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Queue à volonté (1/3) Il m'avait proposé de prendre possession de sa queue, de décider quand il devrait se branler, combien de fois, en pensant à qui... Tout un programme. Plutôt que de faire ça par messagerie interposée, je me suis dit qu'il serait plus amusant de venir le rencontrer pour apprivoiser cette queue qu'il me proposait de contrôler. L'idée lui plut. Il me donna donc rendez-vous dans sa ville. Il choisit un parc au sud de la ville où se situe l'université, non loin d'une sortie d'autoroute. Le rendez-vous était devant le restaurant universitaire. J'arrivai un peu en avance et vis quelques charmants jeunes hommes en sortir. Ils me portèrent tous une attention particulière, je pense à cause de la robe moulante que je portais sans rien dessous. On ne s'était pas vraiment donné un signe de reconnaissance lui et moi mais ma tenue dut l'aider à me reconnaître. Je l'entendis m'interpeller derrière moi : - Lisa ? ![]() Je tournai la tête : - Tu m'as reconnue ? - J'ai reconnu ta tenue... - Tu trouves ma robe trop vulgaire ? Je tournai sur moi-même et fit quelques pas pour qu'il en profite bien. ![]() images similaires - Oh non. Tu es très élégante. - Tu bandes ? - Tu ne perds pas de temps... - Tu m'as dit que je décidais de ce que je faisais de ta queue. Alors je te préviens tout de suite que ça risque d'être fatiguant pour elle... Il rigola. Je regardai tout autour : - Sympa comme cadre pour étudier, une fac au milieu d'une forêt ! - C'est la fac de Sciences. La mienne est plus bas. Je t'ai fait venir car les arbres offrent la possibilité d'une certaine discrétion... - La discrétion, ce n'est pas vraiment mon truc, tu sais... Je tournai et me cambrai en tirant sur le tissu de la robe de manière à ce que les mailles écartées lui révèlent mes fesses nues en dessous. ![]() Il semblait intimidé mais me murmura : - Tu as gagné. Je bande. - Super, fais-moi voir ça ! - Enfonçons-nous un peu dans le parc... - Tu ne joues pas le jeu. Je croyais avoir tout pouvoir sur ta queue ? - Patience, tu vas en profiter. Je le précédai sous les arbres. Il est vrai que c'était moins grand qu'il n'y paraissait et que les arbres offraient une intimité très relative. Dès qu'il estima qu'on était assez loin de la route, il me fit arrêter et m'embrassa. ![]() images similaires Il embrassait très bien, mais ce qui m'intéressait surtout, c'était la bosse impressionnante qui tendait son pantalon. Nos bouches se séparèrent : - Attention, je ne viens pas chercher un petit ami. Rappelle-toi que je viens uniquement pour m'amuser avec ta queue. - C'est noté. - Tu me la montres ? - Ok, mais tu me montres tes seins et ta moule en échange. Je ne voyais pas d'objection à m'exhiber un peu, surtout si cela pouvait le faire bander encore plus. Je dégageai donc ma poitrine hors du décolleté et je soulevais le bas de ma robe pour lui exposer mon entrejambe nu. ![]() images similaires Il semblait subjugué : - Incroyable. Tu es magnifique. - Tu sais que j'ai quand même presque dix ans de plus que toi ? - Oui, mais tu ne les fais pas et tu es surtout très expérimentée ! Il sortit son sexe tendu. Impressionnant ! ![]() - En matière de sexe, je suis effectivement expérimentée et je peux te dire que le tien est impressionnant. Il semblait très fier de mon compliment. Il attendait : - Alors ? Tu veux que je me branle ? - Tu as envie ? - La queue à l'air face à une superbe fille presque à poil, ce serait difficile de ne pas avoir envie... - "Presque à poil" ? Oups, désolée, je vais arranger cela. Il eut un air ahuri en me voyant retirer ma robe et m'afficher totalement nue dehors. ![]() images similaires - Allez, toi aussi, à poil ! - J'aimerais autant pas... Il reste encore les rattrapages et tous les étudiants ne sont pas partis en vacances... - Ne t'inquiète pas, de la rue, personne ne pourra te reconnaître et si quelqu'un s'approche trop près, on aura le temps de réagir. Comme il semblait un peu frileux, je pris les choses en main et le débarrassai de sa chemise et de son pantalon. Dès qu'il fut nu, je saisis sa longue tige pour la masturber. Il commença à se détendre : - Ok, alors donc tu me branles en forêt, juste derrière le restaurant universitaire ? ![]() images similaires - Oui, pour me familiariser avec la bête. Mais elle semble très sauvage, et pour la domestiquer je vais devoir avoir une conversation sérieuse avec elle. Il comprit bien ce que je suggérais et il ne montra aucune résistance quand je me mis à genoux pour commencer à lui pomper le gland. Sa queue était vraiment plus imposante que la moyenne et c'était déjà un plaisir de l'avoir entre mes lèvres et de faire tourner ma langue autour. ![]() images similaires Après une ou deux minutes, sa respiration était plus courte et il me mit en garde : - Attention, si tu y mets trop de bonne volonté, tu risques de me faire jouir très vite... Mon objectif n'était pas de lui donner l'orgasme de sa vie. Je pouvais disposer de sa queue comme je l'entendais et j'entendais bien la faire éjaculer aussi souvent que possible. Je poursuivis donc ma fellation avec d'autant plus d'ardeur. Il se mit à râler. Ses couilles se contractèrent. J'arrêtai de le sucer et ouvris grand la bouche. Il saisit son sexe et dirigea alors un flot de sperme dans ma bouche. ![]() Cela vint d'un coup et je ne pus tout avaler, laissant une partie de sa semence retomber entre mes cuisses, sur le tapis de mousse et de feuilles mortes. Quand il eut fini et que j'eus avalé ce qu'il m'avait livré, il me poussa un profond soupir : - Je crois que c'est la première fois que j'éjacule dehors... - J'espère te faire découvrir d'autres cet après-midi "premières fois" ! Je repris son sexe en bouche pour le nettoyer avant qu'il ne se rajuste. ![]() images similaires Une fois sa queue bien propre, je m'essuyai la bouche du revers de la main et je léchai celui-ci pour en nettoyer toute trace de sperme. Je repris ma robe et le renfilai. Il se moqua de moi : - Tu remets ta robe ? - Ne t'inquiète pas, je ne la remets que pour éviter qu'on appelle la police pour attentat à la pudeur... Mais je ne vais pas la garder toute la journée ! ![]() images similaires - On fait quoi maintenant ? demanda-t-il. - Tu m'as dit que ta fac était plus bas. Tu me la montres et ensuite on ira chez toi, OK ? - OK, mais il faut y aller en voiture. - Je suis garée à côté. Je t'emmène. On rejoignit donc ma voiture et je m'installai au volant. Il s'étonna que j'attende : - Tu ne démarres pas ? - Si, mais avant, puisque la voiture t'offre un cadre un peu intime, je veux que tu sortes ta queue. Il accepta mais vérifia tout autour de lui avant d'ouvrir son pantalon et d'extraire son sexe. Je fus ébahie : - Hey ! Tu bandes encore ? ![]() images similaires - C'est un peu ta faute... Je démarrai. La bite à l'air, il m'indiquait la route à suivre pour rejoindre la fac de Droit. Quand ma main droite n'était pas sur le levier de vitesse, elle masturbait amoureusement la tige turgescente. ![]() images similaires Il en avait profiter pour retrousser ma robe très haut sur mes cuisses mais quand ses doigts commencèrent à chercher à s'immiscer dans ma fente humide, je lui écartai la main : - Laisse-moi me concentrer sur la route... Il ne protesta pas et se consola en dégageant de la robe mon sein droit. ![]() Arrivant à un feu où il y avait quelques voitures, il me dit : - Tu peux te rajuster, si tu veux... Je me moquai de lui : - Oh ? C'est gentil de me laisser le choix. Et au lieu de me rajuster, j'exhibai mon autre sein. ![]() images similaires Cette exhibition sembla l'exciter énormément. Le pauvre était manifestement au bord de l'éjaculation. Le feu passa au vert mais, comme il n'y avait personne derrière nous, je me concentrai sur ma branlette jusqu'à ce que son sperme jaillisse à nouveau, s'échappant lentement et s'écoulant sur ma main. ![]() - Zut, tu as la bite toute sale... - C'est pas grave. Il se contorsionna pour tenter d'extraire un paquet de mouchoirs de sa poche mais je fus plus rapide que lui. Je me penchai pour le prendre en bouche, le pomper et le lécher jusqu'à ce qu'il n'y ait plus une goutte de sperme. Le coquin en profitait pour me peloter les seins. ![]() images similaires Il bandait toujours énormément et je me demandai si je pouvais le faire éjaculer si je prolongeai encore ma fellation. Il dut lire dans mes pensées et me dit : - Tu vas me tuer si tu me fais enchaîner les éjaculations à ce rythme ! Je n'ai pas débandé depuis que je t'ai retrouvé... On sursauta alors tous les deux car un type frappait au carreau côté passager. Ce devait être un automobiliste coincé derrière nous. En découvrant ce que nous faisions, il sembla décontenancé et n'osa plus rien dire. Je lui fis un grand sourire : - C'est bon ! Je viens de finir. On y va. ![]() images similaires Mon partenaire remballa aussi vite que possible son matériel bien que cela fut compliqué vu qu'il n'avait toujours pas débandé. Le gars se mit quand même à nous hurler dessus : - Faites ça chez vous au lieu de faire chier le monde ! Toujours souriante, je me redressai, les seins toujours hors de la robe. Le type ouvrit de grands yeux en découvrant ma poitrine nue et semblait déjà nettement moins pressé de remonter dans sa voiture. ![]() Je redémarrai et traversai le carrefour alors que le feu passait à l'orange, laissant notre importun coincé quelques minutes de plus. Engagée dans une petite rue qui descendait, je me garai dès que possible sur une place le long du trottoir. Mon passager m'interrogea : - Un problème ? - Oui, je fais l'effort de garder mes nichons à l'air alors je trouverai sympa que tu me laisses profiter un peu de ta queue, surtout que c'est pour ça que tu m'as fait venir. ![]() images similaires Après un regard appuyer sur mes seins, cherchant peut-être un argument pour se défiler, il dut bien se résoudre à me sortir à nouveau son sexe : - C'est fou ! Tu ne débandes jamais ? - Avec une fille qui a les nichons à l'air en permanence juste à côté de moi ? Excuse-moi, mais c'est un peu difficile... C'était très excitant de me dire que je l'avais à ma merci et que j'allais faire encore éjaculer ce sexe un nombre incalculable de fois. ![]() Comme je regardais son sexe amoureusement, il me dit : - Bon, tu redémarres ou tu me suces ? - Si tu me prends par les sentiments... Je me penchai à nouveau et saisis la tige pour guider vers ma bouche le gland tendu. ![]() images similaires Après une minute de savantes caresses buccales, il se mit à râler. Je me dégageai pour regarder le sperme gicler. Mais quand ça commença à sortir, je fus un peu déçue car ça ne produisit pas les jets puissants que j'espérais : - Serre la base ! - Quoi ? Il tenait son sexe tandis que le sperme sortait lentement et il mit quelques secondes à comprendre. ![]() images similaires Enfin il serra la base de sa verge et le sperme cessa de s'écouler. Le regard un peu ahuri, il tourna la tête vers moi : - Pourquoi ? - C'est sans doute trop tard, mais quand on entretient la pression, ça gicle fort et moi ça me fait mouiller... Mais là c'est sans doute trop tard... Je me penchai au-dessus de sa queue et il relâcha la pression. Malgré mes doutes, une puissante giclée de sperme jaillit et vint s'écraser sur mon front. Je me redressai, surprise. ![]() images similaires - Mince, ça marche ! Je suis désolé Lisa... Je ne pensais pas... - Ne t'inquiète pas. C'était une belle giclée et c'est ce que je voulais voir finalement. Il me tendit des mouchoirs en papier pour que je m'essuie le visage. Je rajustai ma robe et redémarrai. Mon passager débandait enfin un peu et put remettre son pantalon. Une fois arrivé dans un quartier neuf avec plein de bureaux et de logements, il me guida pour que je me gare sur un grand parking derrière les bâtiments de sa fac. - Tu me fais visiter ? - Tu sais, les examens sont passés, il n'y a presque plus personne et la plupart des salles sont fermées. - Ok, mais on peut faire le tour quand même ? Voyant mon pas décidé, il fut contraint de m'accompagner. ![]() images similaires Nous nous engageâmes dans une large allée encadrée par les salles de cours d'un côté et la bibliothèque universitaire de l'autre. EN ce début d'après-midi, il n'y avait effectivement pas un chat : - Bon, c'est pas ici que je vais faire de l'exhibition... - Bah si. Mais juste pour moi ! Je m'arrêtai devant lui et me penchai en avant, faisant mine de relacer ma chaussure mais exhibant surtout ma moule sous ma petite robe retroussée. Il s'arrêta : - Merci ! ![]() images similaires Je me redressai en rigolant : - Ne me remercie pas... Par contre, moi, je veux que tu te branles. - Ici ? - Oui, il n'y a personne. - Mais peut-être dans les salles ? - Tu m'as dit que c'était les vacances et que les salles étaient fermées. - Ouais, mais je connais quand même un peu de monde ici, on ne sait jamais. Pensant répondre à mon attente, il déboutonna son pantalon et mit sa main dedans pour se masturber. ![]() images similaires - Tu te fous de moi ? - Non, mais franchement, ça me gêne de faire ça ici. Des étudiants que je croise, ou mes profs, pourraient me surprendre... - Pffff, tu n'es pas très exhibe, toi, hein ! Pour le motiver, je soulevai ma robe et dévoilai ma moule fraîchement épilée. ![]() images similaires Il ouvrit encore de grands yeux ronds. Je me moquai de lui, encore : - Alors tu vois, personne ne me voit à part toi. - C'est facile pour toi, personne ne te connaît ici ! - Je vois, monsieur en veux davantage ? Je remontai alors ma robe carrément au-dessus de mes seins. ![]() images similaires Là, il fut pris d'un dilemme certain. D'un côté, sa pudeur lui commandait de ne pas s'exhiber dans ce lieu trop familier et, d'un autre côté, ma nudité lui donnait une folle envie de se masturber. Il prit le temps de regarder tout autour plusieurs fois avant de se décider à sortir enfin son magnifique sexe. ![]() J'étais très fière de lui avoir fait passer ce cap. Je remis ma robe en place et, comme il s'apprêtait à remballer son engin, je l'arrêtai : - Non ! Garde la sortie et approche. Je m'accroupis le long du bâtiment, cuisses écartées pour lui exhiber ma moule nue. ![]() images similaires Comme il semblait hésiter, je lui dis : - Je veux te sucer... - Encore ? Il faisait celui qui était blasé mais il ne me fit pas attendre et me laissa engloutir son sexe pour le sucer. ![]() Pendant que je le suçais, il émit une réserve : - Avec tout ce que j'ai déjà sorti, je crois que mes couilles sont totalement vides... Je savais que ce n'était pas le cas et quand je parvins à le mener enfin à l'éjaculation, je fus même ravi de voir qu'il avait retenu la précédente leçon. Il enserra la base de son sexe au moment de jouir et relâcha d'un coup la pression, m'envoyant au fond de la gorge un puissant jet de sperme épais. ![]() Il resserra à nouveau aussitôt pour bloquer la suite mais comme il n'y avait presque plus rien, le reste retomba lamentablement sur le sol. Je mis ma bouche contre son gland pour le sucer. En reprenant son souffle, il me dit : - Tu as tout eu, inutile d'en attendre plus. Il avait raison et dans ma précipitation à tenter de le pomper pour avoir les dernières gouttes, je perdis un peu du sperme que j'avais gardé en bouche. ![]() images similaires Je me redressai et il se rajusta : - Tu es insatiable ! - Tu m'as donné une mission. Je la mènerais à bien, je te le jure. IL regarda tout autour de nous pour s'assurer que personne ne nous avait vu, puis il me demanda : - Et maintenant ? - Maintenant, on va chez toi, car moi aussi j'ai besoin de jouir... - Mon studio n'est pas très loin. On marcha vite, pressés lui et moi de découvrir la suite de notre rencontre. Il poussa la porte d'un petit immeuble. Il y avait un escalier à monter. Je passai devant lui, m'amusant à exhiber mes fesses sous son nez. ![]() images similaires - Tu bandes ? - Evidemment ! Tu me mets ton cul sous les yeux ! - Alors prends-moi en levrette. - Là ? Dans les escaliers ? - Oui... Je retirai ma robe et me mis à quatre pattes sur les marches, écartant les lèvres de ma moule pour lui montrer qu'il n'avait pas le choix. ![]() images similaires Il resta en arrêt quelques secondes, semblant profiter du spectacle : - Putain, tu as un cul à se damner ! Il s'agenouilla alors derrière moi mais ce ne fut pas pour me planter son sexe dans la fente, mais seulement le majeur. Je fus surtout surprise par sa langue qui vint lécher mon anus. ![]() Il se débrouillait bien, le bougre, et je sentais la cyprine couler de ma chatte : - Mmmmm, je crois que je suis prête, regarde... Écartant les cuisses, je lui montrais ma chatte humide. ![]() images similaires Aussitôt, il s'assit sur la marche en dessous et plongea son visage entre mes cuisses. Sa langue vint lécher ma fente. Il semblait se délecter de ce nectar mais moi je n'en pouvais plus : - Oooooh... Pourquoi tu ne me prends pas ? Tu ne bandes pas ? ![]() images similaires Il abandonna ma fente et se releva : - Je te prépare pour la suite... Et quand à savoir mon état, je pense que tu le sais parfaitement. Il se redressa et se débarrassa de son pantalon, exhibant sa queue fièrement tendue. ![]() Sa queue me fascinait : - Mets-la moi ! - Tu le mérites ? Le salaud me faisait attendre. Impatiente, je saisis son sexe et le guidai entre mes cuisses : - Je dispose de ta queue comme je l'entends ! ![]() images similaires Dès qu'il fut en moi, il sembla ne pas le regretter. Il allait et venait lentement, voulant sans doute faire durer le plaisir. Je pense que, après avoir déjà éjaculé quatre fois, essentiellement dans ma bouche et sur mes mains, il devait s'estimer heureux de pouvoir enfin me baiser. ![]() images similaires Je gémissais de plus en plus. Moi je n'avais pas encore joui et je dois avouer que de pouvoir faire ce que je veux de cette belle queue m'avait quand même excitée au plus haut point. L'orgasme approchait et les doigts de mon amant qui jouaient avec mon clitoris ne risquaient pas de le ralentir. ![]() images similaires Haletant, il me murmura à l'oreille : - Je peux jouir en toi ? - Vas-y ! Ouiiiiiiiii ! Je succombais à l'orgasme et je sentais qu'il venait lui aussi. J'étais dans un état second quand il se déversa en moi. Une fois son éjaculation terminée, il se retira lentement. Sa grosse queue laissait ma chatte béante et le sperme de mon amant s'en échappait. ![]() On se rhabilla et on reprit notre ascension : - Tu es à quel étage ? - Celui du dessous mais c'était si bon de mater ton cul que je t'ai laisser monter un étage de plus ! Nous rigolâmes de sa plaisanterie et redescendîmes pour enfin arriver à son studio. |