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Amies coquines - 1 >>> Episode suivant

Davidhandballeur
12 décembre 2018
Amies coquines - 1

https://www.xstory-fr.com/lire-histoire,mes-amies-enfance,30394.html

Elle était là assise, seule, sur cette banquette. Aucun doute, là-dessus, c'était elle ! Hélène, une de mes amies d'enfance, que je n'avais pas vu depuis cinq ans et mon départ de ma région natale. Elle devait avoir vingt-cinq ans maintenant, c'est devenu une très belle femme.


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Grande, à la silhouette fine, elle a de longs cheveux châtains et des yeux noisette. Sans hésiter, je me rapprochais d'elle et nous commençâmes à discuter du bon vieux temps. Elle m'apprit ensuite qu'elle faisait un master en droit et qu'elle était en dernière année dans une fac prestigieuse. Ce n'est pas étonnant, elle a toujours été très sérieuse et travailleuse.


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Elle m'expliqua alors qu'elle avait apprécier ma compagnie et qu'elle souhaitait m'inviter dans la maison de ses parents, absents pendant un mois. Le choc. Franchement, je pensais qu'elle m'aurait oublié depuis tout ce temps. Le fait qu'elle me fasse cette demande m'a profondément touché. Évidemment que j'ai accepté !


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Aujourd'hui, c'est le grand jour. Je me rapproche de la demeure des parents d'Hélène. J'ai alors une énorme surprise. Elle n'est pas seule ! Elle est avec une fille qui semble être Emilie, une autre de mes amies d'enfance. Apparemment, elle a absolument tenu à me revoir également. Je suis également trop content de la revoir. Nous nous sautons littéralement dans les bras.


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Elle s'est métamorphosée elle-aussi !


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Quand je l'ai quittée, c'était une gamine de seize ans, à peine adolescente, maintenant, c'est une jeune adulte de vingt et un ans.

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J'ai honte de parler de ça, mais si je me souvenais que cela commençait déjà à bien pousser à l'époque, elle a désormais une belle poitrine. Elle n'a pas beaucoup grandi.


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Elle s'est laissé pousser les cheveux, cela lui va bien ; sa chevelure blonde lui descend aujourd'hui en dessous des épaules.


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Nous parlons de ce qui nous est arrivé durant ces cinq dernières années, lorsque apparaît Amélie, âgée de dix-huit ans maintenant. Elle est toujours aussi sexy.


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Contrairement aux deux autres filles, je ne la trouve pas si changée que cela. C'est toujours la même fille que je salue chaleureusement.


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Nous passons énormément de temps à parler. Nous rions et nous nous lançons des vannes. Cela me touche, même si Amélie ne semble pas heureuse.


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Cependant, les jours suivants sont idylliques. Je retrouve non seulement mes amies d'enfance, mais aussi mes habitudes dans mon village d'enfance où vivent encore mes parents et où j'ai prévu de rester un mois entier. Aujourd'hui, il fait chaud et j'aperçois Hélène qui bronze, à proximité de la piscine de la résidence de ses parents.


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Emilie et Amélie jouent ensemble. Je me sens mal à l'aise tout à coup. Les voir là, aujourd'hui, en bikini semble étrange.


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Je réalise qu'elles sont vraiment belles toutes les trois.


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J'ai eu ce reflexe honteux de les reluquer avec des yeux un peu trop vicieux. Elles sont magnifiques, je ne peux pas m'empêcher de mater leurs seins. On dirait que le haut d'Emilie est sur le point d'exploser, je vais vraiment avoir du mal à la regarder dans les yeux.


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Je me sens coupable. Je ne voudrais pas perdre leur respect en passant pour un pervers.


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Pourtant, nous passons un très bon moment tous ensemble. Nous rions, nous nous amusons, nous nous éclaboussons. Je voudrais être nulle part ailleurs.


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Fatigué, je sors de la piscine pour me sécher et bronzer un instant. Je croise par hasard le regard d'Emilie.


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- Mais c'est qui en a un qui a une belle érection dis-donc ! s'exclame Hélène.
- Pervers ! s'insurge Amélie.


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C'est vrai, je bande ! J'ai honte. ! Je viens de passer l'après-midi aux
côtés de filles en bikini incroyablement belles.


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Forcément, à force de voir leurs seins mouillés se balancer dans tous les sens, j'ai eu un réflexe idiot.


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Gêné, je m'enfuis en courant après m'être excusé. Je file dans une chambre pour me sécher. Je soupire quand j'entends soudainement frapper à la porte.
- Qui est là ? fais-je.
- Hélène, je peux entrer ?
- Oui, bien sûr.

Elle pénètre dans la pièce en refermant la porte derrière elle.
- Ça va ? me demande-t-elle.
- Oui, oui, désolé. Je ne sais pas ce qui m'a pris.
- Ce n'est pas grave tu sais. C'était juste pour taquiner. On est assez grandes pour savoir que les garçons ont parfois ce genre de réflexe.
- Oui, oui, je sais. C'est juste que je ne sais pas. Devant n'importe qui, je n'en aurais rien eu à foutre, mais devant vous, j'ai trouvé ça gênant.
- Pourquoi « devant nous » ?
- Parce qu'en tant qu'ami, c'est inconvenant, c'est tout.
- Je ne sais pas où tu vas chercher ça. Nous nous sommes connus gosses certes, mais aujourd'hui, nous sommes adultes ; c'est normal d'avoir des réactions d'adulte. C'est pareil pour nous tu sais. Tu es devenu assez canon comme garçon, c'est difficile de rester indifférente. Et puis de ce qu'on a vu, tu n'as pas à rougir de ta taille.
- Hélène !


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- D'ailleurs, je serais curieuse de savoir pour laquelle tu bandais. C'était moi, j'espère ?
- Hélène !
- Quoi ? Je te choque ? rigole-t-elle.


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- Un peu ouais ! Tu es censée être la plus mature !
- Et alors ? Je n'en reste pas moins une femme avec ses désirs et ses besoins.


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- Que ! Quoi ? Mais Hélène ! Nous sommes amis !
- Et alors ? N'as-tu jamais envisagé que j'ai déjà eu envie qu'on soit plus que ça ?
- Je... non !
- Cela ne m'étonne pas. Tu as été aveugle. En vérité, j'ai toujours eu un petit faible pour toi, David. C'est vrai, il y avait une forte différence d'âge, mais je m'en fichais.
- Je, je suis désolé Hélène, je ne savais pas.


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Elle s'approche dangereusement de moi :

-Je ressens toujours la même chose, tu sais. Pourquoi penses-tu que je t'aurais invité à venir. Tu es plus important pour moi que tu ne l'imagines.
- Je suis désolé.

Je veux ajouter quelque chose, mais elle m'embrasse soudainement sur la bouche. Je suis pris par surprise, je ne sais pas quoi faire. C'est bon, ses lèvres sont douces. Hélène, la belle Hélène.


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Je ne sais pas ce qui est le plus dingue : d'échanger un baiser avec mon amie d'enfance, ou d'apprendre qu'elle me désirait depuis si longtemps. J'ai honte, mais j'ai envie d'elle. Je sors alors ma langue pour aller à la rencontre de la sienne. C'est fabuleux. Je me remets à bander, pour elle, rien que pour elle. Qu'est ce qui m'arrive ?


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- Tu sais, quand je t'ai vu en érection tout à l'heure, je n'ai pensé qu'à une seule chose : la sucer. Je peux la voir ? En vrai ?


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Je ne sais pas ce que j'ai, mais je perds le contrôle de moi-même. Je ne devrais pas, et pourtant, je hoche la tête en guise d'acquiescement. Elle s'agenouille sensuellement devant moi et fait glisser mon maillot jusqu'à mes chevilles. Elle a un sursaut de surprise quand mon sexe bondit devant son nez comme un soldat au garde-à-vous.


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- Elle est décidément d'une belle taille ! Elle est belle, tu sais.


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Je rougis devant le compliment.


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Elle passe une main autour pour mieux la sentir, puis elle entreprend de me branler. Qu'est-ce qui se passe ? Suis-je en train de rêver ? Je me suis toujours imaginé Hélène comme une fille prude, alors la voir prendre l'initiative pour jouer avec ma bite, c'est surréaliste.


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Je me rends seulement compte maintenant combien c'est stupide. Hélène est une femme ; sans doute même une femme expérimentée. Je ne me l'étais jamais imaginé comme quelqu'un ayant pouvant avoir envie de sexe, mais c'est évident qu'une fille comme elle ne pouvait être encore vierge à vingt-cinq ans. J'ai envie d'en voir plus. De découvrir cette nouvelle Hélène. Cette fille sublime, désirable, et coquine.


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- Je vais te sucer, David, me dit-elle juste avant de m'engloutir dans sa bouche.


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Je soupire d'extase. Elle ne doit décidément pas en être à sa première pipe, cela me fait tout drôle.


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J'ai toujours l'impression de faire quelque chose de mais j'ai envie de la baiser. À vrai dire, j'ai aussi envie de baiser Amélie et Emilie.


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Je n'arrive toujours pas à croire que la belle et grande Hélène ait envie de moi. Cela me fait tellement bizarre de voir un visage si familier avec ma queue dans la bouche. Elle me pompe divinement. Elle me suce et me lèche comme une vraie professionnelle.


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Elle sait comment jouer avec une bite pour me faire un bien fou. Je sens qu'elle doit tellement avoir l'habitude de faire cela. J'aurais aimé être son premier ; je sais que c'est purement égoïste sachant qu'elle n'est pas ma première non plus, mais c'est comme ça. J'ai peur tout à coup. J'espère être capable de la satisfaire.


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- J'ai envie de toi dans ma chatte, David.
- Moi aussi, Hélène.

Elle me fait m'allonger sur mon matelas, dos contre la tête de lit. Elle a ce regard plein de passion qui me fait fondre lorsqu'elle se place au-dessus de moi. Elle écarte délicatement le bas de son maillot pour exposer son intimité, puis, d'un geste assuré, attrape ma verge pour se l'enfoncer dans le vagin.


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Ses mains sur mes épaules, les miennes sur ses hanches, elle démarre un va-et-vient en bondissant sur ma queue. Je ne parviens pas à prononcer un mot, elle non plus. Nous nous regardons dans les yeux, la bouche ouverte pour soupirer notre plaisir.


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Je ne m'habitue pas à la voir ainsi, femme, désireuse de sentir une bite au fond d'elle. C'est une femelle en rut, je me sens tellement chanceux qu'elle m'ait choisi pour s'accoupler. Je la veux. L'intérieur de sa chatte est tellement bon.


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Elle m'embrasse, je lui rends avidement son baiser. Je la serre contre moi pour mieux sentir sa chaleur. Je ne me suis jamais senti aussi bien avec elle, aussi proche. C'est notre première fois, mais ce n'est pas pareil que de le faire avec une fille qu'on connait à peine. Je l'aime.


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Elle s'arque en relevant la tête en arrière pour mieux me sentir dans son vagin. Mes yeux se détournent sur sa fabuleuse poitrine toujours cachée derrière son maillot. Lorsqu'elle le remarque, elle passe ses mains dans son dos et s'en débarrasse. Elle me scrute pour voir ma réaction. Je bande encore plus fort. Ses seins sont magnifiques, en forme de poire. Ils ne sont pas énormes comme ceux d'Emilie, mais suffisamment gros pour pouvoir jouer avec. Ses yeux me demandent « ils te plaisent ? » Je lui réponds en plongeant dessus pour lui mordiller les tétons. Elle soupire de bonheur en me pressant la tête contre elle. Elle le fait aussi bien pour me dire qu'elle aime ça que pour me faire savoir qu'elle est heureuse que je la trouve splendide. Je les empoigne et les masse comme un puceau qui découvre une paire de nibards pour sa première fois. Je n'ai jamais pu coucher avec une femme aussi belle.


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Elle accélère le rythme, comme en réponse au bien que je lui fais. Elle fait grimper notre excitation à tous les deux. Je vais avoir du mal à me retenir si elle continue comme ça. Je suis célibataire depuis plusieurs mois. Je ne me suis pas branlé depuis que je suis arrivé ici, et même avant ça, cela faisait quelques jours que je n'avais rien fait. J'ai ce besoin viscéral de cracher mon jus et de me vider les couilles. Je ne veux pas, cependant ; je veux la faire jouir et être un bon amant, pas passer pour un précoce. Par chance, elle s'arrête brusquement. Elle me fait sortir d'elle avant de s'allonger sur le lit en écartant les cuisses.


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- Viens David, j'ai envie que tu me prennes.
- Ooh, moi aussi.

Elle s'offre à moi, attendant que je vienne m'occuper d'elle. J'en profite pour l'admirer. Elle se caresse le clitoris pour me signaler son impatience.


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Je m'approche et me mets en position.
- Vas-y. Fais-moi tienne, m'encourage-t-elle.
- Hélène

Je m'enfonce en elle et commence à la limer. Elle m'a fait l'amour passionnément, mais moi, j'ai envie de la prendre comme un animal. Je lui donne de puissants coups de reins en jouant avec ses seins qui m'excitent tant.


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- Je te veux, Hélène. Je ne te veux.
- Oui, oui. Plus fort !


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Elle gémit de plaisir ; voilà qui me rassure. Je me penche vers elle pour l'embrasser fougueusement. Elle passe ses mains dans mon dos. Nos corps sont maintenant collés l'un à l'autre.


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- Fais-moi tienne ! Fais-moi tienne ! Fais-moi sentir que tu me veux !
- Je t'aime ! crie-je tout à coup.
- Oui ! Oui ! Baise-moi s'il te plait. Baise-moi fort, David. Je ne suis pas une fille prude et fragile. Je n'en ai pas honte. J'aime le sexe. J'aime la bite. J'aime qu'on me prenne comme une chienne. Alors vas-y, lâche-toi, saute-moi, fais-moi du bien. Souille-moi autant que tu veux.


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Je ne sais pas si c'est le fait de l'avoir entendu parler de façon aussi grossière, ou celui d'avoir son approbation, mais je m'exécute. Je lui démonte la chatte avec mon gros dard comme un animal en manque. Mes couilles pleines de foutre claquent contre son pubis. J'ai complétement perdu la tête et je ne suis plus qu'un pervers qui ne pense qu'à lui perforer le vagin comme un gros dégueulasse.


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Ce vagin à moi, ce trou à bite dont je veux en faire mon terrier. Je serre les dents, j'ai besoin de me décharger. C'est bon, mais c'est trop bon. Cela me fait presque mal tant c'est difficile de se retenir.



Il faut que je tienne bon, mais elle voit bien que je suis tourmenté :
- Tu as envie de jouir ? me demande-t-elle.
- Oui.
- Tu te retiens pour moi ?
- Oui. Je veux jouir avec toi.
- Courage, je viens bientôt venir. Continue, s'il te plait.


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Je redouble de vigueur, mais cela devient insoutenable.


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- Ooh, Hélène...
- David... Je te plais ?
- Oh oui. Tu es si belle ?
- Tu as envie de moi ?
- Oui.
- Tu m'aimes ?
- Je t'aime, Hélène, si fort.
- Ça vient, David. Ça vient !
- Hélène...
- Jouis avec moi, s'il te plait.
- Oui...
- Ne te retient plus, éjacule pour moi.
- Je viens aussi. Aaah !
- Oui ! Allez ! Remplis-moi de sperme !


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Mon dieu, quelle cochonne ! Je n'en peux plus. J'ai l'impression de perdre conscience quand je sens mon plaisir monter. Plus rien ne pourrait l'arrêter maintenant. Je lui donne de violents coups de boutoirs comme pour chercher à me faire venir plus vite. Je ne cherche plus à lui faire du bien à présent, juste à me finir. Le jus grimpe le long de ma verge. Je beugle quand je me sens expulser un premier copieux jet de sperme. Elle crie avec moi, elle tremble. C'est fabuleux, nous jouissons tous les deux, ensemble, comme un vrai couple.


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Les soubresauts de son vagin sont en train de me traire. Je ne m'arrête pas de gicler. Je lui donne tout ce que j'ai accumulé ces derniers jours, cela me parait interminable. Quand je commence à redescendre sur terre, je m'écroule sur elle. Je n'ai plus rien à tirer. Mon orgasme est passé, mais je suis encore dans les nuages.


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Elle-aussi, elle me caresse tendrement les cheveux. En reprenant mes esprits, je réalise ce que je viens de faire. J'ai vidé mes couilles dans sa chatte comme le dernier est enfoiré. Tant pis, je m'en fou, je suis bien.


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Nous restons ainsi un moment. Puis je me rappelle qu'il y a deux filles dehors qui doivent se demander ce que nous faisons et qui ne doivent surtout pas nous trouver dans cette position. Je sors mon sexe ramolli hors de son vagin. Une quantité incroyable de sperme en dégouline et souille les draps.



- Hmm, ce que tu m'as mis. Tu n'as pas tiré ton coup depuis longtemps, toi, non ?
- Désolé, fais-je penaud.
- T'excuse pas, idiot.


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Nous nous embrassons puis nous nous séparons chacun de notre côté.


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Hélène vient de quitter la chambre. Je suis confus. Nous avons baisé et nous nous sommes avoués des choses ; et maintenant ? A-t-elle fait ça avec moi juste pour assouvir un fantasme ? Suis-je juste un amant passager ? Ou me considère-t-elle désormais comme son copain ? J'aimerais bien le savoir. En tout cas, des trois, je dois dire que c'est bien la dernière avec laquelle je pensais me retrouver. La vie prend parfois des tournures étranges.



Le lendemain, je retrouve Hélène, Emilie et Amélie pour en fin de matinée. Nous discutons de nos plans pour la journée.



- Moi, là tout de suite, j'ai envie de faire une balade, déclare Hélène. David, tu m'accompagnes ?
- D'accord, fais-je en bégayant.



Je m'attendais à ce qu'une autre fille se propose de nous rejoindre, mais non. Je ne sais pas si j'en suis soulagé ou si cela me stresse encore plus. Nous nous baladons à travers le village, puis allons au petit bois où nous allions souvent faire du vélo. Je ne sais toujours pas sur quel pied danser lorsque nous parlons. Elle ne mentionne jamais ce que nous avons fait hier, et j'ai trop peur pour aborder le sujet. Je n'arrive pas à savoir ce qu'elle a dans la tête, jusqu'à ce que tout à coup, elle m'embrasse.

- Ici, nous serons tranquilles, dit-elle.
Elle s'agenouille et se met à me sucer.


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- Hélène ? Qu'est-ce que tu fais ?! fais-je.
- J'ai envie de toi. Pas toi ?


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Bien sûr que si. Je me laisse faire. Je ne me l'imaginais pas aussi coquine, à vouloir faire ça comme ça dans les bois. J'essaie de me détendre. Elle a raison, nous nous sommes écartés du sentier, personne ne devrait nous déranger. Je ne sais toujours pas si elle a juste envie de se faire sauter pendant les vacances, ou si c'est quelque chose de sérieux, mais en tout cas, je suis ravi de voir que ce n'était pas qu'un coup d'une fois.


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Maintenant qu'elle m'a bien chauffé, elle se relève et se penche contre un arbre. Je lui baisse son pantalon et sa culotte puis la prend là comme un porc. C'est tout à fait différent de notre première fois, cette baise n'a absolument rien de romantique ou de passionné, nous ne sommes que deux animaux en manque à la recherche de plaisir.


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Cela me fait toujours drôle de voir Hélène « la sage » aussi « femelle » et de réclamer des coups de bite dans la chatte ; cela m'excite à mort aussi. Je la saillis comme un mâle qui a besoin de lui défoncer le vagin. Je joue avec ses seins à travers ses vêtements. Je suis fier de voir que je parviens à donner du plaisir à une femme qui a quatre ans en plus que moi. Je lui lèche le cou. Je la veux, je tiens à ce qu'elle le sache. Il ne lui faut pas très longtemps avant de jouir, je la rejoins presque instantanément et lui éjacule dans la chatte.



Elle m'embrasse tendrement. Nous ne disons presque rien, puis nous rentrons à la maison.


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Je me sens plus à l'aise que ce matin. Je sais désormais qu'elle me veut, et que je n'ai pas à avoir honte de la désirer.


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Au soir, j'ai encore envie d'elle. Je décide de prendre l'initiative et d'aller la voir dans sa chambre.



Mince, elle n'est pas seule. J'essaie de regarder discrètement avec qui elle est sans les déranger. Je n'en reviens pas de ce que je vois, je dois avoir des hallucinations : Elle est avec Amélie, et ce n'est pas pour discuter ni pour une bataille d'oreillers. Elles sont nues, toutes les deux et Hélène porte un gode ceinture et elle prend Amélie violemment.



Je ne sais pas ce qui me choque le plus. De découvrir qu'Hélène a des tendances lesbiennes, qu'Amélie aussi, où qu'elles font cela tout simplement. Moi qui imaginais, Hélène comme la fille sage et droite !


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Ces derniers jours, je me rends compte combien j'étais à côté de la plaque. Je devrais partir et oublier ce que j'ai vu, après tout, cela les regarde.



Mais, je ne suis pas moi-même quelqu'un de sage. C'est peut-être mal, mais ça m'excite de les voir comme ça.



Hélène est allongée sur Amélie. Cela ne doit pas être leur première fois, car elle la baise comme un vrai mec. Elles s'embrassent, elles se caressent, il y a beaucoup d'amour et de tendresse. Vu qu'elles gémissent toutes les deux de plaisir, j'imagine qu'il doit y avoir un bout du gode qui rentre dans la chatte d'Hélène.



- Vas-y Hélène, plus fort s'il te plait, supplie Amélie.


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Je ne les savais pas aussi proche, cela me touche quelque part. Amélie a tellement tendance à être dure avec moi que je ne la voyais pas douce et câline. Je trouve ce que je vois magnifique.


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Elles changent de position. Maintenant, c'est Amélie qui chevauche Hélène et qui fait tout le boulot. Je peux enfin bien la voir à poil. Elle est petite, elle est maigre, elle n'a pas de seins, mais bordel, elle me fait de l'effet. Je ne résiste plus à l'envie de sortir ma queue et à me branler. Si je m'étais déjà imaginé sortir avec elle, jamais je ne m'étais imaginé des images salaces la mettant en scène. La voir en pleine action, même avec une autre fille, me donne envie d'elle. Elle est vraiment belle.


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Elle se penche sur Hélène pour jouer avec ses seins. Elle les masse, elle les pétrit, puis joue avec ses tétons. Pour la remercier, Hélène fait pareil, même s'il y a moins de matières à peloter. Cette dernière commence à lui donner elle-même des coups de bassin. Elle doit être lassée ou trop excitée pour se contenter de la voir rebondir sur elle.


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Au bout d'un moment, Amélie finit par jouir :

- Oui ! Oui ! Hélène! Aaaaaaaah !



La scène se finit lorsqu'elle la fait jouir à son tour en lui faisant un délicieux cunnilingus :


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- Hmm, Amélie ! Ma chérie ! Oui ! Suce-moi bien le clitoris, doigte-moi. Je viens ! Ooooooooooooh !


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C'était splendide à regarder.



Hélène couche avec Amélie, mais aussi avec moi. Comment dois-je interpréter ça ? Si elle est bi, qu'en est-il d'Amélie ? Je pense que c'est une vraie lesbienne. C'est malin, maintenant que je l'ai vue comme une femme et que je me mets à fantasmer sur elle, j'apprends qu'elle est doublement inaccessible.



Il y a de quoi être écœuré. J'essaie de chasser toutes ces idées bizarres afin de trouver le sommeil.


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Cela ne change rien, demain, tout sera comme avant.

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