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Ninon
1er mars 2017
A l'écoute - 13


Après tous les événements de la veille, Paul et moi profitons d'un début de weekend bien mérité. Même si une discussion s'impose, ni lui ni moi ne parlons de mes récentes découvertes. Au réveil, je suis encore tellement dans les vapes que je remets ma jupe et mon chemisier de la veille. Quand Paul me voit arriver ainsi dans la cuisine, il reste béat en voyant le chemisier qui baille largement sur ma poitrine nue.
- Tu... tu vas au boulot aujourd'hui ?



Je m'assois et le regarde :
- Non, j'ai pris ce qui trainait pour venir manger.
- J'aime beaucoup ce que tu portes...
- A moins que tu ne préfères justement ce que je ne porte pas ?
J'écarte les cuisses et remonte un peu ma jupe pour lui révéler mon sexe nu.



- Merde ! Tu me fais déjà bander...
- On a tout notre temps, faisons l'amour, mon chéri.
Paul semble très contrarié :
- Merde ! J'ai un match tout à l'heure et il faut que je parte dans dix minutes pour l'échauffement.
- Dix minutes, c'est trop court. Dommage...
J'écarte un peu les pans de mon chemisier pour dégager un sein. Je vois ses yeux écarquillés fixer alternativement ma poitrine et ma moule.



- T'es vache !
- Tu n'as que ce que tu mérites, espèce de manipulateur.
- Arrête, je sais que tu as aimé tout cela.
- Ce n'est pas la question. En tout cas, ce weekend, pas d'oreillette, pas d'ordres. C'est moi qui décide.
Je me lève alors et je m'agenouille devant lui pour le libérer.
- Non, Ninon, s'il te plaît. Je vais être à la bourre...
Mais il est trop tard. Mes lèvres se sont déjà refermées sur sa bite gonflée et je la suce goulûment.


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Comme je ne suis pas aussi garce que je veux lui faire croire, j'y mets tout mon cœur et mon savoir faire pour que l'opération atteigne son objectif dans des délais raisonnables. En moins de deux minutes, je parviens à le mener à l'éjaculation. Dès que je sens sa semence arriver, je le retire de ma bouche et laisse le sperme venir s'écraser sur mon visage.


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Je mise sur le spectacle de tout cela et, quand Paul rouvre les yeux, il reste un bon moment à me regarder, fasciné :
- Ma chérie, je ne comprends pas que tu m'offres cela alors que tu sembles m'en vouloir pour ce que tu as découvert hier.
- Parce que toi tu as joui. Moi, je vais venir à ton match, chaude comme une chatte en chaleur, et je vais me taper un mec dans les gradins pendant que tu joueras.



Même s'il m'a volontairement offerte à ses collègues ou à des clients, Paul semble contrarié. Je suis assez satisfaite de l'effet de ma petite déclaration d'intention :
- Je prends une douche rapidement, tu m'attends ?
- Désolé, mais moi je dois partir tout de suite et je n'ai pas le temps de t'attendre. En plus, je dois amener Michel et je ne peux pas le faire attendre.
Paul ramasse son sac et file rapidement. J'associe cela à une fuite. Mais je n'ai pas dit mon dernier mot et je réfléchis à un moyen de le rejoindre. Je ne sais pas où est la salle où il joue, mais une idée me vient. Michel, son copain de basket, noir, habite à deux pas de chez nous. Il a un frère plus jeune, Jeannot, qui va souvent les voir jouer. Je saute sur mon téléphone et appelle chez Michel. Bien sûr, c'est Jeannot qui répond :
- Allo ?
- Jeannot ? c'est Ninon. Dis-moi, je voulais aller voir Paul et Michel jouer, mais je ne sais même pas où c'est.
- J'allais y aller. Je passe te chercher si tu veux ?
- Super, à tout de suite.
Je file sous la douche, très contente d'avoir pensé à Jeannot.


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Il est plus rapide que je ne m'y attendais et il sonne juste quand je sors de la douche. Je n'ai pas encore choisi mes fringues et je n'ai que le temps de m'enrouler dans une serviette pour aller ouvrir. Je m'amuse à l'exciter et fait saillir mon buste entre mes bras quand je lui ouvre :
- Entre Jeannot.



- Heu... Salut Ninon... Tu n'es pas prête ?
- Si si. Juste le temps d'enfiler une robe.
Le laissant dans le salon, je file dans la chambre et je garde la porte grande ouverte. Je laisse glisser la serviette et commence à enfiler une petite robe bleue, sans rien dessous.


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Jeannot n'en croit pas ses yeux. Et, bien qu'il détourne pudiquement le regard, je le vois jeter régulièrement des regards discrets vers moi. J'ajuste les bretelles et me tourne vers lui :
- Il fait super chaud aujourd'hui, je crois que je ne vais rien mettre dessous...


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- Heu... ça va peut-être poser un problème dans les gradins, non ?
- Bah on verra. S'il y a des pervers qui essayent de regarder sous ma robe, je pourrais tirer un peu dessus, elle est un peu élastique...
Comme je tire sur le bas de la robe, je sens que le haut glisse et libère mes tétons.


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Jeannot en reste béat. Je rajuste précipitamment mon décolleté et tire un peu sur le bas de ma robe :
- Oups, désolée...
Le noir semble très gêné :
- Heu, tu crois que Paul approuvera cette tenue ?
- Paul, il jouera. Moi aussi, je veux m'amuser. On y va ?


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Sans un mot, Jeannot se dirige vers la porte. Je le suis et referme à clé. Dans les escaliers, il se montre gentleman et passe devant moi, sans jamais se retourner. Je le taquine :
- Tu n'aimes pas ma robe ?
- Heu, si pourquoi ?
- Parce que j'ai l'impression que tu détournes le regard...
Nous sortons dans la rue. Puisqu'il a mon autorisation implicite, il commence à prendre le temps de me détailler, en particulier mon décolleté.



- Tu es garé où ?
- Ah mais on y va à pied. Ce n'est pas très loin. Quand on coupe par le chemin qui longe le lac, on met presque autant de temps qu'à y aller en voiture. Il n'y a jamais personne à passer par là. Et comme il fait beau...
- Parfait, ça me va très bien.
Tandis que nous longeons le lac sur le petit chemin, effectivement désert, je lui demande :
- J'ai l'impression que tu aimes bien me voir marcher, non ?
- Oui... Ce sont tes seins qui s'agitent sous ta robe, je trouve ça charmant.
- Tu bandes ?
- Oui...
- Tu me montres ?
- Ok, si tu me montres tes seins.
Sans répondre, je défais quelques boutons au décolleté de ma robe.


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Lui met moins de temps à ouvrir son pantalon pour en extraire son membre tendu :
- Oh, tu sembles bien pressé !
- C'est que je suis un peu à l'étroit...
Quand, il sort sa queue, je comprends mieux : c'est un sexe colossal, long et tendu, qui me fait instantanément mouiller.


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- Mince, je ne m'attendais pas à ce que tu sois si bien monté !
Je termine rapidement de défaire les boutons du haut de ma robe pour enfin dégager mes seins. En les découvrant, il répond :
- Moi, je n'aurais jamais cru que tu puisses être aussi exhibitionniste !
- C'est assez récent et Paul y est pour beaucoup.


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Jeannot semble surpris :
- Paul te demande de t'exhiber comme ça ?
- Oui... et même il me livre souvent à d'autres mecs...
- Tu déconnes ?
- Non. Là, par exemple, je suis certaine que ça l'exciterait de savoir que je t'ai sucé en venant pour le voir jouer.
Le noir reste estomaqué mais je vois à un sursaut de son sexe qu'il n'est pas réfractaire à ma proposition déguisée. Sans un mot, je le rejoins et m'assois devant lui. Je prends son gigantesque sexe en main commence à en sucer le gland.


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Il s'écarte un instant :
- Attends... On fait une connerie, là non ?
Je me redresse et me dépoitraille complètement :
- Ecoute, on est des adultes et si je te dis qu'il n'y a pas de problème, c'est que c'est vrai.


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- Quand même, j'aimerai que Paul me le dise lui-même.
Je termine de retirer ma robe et, totalement nue, je lui réponds :
- Tu veux qu'il soit là pour nous mater pendant que je te suce la queue ? Tu es un pervers toi aussi...


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- Non, ce n'est pas ça.
- Il ne te pétera pas la gueule, si c'est ce que tu crains. Et si tu veux, on peut même garder ça secret.
Je me rapproche de lui et prends son sexe en main pour le masturber.



Il semble se radoucir et devenir raisonnable tandis que ma main coulisse sur son gros dard :
- Elle est si grosse, c'est incroyable une bite pareille !
- Que veux-tu, c'est comme ça pour la plupart des noirs...



Fascinée, je m'agenouille devant lui pour la seconde fois et commence par lui lécher les couilles. Cette fois-ci, il ne me repousse pas. Par contre, il tourne régulièrement la tête de tout bord pour s'assurer que personne ne vient. J'abandonne alors ses couilles et je commence à lécher sa tige en partant de la base, jusqu'au gland frémissant.


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Il m'arrête soudain :
- Attends, quelqu'un vient !
Je n'ose pas lui dire que ça ne me gêne pas du tout car je sens au ton qu'il prend que, lui, ça le gêne beaucoup. Il remballe tant bien que mal son gros engin tandis que je renfile ma robe. Quand le gars passe à notre niveau, il me fait un sourire et un clin d'œil. Dès qu'il est passé, Jeannot me dit en rigolant :
- Ta robe laissait apparaître tes pointes...
- Je sais...


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- On reprend où on en était ?
- Si ça ne te dérange pas, je préférerais qu'on termine dans les vestiaires de la salle de basket. On y sera plus tranquille.
Nous sommes tellement excités lui et moi que nous pressons le pas pour arriver au plus vite. Sans même passer par la salle pour voir où en est l'échauffement ou si le match a commencé, on s'isole dans un vestiaire pour baiser. Dès que la porte est fermée, il se met à poil, exhibant fièrement son sexe colossal.


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Je retire ma robe et lui tourne le dos pour m'appuyer au mur :
- Prends-moi !
Il me rejoint et guide son énorme queue dans ma fente pour me prendre en levrette.



Aussitôt, je me mets à gémir très fort. Le plaisir est déjà là. J'ai tant mouillé auparavant que sa gigantesque tige n'a aucune peine à me pénétrer. Il me prend ainsi pendant quelques minutes. Puis, il me soulève par la taille et, restant planté en moi, il s'assoit sur un banc pour que je continue à le chevaucher.



C'est quand la porte s'entrouvre que je prends conscience qu'il y a plein de sac et de vêtements dans ce vestiaire. C'est le vestiaire des gars de l'équipe adverse et ils reviennent de leur échauffement. Ce ne sont que des noirs. Je reste plantée sur la queue de Jeannot, immobile, pendant qu'ils rentrent, un à un, sans un mot.
- Désolé, messieurs, on pensait que le vestiaire n'était pas occupé...
- Pas de problème mademoiselle. Vous pouvez continuer.
Jeannot, très excité, recommence à me faire monter et descendre sur sa queue. Je suis moi-même partagée entre l'envie de continuer devant tous ces mecs et l'envie de retrouver un endroit plus tranquille. Mais quand les mecs commencent à retirer leurs vêtements et qu'ils apparaissent tous, intégralement nu et, pour la plupart, en érection, l'excitation reprend le dessus.


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Voyant que je recommence à bouger sur la queue de Jeannot, les gars s'approchent. Un gars demande :
- Toutes ces queues en ébène ne te font pas peur, ma jolie ?
- Non, ça m'excite...
J'attrape deux magnifiques sexes dressés qui sont à portée de mains et commencent à les masturber.


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Cela semble être le coup d'envoi. Jeannot continue à faire coulissé son sexe imposant en moi mais je me rends compte que la plupart des mecs ici ont des sexes au moins aussi gros que le sien. Cela ma fait un peu tourner la tête et je commence à ne plus trop réfléchir aux conséquences de tout cela. Un gars vient me fourrer sa queue dans la bouche et je me mets instantanément à la sucer.



Tous viennent à tour de rôle se faire sucer et masturber. C'est incroyable de pouvoir passer d'une bite à l'autre et de sentir tout se potentiel. Seul deux gars restent le retrait. L'un est assis et observe, le sexe à peine gonflé. L'autre est debout et semble attendre qu'une place se libère. Le gars assis dit à celui debout :
- Tu ne veux pas te faire sucer ?
- Non chef, j'attends autre chose...
Je comprends que le gars assis est sans doute le capitaine de l'équipe et que l'autre aimerait plutôt me baiser. En voyant son sexe large et long, je me dis que c'est une excellente idée.


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Je me dégage de Jeannot qui me lance un regard interrogatif assez inquiet. Je lui fais un grand sourire pour le rassurer. Je vais rejoindre le gars debout et lui caresse le sexe :
- Alors ? On ne veut pas de ma bouche ?
- Pas pour le moment. Et tu ne vas pas le regretter.
Il me soulève une jambe et vient planter son dard dans ma fente trempée, me faisant gémir de plaisir.


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Il est plus gros que Jeannot et je sens que l'orgasme ne va pas se faire attendre. Comme il commence à aller et venir en moi, je me mets à crier de plaisir. Me saisissant à la taille, il me soulève et se recule pour s'asseoir sur le banc. Je crie toujours tandis qu'il continue à faire glisser sa longue tige en moi. Je m'affale sur lui et me laisse submerger par le plaisir, terrassée par un puissant premier orgasme.


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Le gars semble résister et continue à me ramoner alors que je me remets difficilement de mon plaisir. Pourtant, ces co-équipiers semblent ne pas vouloir attendre. Alors que j'ouvre la bouche pour prendre une profonde inspiration, un des gars me glisse entre les lèvres son sexe épais et commence à aller et venir dans ma bouche comme s'il s'agissait de mon sexe.



D'autres s'approchent, attendant leurs tours. Un des gars me pose la main sur la nuque et m'attire vers lui, m'obligeant à abandonner le premier pour que je le suce à son tour. Je le suce avec plaisir, lui aussi, et je sens une main derrière moi qui commence à me caresser les fesses. Puis je sens un doigt se glisser dans mon anus. Je me doute bien de ce qui va suivre et je prie le ciel pour que le sexe du gars ne soit pas trop épais.



Quand il appuie son gland sur mon anus, je sens qu'il est loin d'être petit. Il commence à forcer un peu. Une légère douleur, inhibée par le plaisir que me donne l'autre qui me baise, me fait quand même m'avancer pour tenter d'échapper à cette sodomie. Mais le gars sous moi me maintient fermement à la taille pour être sûr que je ne vais pas l'abandonner.


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Je pousse un cri quand le gars, donnant un coup de reins francs, parvient à pénétrer mon cul. Je me rends alors compte que le plus gros est passé et que mon petit trou semble mieux s'accommoder du reste. Je sens maintenant ces deux incroyables sexes bouger en moi et mes cris de douleur deviennent rapidement des gémissements de plaisir. Bien vite, deux gars s'approchent devant moi pour que je les suce, mais je suis trop concentrée sur ce qu'il se passe dans ma croupe et je me contente de les masturber.


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Une voix dans mon dos me fait tourner la tête :
- Allez, chacun votre tour les gars. Préparez-la.
C'est le capitaine de l'équipe. Les deux gars que je branlais s'écartent. Celui qui me sodomisait se retire et un autre vient prendre sa place et m'enfile son dard dans le cul sans ménagement. Le capitaine me regarde, satisfait.


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Celui qui venait de m'enculer fait le tour et je découvre enfin son visage. Mais je ne m'y attarde pas car il me présent son sexe pour que je le suce. Son gland est vraiment énorme et je ne résiste pas au plaisir de la prendre en bouche pour faire tourner ma langue autour.


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Celui qui baise ma chatte ne semble pas vouloir laisser sa place et bouge à peine, se contentant des assauts de ses compagnons dans mon cul. Je ne saurais dire combien de bites viennent visiter mon cul, mais je suis certaine que même Jeannot y est passé. Certains y reviennent, d'autres restent un peu plus longtemps, mais personne n'éjacule. Au bout de dix minutes, un nouvel orgasme me gagne alors qu'un nouveau pieu me pilonne la croupe.



Quand je me remets de ce nouveau plaisir intense. Je me rends compte que mon cul est libre. Le gars qui me baise me soulève alors pour me dégager. Je tiens à peine debout. Deux gars me font pivoter vers leur capitaine. Je me rends alors compte qu'il bande désormais et pas qu'un peu ! C'est une véritable colonne de chair noire qu'il me présente. Jamais je n'avais vu une queue aussi grosse et longue.


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Il me sourit :
- Approche ma jolie, tu n'as pas encore goûté celle-ci.
Je suis un peu effrayée, ne sachant même pas si ma bouche peu s'ouvrir suffisamment pour accueillir un tel monstre. Je me penche sur l'énorme gland et me décroche presque la mâchoire pour pouvoir l'engloutir.



Il me relève la tête et dit :
- Ta bouche est un peu juste... Voyons voir si mes gars t'ont bien préparée.
Je comprends qu'il s'agit de mon cul et prends peur. Mais deux gars costaud m'attrape par les épaules et me soulève du sol. Ils me retournent et, l'instant d'après, je sens le gland que je venais de sucer appuyer contre mon anus. Il suffit aux deux gars de me lâcher pour que je m'empale, finalement sans douleur, sur cette bite colossale.


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J'hurle de plaisir tant cette queue me remplit divinement bien. Je suis si écartelée que je sens que ma chatte est béante. Jeannot s'approche et vient plonger son sexe dans ma fente. C'est un délice et je sens un nouvelle orgasme arriver. Mes gémissements sont soudain étouffés par une queue que l'on me présente pour une fellation.


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Je ne la suce que quelques secondes avant de succomber à un terrible orgasme, le troisième. Mon corps est pris de convulsions incroyables, telles que je n'en avais jamais eues auparavant. Épuisée, je me laisse tomber sur le côté. Jeannot qui n'avait pas assuré sa prise, se retrouve éjecté de ma chatte tandis que le capitaine continue à le ramoner la rondelle.


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Me faisant glisser sur le dos, il se redresse et vient se mettre debout entre mes cuisses écartées. Lentement, il sort son interminable queue. Puis, il la plonge dans ma chatte. Il alterne ainsi en accélérant la cadence. Après deux minutes absolument divines durant lesquelles je ne sais plus vraiment si mon orgasme se prolonge ou s'il s'agit d'autres orgasmes, le capitaine se met à râler. Il sort sa queue et se met à éjaculer en guidant chacun de ses jets de sperme, soit sur ma fente, soit sur mon cul.



A peine a-t-il finit de jouir qu'il replonge à nouveau dans ma fente béante et couverte de sa semence poisseuse. Malgré son éjaculation, il ne semble pas vouloir débander. Je sens encore la totalité de sa virilité investir mon ventre. Il se redresse alors, pliant son sexe en moi. J'imagine cette position peu confortable pour lui, mais pour ma part, cela lui fait frotter sa colonne de chair contre mon petit clitoris.


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Il me donne un nouvelle orgasme mais moins intense que le précédent. Je me demande s'il va jouir à nouveau. Ma fente est en feu et je suis épuisée. Je le repousse :
- Je n'en peux plus...
- Tu as aimé ?
- oh oui...
Je saisis la tige d'ébène pour l'extraire lentement de ma chatte.


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Dès qu'il se retire, Jeannot s'approche entre mes cuisses. Le capitaine l'arrête d'abord puis murmure :
- Ok, mais parce que c'est toi qui nous a amené cette perle.
Jeannot glisse en moi son sexe turgescent qui désormais me semble nettement moins imposant. Le capitaine dit alors :
- Les gars, la demoiselle est épuisée. Il faut finir.
Les gars s'approchent. Je crois comprendre comment ils envisagent la fin. J'attrape deux queues pour les branler.



On me fourre soudain une queue palpitante entre mes lèvres. Je n'ai pas le temps de réagir que je sens déjà la chaude semence envahir ma bouche. Je dois avaler au fur et à mesure pour ne pas étouffer. Le capitaine réagit aussitôt :
- Hey ! Laissez la respirer quand même !
Les autres mecs n'osent pas jouir dans ma bouche, le suivant se contente de m'éjaculer au visage.



Les uns après les autres, ils s'approchent en s'astiquant le manche. Le sperme jaillit un nombre incalculable de fois. Dans un état second, je sens Jeannot jouir en moi, entre deux éjaculations faciales. Je ne compte plus combien de bites sont venues répandre leur semence sur mon visage, mais je me dis que je m'en tire bien avec une simple équipe de basket plutôt qu'une équipe de rugby.


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Je suis épuisée et le visage couvert de sperme. Je sens une partie des filets de semence me couler entre les lèvres. Je me lève, titubante. Deux gars me retiennent. La plupart sont sous la douche. Jeannot, lui, s'est rhabillé et me fait un grand sourire avant de quitter la pièce. Au moment où il ouvre la porte, Paul passe dans le couloir et reste stupéfait devant le spectacle qu'il découvre :
- Ninon ???
- Je suis venue te voir jouer... mais je me suis trompée de vestiaire. Le match est fini ?
- Non... On a finit les échauffements il y a une demi-heure et on attendait justement l'autre équipe.
- Je crois que je les ai mis en retard.


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Dix minutes plus tard après une douche rapide, je suis dans les gradins à regarder le match. Paul n'est pas au mieux de sa forme mais l'équipe adverse est très largement dominée. Il faut croire que j'ai puisé à moi toute seule toutes les ressources vitales de l'équipe. Pour donner du courage à Paul, je soulève ma robe à chaque fois qu'il regarde dans la direction, parfois jusqu'au-dessus des seins.



Et tant pis s'il n'est pas le seul à en profiter...


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