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Vente immobilière - 2 Quand je racontai à Fabienne comment j'avais géré la rencontre avec le notaire et surtout la clerc de notaire, elle fut d'abord furieuse. Puis, elle se montra admirative en découvrant combien de fois j'avais éjaculé. C'est elle qui pris le rendez-vous avec l'agent immobilier. Je me disais qu'elle avait une revanche à prendre : - Si tu veux, ma chérie, je te laisse seule avec lui pour que tu t'amuses un peu. - Bof, je pense que, comme toi, j'apprécie aussi peu les agents immobiliers que les notaires. Ils sont pour beaucoup incompétents et ne montrent pas le moindre respect pour leur client. - Celui-ci ne sera peut-être pas comme ça. Il ne faut pas généraliser. - On verra. De toute façon, je compte m'amuser à l'exciter mais sans l'aide de la statuette. Et je préfère que tu restes. Deux jours plus tard, l'agent immobilier sonna chez nous. Fabienne était dans la salle de bain pour terminer de se maquiller et c'est donc moi qui suis aller ouvrir. - Bonjour, je suis Bertrand Idalgo, de l'agence Immo B.I., je viens pour l'estimation. - Entrez, c'est ma femme que vous avez dû avoir au téléphone. Sitôt la porte fermé, le jeune homme inspectait déjà tous les recoins de l'appartement. Je frappai à la porte de la salle de bain : - Tu es prête ? - Oui, qu'il entre que je le salue. J'ouvris la porte pour laisser entrer l'agent sans me douter de ce que Fabienne avait déjà manigancé. C'est en voyant les yeux écarquillés de Bertrand que je compris que Fabienne avait déjà ouvert les hostilités. J'entrai et découvris qu'elle était nue dans la baignoire. ![]() Bertrand était sidéré et, étant derrière lui, je l'empêchais de ressortir. Très naturellement, Fabienne se présenta : - Bonjour. Je suis Fabienne, c'est moi que vous avez eu au téléphone. - Bertrand... Désolé de vous déranger. - Oh, il n'y a pas de mal. J'ai terminé. Fabienne se redressa, faisant saillir sa poitrine. ![]() L'agent, rouge comme une pivoine, me bouscula presque pour sortir de la salle de bain. Je me retins pour ne pas rire. Fabienne sortit de la baignoire et attrapa une serviette pour se sécher. Je m'apprêtais à sortir quand elle me murmura à l'oreille : - Tu as vu la bosse ? Il bande déjà... Je vais bien m'amuser. Elle s'enroula dans la serviette tandis que je sortais rejoindre l'agent. Elle se couvrit convenablement la poitrine mais la serviette, volontairement choisie trop petite, ne couvrait pas son entrejambe. Se mettant dans l'embrasure de la porte elle me demanda : - Cédric, tu irais me récupérer mes fringues dans la chambre ? ![]() L'agent regardait ailleurs, extrêmement troublé. Je répondis à ma femme : - Désolé, je te laisse y aller. On va commencer avec monsieur Idalgo pour ne pas lui faire perdre trop de temps. - Je comprends... Retirant sa serviette pour la laisser au pied de la baignoire, Fabienne, intégralement nue, traversa lentement le salon pour aller rejoindre la chambre, en se cachant partiellement la poitrine. ![]() - On commence l'estimation, monsieur Idalgo ? - Heu... oui pardon... je réfléchissais. Je lui fis l'inventaire des pièces et je le laissai prendre les mesures du salon avec un distance-mètre laser, qu'il reporta ensuite sur un formulaire. Je lui proposai ensuite d'aller voir la chambre. Avant d'entrer, je frappai : - On peut entrer ? - Oui, j'ai besoin d'aide. J'ouvris la porte et entrai. Le lit étant dans le coin derrière la porte, j'attendis que l'agent soit rentré lui aussi pour refermer la porte. Nous découvrîmes alors Fabienne, presque nue. Elle était allongée sur le lit avec juste une paire de bas noirs gainant ses jolies jambes : - Je cherche ma culotte en dentelle noire, mais je ne la trouve pas... ![]() images similaires - Je vais t'aider à chercher pendant que monsieur Idalgo prend ses mesures. L'agent immobilier avait bien du mal à se concentrer sur sa prise de mesures, surtout quand Fabienne se mit à quatre pattes sur le lit, lui tournant le dos pour inspecter sous les oreillers. Moi, de voir sa magnifique croupe, j'eus une trique d'enfer et j'imaginais que l'agent immobilier devait, lui aussi, bander sacrément. ![]() images similaires - Ma chérie, tu es indécente. Tu mets mal à l'aise notre invité... - Oh désolée... Mais elle ne changea pas de position. Bertrand, après avoir jeté un dernier regard rapide à la sublime croupe, quitta la chambre : - Je... je vous attends dans le salon. - J'arrive dès que nous avons retrouvé cette culotte. A peine eut-il fermé la porte que je sortis mon érection et la guidai dans la fente de ma chérie. ![]() images similaires Nous essayâmes de rester discrets et je voyais que Fabienne se mordait les lèvres pour ne pas crier. Je voulus lui rendre la tâche plus difficile en changeant d'orifice. Je ressortis et m'engageais dans son anus. Elle feula : - Oh non, déconne pas ! - Pourquoi, tu n'aimes pas ça ? - Si, mais je vais crier... Il va savoir... - Tu crois qu'il ne sait pas déjà. Je m'enfonçais alors dans l'étroit canal, obligeant Fabienne à se mettre une main sur la bouche pour dissimuler ses cris. ![]() C'était délicieux et il ne nous fallu qu'une ou deux minutes pour atteindre l'orgasme ensemble. Fabienne se mit le visage dans les draps pour dissimuler ses cris de plaisir tandis que je me vidais en elle en soufflant comme un phoque. Emmanché en elle, je laissai ma semence se répandre dans son cul brûlant. Reprenant ses esprits, elle me regarda et murmura : - Il est timide, mais je suis certaine qu'on pourra l'avoir sans la statuette... ![]() images similaires Quand je me retirai, Fabienne resta allongée : - Tu t'habilles sexy pour nous rejoindre ? - Attends, il reste encore des pièces à mesurer, non ? Retourne avec lui pour prendre les cotes de la cuisine. J'arrive. ![]() images similaires Je ne savais pas exactement ce qu'elle avait en tête mais je savais que j'allais encore bien m'amuser même si on n'utilisait pas la magie de nos fétiches. Je rejoignis l'agent : - Excusez-moi... - Pas de soucis. Moi c'est souvent les chaussettes que j'égare... Il semblait se détendre. Je lui montrai la direction de la cuisine : - La cuisine ? - Allons-y. - Voilà et la porte sur le côté donne sur la buanderie. A peine étions-nous dans la cuisine que Fabienne arriva et passa devant nous pour aller à la buanderie : - Pardon, je cherche toujours ma culotte... Sa tenue n'avait pas évolué et l'agent immobilier ne se priva pas d'admirer la magnifique croupe de ma femme. ![]() images similaires Elle laissa la porte de la buanderie ouverte et nous la regardions tous les deux, subjugués. Je sentis mon érection se réveiller et j'eus un coup de sang quand Fabienne se pencha sur le sèche-linge en disant : - Je me demande si elle n'est pas dans la machine. Mais il reste encore deux minutes. - Tu veux que je regarde pour déverrouiller le hublot ? - Si tu sais faire, oui, je veux bien. ![]() images similaires - Monsieur Idalgo, je vous laisse prendre les mesures de la cuisine, je m'occupe de ma femme. Je le vis me faire un sourire entendu avant que je ne referme la porte. L'instant d'après, ma queue reprenait sa liberté, dressée et prête à l'action. Fabienne releva une cuisse sur la machine, m'ouvrant sa fente humide pour que je puisse y plonger mon sexe tendu. ![]() images similaires Nos gémissements étaient heureusement couverts par le ronronnement du sèche-linge. Tandis que j'allais et venait en elle, je vis avec amusement un peu de mon sperme de tout à l'heure s'échapper de son anus. J'hésitais à la sodomiser à nouveau mais il me semblait excitant de me vider cette fois-ci dans sa moule. Cette fois-ci, je me mis à éjaculer un peu avant qu'elle n'ait son orgasme. ![]() images similaires Je me rajustai rapidement et retournai dans la cuisine rejoindre notre agent immobilier : - Excusez-moi. Il nous a fallu attendre la fin du programme. - J'ai pris les mesures. Je peux mesure aussi la buanderie ? J'admirai son audace. Je lui rouvris la porte et Fabienne, toujours habillée de ses seuls bas, nous fit une grimace : - Ma culotte n'est pas au sèche-linge... Peut-être dans le chambre d'amis... ![]() Elle attendit que Bertrand commence à entrer pour sortir, en profitant pour frotter sa poitrine contre son torse. D'où j'étais, je pouvais voir qu'il bandait déjà beaucoup. Fabienne traversa la cuisine et le salon en direction de la chambre d'amis. Malgré l'humidité, une forte odeur de sperme se dégageait de la buanderie mais l'agent fit semblant de ne pas le remarquer tandis qu'il prenait ses mesures : - Il vous restera à prendre les mesures dans la salle de bain. - Et la chambre d'amis, si j'ai bien compris. L'homme semblait plus à l'aise et se prêtait manifestement aux jeux coquins de Fabienne. De lui même, il se dirigea vers la chambre d'amis mais il attendit à la porte que ce soit moi qui frappe. Je ne frappai pas et ouvris en restant sur le côté pour le laisser entrer en premier. Fabienne était allongée sur le lit et, jambes relevées, offrant un spectacle bien sympathique sur sa moule encore humide. ![]() images similaires - Ma culotte n'est pas ici non plus... Bertrand fit semblant de regarder l'état de la pièce et son aménagement mais son regard retombait irrémédiablement sur le corps nu lascivement offert. Il prit malgré tout ses mesures sans que Fabienne ne change de position. Une bosse phénoménale déformait son entrejambe mais il ne semblait pas vouloir nous la dissimuler. Dès qu'il eut fini, je lui fis une proposition : - Allez prendre les mesures dans la salle de bain pendant que je jette un œil avec ma femme pour voir si sa culotte ne traîne pas dans un coin... Cette fois-ci, il me fit carrément un clin d'œil avant de quitter la pièce. Il n'était pas dupe de ce que nous faisions. Avant même qu'il ne referme la porte, Fabienne écartait grand ses cuisses et je me déshabillais. Je plongeai aussitôt ma queue raide dans la fente que j'avais quittée quelques minutes auparavant. ![]() images similaires - Tu vas encore jouir en moi ? - Oui, pourquoi ? Tu ne veux pas ? - On pourrais varier les plaisirs... Dans ma bouche ? L'idée était sublime, j'allais avoir exploré tous ses orifices. Je quittai donc son ventre pour me mettre debout et lui offrir ma belle bite à sucer. Elle ne tarda pas me faire jouir et, tandis que j'éjaculais, cette coquine n'avala rien et laissa toute ma semence s'écouler sur son menton et sa poitrine. ![]() - Tu es presque plus diabolique quand on n'a pas recours à la statuette... - Tu as des mouchoirs pour que je m'essuie un peu ? - Tu ne veux pas qu'il te voit avec ça sur toi ? Ce serait excitant... - Sans doute, mais j'empeste déjà le sperme à plein nez et je pense que ça suffit. Dès qu'elle a essuyé toutes les traces de sperme, elle ressort et, dans le salon, tombe nez à nez avec l'agent immobilier qui venait d'en finir avec la salle de bain : - J'abandonne ma culotte en dentelle, je vais en prendre une autre. ![]() images similaires Fabienne retourne dans la chambre et je rejoins Bertrand : - C'est bon, vous avez tout ? - Oui, je crois. Il y a des placards intégrés dans la chambre ? Je n'ai pas fait attention tout à l'heure. - Allez regarder, ce sera mieux. Bertrand entra alors que Fabienne était en train d'enfiler une culotte. ![]() images similaires - Excusez-moi, mademoiselle, je veux juste voir les placards. Il passe plus de temps à regarder Fabienne que les placards et j'en profite pour la gronder un peu : - Ma chérie, tu peux peut-être passer une tenue un peu plus décente, non ? - Tu crois que ça gêne monsieur Idolago ? Elle le regarda en souriant. ![]() images similaires Même s'il était plus à l'aise, il rougit malgré tout : - Heu... Vous êtes chez vous. Vous vous habillez comme vous voulez, ça ne me regarde pas. - Mais vous, en revanche, vous me regarder... Fabienne attrapa une minirobe noire qu'elle enfila. L'agent compris que la séance d'exhibition était terminée et il retourna dans le salon. Fabienne et moi et suivîmes aussitôt et on s'installa dans les canapés, Fabienne nous faisant face. ![]() - Vous avez tout ? - Oui, je vais juste prendre vos coordonnées et références civiles. Nous répondîmes à ces questions et quand arriva la fin du formulaire, Fabienne lui demanda : - Vous ne me demandez pas mes mensurations ? - Pardon ? Le gars ne sembla pas comprendre. Je rigole et complète : - Ma femme est très fière de son corps et surtout de ses seins qui se passent magnifiquement de soutien-gorge. Regardez... Bien que l'agent avait déjà pu admirer les seins de ma femme, je dégage les dégageai de la robe pour les sucer. Aussitôt, Fabienne se mit à gémir et écarta les cuisses : - Oh... sucer moi les gars ! Je me penchai alors sur sa poitrine pour lécher les mamelons tendus tandis que l'agent immobilier, qui n'en pouvait plus, vint plonger son visage entre ses cuisses pour lui sucer la moule à travers la culotte. ![]() Elle nous laissa nous amuser ainsi quelques minutes, puis alors que Bertrand entreprenait d'écarter la culotte pour commencer à enfoncer un doigt dans sa fente, elle se dégagea de notre étreinte et se releva : - Doucement les gars. Sinon vous allez éjaculer avant de m'avoir baisée. Debout, elle retira sa robe. ![]() images similaires Elle se rassit en face de nous et commença à faire glisser sa culotte : - C'est fou ce que vous vous excitez d'un rien vous les mecs. Je regardais son entrejambe trempée de cyprine et lui fis remarquer l'abus de son procès : - Tu es injuste. Regarde comme tu mouilles toi aussi ! Elle regarda son entrejambe, constatant l'indiscutable. ![]() images similaires - Oui c'est vrai... Il faut dire que j'ai rarement l'occasion de voir un second bel homme sous mon toit. L'agent pris la parole : - Mademoiselle, vous n'avez pas arrêté de me faire bander depuis que je suis arrivé. Au début j'ai pensé avoir de la chance, que vous étiez seulement impudique. Mais j'ai rapidement compris que c'était de l'exhibitionnisme et que je n'avais pas à avoir honte d'en profiter. - Voilà une magnifique analyse, cher monsieur ! Fabienne se tourna pour nous présenter sa croupe et terminer de retirer sa culotte. ![]() J'avais beau avoir déjà joui trois fois, je bandais à nouveau comme un taureau et je ne pus pas résister plus longtemps au spectacle de la croupe parfaite de ma femme. Je la rejoignis et engageai mon sexe tendu dans sa moule déjà béante : - Et voilà mon analyse à moi. ![]() images similaires - Ce n'est pas poli de ne pas d'abord proposer aux invités. Tu pourrais... Mais comme je venais en elle, elle ne put terminer sa phrase, se concentrant sur son plaisir. Du coin de l'œil, je vis Bertrand se mettre nu et se masturber en regardant Fabienne prise en levrette. ![]() images similaires Je m'écartais alors de Fabienne : - Monsieur Idalgo, il parait que je suis impoli. Je vous invite à venir baiser ma femme. - C'est très gênant... Fabienne s'impatienta : - Laisse-le, Cédric. Je crois qu'il prend son pied à mater. ![]() Bertrand sembla très vexé de cette remarque. Puisque l'agent immobilier ne semblait pas prêt, je revins plonger mon sexe dans la délicieuse fente de ma chérie. Elle aussi semblait vexée que notre invité ne montre pas davantage d'enthousiasme à venir lui faire l'amour. Tandis que Bertrand s'approchait de nous, se masturbant toujours je me déchaînais pour tenter de lui faire oublier cet échec. ![]() Fabienne eut un petit orgasme, mais je parvins à me retenir pour faire durer le plaisir. Je la basculai sur le dossier du canapé du salon pour la prendre plus tranquillement en levrette. L'agent s'approcha encore, se masturbant juste sous le nez de Fabienne. Elle ouvrit la bouche et il arrêta de se masturber pour la laisser lui lécher la queue. ![]() Fabienne était épuisée. Elle avait déjà joui et semblait impatiente que j'éjacule enfin pour lui laisser le champ libre avec l'agent. Elle se retourna et me lança un regard implorant : - Tu fais durer le plaisir, salaud... - Tu veux faire une pause ? - Je veux bien oui... ![]() Je me retirai et Bertrand s'écarta pour qu'elle s'assoie sur le canapé le temps de reprendre son souffle. Elle regarda l'agent et lui dit : - Deux belles queues comme ça, rien que pour moi, c'est super, mais c'est crevant ! Ces mots n'étaient destinés qu'à exciter notre hôte puisque Fabienne avait déjà eu l'occasion à plusieurs reprises d'être prise par plusieurs partenaires en même temps. ![]() images similaires Je me gardai de lui en faire la remarque. De toute façon, vu la manière dont elle avait accueilli l'agent immobilier, il m'était difficile de lui faire croire que ma femme était prude et réservée. D'ailleurs, tandis qu'elle reprenait son souffle, elle écarta lentement les cuisses pour nous révéler sa moule trempée de cyprine. ![]() images similaires Elle ouvrit les yeux et nous sourit : - C'est pour que vous ne débandiez pas pendant que je reprends quelques forces pour la suite. - Au pire, tu sauras redresser la situation ma chérie. Montant à côté d'elle sur le canapé, je lui présentai ma queue pour qu'elle la suce. Bertrand m'imita et elle m'abandonna pour lui lécher la tige. ![]() Quand on fut tous les deux bien raids, elle se releva et fit face à l'agent immobilier : - Asseyez-vous. Je voudrais que vous mesuriez le fond de ma chatte avec votre gros appareil... L'image n'avait pas besoin d'être bucolique pour que le gars la comprenne. Il s'assit et Fabienne vint aussitôt s'empaler sur lui pour le chevaucher. ![]() Je ne comptais pas rester à regarder et voir ma femme prise ainsi me donnait très envie de participer. Elle se tourna et me dit, désignant son cul : - Il reste une place mon chéri. Ce qui me frappa, c'est que, l'ayant déjà tant limée auparavant, sa moule était grande ouverte et ne semblait pas se suffire de la bite plus modeste de notre invité. Je m'essayai alors à cette nouveauté, guidant ma queue le long de celle de Bertrand dans la fente de ma femme. Elle cria et se retourna : - Non, pas là ! ![]() images similaires Je sentais au ton qu'elle prenait que ce n'était pas un faux refus destiné à m'exciter. Elle n'avait pas envie d'être prise en double de cette manière. Je sortis donc ma queue, qui pourtant s'était accommodée de la présence de celle de Bertrand, et je la guidai dans le cul de ma chérie. Il ne me fallut qu'une dizaine de coups de reins pour que Fabienne atteigne l'orgasme et je sentis aussitôt les spasmes de l'éjaculation de l'agent immobilier. J'attendis qu'il ait terminé pour jouir à mon tour, pour la quatrième fois de la soirée et pour la seconde dans le cul de Fabienne. ![]() images similaires Epuisée, est resta allongée sur le dos. Elle murmura : - Merci les gars... Je me tournais vers Bertrand : - Alors, votre estimation ? - C'est une femme magnifique ! Fabienne rigola et tourna la tête pour dire : - Je crois que Cédric vous demandait votre estimation de l'appartement... Vous savez... votre métier... ![]() images similaires Nous rigolâmes tous les trois. Pendant qu'il se rhabillait, il expliqua : - Je dois rentrer tout ça en informatique. Cela nous donne un résultat que l'on pondère avec les critères négatifs et positifs du bien. Ensuite on compare avec les autres biens sur le marché dans la même commune et seulement après on est en mesure de pouvoir donner une fourchette de prix aux clients. Je peux vous donner cela sous deux jours si vous voulez. - Ce sera parfait. Fabienne se leva et l'accompagna jusqu'à la porte, sans prendre la peine de se rhabiller. ![]() - Je repasserais pour vous donner le montant ? - Envoyez-le par mail, on risque d'être pas mal occupé dans les jours qui viennent. - Oui, je comprends. Au revoir. Fabienne referma la porte et s'y appuya, ravie de son début de soirée. - Félicitation ma chérie. Jamais je n'aurais cru qu'on puisse arriver à un tel résultat sans l'aide de la statuette !!! - Je suis pleine de ressources, mon chéri... - Et de sperme ! |