse son caleçon et exhibe son érection.


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Comme une conne sans volonté, cette vision m'excite et déclenche à nouveau mon désir :
- Effectivement. Cela ne t'a donc pas suffit de m'enculer tout à l'heure ?
- Tu aimes regarder les queues dressées des mecs, non ?
- ... Oui.
- Nous on aime, admirer ton corps parfait... C'est naturel, non ?
Je me tourne sur le côté. Jérémy, en passant derrière moi, me dénoue le soutif.



Je ne cherche pas à me rajuster, mais je gronde Jérémy :
- Dis donc, tu ne vas pas t'y mettre !
Mais comme je dis cela, je me rends compte qu'il est penché sur moi et qu'il vient de dénouer les fils de ma culotte et de mon soutien-gorge. L'instant d'après, il brandit son trophée, me laissant toute nue au bord du bassin.


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Jérémy rigole :
- C'est pas ton jour, Ninon ! Tu es tombé sur deux gamins qui veulent se rincer l'œil...
Comme il s'éloigne vers les vestiaires avec mon maillot, je m'apprête à me lever pour le rattraper, mais, en redressant la tête, je découvre la queue en érection qu'André me présente juste au-dessus des yeux.


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Prenant un ton de reproche, il me dit :
- Jérémy m'a dit que tu l'avais sucé dans le sauna.
- Et alors ? Ce n'est pas un concours que je sache.
- Non, mais ça va créer des jalousies, tu comprends.
- Oui, je comprends très bien que tout ce que tu veux maintenant, c'est que je te suce, toi aussi.
J'ouvre alors la bouche et, me mettant la main derrière la tête pour la maintenir, il me fourre sa tige épaisse dans la bouche pour que je le suce.


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Après une minute, assise sur le carrelage de la piscine, je lui signifie que je ne suis pas très à l'aise :
on peut aller sur un fauteuil ? Il me fait lever et m'emmène vers un fauteuil de piscine où il s'allonge pour que je puisse reprendre ma fellation plus à mon aise. A nouveau, il met sa main sur ma nuque pour guider le rythme de ma bouche sur sa queue.



Quand je le sens prêt à venir, je cesse ma fellation et je le branle vigoureusement jusqu'à ce que sa semence jaillisse. Plusieurs jets de sperme épais viennent s'écraser sur ma poitrine tandis qu'il râle comme une bête. Quand il a finit, je lui dis :
- Alors ? Tu es content. Tu as eu ta deuxième éjaculation, comme Jérémy ?
- Ne sois pas sarcastique. C'est important que tu sois impartiale.


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J'ai dit cela sans vraiment penser faire de sarcasme, plus par amusement :
- Bon, maintenant que justice a été rendue, je pense qu'il serait sage que prenne une douche. Si Paul me voit avec du sperme sur les seins, il va se poser des questions.
- Tu parles, il te connait !
André n'a pas tort mais je préfère quand même prendre une douche. Je prends ma serviette pour aller aux douches quand j'entends à nouveau la voix dans mon oreille :
# Va aux douches du côté des hommes.


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Je me demande encore s'il s'agit de Fabrice ou quelqu'un d'autre. Rien ne m'oblige à obéir, mais, portée par mon insatiable désir de sexe, j'ai quand même envie de me laisser guider par la voix. Je pousse lentement la porte des douches des hommes. Heureusement, elles semblent désertes. J'entre et je laisse ma serviette sur un banc.


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A peine suis-je installée que la porte s'ouvre de l'autre côté. Persuadée qu'il s'agit de Paul, je reste sous le jet d'eau, totalement nue, sans montrer la moindre pudeur. Le gars a un arrêt en me voyant. Il rouvre la porte et vérifie qu'il s'agit bien des douches des hommes. Voyant que l'erreur ne vient pas de lui, il entre avec un sourire ravi, ne se privant pas de me détailler. Je fais comme si la situation est normale et continue à me doucher. Soudain, je le vois baisser son maillot de bain, libérant un sexe gonflé mais pas en érection.


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Il continue à se doucher, feignant de m'ignorer exactement comme je feins de l'ignorer. Pourtant, je remarque des regards en coin réguliers dans ma direction. Je décide d'essayer d'éveiller son intérêt en prenant des pauses mettant en valeur, soit ma poitrine, soit ma croupe.



Bien sûr, rapidement, son sexe commence à se tendre et à se redresser. Il prend des proportions qui éveillent vite moi aussi mon intérêt. Quand il se rend compte de son état, il commence par me tourner le dos par pudeur, mais ne pouvant s'empêcher de se tourner dans ma direction pour m'observer et voyant que son bas-ventre capte régulièrement mon regard, il se tourne et me fait face.


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De mon côté, je lui tourne aussi le dos et me cambre en m'appuyant contre le mur, lui présentant ainsi ma croupe et ma moule. Tournant la tête, je fais mine de découvrir sa présence :
- Oh ! Je crois que vous vous êtes trompé de douches, monsieur.



Me regardant enfin directement, il me répond en souriant :
- Non, mademoiselle, j'ai vérifié...
- Oh, vous auriez pu me dire que je m'étais trompée... Et en plus vous vous exhibez comme ça alors que vous saviez que j'étais là !
- Ne vous formalisez pas pour mon état. Vous êtes extrêmement jolie, c'est normal que je ne reste pas insensible...


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- Bien... Puisque l'erreur vient de moi, je vous prie de bien vouloir m'excuser. Et d'ailleurs, si je peux vous soulagez d'une manière ou d'une autre, puisque je suis responsable de votre état...
- Ce n'est pas de refus !
Voyant que je garde la position, croupe offerte, il s'avance vers moi et me passe un doigt sur la fente. Je gémis aussitôt. Encouragé, il guide son sexe en moi et me prend en levrette.
Il vient finalement me prendre en levrette



Le gars me baise bien. Je ne me reconnais pas : je suis en train de m'offrir à un inconnu. Il ne s'agit pas d'une mission pour le travail, ni de mes amis André ou Jérémy. J'ai honte car il me semble que cela sort du cadre de ce que Paul tolère que je fasse. Mes pensées se troublent par le plaisir qui me gagne. L'orgasme m'envahit. Le gars déverse alors en moi son foutre chaud. Se retirant aussitôt, une partie de sa semence s'écoule de ma fente béante.



Le gars ne traîne pas et va vers le bassin. Je me douche rapidement en faisant disparaître toute trace de sperme. Après cela, je me dis que je ne vais pas rester plus longtemps au Club et que je vais rentrer. Je vais au vestiaire reprendre mes affaires. En ouvrant le casier, je me fais la réflexion que je dois quand même attendre Paul puisque je n'ai pas de voiture, à moins de rentrer à pied.


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J'en suis à ces réflexions, me demandant si je pars ou non retrouver Jérémy et André en attendant Paul, quand une voix derrière-moi me surprend :
- Il avait l'air sympa ce gars...
Je me retourne et reconnais le visage qui apparaît par l'embrasure de la porte donnant sur les douches. C'est Paul ! Je suis à la fois soulagée de le voir, et honteuse puisqu'il semble être au courant de mon écart....


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- Chéri ! Tu... Tu étais là ? Tu nous as vus ?
- Oui. J'étais dans le coin et ça m'a bien excité la manière dont tu as convaincu ce gars !
- Je crois qu'il n'y avait pas grand chose à faire pour le convaincre...
Comme il s'avance, je remarque alors qu'il est nu et qu'il bande drôlement.


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Je me tourne vers lui pour lui faire face.
- Tu n'es pas fâché ?
- Est-ce que j'en ai l'air ?
- Non, tu as l'air surtout excité.
Après une petite pause, je préfère tout lui dire. Me couvrant pudiquement l'entrejambe avec la serviette, je lui avoue mes autres écarts :
- J'ai aussi laissé Jérémy et André me prendre en sandwich... Et, comme tu as été un peu long, je les ai aussi sucés tous les deux...



- Pour André et Jérémy, je ne suis pas étonné du tout... Je dirais que ça m'aurait presque déçu si tu n'avais pas été sympa avec eux. Mais puisqu'ils ont eu le droit à ta bouche, est-ce que j'y ai aussi droit ?
Extrêmement soulagée, je me jette à ses pieds et je me mets à le pomper sans attendre.



Il gémit à chaque coup de langue quand je fais tourner celle-ci sur son gland. Après une minute de ce traitement, il me prend sous les épaules et me relève :
- Attends ! Je ne veux pas jouir comme André et Jérémy. Je veux te prendre en levrette comme cet inconnu.
Il me fait pivoter et me pose une jambe sur le banc pour que j'ai les cuisses écartées. Il guide alors son membre tendu et lubrifié de ma salive dans ma fente encore chaude.



Je gémis de plus en plus fort. Je me retiens pour ne pas crier. Il me pilonne sauvagement, accélérant le rythme peu à peu. Paul me donne le troisième orgasme de la matinée. Tout en m'abandonnant à ce plaisir, je me fais la réflexion que c'est peut-être un record pour moi en aussi peu de temps. Paul ne tarde pas à jouir aussi et, comme l'inconnu avant lui, il se retire dès qu'il a terminé d'éjaculer pour voir sa semence s'écouler de ma fente.



- Bon. Je crois qu'il va me falloir une autre douche.
- Non ma chérie. Pour ta punition, tu vas laisser mon sperme sécher sur ta moule et tes cuisses jusqu'à ce qu'on rentre à la maison.
Je ne discute pas. Je remets mon débardeur mais il est encore mouillé et mes seins sont très visibles.


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- Je ne pense pas pouvoir rentrer dans cette tenue...
- TU veux rentrer maintenant ?
- Bah oui, ça fait presque deux heures que je suis là moi ! Je comptais rentrer.
- Moi, je viens d'arriver. Je compte bien rester une petite heure. Tu veux les clés de la voiture ?
- Non, tant pis, je vais rentrer à pied.
- Dans cette tenue ?
- Non, j'ai une petite robe...
Je passe une petite robe jaune sans rien dessous.


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Paul me regarde :
- Tu n'as pas pris de sous-vêtement, j'imagine...
- Tu imagines bien...
- Tu crois que ton retour à la maison va être de tout repos dans une telle tenue ?
- Les hommes savent se tenir...
- Si c'était moi, je te jure que non. Et puis je te connais aussi...
- Tu crois que je suis une grosse salope qui va s'offrir au premier venu ?
Pour illustrer ma question, je soulève ma robe, dévoilant mon ventre et mes seins.


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Paul enfile son maillot et rigole :
- J'en suis convaincu !
- Je vais essayer de faire du stop...
- Tu n'attendras pas trop longtemps. Tu me raconteras ?
Cette dernière question avant qu'il ne parte vers les douches me laisse songeuse. Ce qu'il souhaite, en réalité, c'est que je me tape encore d'autres inconnus et que je lui raconte ensuite tout en détail. Quel pervers !


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