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Ninon 1er février 2017

A l'écoute - 12 Paul est donc au courant de la teneur de mes nouvelles missions pour le boulot. Pourtant, il semble que Fabrice ne l'ait pas mis au courant des boucles d'oreille par lesquels il me donne discrètement les instructions. Ce qui m'étonne, puisque je commençais à avoir des soupçons concernant mon donneur d'ordre alors que je recevais des instructions même à la maison et les jours de congés. Mais peut-être Paul me ment-il à ce sujet. Le lendemain de cet après-midi de révélation, je suis au bureau, sans mission, avec réunion de débriefing avec le patron en milieu de matinée. Paul m'appelle une heure avant : - Viens dans mon bureau, il faut qu'on parle. Je n'ai pas le temps d'en savoir davantage qu'il a déjà raccroché. Je vais donc le rejoindre dans son bureau. - Qu'est-ce que tu voulais me dire que tu ne pouvais faire par téléphone ? images similaires - J'ai vu, ce matin que tu n'as pas mis de soutif et je ne peux m'empêcher de penser que c'est justement pour cette réunion... - Effectivement. Et ça te pose un problème ? Je le vois qui louche sur mon chemisier, tendu par mes seins libres. images similaires - Regarde un peu si ça me pose un problème ! Sans prévenir, il déboutonne son pantalon et extrait son érection. - Eh bien ! Quelle superbe tige ! Il se met à se masturber en me souriant. images similaires Très sérieusement, mais sans arrêter sa masturbation, il me dit : - J'ai un truc à te montrer. Attrape le dossier au bout de mon bureau. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas fait le tour pour accéder au dossier, mais au lieu de cela, je me penche au-dessus de la chaise de bureau pour l'atteindre. C'est en le faisant que je prends conscience que ma jupe trop courte doit forcément révéler à mon homme qu'il n'y a pas que le soutien-gorge dont je me suis passé en m'habillant ce matin. images similaires Je l'entends exulter derrière moi : - J'en étais certain ! L'instant d'après, il saisit ma cheville et remonte ma jambe pour me forcer à écarter les cuisses. Son sexe vient presser contre ma fente et, d'un coup de reins, s'y emmanche presque totalement. Je gémis aussitôt de plaisir tandis qu'il me baise sans ménagement. - Ooooh, Paul... Arrête... si quelqu'un vient ? - Ne t'inquiète pas, tu seras à l'heure à ta réunion. Paul est si excité de me faire l'amour ainsi dans son bureau comme si j'étais sa secrétaire, qu'il jouit en moi avant que je n'ai le temps d'avoir un orgasme. Il se retire et attrape ma jupe et mon chemisier : - Attends-moi là, je reviens. - Hey ! Mes fringues ! - Je m'assure que tu m'attendras... - Tu vas où ? - Voir si je peux te dégotter des boules de geisha pour que tu ailles à ta réunion. Paul referme la porte, me laissant à poil, juste en bas. images similaires Ma réunion est dans vingt minutes. Je croise les doigts pour qu'il revienne à temps avec ma jupe et mon chemisier car je me vois mal aller à la réunion dans cette tenue même s'il paraît certain que ça plaira à beaucoup de collègues. Mais si je fais ça, c'est certain qu'après je serais harcelée par tous les mecs de la boîte pour que je couche avec eux et je ne tiens pas à devenir la pute de l'entreprise. Je fais le tour des tiroirs du bureau de Paul, des fois où il y aurait quelques fringues que je pourrais me mettre en cas de besoin. images similaires En me relevant, je vois que son écran affiche sa messagerie. Un mail attire alors mon attention. Il est signé de Fabrice et s'intitule "La deuxième mission de Ninon". Je l'ouvre. Je découvre tous les détails de ma mission avec entre autre mon passage en petite robe sous les jets de la fontaine publique. Il y a même quelques photos en pièces jointes. Paul est donc au courant de tout en détail depuis le début. Je suis un peu agacée d'avoir culpabilisé alors qu'il savait absolument tout. En refermant le mail, je vérifie que Paul ne revient pas. images similaires Puis j'en vois un second qui m'interpelle : un message de Paul adressé à un certain Thierry. Je l'ouvre. Paul y détaille comment il compte me laisser entre les mains d'André et Jérémy au Club Aquaviva et comment Thierry pourra m'y trouver à faire du stop. Tout était donc calculé ! Thierry n'était pas là par hasard et je comprends que je me suis faite avoir. Je suis énervée mais également assez excitée de savoir que tous ces mecs se servent de moi pour assouvir leurs fantasmes. Je vois qu'il ne me reste que quinze minutes avant ma réunion et je commence à m'inquiéter sur le fait que Paul veuille m'obliger à aller dans cette tenue à ma réunion. Son téléphone sonne. Je décroche : - Ninon, je suis désolé, c'est plus compliqué à trouver que je croyais, je vais avoir cinq bonnes minutes de retard. Attends-moi, ne vas pas à poil à ta réunion, ok ? - Putain, t'es chiant ! Magne-toi ! Je raccroche, énervée. Je me calme et patiente quelques minutes. Soudain, la porte s'ouvre. Je me lève, espérant au retour de Paul. Jérémy et André entrent dans le bureau, tout souriants. André dit : - Ninon, on va pouvoir te sauver ! - Vraiment ? - Paul vient de nous demander de t'amener des fringues en urgence. Jérémy a réussi à convaincre la nana de l'accueil de te prêter une robe de secours qu'elle garde dans son bureau. - Super, merci les gars ! Je commence à retirer mes bas. images similaires Jérémy ajoute : - Par contre, tu comprendras que l'on compte être remerciés. - J'ai ma réunion, là... - On va faire vite. - Bon... Ok. Pressée d'en finir, je me mets en position contre le bureau pour être prise en levrette, le plus efficace, et, pendant que les gars retirent leurs fringues, je me branle la fente pour gagner du temps. Jérémy est le plus rapide et il affiche déjà une érection magistrale. J'ai un doute quant à ce concours de circonstance : - Jérémy, tout cela n'est-il pas un coup monté de Paul ? - C'est important qu'on débatte de ça maintenant ? - Pfff, vous faites chier ! Je saisis sa queue tendue et je la guide dans ma fente déjà bien humide. images similaires Jérémy n'a aucune difficulté à me pénétrer et, rapidement, il prend un rythme soutenu. Je gémis déjà. Il faut dire que Paul m'avait laissée un peu frustrée... J'entends à peine André dire : - Paul nous a dit de t'amener de quoi t'habiller et que tu saurais nous remercier. J'ai pensé à la fille de l'accueil et c'est Jérémy qui a réussi à la convaincre. Il va devoir payer de sa personne... André termine de se mettre nu tandis que Jérémy continue de me ramoner frénétiquement. images similaires L'orgasme n'est pas loin mais il prend un peu de retard quand André vient me fourrer son épaisse tige dans la bouche pour que je le suce. Sa queue est encore un peu molle et je dois me concentrer un peu sur ma fellation pour lui donner une belle vigueur. Quand j'entends André souffler comme un bœuf, je sais qu'il ne sera pas très long à faire jouir. images similaires Malgré ma concentration que la queue d'André, Jérémy parvient à me donner un orgasme. Je dois alors me contenter de masturber André pour pouvoir respirer tandis que je jouis. Mes petits couinements de plaisir déclenchent l'éjaculation de Jérémy. Celui-ci se retire avant d'exploser et fait gicler son foutre sur mes fesses, mon anus et ma moule. images similaires André est surexcité en voyant cela. Il se redresse et se met à s'astiquer le manche fébrilement : - Attends, ma belle, tu vas aimer ! Il explose à son tour. Ses trois premiers jets de sperme, maladroitement dirigés, s'écrasent sur mon front et sur mon nez. Il parvient heureusement à guider les derniers dans ma bouche pourtant grande ouverte. images similaires Jérémy m'apporte une boîte de mouchoirs en papier mais sa générosité ne va pas jusqu'à m'essuyer le visage, couvert du foutre d'André. Je me nettoie pendant que les garçons se rhabillent. Puis André me tend la robe. Bien entendu, leurs négociations auprès de la fille de l'accueil ne sont pas allées assez loin pour m'obtenir un soutien-gorge ou même une culotte, mais la robe est heureusement épaisse bien qu'un peu étroite. Je l'enfile positionne comme je peux mes seins dans le buste un peu étroit de la robe. Les garçons semblent satisfait de l'effet et me laisse aller à ma réunion. Quand j'entre dans le bureau du patron, celui-ci me regarde, surpris : - Ninon, je ne m'attendais pas à te voir dans cette tenue ! - Et quelle tenue vous aurait satisfait ? Il ne répond pas. Je m'installe en me demandant si Paul ne lui a pas dit qu'il m'avait piqué mes fringues... images similaires Il tourne son siège vers moi : - Ninon, j'ai eu les rapports fait par Fabrice à chaque retour de mission. Je suis très satisfait. - Merci, Monsieur. - Tu sembles prendre ça très à cœur et ton implication pour le développement de notre entreprise a permis de mettre en place des partenariats très fructueux. Il est alors interrompu par Fabrice qui entre dans le bureau : - Excusez-moi de vous déranger... Il se tourne vers moi et me tend ma jupe et mon chemisier : - Ninon, Paul m'a donné ça pour toi, mais je vois que tu as trouvé une autre solution. - Oui, Jérémy et André m'ont trouvé cette petite robe. Merci. images similaires Fabrice entre et pose ma jupe et mon chemisier sur le bord du bureau du patron. Je remarque qu'il a aussi récupéré la veste. Le patron arrête Fabrice alors qu'il s'apprête à repartir : - Attends Fabrice. Je voudrais ton avis... Fabrice s'assoit à côté de moi et attend la question du patron. - J'aimerai ton avis sur la tenue de Ninon. Ne trouves-tu pas sa robe un peu sage en comparaison du chemisier et de la jupe que tu viens de lui apporter ? - Heu, oui, c'est certain. Agacée, je fais glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules et écarte largement mes cuisses : - Et là ? Est-ce suffisamment coquin pour vous ? Le patron garde une expression béate en découvrant que je ne porte pas de culotte. Fabrice sourit. Il se lève et s'approche de moi : - Ninon, tu es une femme de tempérament. Et il faut avouer que ça te va terriblement bien. Je pense que notre supérieur hiérarchique trouvait surtout le tissu de ta robe un peu trop épais par rapport au chemiser qui offre une certaine transparence très agréable pour suggérer ta jolie poitrine. - Je comprends... Je tire alors sur le décolleté et dégage carrément mes seins. images similaires Le patron a les yeux exorbités : - Je... Je... Je n'en demandais pas tant ! Mais ma foi, c'est assez... magnifique... - Et vous pensez que, après ces petits jeux d'effeuillage coquin, on va pouvoir continuer notre réunion ? Je m'affale sur ma chaise en écartant largement les cuisses pour que la robe se retrousse sur ma taille. Le patron semble apprécier autant ma fente humide que mes mamelons dressés. images similaires Il peine à avaler sa salive pour me répondre : - Effect... heu... oui... c'est sûr. On peut sûrement trouver une autre date. Je me lève et demande : - Et du coup, on fait quoi maintenant ? Je remets mon chemisier ? images similaires Fabrice se lève et termine de retirer ma robe : - Moi j'ai une idée. On va montrer au patron comment tu te débrouilles avec les clients. - Tu... Tu veux me faire l'amour devant lui ? - Bien sûr que non, je vais te donner les instructions, comme avec l'oreillette. Je viens de comprendre qu'il me propose de faire l'amour avec le patron. images similaires J'avoue être déstabilisée car, si c'est un bel homme assez bien fait, quoique sûrement avec dix ou quinze ans de plus que moi, je n'avais jamais envisagé de faire l'amour avec un supérieur hiérarchique. Fabrice sent mon malaise et attaque avec les instructions pour ne pas me laisser le temps de paniquer : - Assieds-toi sur le bureau et écarte grand les cuisses. Je reste ainsi quelques secondes, totalement indécente, avant que le patron ne comprenne que je l'attends. Fébrilement, il se déshabille et vient prendre position entre mes cuisses. Son sexe est déjà dur et tendu. Moi je sens que je mouille et, quand il plonge sa queue dans ma fente, il la fait pénétrer en moi de presque toute sa longueur. Le patron, ravi, commence à aller et venir en moi : - Fabrice, j'aimerai être un client que vous deviez convaincre chaque jour ! Quelle chance il a, ce Paul ! Et se tait pour admirer mes seins qui ballotent tandis qu'il va et vient en moi. images similaires La patron semble vouloir prendre son temps mais cela ne l'empêche pas de me donner beaucoup de plaisir et il semble très fier de m'entendre gémir à chacun de ses assauts. Après quelques minutes, il lève la tête vers Fabrice : - Mon pauvre, tu donnes les ordres et tu n'as jamais l'occasion d'en profiter... - Je suis un homme de l'ombre. - La demoiselle accepterait peut-être de sucer l'homme de l'ombre ? Au point où j'en suis, je ne vois aucune raison de refuser. Je tourne la tête et sourit à Fabrice pour lui signifier mon accord. images similaires En quelques secondes, il est nu lui aussi et me présente son sexe dressé pour que je le prenne en bouche. Me voir sucer un sucer un collègue semble exciter le patron car j'ai l'impression qu'il accélère la cadence et que son souffle est plus courts. Mes lèvres entourent le gland palpitant de mon collègue et ma langue tourne autour. Le rythme de plus en plus soutenu du patron entre mes cuisses rend plus difficile la fellation mais je me concentre autant que possible dessus pour mener Fabrice à jouir en même temps que le patron. Comme je me mets à le pomper vigoureusement, le pauvre homme ne résiste pas longtemps et, juste quand le patron me donne un orgasme, Fabrice se met à éjaculer dans ma bouche en râlant. Malgré les soubresauts de me plaisir, j'avale aussitôt la première giclée. Mais le patron ne semble pas d'accord : - Non, Fabrice ! Je veux voir ! Fabrice comprend ce qu'il veut. Il se retire de ma bouche juste après m'avoir déchargé sa deuxième salve et laisse les quelques jets suivants s'écraser sur ma joue et mon menton tandis que je gémis de plaisir. images similaires La patron semble content et se met à râler lui aussi : - Superbe !!!... Moi aussi ! Il se retire alors et vient prendre la place de Fabrice dirigeant son sexe vers ma bouche béante. Son sperme jaillit et vient fouetter ma langue. D'autres jets, moins contrôlés, atteignent mon œil, mon cou ou mes cheveux. Puis il laisse les dernières gouttes s'écouler dans ma bouche. images similaires Je reste quelques minutes étendues sur le bureau, exténuée. Fabrice à la galanterie de l'essuyer le visage avec des mouchoirs en papier. Quand je me relève, je constate que les deux hommes sont déjà rhabillés. Fabrice me tend ma jupe et mon chemisier. J'enfile la jupe et, tandis que je commence à boutonner mon chemisier, le patron me dit : - Je ne suis pas certain que le chemisier soit nécessaire pour le reste de la journée. La veste te suffira à être décente. images similaires Tout en retirant le chemisier, j'émets quand même quelques réserves : - La veste est quand même un peut courte et le col en "V" est taillé très bas... - Et bien c'est parfait. De toute façon, je veux te faire porter un dossier à Paul et après tu pourra retourner à ton bureau. Même si je savais que j'allais croiser quelques collègues, l'idée de me présenter ainsi à Paul n'était pas pour me déplaire. images similaires Je quitte le bureau du patron et file jusqu'au bureau de Paul avec le dossier que je dois lui remettre. Par chance, je ne croise absolument personne. J'entre sans frapper en espérant le surprendre mais il n'est malheureusement pas là. J'entends alors une voix familière derrière moi : - Je l'attends aussi... Je tourne la tête et découvre Thierry. Malgré ma récente découverte des échanges de mails entre lui et Paul, je fais mine d'être surprise : - Thierry ? Qu'est-ce que tu fais là ? - Ninon ! Je ne t'avais pas reconnue... Il semble gêné. J'en profite : - Tu connais Paul ? - Oui, on est ami. On se connait par le basket. C'est un collègue à toi ? Je sais qu'il sait quelle est la nature de ma relation avec Paul. Je me tourne vers lui. Il reste béat en découvrant que je ne porte rien sous ma veste. Il fait semblant de faire des déductions : - Oh ! Pas seulement collègue à ce que je vois... Tu venais lui faire une petite surprise ? - Oui c'est mon mec. - Il a de la chance ! Et... comme l'autre jour ? Rien sous la jupe non plus ? Je vois qu'il ne perd pas le nord et cela m'amuse. Je soulève ma jupe pour le récompenser de sa perspicacité. Mais il est plus perspicace que je ne m'y attends : - Oh, mais ne serait-ce pas de la cyprine qui rend cette jolie fente aussi luisante ? Je suis un peu gênée. Il le voit et essaye de me rassurer : - Ne t'en fais pas. Moi aussi, je bande. Tu veux voir ? - Evidemment ! - Ok, mais d'abord tu retires tout. - Et si Paul revient ? - Il vient de m'envoyer un SMS. Il ne sera que dans quinze minutes. Excitée, je laisse ma jupe glisser et je retire la veste. images similaires Thierry semble très content que je ne sois pas plus pudique : - Magnifique, Ninon, tu es encore plus excitante nue dans le bureau de ton mec que dans sur le bord de ma piscine. Homme de parole, il retire sa chemise et déboutonne son pantalon. Il extrait alors sa belle tige bien raide. Il s'assoit et se masturbe en me regardant. images similaires - Tu viens ? - Je ne sais pas... Paul va bientôt arriver... - Mais non. On a un quart d'heure et en un quart d'heure on a le temps d'en faire des choses. - Est-ce que c'est Paul qui t'a dit de me prendre en autostop ? - Quoi ? Il voit bien que je suis sérieuse et comprend que j'ai des doutes sur le hasard de notre rencontre. Il semble hésiter, mais comme il a très envie de moi, il finit par céder : - Merde. Oui, en début de semaine, Paul et moi avons parié sur l'issu d'un match. Il a perdu et tu étais le prix de ce pari. - Et s'il avait gagné ? - Je suis célibataire... Je lui avais promis un accès illimité à ma piscine. Je comprends déjà mieux cette affaire. Je me sens quand même trahie par Paul et je décide donc de ne pas avoir de scrupule à me taper Thierry. Je viens donc le chevaucher pour son plus grand soulagement. images similaires Je m'empale sur sa queue tendue en lâchant un profond soupir de plaisir. Il semble étonné : - Apparemment, tu ne m'en veux pas ? - Apparemment, je suis en train de faire l'amour avec toi et, apparemment, j'apprécierai que tu la fermes. Je commence à monter et descendre sur son sexe. images similaires La porte s'ouvre alors. Je tourne la tête. C'est Paul, revenu plus tôt que prévu. Thierry ne l'a pas vu et continue d'aller et venir en moi. Paul sourit et pose son index sur sa bouche pour m'indiquer de me taire. Il se déshabille tranquillement tandis que Thierry continue à me baiser. Paul exhibe une érection impressionnante et je devine ce qu'il a en tête quand je vois le regard qu'il porte vers mon anus. images similaires Je ne me suis pas trompée. Paul vient appuyer son gland contre mon petit trou. Thierry voit que je me contracte de manière inhabituelle et comprend qu'il se passe quelque chose. Se redressant, il découvre la présence de Paul et comprend ce qu'il est en train de faire : - Yes ! En sandwich ! Paul donne un coup de reins et vient s'emmancher en moi, me faisant pousser un petit cri. images similaires Comme il est gros, je me cambre pour mieux l'accueillir et cela semble beaucoup plaire à Thierry de me voir tendre mes seins ainsi. Je sens ces deux grosses queues qui vont et viennent en moi. J'imagine que les mouvements de l'un sont aussi perçus par l'autre. Parfois, ils se synchronisent, parfois, au contraire, ils alternent leurs pénétrations. Il ne leur faut pas plus de deux minutes pour me donner un orgasme violent. images similaires Eux résistent mieux que moi. Paul se retire sans avoir joui : - Nous n'en avons pas fini avec toi Ninon. Je suis épuisée et je ne réponds pas à cette phrase qui semble insinuer que je mérite une punition. Pourtant, j'aimerai leur dire que je suis quand même la victime de toutes leurs manigances depuis le début. Mais cette position de soumission ne me déplaît pas non plus, donc je les laisse faire. Thierry se redresse et m'enlace appuyant son torse contre mes seins. Sa bouche m'embrasse dans le cou. images similaires Paul regarde. Ayant repris un peu mes esprits, je lui demande : - Tu aimes mâter ? Au lieu de me répondre, il s'adresse à Thierry : - Lève-toi mais garde-la empalée sur ta bite. Thierry accepte et obéit. Me saisissant sous les fesses, il se relève. Les jambes enroulées derrières ses cuisses musclées, je ne touche plus le sol. C'est lui qui contrôle la pénétration en me faisant monter et descendre sur sa tige. images similaires Je sens le plaisir monter à nouveau. Puis, je sens Paul présenter à nouveau son sexe à l'entrée de mon anus. Je crains que dans cette position, il ne me fasse mal. Je le repousse : - Attends Paul, pas comme ça ! - Tu crois avoir le choix ? Quand Thierry me soulève d'une dizaine de centimètres, Paul en profite pour s'approcher contre moi et quand Thierry me laisse redescendre, je me retrouve emmanchée sur les deux tiges à la fois. images similaires Toujours en lévitation, les deux hommes associant leurs forces n'ont aucune peine à me faire monter et descendre sur leurs deux bites. En moins d'une minute, un second orgasme me gagne, plus intense que le premier et je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier. Les gars continuent leurs besognes tandis que je me remets peu à peu de ce nouvel orgasme mais je suis dans un état second de plaisir continu. Les gars s'arrêtent alors en même temps. Je sens les sexes se tendre, palpiter en moi, alors que règne un silence total durant quelques secondes. Puis les deux hommes se mettent à râler et je sens leur foutre m'envahir les entrailles. J'en aurais presque un troisième orgasme si je n'étais pas si épuisée. images similaires Quand ils me reposent sur la chaise, Paul m'écarte les cuisses et admire les quelques gouttes de leurs semences qui s'écoulent de mes orifices. Thierry demande : - Je rêve ou ce n'était pas la première fois que tu étais prise en sandwich, Ninon ? Trop épuisée pour prononcer le moindre mot, c'est Paul qui lui répond : - Hier, elle était en congé et elle s'est fait prendre comme ça par André et Jérémy. - Pense à moi, Ninon, pour tes prochains congés ! J'ai encore le cul et la chatte en feu. Cuisses toujours écartées, je les laisse discuter en me regardant sans avoir la force de participer à la conversation. images similaires Je suis partagée entre l'excitation d'avoir été le jouet sexuel de ces messieurs depuis plusieurs jours et la colère d'avoir été victime d'un véritable complot à mon encontre. Sans doute que si j'avais été prévenues de toutes ces manigances, le plaisir aurait été moins grand. Pourtant, sachant tout cela, j'ai du mal à concevoir de continuer plus longtemps mes missions.

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