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Boris
20 janvier 2017
Vente immobilière - 1

Après l'orgie qui s'était déroulée dans notre appartement, puis le vol de l'olisbos qui m'avait fait suspecter plusieurs voisines, il faut bien avouer que nos relations avec notre voisinage étaient devenues très particulières. Quand j'étais seul, les regards que les filles m'accordaient étaient pleins de sous-entendus et, au contraire, les mecs me regardaient avec une haine farouche. Fabienne subissait la même chose et il faut avouer que, à part avec les célibataires, il était devenu compliqué de croiser la plupart de nos voisins et nous en étions arrivés à les éviter. Au bout d'un mois, Fabienne me supplia de déménager. Nous prîmes donc la décision de vendre l'appartement.
Fabienne avait pris un rendez-vous avec un notaire qui devait venir faire l'estimation de notre appartement. J'étais assez mécontent quand elle m'annonça qu'elle ne pourrait pas l'accueillir avec moi à cause d'un rendez-vous avec une copine. Je ne porte pas vraiment les notaires dans mon cœur, considérant leur activité comme de l'escroquerie légalisée, mais je ne trouvais pas non plus productif d'annuler le rendez-vous. La bonne surprise, c'est que c'est une femme qui sonna à ma porte à l'heure du rendez-vous. Une très belle femme brune.
- Maître Drannoc a eu un empêchement, je suis Sarah, sa clerc de notaire, je le remplace.
- Bonjour, mademoiselle. Je vous en prie, entrez.
En passant devant moi, le dossier qu'elle tenait à la main butta contre mon bras et quelques feuilles tombèrent par terre. Elle se pencha aussitôt pour les ramasser. Sa mini jupe était si courte et serrée qu'elle remonta un peu sur ses cuisses par ce mouvement, me laissant presque l'opportunité de voir sa culotte. Elle s'en rendit compte et se redressa vivement en rajustant sa jupe.



Elle me fusilla du regard comme si c'était moi qui avais remonté sa jupe. J'étais si gêné par son regard que j'en vins à m'excuser même si je n'y étais pour rien :
- Désolé, je suis confus...
Après qu'elle ait regardé l'appartement autour d'elle, sans dissimuler le dégoût que pouvait lui inspirer la décoration plutôt humble de la pièce, je lui proposai de s'asseoir et je m'installai en face d'elle. Tandis qu'elle m'expliquait avec un air assez hautain comment elle allait procéder pour l'estimation de notre bien, je ne pus m'empêcher d'admirer ses longues jambes gainées dans des bas noirs.



Je sentis mon sexe se tendre, excité par cette jolie femme qui semblait me considérer avec dédain. Je me levai sous un faux prétexte :
- Excusez-moi, je vais chercher l'acte de vente, quand on avait acheté cet appartement il y a huit ans.
Je partis dans la chambre et j'ouvris le tiroir de la table de chevet de Fabienne pour prendre l'olisbos. Aussitôt, j'entendis un gémissement dans la pièce à côté. Je rejoignis la clerc de notaire qui, ayant déjà retiré sa veste, commençait à déboutonner son chemisier en s'avançant vers moi. J'eus tout juste le temps de poser l'olisbos sur la table basse avant qu'elle ne se jette sur moi et commence à me caresser l'entrejambe.



Je bandais déjà dur et je dus l'écarter un peu pour qu'elle ne me viole pas :
- Attendez, mademoiselle. Retirez votre jupe et finissez de déboutonner votre chemisier.
Le charme de l'olisbos opérant, elle se recula et termina de retirer ce que je lui avais demandé. Elle portait en-dessous un bustier sexy qui mettait en valeur une poitrine bien pleine.



Comme elle avait exécuté mon ordre, elle s'avança à nouveau vers moi avec ce regard trouble qui m'indiquait que son seul objectif était de me faire jouir. Je temporisai à nouveau :
- Attendez. Retirez aussi votre culotte.
Aussitôt elle commença à faire glisser son string, me révélant son entrejambe impeccablement épilée.



Quand la culotte fut au sol, je pus remarquer que sa moule était humide. Alors qu'elle avançait encore vers moi, je l'arrêtai d'un geste de la main et commençai à me déshabiller. Elle avait les yeux rivés sur mon érection. Dans la tenue où elle était, elle comprit que le meilleur moyen pour me faire jouir était de m'attirer avec sa croupe. Elle se tourna donc en se cambrant sur le dossier du canapé.



La croupe qu'elle m'offrait était splendide et je voulus prendre mon temps. Je commençai par caresser les fesses. Quand mes doigts commencèrent à effleurer les lèvres de sa chatte humide, elle commença à gémir. En écartant les fesses, j'eus une révélation en découvrant l'anus de la demoiselle. Je bandais à tout rompre et je jubilais de pouvoir baiser le cul serré de la clerc de notaire qui m'avait montré si peu de considération depuis son arrivée.



Quand j'engageai ma queue dans sa fente, Sarah poussa un petit cri :
- Hiiiii ! Elle est grosse...
Puis elle se mit à onduler du bassin tandis que je commençais à aller et venir dans son délicieux fourreau.


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Je la fis se pencher complètement par dessus le dossier du canapé, l'obligeant à écarter largement les cuisses pour me permettre de la besogner le plus loin possible. Je pouvais enfoncer ma queue sur presque toute la longueur, c'était un vrai plaisir. La jeune femme gémissait de plus en plus et elle ne semblait plus très loin de l'orgasme. J'avais sous les yeux son petit anus qui semblait attendre son tour.


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J'avais envie d'essayer aussi cette voie là. Quand je sortis, elle m'attrapa alors le poignet comme pour me retenir, m'empêcher de partir. Quand j'appuyais sur son anus, elle eut un frémissement. Je pense qu'elle aurait habituellement refusé d'être sodomisée mais le charme sous lequel elle était l'empêchait d'exprimer toute résistance qui serait allé à l'encontre de mon plaisir. Je pus donc engagé mon sexe tendu dans son petit canal qui semblait être rarement visité.



C'était véritablement divin. Elle se remit rapidement à gémir et elle eut son orgasme finalement avant le mien. Elle criait et faisait aller et venir son bassin sur ma queue pour aller au-devant de mes assauts. Elle était encore sous les spasmes de son orgasme quand je sentis la sève monter de mes couilles. J'éjaculai en râlant, inondant son cul de ma semence chaude.



Je ne m'étais par contre pas préparé à ce qui suivit. Comme j'avais joui, la clerc de notaire n'était plus sous le sortilège de l'olisbos et elle reprit ses esprits plus rapidement que moi. J'étais à genoux derrière elle quand elle se redressa et dit :
- Qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce que vous m'avez fait ?
Je tentai de lui dire qu'elle avait succombé à mon charme :
- Vous vous êtes jetée sur moi... Vous vous souvenez ?
- Oui... Mais vous m'avez droguée, je ne sais comment.


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- Je ne vous ai jamais droguée, ne dites pas n'importe quoi. Si vous regrettez ce que nous venons de faire, on en reste là et on en parle à personne.
- Ne vous foutez pas de moi, je sais que je n'étais pas moi-même. J'étais comme... possédée.
Elle avait hésité à prononcer ses mots, comme si elle ne pouvait y croire elle-même. C'était la première fois que j'essuyais une réaction aussi violente. Elle se releva pour s'habiller. Je ne pouvais pas en rester là. J'attrapai l'olisbos. Elle me vit faire et eut comme un regard de terreur en sentant qu'elle était à nouveau possédée.



Je fus moi-même terrifié en me disant que ce que je faisais s'apparentais quand même à du viol. Tout en retirant son bustier, elle venait à nouveau vers moi, le regard chaud et vitreux, avec à nouveau un désir de sexe, la volonté farouche de me faire jouir encore. Je ne pouvais pas remettre ça tout de suite et il était pourtant trop tard : l'olisbos ferait effet jusqu'à ce qu'elle me fasse jouir à nouveau. Je l'obligeai à patienter :
- Asseyez-vous et attendez...
- Non... je veux vous baiser !
Mais elle s'assit malgré tout, en écartant les cuisses largement.


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Sarah m'implorait :
- S'il vous plaît, prenez-moi ! Je veux que vous jouissiez en moi.
Elle se caressait les mamelons, manifestement au comble de l'excitation.



Ma queue avait commencé à s'apaiser. Toutefois, le spectacle de cette moule encore humide et chaude, qu'elle m'offrait sous l'effet du sortilège, commença à me faire bander à nouveau. Elle me suppliait :
- S'il vous plaît, sil vous plaît...
Elle regardait avec avidité ma bite qui se redressait et elle patientait en se caressant le clitoris.


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J'avais honte car ses supplications n'étaient que le résultat du sortilège et ne reflétait pas réellement son désir pour moi. Jusqu'à présent, quand le sortilège prenait fin, les filles semblaient satisfaites de ce qu'elles avaient vécues contre leur gré. Cela commençait à vraiment me perturber, d'autant qu'elle semblait vraiment en avoir envie. Elle se mit à quatre pattes, me présentant sa moule dont elle écarta les lèvres avec deux doigts en guise d'invitation.



De toute façon, maintenant que le processus était enclenché, il n'y avait plus qu'une seule issue : il me fallait éjaculer à nouveau. Je me sentis prêt et je vins la rejoindre. J'admirai à nouveau son petit trou. J'hésitai mais je me dis que puisque j'avais pris mon pied tout à l'heure, ça ne pouvait pas être moins bien. Je commençai donc par lui mettre un doigt dans le cul et la branler pour qu'elle comprenne ce qui l'attendait.


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Je ne m'y attendais pas vraiment, mais rapidement, elle me supplia :
- Oh ouiiii ! Enculez-moi encore !
Je me demandais si me sortilège lui faisait dire ce que je voulais entendre ou si, malgré la possession, elle était maître de ses paroles et exprimait un réel désir. De toute façon, ce la ne changeait rien à l'issu. J'engageait donc à nouveau mon sexe dans l'anus de la clerc de notaire.



Le cul en l'air tandis que je commençais à aller et venir en elle, la jeune femme se laissa tomber en avant et se mit à gémir :
- Oh ouiiiii ! Allez-y ! Défoncez-moi !
Je ne me retenais pas. Je la limais avec entrain et plaisir. Cette fois-ci, elle eut son orgasme beaucoup plus rapidement.



Je sentis ma deuxième éjaculation arriver. Je sortis ma bite et me mis à l'astiquer au-dessus de la joile croupe. Mon sperme se mit à jaillir et j'éclaboussai joyeusement les fesses de Sarah. Quand ma jouissance prit fin, je vis à sa réaction que le charme était rompu :
- Mais qu'est-ce qu'il se passe ?



Libérée du sortilège, elle se releva aussitôt et me regarda, désemparée :
- Qu'est-ce que vous m'avez fait ?
Je tentai de la rassurer en lui donnant une réponse sensée :
- Je vous ai fait jouir une seconde fois... C'est vous qui me l'avez demandé.
- Moi ?



- Oui... Vous ne vous souvenez pas ?
- Si. Mais ce n'était pas moi !
- Ah, ne recommencez pas. Mettons-nous au travail, vous voulez bien ?
Elle sembla hésiter et, me regardant me rhabiller, elle dit :
- J'ai bien conscience d'avoir eu cet orgasme. Je me souviens de ce que j'ai dit, mais j'ai l'impression que quelque chose me poussait à le faire alors que je ne le voulais pas...
- Vous regrettez ?
- ...Non. Mais j'ai une curieuse sensation.



Elle prit son téléphone portable et tapa quelque chose :
- Je... Je ne suis pas certaine qu'il soit sage que je reste. J'ai envoyé un SMS à Maître Drannoc pour qu'il s'occupe de vous.
Quand elle reposa son téléphone, je la vis poser les yeux sur l'olisbos. Elle tendit la main pour l'attraper. Dans un geste de réflexe, surtout pour la protéger, je repoussai l'objet magique. Et, sans le vouloir, réenclenchai le processus... Elle se mit aussitôt à se caresser l'entrejambe :
- J'ai encore envie de vous... ça recommence... C'est votre godemiché, je crois... Mmmmmmh, prenez-moi.
Je la regardais se caresser en regrettant d'avoir déclenché tout cela.



Maintenant, il me fallait assumer à nouveau et jouir encore une fois pour la libérer du sortilège. Je me déshabillais rapidement, mais je me rendis à l'évidence que je n'étais pas en mesure de lui faire encore l'amour, pas tout de suite. Elle sembla le comprendre et vint s'agenouiller devant moi. Elle saisit ma queue qui commençait seulement à débander et se mit à la masturber en me léchant le gland. Rapidement, mon sexe retrouva une vigueur inespérée.


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Elle me suça longuement, avec passion. Pourtant, je sentais qu'elle n'était pas habituée à cela car ce n'était certainement pas la meilleure fellation que j'avais eue. Toutefois, avec l'excitation, elle parvint à m'amener à l'éjaculation. Sentant que j'allais venir elle lâcha ma queue et ouvrit grand la bouche. Je pris le relais pour me masturber devant cette bouche béante.


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Je me mis à râler tandis qu'un frisson me parcourait l'échine. Mon sperme monta dans ma queue et se mit à gicler. J'explosai alors dans sa bouche. Elle reçut l'intégralité mais n'avala rien, laissant le sperme s'écouler sur son menton et sa poitrine. Pendant que je me vidais sur elle, Sarah avait les cuisses écartées et se caressait l'entrejambe.


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La bouche grande ouverte, elle me regardait. J'avais terminé de jouir. Elle semble épuisée mais, bien qu'elle ait normalement retrouvé son libre arbitre, elle ne se relève pas ni ne m'accuse. Je sens à son regard qu'elle est soumise. Elle murmure :
- Je ne comprends pas ce qu'il se passe... Qu'est-ce que vous attendez de moi ?


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Je fis l'innocent :
- Que vous me fassiez une estimation de la valeur de mon appartement ?
- Vous faites une sorte d'hypnotisme, c'est ça ?
Je n'avais pas fait attention, mais elle réussit à se saisir de l'olisbos. Aussitôt, ma queue de regonfla juste devant sa bouche. Elle sembla comprendre qu'une magie s'opérait au travers de cet artefact. Me donnant un coup de langue sur le gland, elle sentit les vibrations de l'olisbos entre ses doigts.


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Elle semblait fascinée :
- Fascinant ! C'est donc ce truc...
Elle se mit à caresser l'olisbos et replongea sa bouche sur ma queue pour la sucer à nouveau. Cette fois-ci, c'est moi qui étais sous l'effet du sortilège et il me fallait jouir encore.


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Je crus que mon sexe allait réellement exploser, soumis à la dualité de cette masturbation et de cette fellation conjuguées. Je n'aurais pas cru que je puisse, mais une nouvelle éjaculation arriva et se déversa dans la bouche de la jeune femme qui, cette fois-ci avala tout.



Elle se releva et se passa le poignet sur la bouche :
- C'est avec ce truc que vous m'avez fait faire tout ça. C'est fou !!! Comment ça marche ?
Elle avait compris. Je lui devais quelques explications. Tout en allant rapidement à la salle de bain chercher une serviette, je lui donnais quelques informations sur cet artefact :
- Quand je le touche, les filles présentent ne me lâchent pas tant que je n'ai pas joui. Si une fille le touche, c'est moi qui dois impérativement jouir...
Je lui essuyai le menton, le cou et la poitrine
- C'est de la sorcellerie ! D'où est-ce que ça vient ?
- Un sorcier d'Amérique du Sud l'a sculpté pour moi.


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Elle semblait fascinée mais soudain, elle prit conscience de ce qui venait de se passer :
- Mais vous avez utilisé ce pouvoir pour abuser de moi. Vous m'avez sodomisée !
- Je vous ai donné deux orgasmes.
- C'est vrai.
La petit clerc de notaire, si froide et coincée en arrivant, était si excitée par la situation que, sans l'aide de la magie de l'olisbos, elle se caressait l'entrejambe.



Considérant mon sexe qui commençait à débander un peu :
- C'est aussi ce truc qui vous permet d'éjaculer autant ?
- Je n'en sais rien... J'ai rarement eu l'occasion d'éjaculer aussi souvent. Mais c'est sans doute vrai.
- Et vous seriez capable d'éjaculer encore ?
J'étais étonné par sa question, d'autant qu'elle s'allongea sur le canapé et, cuisses écartées, murmura :
- J'ai très envie qu'on le refasse mais sans votre truc magique... pour voir.



Au point où j'en étais, j'acceptai. Je m'installai à côté d'elle, le sexe gonflé, mais plus vraiment dressé. Elle leva les yeux vers moi. Je l'interrogeai :
- Vous n'êtes pas fâchée ?
- Si. Je suis furieuse. Et maintenant, je veux en profiter mais selon mes règles.
Je ne pouvais rien dire et je la laissai donc faire, d'autant que la punition ne semblait pas si désagréable pour le moment : elle plongea sur ma queue et se mit à me faire une fellation.


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Ce qui suivit fut incroyable. Alors que Sarah me suçait, on frappa à la porte. J'étais persuadé qu'il s'agissait de Fabienne et j'ai très excité à l'idée qu'elle puisse voir ça. Je criais donc :
- Entre ! Entre vite !
Mais quand la porte s'ouvrit, je fus bien décontenancé en voyant qu'il s'agissait d'un homme mûr et pas de Fabienne. L'homme ouvrit de grands yeux en nous voyant :
- Sarah ?
Je compris qu'il s'agissait du notaire. Sarah se redressa et sembla se décomposer. J'appuyai alors sur sa tête pour la forcer à reprendre sa fellation. Je tentai de gagner son patron à notre cause :
- Je crois que votre petite secrétaire ne serait pas contre une petite gâterie...
Il sembla hésiter, mais voyant que Sarah avait repris son activité sans se soucier davantage de sa présence, il accepta l'offre. Il vint s'agenouiller entre ses cuisses et commença à lui sucer la moule.



Cela me plaisait de savoir que le notaire léchait sans doute au passage quelques gouttes de ma semence. Il se redressa d'ailleurs et murmura :
- Je ne suis pas le premier de toute évidence...
Il sembla ne pas s'en formaliser davantage et tenta sa chance ailleurs. Après avoir admirer quelques secondes le petit trou du cul encore un peu dilaté de son assistante, il lui mit un doigt dedans.



Quand il retira son doigt, il me considéra avec dégoût :
- Bon, là aussi...
Il se releva et se débarrassa de ses fringues. Malgré sa répugnance d'avoir constaté que j'avais déjà joui en elle, il semblait très excité et bandait à tout rompre. Il la fit un peu pivoter sur le côté pour manifestement s'offrir son cul.



Il la redressa alors. Sarah se doutait bien de ce qui allait suivre. Elle tenta de se retourner pour exprimer son opposition, mais je jugeai cela inopportun et je lui maintins la bouche vissée sur ma queue pour qu'elle continue de me sucer. Son patron guida son sexe tendu dans son petit trou et ne sembla trouver aucune difficulté.



Il se mit alors à la besogner. Elle dut arrêter sa fellation et, ce qui me fit halluciner, se mit à gémir :
- Oh Maître ! Oui Maître !
Je me serais cru à une séance de sado-maso... Je m'écartai alors et, voyant qu'il avait le champ libre, le notaire la fit basculer sur lui pour s'asseoir, sans que son membre tendu ne quitte l'orifice étroit. Le notaire lui écartait les lèvres de la moule et me dit :
- Il reste une place, jeune homme.


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Je ne sais pas si c'est ce que voulait réellement Sarah car elle semblait totalement soumise à son patron. Pourtant, elle se mit dire :
- Oh oui Maître, qu'il me baise aussi !
Je me sentis obligé d'accéder à cette demande insistante, d'autant que là, la jeune femme n'était sous l'emprise d'aucun sortilège. Je vins donc la baiser, la prenant en sandwich avec son patron.



IL y eut un concerne de gémissements, de râles et de cris. J'éjaculai pour la cinquième fois tandis qu'elle subissait son troisième orgasme. Je pense que le notaire aussi éjacula dans son cul. Après cette tempête de plaisirs synchronisés, on la laissa sur le canapé, épuisée. Le notaire se rhabilla :
- Sarah, je n'aurais jamais imaginé que vous puissiez être aussi perverse. Et m'envoyer un SMS pour que je vienne vous prendre avec un client, je ne l'aurais jamais cru ! Vous allez vite monter en responsabilité, ma petite.
Puis il partit. Je regardai Sarah qui avait toujours les cuisses grandes ouvertes :
- C'est la première fois que votre patron vous baise ?
- Oui...


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Elle semblait encore sous le coup de son orgasme, mais je sentis quand elle se redressa qu'elle était quand même un peu chamboulée. Assise sur le bord du canapé, je l'entendis murmurer :
- Qu'est-ce que j'ai fait... Maintenant, ce gros porc croit que je suis une pute et va me baiser dès que nous serons tous les deux...


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Elle se leva et ramassa son string. Je tentai de la rassurer :
- Ecoutez, je suis désolé. C'est un peu de ma faute. Je n'aurais pas dû vous soumettre au sortilège de l'olisbos...
Elle me regarda :
- D'un côté, je me suis bien amusée. De l'autre, je me dis que c'était limite du viol. C'est comme si vous m'aviez droguée...
Elle remonta son string.


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Je n'étais pas tellement fier de moi et elle devait le sentir :
- Monsieur, ne faite pas cette tête-là. J'ai quand même eu trois orgasmes en moins d'une heure et ça ne m'était jamais arrivé. Même si je regrette qu'il ait fallu ce sortilège, je me dis que c'était une expérience incroyable.
Elle terminait de rajuster sa veste sur son chemisier :
- Et rassurez-vous, je garderais votre secret.
- Merci...
- Je vous enverrais l'estimation par mail.


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Elle sortit. J'étais très confus sur ce qu'il venait de se passer. Malgré ma haine farouche pour les notaires, je n'étais pas vraiment fier de ce que j'avais fait, même si cela m'avait permis de jouir cinq fois !


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