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Lisa
15 juin 2017
Queue à volonté (2/3)


Une fois devant la porte, il sortit un trousseau avec trois clés. Il en essaya deux avant de trouver la bonne. Je me moquai de lui :
- Je te trouble tant que ça pour que tu ne saches plus quelle est la bonne clé ?
- Non... C'est parce que c'est l'appart' d'un pote. Il m'a laissé les clés.
Il ouvrit la porte et nous entrâmes. Le studio de son copain était assez grand et plutôt bien meublé. Il y avait un grand séjour avec canapés et table basse et la porte de la chambre ouverte laissait voir un grand lit :
- C'est chouette. Mais apparemment, il n'y a pas la clim'...
Il s'approcha de moi et attrapa le bas de ma robe pour la soulever et la passer par-dessus ma tête.
- Voilà, Lisa. Tu devrais avoir moins chaud...


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- Et toi, tu n'as pas trop chaud ?
- Si, c'est vrai.
Il retira sa chemise et commença à déboutonner son pantalon. Sa queue, énorme, semblait ravie d'être enfin libre.


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Je m'approchai de lui et saisis son sexe tendu :
- Tu me fais visiter ?
- Ok. On commence par quoi ?
- Le canapé, ça te va ?
Nos visages étaient très proches et il me caressait les seins tandis que je le masturbais en lui caressant les couilles.


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Comme il ne bougeait pas, ne voulant sans doute pas que je m'arrête, je le guidai petit à petit jusqu'à un des deux canapés sans m'arrêter de le masturber :
- Tu crois qu'on va avoir moins chaud ?
- C'est pas sûr mais ça mérite d'essayer.
Il s'assit et je vins m'agenouiller entre ses cuisses pour continuer à le branler.


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Il bandait déjà très bien et je décidai de ne pas attendre. Je me relevai pour le chevaucher en lui tournant le dos. Me prenant à la taille, il me guida sur sa queue dressée et enfonça son gland dans ma fente trempée de cyprine :
- Aaaaah ! C'est bon !
Il me faisait monter et descendre sur sa tige avec aisance, me faisant déjà gémir de plaisir.


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Une grande fenêtre nous faisait face sur le mur et il y avait deux gars qui nous observaient depuis l'appartement d'en face. Ils semblaient trouver très amusant de pouvoir voir cela. Je ne dis rien à mon amant de peur qu'il ne se montre pudique et nous continuâmes à faire l'amour. Après quelques minutes, je sentis l'orgasme monter. Mon partenaire aussi semblait proche de venir. Tandis que je goûtais pleinement mon plaisir, il me souleva pour ne laisser que son gland en moi et me maintint ainsi alors qu'il éjaculait à nouveau.


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Il râlait de plaisir :
- Oh Lisa ! Quel pied !
Quand il eut fini, je me relevai lentement en gardant les cuisses bien écartées. Dès que son gland fut hors de ma moule, le sperme se mit à s'écouler. Je me dis que cela devait être un spectacle sympathique pour les deux voyeurs d'en-face.


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Je me retournai pour voir la tête de mon amant. Il rayonnait. J'hésitai à lui dire pour les deux voyeurs mais je me dis que ce n'était pas utile. J'allais me relever quand il appuya sur mes cuisses pour m'empaler à nouveau sur son sexe dégoulinant de sperme :
- Tu veux déjà remettre ça ?
- Oui ! Je me sens prêt à baiser jusqu'à demain matin.
- On ne tiendra pas à ce rythme...
Il sembla se résigner et me souleva à nouveau pour me dégager.


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Je pris un mouchoir en papier et je m'essuyais l'entrejambe. Il fit de même. Puis il me regarda fait le tour du studio. Je m'arrêtai à la porte de la chambre :
- Tu me fais visiter la chambre ?
- La pause a été suffisamment longue tu penses ?
- Je n'en sais rien, il faut essayer pour voir...


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Il me fit un grand sourire et se leva pour me rejoindre. Il paraissait quand même un peu embarrasser :
- Quand même, ça me gêne de faire ça dans la chambre de mon pote...
- Pourquoi ? Son lit est très confortable, tu sais ?
Je m'y assis, cuisses écartées et torse bombé.


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- Quelle tentatrice tu fais !
Je m'allongeai sur le lit, cuisses écartées. Mon bel amant recommençait à bander sérieusement. J'étais assez fière de moi. Quand il fut entre mes cuisses, je saisis sa grosse queue et je la guidai dans ma fente.


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Il plongea en moi et commença à aller et venir :
- Je ne sais même plus combien de fois j'ai éjaculé ! Tu es sacrément douée, Lisa !
- Tais-toi et baise-moi...


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- Compte sur moi !
Me relevant alors encore plus les cuisses, il se pencha en avant et se mit à accélérer la cadence. Je gémissais de plus en plus. Si lui se demandait combien de fois il allait pouvoir encore éjaculer, j'en étais aussi à me demander combien d'orgasme il allait pouvoir me donner. Mon troisième orgasme ne fut pas long à arriver. Il ne fut pas le plus intense mais restait encore délicieux.


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Mon amant sembla vouloir attendre que je me remette de ma jouissance pour jouir à son tour. Quand je rouvris les yeux, il se retira lentement de moi et resta au-dessus de mon ventre à se masturber lentement :
- Tu aimes voir quand ça gicle ?
- Oui... mais tu crois que tu as encore du sperme ?
- On va bien voir... Aaaaah ! ça vient...
Un premier jet de sperme vint s'écraser sur mon ventre, suivi de quelques autres.



J'étais impressionnée qu'il puisse encore avoir de la réserve dans les couilles :
- C'est fou que ton sperme se régénère aussi vite !
- Oui... C'est quoi ton objectif ? Réussir à me vider les couilles jusqu'à la dernière goutte ?
- C'est tentant...


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Je restai allongée et c'est lui qui alla me chercher des mouchoirs en papier pour l'essuyer le ventre. Je me relevai :
- Alors, tu as préféré le séjour ou la chambre ?
- Dans le séjour tu semblais plus excité, mais j'ai bien aimé te faire l'amour allongé, pouvoir voir tes seins bouger.
- Ok, alors je vais essayer allongée dans le séjour.
Je retournai dans le séjour et m'allongeai sur le canapé, cuisses écartées.


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Il n'avait pas besoin d'un dessin. Par contre, il avait débandé et ne semblait pas en mesure de pouvoir m'honorer tout de suite. En vrai gentleman, il me fit patienter de la plus sympathique des manières : il se pencha entre mes cuisses et commença à me lécher la moule. Je gémissais déjà et je sentais que je mouillais à nouveau abondamment.


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Le bougre s'y prenait très bien et je me demandai s'il n'allait pas tenter de me faire jouir avec sa langue. J'avais envie de sa queue mais il avait peut-être besoin de souffler un peu. Je me contentai donc de sa langue et je en refusai pas quand il commença à me masturber avec son index tout en me léchant le clitoris.



Après deux ou trois minutes de ce divin cunnilingus, il m'abandonna et se releva. Je constatai qu'il bandait à nouveau :
- Je crois que tu es prêt...
- Je suis certain que tu es prête.
Me relevant une jambe, il guida son long sexe dans ma fente et en profita pour me caresser les seins.


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A nouveau, il me baisait divinement. Tout en allant et venant en moi, il ne put s'empêcher de faire des commentaires :
- J'avais jamais rencontré une fille aussi assoiffée de sexe que toi !
Je ne répondis pas, me concentrant surtout sur mon plaisir.


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Je commençais à être épuisée et l'orgasme qu'il me donna fut bref et léger. J'avais la moule en feu et je me dis qu'il allait me falloir une pause. Lui ne semblait pas encore au bout de ses ressources. Comme tout à l'heure, il n'éjacula pas en moi : il sortit et se branla jusqu'à ce que sa semence épaisse gicle et vienne maculer mon ventre et mes cuisses.



Gentiment, il m'essuya à nouveau. Il m'aurait fallu une bonne douche pour supprimer la forte odeur de sperme mais je me disais qu'on en avait pas encore terminé lui et moi. J'étais affalée au pied du canapé quand on frappa à la porte. Je ne bougeai pas mais mon amant semblait paniqué. Il remit précipitamment son pantalon pour aller entrouvrir la porte. J'entendis la conversation :
- Arthur, Simon ? Qu'est-ce que vous foutez là ?
- Bah on t'a vu par la fenêtre avec cette fille, depuis l'immeuble en face... On se disait que tu voudrais peut-être nous la présenter ?
- Dégagez, c'est pas le moment...
J'intervins :
- Laisse-les rentrer. J'ai envie de faire la connaissance de tes amis...


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Il hésita mais, en me voyant lui faire un clin d'œil, il se décida à ouvrir :
- Ok, je vous la présente et après vous vous cassez !
Je reconnu les deux voyeurs de l'immeuble d'en-face. Les deux gars semblaient ravis de pouvoir me contempler de plus près. L'un des deux, Arthur, je crois, tenta sa chance :
- Il fait super chaud, ici !
Je pris la balle au bond :
- Pas de clim', obligés de se mettre à poil. Allez-y les gars, retirez vos vêtements, vous aussi. Vous aurez moins chaud.
Un peu intimidés mais, semble-t-il, très désireux de profiter un peu de ma présence, ils commencèrent à se déshabiller.


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Les deux gars s'installèrent sur le second canapé, tous les deux en érection. Je me remis moi aussi sur l'autre canapé, sans montrer la moindre pudeur. Notre hôte, lui, semblait très embarrassé et n'avait pas retiré son pantalon. Je lui fis un sourire :
- Ils sont gentils, tes copains. Tu leur sers à boire ?
- Non, non, ça ira, on peut juste se contenter de faire connaissance.
- Ah ? Et que veux-tu connaître ?
- Ta bouche ?
Son sexe était tendu à l'extrême et je me demandais s'il me proposait de l'embrasser ou de lui sucer la bite.


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Je me levai et m'approchai de lui. Au moment où je me penchais vers son visage pour l'embrasser, il se laissa tomber en arrière dans le canapé pour me laisser face à son sexe tendu. Il se fit gronder :
- Simon !
- Laisse, c'est dans la nature des Simon d'être coquins...
Je me penchai donc sur le sexe tendu et posai mes lèvres sur le gland.


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Maintenant, les trois garçons savaient ce que voulait dire "faire connaissance". Je me mis à lui sucer le gland tout en lui massant les couilles. Simon regardait ses copains comme s'il ne croyait pas ce qui lui arrivait.
- Elle s'appelle Lisa et tient un site web où on peut raconter ses fantasmes ou des histoires de cul qui nous sont arrivés... Disons qu'elle se donne de la matière...
Je trouvais sympathique la description qu'il faisait de moi même si je sentais une pointe d'agacement. Cela ne m'empêcha ^pas de sucer son copain.


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Le pauvre ne devait pas avoir l'habitude. Après deux malheureuses petites minutes, il se tendit d'un coup. Je me redressai :
- Hey ! Il faut te retenir, je viens à peine de commencer !
- Trop... tard !
Effectivement, il était en train d'éjaculer et son sperme s'écoulait lentement sur mes doigts tandis que je continuais à le masturber.


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Je le grondai :
- C'est pas sympa. Je voulais que tu jouisses dans ma bouche !
- Désolé...
Il semblait sincèrement regretter. Je me penchai alors sur sa tige encore raide et je me badigeonnai tout le tour de la bouche avec sa semence visqueuse pour faire comme s'il avait éjaculé sur le bas de mon visage.


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Je me redressai ensuite et, me tournant vers lui, je me mis à me lécher les lèvres, à m'essuyer avec l'index et à avaler au fur et à mesure le sperme. Une fois le visage à peu près propre, j'eus la surprise de constater que l'autre gars, Arthur, était debout à côté de moi et me présentait son érection :
- Si tu veux, moi je veux bien jouir dans ta bouche.



- Non. Toi, je veux que tu éjacules sur mon visage. Tu crois que tu y arriveras ?
- Je ne l'ai jamais fait, mais je ferai de mon mieux.
Je me mis à genoux devant lui et commençai à le sucer.


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Il était clair qu'il n'avait pas non plus l'habitude et je me menai au bout en moins de trois minutes. La position était en revanche idéale et il ne risquait pas de rater son coup. Quand je le sentis bien mûr, j'arrêtai ma fellation et le laissai se masturber au-dessus de mon visage. Le sperme, épais, se mit à s'écouler et vint s'écraser sur mon visage.


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Dès qu'il eut terminé, je le repris en bouche pour lui pomper les dernières gouttes. Arthur se tourna vers son copain :
- Tu l'as rencontré où ?
- On échange sur son site.
- Tu nous donneras l'adresse ?
- Dans tes rêves !
- T'inquiète. On trouvera...
Il me regarda à nouveau tandis que je terminai de lui nettoyer le gland.


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Dès que je me relevai, Arthur et Simon furent priés de partir :
- C'est bon, les gars. Vous avez fait connaissance. Maintenant, on aimerait bien être seule Lisa et moi.
Les deux gars n'insistèrent pas et se rhabillent. Ils nous dirent au revoir et repartirent, me laissant seule avec mon bel étalon. Celui-ci retira enfin son pantalon, exhibant son sexe toujours tendu de manière impressionnante.


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Je m'allongeai sur la table basse :
- J'ai l'impression que ça t'a quand même excité de me voir sucer tes copains, non ?
- Evidemment... Mais je ne suis pas très partageur...
- C'est quelque chose qui s'apprend. En tout cas, j'ai l'impression que tu as encore envie, non ?
- Carrément !
Il s'approcha pour venir se positionner entre mes cuisses, mais je portai mes mains à mon entrejambe pour lui signifier que je ne le souhaitai pas :
- Désolée... Tu m'as déjà beaucoup baisée. Il faut me laisser le temps de me remettre.



Commençant à bien me connaître, il savait que je n'allais pas le laisser dans cet état. Je lui fis une proposition :
- Que dirais-tu d'explorer la bouche qui vient de sucer tes deux copains ?
Je pense qu'il espérait que je lui propose mon cul, mais il sembla d'accord pour que je le suce puisqu'il vint placer son gros gland sur mes lèvres.


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Je commençai à lui sucer le gland. J'avais encore le goût du sperme de Simon et d'Arthur dans la bouche. Je sentais son sexe gonfler encore dans ma bouche tandis que ma langue tournait autour de son gland. Il frémit :
- Putain, c'est dingue d'aimer autant le sexe ! Tu es vraiment la fille idéale !
Il me saisit alors la tête et enfonça son sexe plus loin dans ma bouche.



Il allait et venait entre mes lèvres, se servant de ma bouche comme d'une chatte. Il soufflait comme un bœuf et je me disais qu'il allait bientôt jouir. Après toutes les éjaculations qu'il avait déjà eues, ses couilles étaient probablement vides, ou presque, amis c'était sans compter sur ses capacités de récupération et le temps dont il avait disposé pendant que je m'occupais de ses deux copains. Il sortit soudain de ma bouche et s'astiqua fébrilement la queue. J'ouvris grand la bouche pour recevoir son sperme. Un jet puissant gicla.


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Et ce ne fut pas le seul. Contrairement à ce que je croyais, il avait les couilles bien pleines et il déchargea dans ma bouche, sur mon visage, dans mon cou et sur mes seins une quantité incroyable de sperme. Lui-même n'en croyait pas ses yeux :
- Putain, c'est le déluge ! J'ai jamais éjaculé autant !
Une dernière giclée vint finir dans ma bouche béante.


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J'avalais tout ce que j'avais en bouche pour pouvoir reprendre ma respiration. Il était presque choqué de ce qu'il venait de voir :
- Mais comment c'est possible ? Tu m'as fait boire un truc, Lisa ?
Je saisis son sexe et lui dit :
- Non, mais tu n'as pas qu'une grosse bite. Tu as aussi des couilles énormes et ce n'est finalement pas si étonnant que ça... Tu es surpris, mais je crois que ta bite est carrément sous-exploitée.



- Tu suggères dont de venir me rendre visite plusieurs fois par semaines ?
- N'exagère pas. Mais, quand tu n'as personne pour s'occuper de toi, je pense que tu devrais te branler plus souvent pour évacuer toute cette tension.
- J'avoue que je préfère quand c'est toi qui me sers de garde-malade...
Il attrapa des mouchoirs en papier et m'essuya aussi bien que possible tout le sperme que j'avais sur moi. Pendant qu'il remettait sa chemise, il me proposa de prendre une douche :
- Je te remercie mais j'en prendrais une ce soir en rentrant. On va profiter du temps qu'il reste pour s'amuser encore.
- Mais tu empestes le sperme...
- Pas grave... ça attirera les hommes.
Comme pour me montrer que j'avais raison, il vint se coller à moi et me pelota les seins.



Je me dégageai et le regardai remettre son pantalon. Je supposais qu'il voulait bouger et lui demandai :
- On ne reste pas ?
- On a fait le tour de ce studio. On peut peut-être aller faire un tour en ville et se poser dans un petit café tranquille.
Il se sentait enfin des envies d'exhibition. J'étais ravie. Je remis ma robe :
- Tu veux me baiser dans un café ?



- Je t'arrête tout de suite, c'est un petit café de quartier avec une clientèle pas trop jeune, du côté du jardin botanique.
- On peut y aller à pied.
- Oui, mais en voiture, c'est à cinq minutes.
Nous descendîmes donc reprendre ma voiture. Dès que je fus au volant, il s'amusa à tirer sur mon décolleté pour dégager ma poitrine.


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Je le laissai faire. Il me caressait les seins et surveillait les regards des autres automobilistes que nous croisions où qui s'arrêtait à côté de nous aux ronds-points ou aux feux. Je voyais qu'il bandait encore énormément :
- Finalement, tu commences à être plus à l'aise avec l'exhibition...
- Surtout que c'est toi que j'exhibe !
- Tu ne perds rien pour attendre.
Dès qu'il m'indiqua où me garer, je fis mon créneau et, avant qu'il ne sorte, je lui sortis sa queue du pantalon pour la masturber.


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- Tu en as encore ? demandais-je.
- J'en sais rien. Mais je t'avoue que j'ai les couilles qui commencent à me faire mal...
Je me mis alors à lui masser les couilles. Soudain, je le sentis se crisper. Je lâchai tout et lui dit :
- Termine-toi !
Il saisit son sexe et se donna seulement deux coup de poignet avant que le sperme ne jaillisse.


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La giclée atterrit en partie sur le bord du siège passager et par terre sur le tapis de la voiture. Je plongeai alors aussitôt sur sa verge turgescente pour recevoir dans ma bouche les autres jets de sperme. C'était incroyable qu'il puisse encore éjaculer après les litres et les litres de sperme que je lui avais fait gicler. Quelqu'un frappa à la vitre côté conducteur.


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C'était un gendarme :
- C'est interdit en public.
Mon amant se rajusta rapidement et j'avalai sa semence pendant que je me redressais pour ouvrir la fenêtre :
- Désolée monsieur l'agent. Mon mari avait une très grosse envie.
Voyant mes seins hors de la robe, le gendarme sembla extrêmement gêné :
- Rajustez-vous et ne recommencez pas, sinon je vous verbalise.
- Oui, monsieur l'agent. Merci, monsieur l'agent.
Je rajustai mes seins et remontai ma vitre. Mon jeune amant n'en menait pas large. J'essayai de le mettre en confiance :
- Allez, montre-moi un peu ce fameux café.


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