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Ninon
1er novembre 2016
A l'écoute - 09


Puisque Paul veut rester encore au club de sport, je n'ai pas d'autres choix que de rentrer en stop. En sortant du Club, je commence par regarder tout autour, m'attendant à voir Fabrice. Mais il n'est pas là. Je ne m'explique donc pas la raison des instructions dans mon oreillette. Alors que je longe les échafaudages, j'entends pourtant la voix métallique reprendre :
# Déboutonne le décolleté de ta robe.
Sans être certaine qu'il s'agisse de Fabrice, je me prends au jeu puisque, après tout, Paul m'a encouragée à m'amuser. Je déboutonne donc généreusement mon décolleté, laissant apparaître une bonne partie de ma poitrine nue.


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Bien sûr, je regarde dans la rue si je n'aperçois pas une voiture à l'arrêt où pourrait se cacher Fabrice. Mais je ne vois malheureusement pas de voiture qui pourrait ressembler à celle de Fabrice. Comme je regarde la route et pas là où je marche, je coince mon talon de chaussure entre deux planches qui forment le trottoir temporaire, manquant de tomber. Je me retrouve alors accroupie avec les seins à moitié en dehors de la robe. C'est en entendant des voix justes derrière moi que je me dis qu'il faut que je me décoince rapidement.


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J'ai tout juste le temps d'extraire ma chaussure. Les deux hommes sont à mon niveau :
- Alors mademoiselle ? On ne regarde pas où on marche ?
Je me retourne et découvre deux ouvriers qui restent stupéfait en voyant mes seins sortis du décolleté. Je rigole en voyant leur tête et je rajuste vaguement mes seins dans le décolleté :
- Oups ! Désolée messieurs...


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Je vois alors leurs yeux se fixer sur mon entrejambe et, baissant la tête, je constate que ma petite robe est retroussée assez haut pour que ma moule soit révélée. Je leur dis :
- Avec toute la poussière que vous subissez toute la journée, ça me semble normal que vous puissiez vous rincer l'œil...
Les gars sourient et je ris aux éclats de ma plaisanterie.


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Tandis que je rajuste le bas de ma petite robe, un des gars me dit :
- On fait la pause, là, juste derrière. Si vous voulez, vous pouvez vous joindre à nous. On a des bières, de l'eau...
La voix dans l'oreillette ne me laisse pas le choix :
# Accepte l'offre !
Je regarde tout autour espérant découvrir Fabrice mais, encore une fois, sans succès. Je souris aux gars :
- Oh, c'est gentil. Il fait si chaud.
Je les suis derrière une cabane de chantier où deux autres ouvriers font déjà leur pause. Le gars me présente sommairement :
- La fille a un peu chaud. Je lui ai proposé de venir se rafraîchir avec nous...
Un gars se lève et dit :
- Elle peut peut-être déjà se découvrir un peu...
Sans me laisser le temps de réagir, les quatre hommes sont sur moi et tirent sur ma robe. Je me retrouve cul nu, dépoitraillée, et je sens leurs mains et leurs bouches sur mes seins, mes fesses et mon entrejambe.



Je tente de les calmer :
- Doucement messieurs ! J'étais venue me désaltérer...
- Et on va s'occuper de toi comme il faut ma jolie.
Les gars ne sont plus tenables. Déjà, ils sortent leurs sexes et commencent à se masturber. Un des gars m'appuie sur les épaules pour que je me mette à genoux.



Ils ne me demandent ni de les baiser, ni de les sucer, mais je sens que cela se terminer en douches de sperme et, comme je n'ai pas envie qu'ils tâchent ma petite robe, je décide de prendre les devants. Je me lève et dis fermement :
- Attendez, je vais retirer ma robe.


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Bien sûr, aucun des gars ne s'y oppose :
- Ouais, vas-y ma mignonne, montre-nous tout ça !
Les gars m'observent me débarrasser de ma robe tout en se masturbant. Une fois, je vois qu'ils commencent à avoir d'autres idées que de vouloir me désaltérer...


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Comme ils s'approchent, je décide de prendre les devants pour ne pas risquer de perdre le contrôle de la situation. Je me mets à genoux et je leur dis ce que je veux :
- Maintenant, branlez-vous et venez gicler sur moi !
- Super !
Les gars se mettent à s'astiquer tout en me regardant me caresser devant eux.


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Rapidement, un gars s'approche de moi en disant :
- Je vais venir, je vais venir !
Je n'ai pas le temps de réagir qu'un épais jet de foutre vient s'écraser sur mon front et coule le long de mon nez. En voyant cela, les autres rigoles et s'activent encore plus sur leurs manches.


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Quand le premier a terminé, il se recule pour laisser la place :
- Allez, ça va la rafraîchir un peu, le petite demoiselle.
Quelques secondes après, un deuxième ouvrier s'approche et se met à éjaculer, m'atteignant au visage de plusieurs jets de sperme. Il est suivi de près par les deux derniers qui eux aussi se mettent au-dessus de mon visage pour que leur semence s'écoule lentement sur mon visage. Quand ils ont terminé, j'ai du sperme plein les cheveux, le visage et le buste.


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Les gars ne sont pas des brutes et m'amènent des serviettes en papier pour que je m'essuie. L'un d'eux m'aide même en enlevant ce qu'il peut de mes cheveux :
- Désolé mademoiselle, ça colle un peu...
- Faites au mieux, je prendrais une douche en rentrant.
- Ouais, il va falloir, car ça va sentir un peu.
Une fois à peu près nettoyée, un autre gars m'apporte ma robe que j'enfile rapidement.



N'ayant pas pris la peine de rajuster le décolleté, mes seins débordent un peu et un des gars me les rajuste gentiment et referme même quelques boutons.
- Messieurs, je dois y aller.
- Vous voulez boire quelque chose ? Je veux dire, vraiment cette fois-ci ?
- Non, je vous remercie. Je dois y aller.
- C'est nous qui vous remercions ! A une prochaine, mademoiselle !
Je prends congé d'eux et reviens au bord de la route, avec mon idée première : rentrer en stop.


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Malheureusement, il n'y a pas beaucoup de voitures à aller dans la direction qui m'intéresse et en plus, je me demande si qui que ce soit acceptera de me prendre avec la forte odeur de sperme que je dégage. Tirant sur mon décolleté, je me rends compte que je n'ai pas très bien essuyé mes seins et qu'il y a encore quelques gouttes de spermes entre mes seins qui ont échappés à ma vigilance.


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Je commence à lever le pouce alors que je vois quelques voitures venant dans ma direction. Malheureusement, aucune ne s'arrête. C'est alors que la voix se fait à nouveau entendre dans ma boucle d'oreille :
# Si tu veux qu'une voiture s'arrête, il va falloir t'exhiber un peu...
Je regarde du côté de la piscine et des voitures garées le long des trottoirs, mais je ne vois personne. J'ai de plus en plus de doute sur le fait que ce soit Fabrice. Pourtant, cela m'amuse de continuer ce petit jeu et je retrousse légèrement ma robe et rouvre un peu mon décolleté de manière à ce qu'un téton prenne l'air.


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Quand une voiture s'approche, je relève encore un peu plus ma robe pour dévoiler mon entrejambe et j'enserre mes seins dans le décolleté pour les mettre en avant. La voiture ralentit un peu, mais réaccélère soudain en passant à mon niveau. Je comprends en voyant qu'il s'agit d'un couple et que la femme est en train d'engueuler son mari. Cela m'amuse de voir que ma tenue a déclenché une scène de jalousie.


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La voix intervient à nouveau :
# Apparemment, ce n'est pas assez. Il va falloir faire mieux !
Bien sûr, je m'y attendais. Je fais donc glisser de mes épaules les bretelles de ma robe pour exhiber totalement ma poitrine nue.


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Je suis dans cette tenue avec le bas retroussé assez haut sur mes hanches quand une voiture arrive dans ma direction. Comme la précédente, elle freine. Je vois à la silhouette que la personne est seule, avec un peu de chance un mec. Quand il s'arrête à mon niveau, je vois la vitre s'abaisser et un jeune visage masculin me regarder en souriant :
- Vous, vous avez les arguments qu'il faut pour qu'on vous prenne en stop ! Vous allez où ?
Je ne me rajuste pas et le laisse profiter du spectacle avant de répondre :
- Chez moi...


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Il se penche et ouvre la portière depuis l'intérieur :
- Montez, je vous dépose.
- C'est à une dizaine de kilomètres sur cette route.
- Ah ! Moi j'habite avant cela. Mais je veux bien faire un détour.
Je m'assois et rajuste ma robe en remettant en place mon décolleté.



Une fois installée, il me regarde et dit :
- Vous faites souvent du stop dans cette tenue ?
- Non, c'est la première fois...
- Ah... Et vous avez couru, non ?
- Oh, vous dites ça à cause de l'odeur ?
- Oui...
- Non c'est sperme. Des gars m'ont éjaculé dessus tout à l'heure...
Le gars s'apprête à démarrer mais s'interrompt et me regarde :
- Quoi ???
Je soulève alors ma robe au-dessus de ma poitrine pour lui montrer :
- Regardez, j'ai encore un peu de leur sperme entre les seins.



- Vous avez été violée ?
- Non ! Non, ils se sont juste branlés en me regardant.
Le gars hésite, mais finit par dire :
- Remarquez, j'en ferais bien autant. Vous m'avez donné une putain d'érection.
J'ai une envie folle de faire l'amour et j'espère ardemment que la voix va me dire de le faire, mais comme elle reste silencieuse, je décide de ne pas laisser filer l'occasion :
- Faites-moi l'amour, sur le siège, s'il vous plaît !
Le gars accepte aussitôt et se met nu, libérant son érection. Nous nous allongeons sur le siège arrière et il me soulève une cuisse pour plonger son membre dans ma fente qui n'attend que cela.


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Il se met à aller et venir en moi autant que notre position sur la banquette arrière peut le lui permettre. Malgré cela, sa queue est vraiment grosse et longue et il me baise divinement bien. En quelques minutes, il m'amène à l'orgasme et je suis sous les convulsions de mon plaisir quand je le sens jouir aussi, se déversant généreusement en moi. A peine a-t-il terminé qu'il se retire, laissant un filet de sperme s'écouler de ma fente et goutter sur sa banquette en cuir.


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Il se redresse et me regarde :
- Avant de vous déposer chez vous, on va faire une halte chez moi. Vous allez prendre une douche et, si vous le souhaitez, vous pourrez même profiter de ma piscine.
L'offre est plus qu'alléchante :
- Ce serait super ! D'autant que je reviens du Club Aquaviva et j'ai mon maillot de bain !
Cinq minutes plus tard, nous sommes chez lui. Il me montre la douche et m'y laisse pendant qu'il va préparer la piscine.


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Je ne m'y attarde pas et, dès que j'ai terminé, je me sèche très rapidement. J'enfile mon bikini et vais le rejoindre dehors. La piscine est grande :
- Waouh ! C'est chouette d'avoir une piscine comme ça !
Il me regarde et rigole :
- Je pensais que vous plaisantiez tout à l'heure quand vous parliez de votre maillot de bain car je m'imaginais que vous étiez plutôt le genre de fille à vous baigner nue...
Je me dis qu'il n'a pas vraiment tort puisque j'étais presque nue pour faire du stop...


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Dès que je commence à retirer le soutien-gorge, le gars s'approche de moi et se présente :
- Je m'appelle Thierry.
- Moi c'est Ninon.
- On peut se tutoyer ?
- Bien sûr.
Thierry m'aide à retirer le soutien-gorge et, dès que c'est fait, fait courir ses mains sur mes seins et mon ventre.



Je sens son érection qui gonfle contre ma hanche. Je me retourne et lui dis en souriant :
- Dis donc, si je me mets à poil, il faut que toi aussi !
- Si tu veux.
J'agrippe son caleçon de bain et l'abaisse, libérant son sexe déjà bien bandé. Je ne peux m'empêcher de l'empoigner et de le masturber. Tandis que je le branle, il m'embrasse dans le cou et me caresse les seins.



Je sens qu'il commence à s'exciter un peu trop et je le repousse :
- Attends. Laisse-moi le temps de retirer ma culotte !
Je m'écarte et, le regardant droit dans les yeux, je commence à faire glisser ce qu'il reste de mon maillot.



Lentement, je l'emmène sur mes cuisses, puis sur mes mollets. Quand enfin il arrive à mes chevilles, je le ramasse et descends dans la piscine en le gardant à la main :
- Si tu veux, tu peux me rejoindre...



Il me snobe et se contente de s'asseoir sur le bord du bassin :
- Non, je vais te laisser te baigner. Je vais t'admirer évoluer dans l'eau, telle une naïade.
- Juste regarder ?
Je lui fais un clin d'œil dont il me montre avoir compris le sens en empoignant sa virilité pour la masturber lentement.


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Cela m'excite au plus haut point de le voir se masturber devant moi. Je m'approche du bord du bassin :
- Mmmm, c'est beau un mec qui se caresse. J'adore voir un gars se masturber en me regardant !
- Et moi j'adore me masturber en regardant une jolie fille. Pourtant, je ne peux vraiment pas dire que ce soit une habitude...
Avec un si joli compliment, je ne peux qu'avoir envie de lui faire plaisir. Je me campe face à lui, jambes écartées pour qu'il voie bien ma moule et bras relevés pour faire saillir ma poitrine aux mamelons gonflés.


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Si le spectacle lui convient, il ne le manifeste pas vraiment et sa main s'active avec toujours le même rythme :
- Tu prends ton temps ?
- Oui, j'aime profiter. Mais si tu veux me faire craquer, sache que c'est ta croupe qui m'excite le plus.
- Ah oui ?
Allant sur le côté du bassin, je me couche sur le bord en laissant mes jambes dans l'eau. Cuisses écartées, je lui offre une vue parfaite sur mon cul et ma moule.


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Il semble aussitôt très satisfait et je constate que sa main s'active davantage :
- Ah, là ça te plaît !
- Bon sang, oui ! Tu as un cul magnifique !
Je ne peux m'empêcher de constater que son sexe a effectivement pris du volume. Il a une queue vraiment imposante et j'ai très envie qu'il me fasse jouir avec.



Je me rapproche de lui :
- Mince ! Je ne m'étais pas rendu compte dans la voiture qu'elle était si grosse...
- C'est possible qu'elle ne l'était pas. Là tu m'as bien chauffé donc c'est normal qu'elle réagisse !
- Quand même, c'est impressionnant...
Comme il cesse de se masturber pour me laisser admirer son bel engin, je ne peux m'empêcher de le saisir pour le masturber un peu.



- C'est une belle bête ! Les filles que tu baises doivent en être folles !
- Ma dernière copine en avait même peur... Et, tu sais, je ne suis pas un coureur de jupons. Je n'ai eu que trois copines ces dix dernières années.
- Et là, tu es manifestement libre...
Il me fait un sourire. Je l'abandonne et rejoins le bord du bassin pour m'en extraire.


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Dès que je suis sur le bord, Thierry se relève et attrape son maillot de bain et le remet. Je l'interroge sur la raison :
- Pourquoi remets-tu ton maillot ?
- Je ne sais pas... Une certaine pudeur...
Comment peut-on être monté comme un cheval et être aussi timide ?! Sa timidité ne l'empêche heureusement pas de venir me rejoindre pour me caresser.



Je sens son sexe tendu contre mon dos. Je m'amuse à rouler des hanches contre lui, le caressant avec mes fesses :
- Le diable ne va pas sortir de sa boîte ?
- Sorcière, tu vas réussir à faire exploser mon maillot !
- Je ne demande pas mieux...
Je me cambre en avant, sachant son goût pour ma croupe.



Aussitôt, il me saisit aux hanches. Je tourne la tête pour voir l'effet que je lui fais. L'élastique de son maillot ne résiste pas à la pression de son sexe tendu et celui-ci sort soudainement hors du maillot :
- Waouh ! Rien ne peut l'arrêter cette queue !
Je me retourne et m'accroupis pour prendre sa tige en bouche et commencer à la sucer.



Après quelques minutes, je me rends compte qu'il perd presque en vigueur malgré toute la dextérité que je mets dans ces caresses buccales. Je me serais vexée si je ne savais pas que ses goûts sont ailleurs. N'insistant pas, j'abandonne la fellation et va m'accroupir devant un transat, en prenant bien soin de me cambrer pour faire saillir ma croupe.


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L'effet est immédiat et sa queue reprend de la vigueur. Je l'invite à venir me rejoindre :
- Ne la fais pas trop attendre...
- Qui ça ?
- Ta queue qui veut venir me prendre en levrette depuis que je suis arrivée chez toi !
Aussitôt il me rejoint et je sens son pieu se glisser dans ma fente humide.


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- Aaaaaah !
Il pousse un râle de plaisir en me pénétrant. Il va au fond de moi. Il est si long qu'il ne peut pas tout rentrer. Me saisissant aux hanches, il se met à me labourer. Prise dans un tourbillon de plaisir, je commence à perdre le contrôle :
- Oh oui ! Vas-y ! Baise-moi !



Et il ne s'en prive pas ! Allant et venant à un rythme de plus en plus élevé, il ne tarde pas à déclencher mon orgasme. Je jouis intensément, sans retenue. Me cambrant sous l'effet du plaisir, cela le fait exploser. Je le sens gicler en moi, me remplissant de son sperme chaud.



Quand je reprends mes esprits, je suis affalée sur le transat et je sens un peu de sa semence qui s'échappe de ma fente. Je me retourne et m'assois, le voyant assis par terre, ayant remis son caleçon. Je me moque :
- Tu es déjà redevenu pudique ?
- Désolé, je n'ai pas l'habitude de m'exhiber...
- Dommage avec une telle bite !
Rien que de repenser à sa queue, je sens que mes mamelons se tendent d'excitation. Ce détail ne lui a pas échappé. Il sourit en voyant cela. Je cache pudiquement mes seins.


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- Toi aussi, tu es pudique Ninon...
- Je te rassure, ça dure peu de temps.
Je me relève et lui fais face sans lui cacher quoi que ce soit de ma nudité.


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- Je n'en reviens pas de la chance que j'ai d'avoir rencontré une fille comme toi !
C'est alors que je me remémore les événements qui m'ont conduite au bord de cette piscine : mes missions, les boucles d'oreilles, les instructions, la piscine le matin-même, les ouvriers du chantier. Effectivement, l'enchaînement des événements est particulier et rien ne me prédisposait à rencontrer Thierry.


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