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Emilie, directrice et traînée de lycée - 1 >>> Episode suivant

Legul
19 septembre 2018
Emilie, directrice et trainée de lycée - 1


Cela faisait déjà deux heures ce matin que je remplissais les dossiers d'inscriptions en BTS des élèves de ce fichus lycée et je commençais à avoir la migraine. Je m'apprête à prendre un cachet quand on frappe à ma porte.

- Entrez ! dis-je sévèrement à la personne qui ouvre alors la porte de mon bureau.

- Bonjour Mme Bourgeois, désolé de vous déranger. Puis-je vous parler un instant ?

- Allez-y, Sébastien, je vous écoute. Encore un problème avec votre classe ?

- Non, rien de cela... Merci. En fait, hum, depuis que je suis arrivé dans cet établissement à la rentrée, comment dire... il me semblait connaître votre nom mais impossible de me souvenir d'où...

- Et bien ? demandais-je avec un frisson dans le dos.

- Et bien c'est en discutant de cette impression avec mon frère et en lui montrant une photo de vous qu'il m'a rafraichit la mémoire... Vous savez, je ne suis installé dans la région que depuis peu. Nous vivions avec mes parents en Bretagne et mon frère était élève au Lycée Pro des Marais où vous étiez directrice adjointe à l'époque... Il m'a parlé de ce qui s'y était passé et il m'a donné ceci.

En voyant les photos tomber sur mon bureau je sus que j'étais foutue.


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On m'y voyant nue, entourée de bites, couverte de sperme, prise en double pénétration et le tout, dans une chambre de dortoir avec plusieurs lits cote à cote.


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J'avais essayé de fuir mon passé mais il revenait en la personne de ce jeune prof qui me regardait maintenant avec un sourire pervers.

Je m'appelle Émilie Bourgeois, j'ai 45 ans et je suis la directrice d'un Lycée professionnel perdu au milieu de la campagne bourguignonne. Ma vie y est morose, sans animation ni plaisir mais je n'ai pas vraiment le choix... J'ai été mutée ici il y a quelques années maintenant après avoir été sanctionnée pour une affaire de mœurs dans mon précédent établissement.

Une affaire de mœurs ? Difficile à croire en me voyant aujourd'hui, toujours habillée stricte, jamais un sourire ni une parole déplacée à un prof ou un élève. On m'appelle même « la grise » en rapport avec mon teint et mon humeur !


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Je suis pourtant encore une très belle femme et je l'étais encore plus il y a 10 ans, quand j'ai intégré le lycée des Marais, en Bretagne, en tant que directrice adjointe.


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J'étais débutante dans ce domaine administratif après avec commencé une carrière de prof et m'être rendu compte que la pédagogie n'était pas mon fort. Après deux ans en tant que CPE, j'ai donc été nommée directrice adjointe dans l'établissement. Mais le monde des lycées Pro, composé presque uniquement d'hommes, autant dans les élèves que dans les profs, m'effrayait totalement. Des élèves, âgés pour leur niveau (entre 18 et 21 ans pour des secondes et des premières !), en échec scolaire, bourrins en classe comme dans la cour, ne me respectaient pas. Les profs de matières techniques, souvent de gros macho « du cru », mis à part ceux et celles enseignant des matières générales venant d'ailleurs en France, ne reconnaissaient pas vraiment mon autorité, d'autant que mon directeur était basé dans le lycée général auquel nous étions relié, dans la ville située à 30 bornes. Bref, j'étais seule, inexpérimentée et en milieu hostile.

J'étais à deux doigts de craquer et de m'avouer vaincue quand une idée farfelue m'est venue en observant au quotidien que, par exemple, les clients à la banque ou à la poste étaient beaucoup moins agressifs avec les jolies femmes qui s'habillaient sexy plutôt qu'avec les autres conseillers.



Je constatais que les hommes étaient moins enclins à râler ou même engueuler un jeunette au décolleté plongeant et aux courbes avantageuses que sur une femme froide et peu avenante.

Au bord de la dépression et sans autre solution, j'ai donc décidé de jouer la carte de la séduction pour reprendre le pouvoir dans mon établissement. Et cela a marché, au début en tout cas...

J'ai donc radicalement changé mon style d'habillement et mon comportement. Ma garde-robe, très stricte à la base, s'enrichit de mini-jupes, de tailleurs au décolleté prononcé, de talons hauts, de chemises étroites et transparentes, de pantalons (par temps froids) très moulants, etc.



Avec cet attirail, et à ma grande surprise, la fin de cette première année fut du gâteau ! Il est vrai que lorsque que vous exposez votre décolleté plongeant et des seins à peines masqués sous le nez d'un élève perturbateur ou d'un prof qui se plaint, ils perdent leurs moyens.


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Forte de ce succès, je poursuivis ce comportement l'année suivante, en accentuant encore un peu plus le trait : des tenues encore plus sexy, accompagnées d'une attitude plus provocante.


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Je n'hésitais pas à draguer les élèves en complimentant leur physique lorsqu'ils étaient en sport, je charmais les profs les plus récalcitrants par des mots à double sens. Je mettais aussi en avant mes atouts physiques : en été, je mettais des chemises fines et bien ouvertes sur ma poitrine, au point que mes soutiens gorges n'avaient plus de secret pour personne, mes minijupes ou mes robes se raccourciraient à la limite de la décence ; en hiver mes pantalons taille basse laissaient souvent échapper mes string et je portais sous mes robes des bas dont la dentelle se voyait à chaque croisement de jambes. Une vraie allumeuse, j'en suis consciente. J'ai bien cherché ce qui m'est arrivé...



Je mis aussi un système de « récompense » en place : je recevais dans mon bureau les élèves motivés et travailleurs pour parler (réellement et sérieusement) de leur avenir et les aider dans leur dossier d'inscription en BTS, par exemple. A ces occasions, je portais souvent une robe bordeaux ultra moulante et très décolletée, sous aucun sous-vêtement.


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J'adorais cette robe car elle était si courte que j'avais l'impression d'être entièrement nue. Et elle était si moulante que les gens voyaient bien que je ne portais rien en dessous et cela les rendais fous de savoir que mes seins et mon sexe étaient juste là, cachés par cette fine barrière de tissu pouvant s'arracher facilement.

Ce genre de rendez-vous eu beaucoup de succès, la liste d'attente s'allongeant, les moyennes des élèves repartant à la hausse, les incivilités étaient en baisse. J'aimais également beaucoup une petite jupe grise à carreaux très légère qui avait la fâcheuse tendance à découvrir mes jambes, mes fesses, mon string pendant que je cherchais un dossier bien caché dans un tiroir.



Mais ma préférée était sans doute une jupe longue et tout à fait convenable en apparence mais qui était si légère qu'elle devenait transparente au soleil et me dénudait presque totalement.


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Je me pris totalement à ce jeu en y trouvant même un plaisir pervers. Je devenais accro à l'exhibition et les regards lubriques qui se posaient sur moi m'excitaient de plus en plus. Cela me rendait folle de savoir que certains élèves se branlaient en pensant à moi, que certains profs baisaient leurs femmes en m'imaginant à leur place. Je n'éprouvais aucun complexe à montrer ma culotte en salle d'étude en croisant les jambes négligemment, assise sur le bureau. Les regards qui se perdaient entre mes cuisses entrouvertes me faisaient mouiller comme jamais.



Une fois chez moi, il m'arrivait donc de plus en plus de me masturber comme une folle...


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... en pensant à tous ces mâles en train d'abuser sauvagement de moi. J'étais prise par tous les trous et par des dizaines d'élèves différents, moi qui, en réalité, n'avais jamais testé toutes ces choses.


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Mais ces choses si perverses me faisaient à présent de plus en plus envie...

Cette deuxième année fut ainsi un grand succès où m'exhiber et allumer tout le monde donnait des résultats impressionnants dans mon établissement. Je peux vous dire que lorsque c'est moi qui surveillais l'étude, on entendait les mouches voler. Lorsque j'entrais dans une salle de classe, tous se levaient et tous les regards, y compris des profs, se perdaient entre mes seins que je savais si bien mettre en valeur.

Alors qu'il n'y avait pas une ombre au tableau et que mon plan de carrière semblait assuré, tout s'emballa et dérapa l'année suivante. En effet, une réforme des lycées Pro diminua nos budgets et le directeur dû supprimer des postes de surveillants. La situation devint si critique pour surveiller les élèves qu'il dut mettre en place un système de permanence entre lui (dans son propre établissement), et moi-même (dans le mien) pour surveiller l'internat en plus de l'étude et des colles, en soutient avec des rares pions qui nous restaient. Deux à trois nuits par semaine, je devais donc être présente à l'internat, dans une chambre de fonction mise à disposition, et intervenir en cas de besoin. Mon CPE se chargeait, lui, des autres soirées.

L'internat était censé être mixte mais le nombre de filles était si faible dans cette filière technique qu'on leur avait réservé 2 chambres au bout d'un couloir, surveillée par une surveillante (la seule que nous avions) et que le reste du bâtiment, sur 2 étages, était rempli de garçons surveillés par un seul pion, assisté soit par le CPE, soit par moi.

C'est le fait de me retrouver seule, entourée de jeunes hommes, hors du cadre des classes qui éveilla chez moi une envie de plus en plus irrésistible. Tous ces jeunes mâles m'excitaient terriblement... Depuis mon arrivée dans ce lycée, j'étais célibataire et je m'étais plongée dans le travail. Mais le manque de sexe, couplé à mon comportement provocant (qui m'excitait aussi) et la présence, lors de mes soirées de garde, de tous ses ados se promenant torse nus, en caleçons, sortant des douches avec juste une serviette, tout cela me rendait folle.

Au début, je me contentais de me soulager dans ma chambre d'internat en me masturbant presque chaque soir en passant à ce jeune que j'avais aperçu sous les douches, ou un autre qui faisait des pompes dans sa chambre alors que je passais demander l'extinction des feux. Parfois, je me masturbais 2 fois par soir pour me calmer...


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J'avais un peu honte de mes pensées mettant en scène des adolescents de 10-15 ans plus jeunes que moi mais je me déculpabilisais ensuite en me disant qu'ils étaient tous majeurs, qu'ils étaient de vrais hommes, bien que jeunes, et que presque tous devaient déjà avoir baisé. Ils n'étaient donc plus des enfants innocents mais des adultes virils qui, d'ailleurs, me sautaient comme une salope dans mes phantasmes et sans doute dans les leurs.

Sans vraiment savoir ce que je cherchais à provoquer, j'adoptais dans l'internat des tenues tout aussi sexy que la journée dans le lycée. Je gardais en début de soirée, avant et après la cantine, mes habits de travail mais une fois le soir venu, pour surveiller l'étude, les douches et le temps libre avant extinction des feux, j'enfilais des tenues décontractées pour le moins légères et négligées. Il pouvait s'agir de mini short et d'un T-shirt...


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... ou plus simplement des jeans ou des pantalons de jogging très moulants avec un simple débardeur. Et évidement, sans sous-vêtement.


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Certains de mes shorty étaient si courts et moulants qu'ils se résumaient presque à des culottes laissant apparaitre moitié de mes fesses... On pouvait donc considérer que je me promenais en sous-vêtement au milieu de mes élèves. C'est presque un miracle que je ne me sois pas faite violée !



Un soir, alors que je faisais une tournée dans les couloirs bien après l'extinction des feux, simplement vêtue d'un débardeur et d'une petite culotte, j'entends l'eau couler dans les douches. Je suis surprise et agacée, car à cette heure tardive, tout le monde est censé être couché et c'est d'ailleurs pour cela que je me promène en sous-vêtement...


A suivre...


Emilie, directrice et traînée de lycée - 1 >>> Episode suivant

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