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Davidhandballeur
15 décembre 2018
Amies coquines - 2

Au matin, lorsque j'apprends qu'Hélène est sous la douche, je me décide à faire ce que j'avais l'intention de faire hier soir. Je vais la trouver dans la salle de bain dans le but de lui faire l'amour. Elle est surprise mais ravie. Je l'embrasse tendrement, puis la plaque contre une parois de la cabine, et la baise là.


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Je ne me lasse pas de la voir brulante d'envie pour moi. J'espère que cela durera au-delà de ça. J'éclate dans sa chatte en la remplissant de foutre, et elle jouit avec moi.


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Nous nous séparons rapidement.


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Les jours passent, et Hélène et moi continuons à faire l'amour secrètement dès que nous en avons l'occasion.


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C'est excitant que personne ne se doute de rien.


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J'aimerais dire que ces vacances sont parfaites, mais il reste une ombre au tableau : Amélie semble toujours me faire la gueule. Je pensais que ça lui passerait avec le temps, mais je me trompais. Je prends mon courage à deux mains et décide d'avoir avec elle une discussion sérieuse. Il faut que je tire cette affaire au clair.


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Le seul moment que je trouve pour lui parler, c'est le soir. Elle m'invite à entrer dans une chambre.


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- Qu'est-ce que tu veux ? me lance-t-elle d'un ton glacial une fois à l'intérieur.
- Te parler, c'est tout.
- De quoi ?
- De toi et moi.
- Je ne vois pas de quoi tu parles.


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Je prends une grande respiration avant de me lancer :
- Amélie, je ne sais pas comment aborder le sujet. Cela fait longtemps que nous sommes amis toi et moi. Je ne suis pas totalement idiot, je vois bien que depuis que je suis ici, tu m'évites. J'aimerais vraiment savoir pourquoi.


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Elle me fixe en me croisant les bras, l'air sévère :
- Le plus triste, c'est que tu ne le saches même pas.
- Ben alors, je suis un idiot. Éclaire-moi s'il te plait.
- Non, tu n'as qu'à trouver par toi-même. Je ne vais pas te faciliter la tâche non plus.
- Amélie, nous allons nous croiser pendant le reste des vacances.


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Elle ne dit rien, elle réfléchit. Après quelques secondes, elle brise le silence :
- Cinq ans, dit-elle.
- Quoi ?
- Cinq ans que tu es parti. Tu m'as tout simplement oubliée !


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- Je suis désolé. Je ne t'ai pas oublié, jamais je ne t'oublierais !


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- Parce que cela va être ma faute, maintenant ? C'est une blague ?
- Parce que ce n'est pas toi qui a pris tes distances ? Moi, j'ai toujours voulu être là.


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- J'ai pris mes distances, parce que je t'en ai voulu !
- De quoi ?
- D'être aussi aveugle, bon sang !
- Mais de quoi ?!


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- Tu vois, c'est ça que je te reproche, même avec le recul, tu ne le vois pas ! J'étais amoureuse de toi !
- Mais... je... tu te fiches de moi, là !


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Elle soupire :
- Je ne plaisanterais jamais sur un truc aussi sérieux.
- M'enfin, ce n'est pas possible. Tu... tu es lesbienne.


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Elle me regarde avec des yeux grands ouverts, frappée de stupeur. Elle ouvre la bouche, mais pendant un instant, aucun son n'en sort :
- Je n'arrive pas à le croire... parvient-elle à prononcer finalement. Moi ?! Lesbienne ?! Mais qu'est ce qui t'a fait penser un truc pareil ?!
- Je.... heumm... Je t'ai vu l'autre jour avec Hélène...



Mince, je ne sais pas du tout pourquoi j'ai dit ça :
- Parce que tu m'espionnes en plus ? Tu es sérieux là ?! Tu es vraiment un obsédé ! Non, je ne suis pas lesbienne. Ce truc avec Hélène... c'est... autre chose. Je suis une femme. J'ai besoin de câlins et d'amour, sauf que personne ne veut de moi. Alors oui, Hélène me réconforte à sa manière.


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En attendant, elle me fait du bien, et grâce à elle, je me sens vraiment aimée.


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Je me sens vraiment bête, tout commence à avoir un sens. Mon dieu, tout ce temps perdu pour des conneries. Elle a honte que j'aie découvert son secret ; je ne la juge pas. C'est sûr que c'est particulier, mais je trouve ça mignon en fin de compte.



- Moi, je veux de toi, dis-je.
- Te fous pas de moi.Je sais que tu n'en as rien à faire de moi.
- C'est faux. Amélie, si j'avais su... Je te jure que tes sentiments pour moi sont partagés et cela ne date pas d'hier ! Bon sang ! Si tu savais ! S'il te plait, laisse-nous une chance !
- Tu es sincère ? Tu veux vraiment de moi ?


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Je ne réponds pas, au lieu de cela, je l'embrasse. La connaissant, elle aurait pu me gifler pour mon culot, je suis heureux qu'elle me rende mon baiser. Elle se calme, elle se détend. Je sens sa colère fondre dans mes bras. Je sais que c'est mal vu que je couche avec Hélène, mais je crois que je suis amoureux.


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- J'ai besoin d'amour et de câlins, me dit-elle.
- Alors laisse-moi te faire l'amour.
- Je... je suis vierge. Enfin, je ne l'ai jamais fait avec un garçon.
- Cela va aller, fais-je touché par son aveu.


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Elle enlève mon haut, j'enlève le sien. J'ai une trique d'enfer lorsque je lui retire son soutien-gorge. Je vais faire l'amour avec Amélie, ma meilleure amie d'enfance. Mon amie d'enfance, celle dont j'avais un faible durant mon adolescence ; c'est comme réaliser un fantasme. Je ne m'étais jamais autorisé à l'époque de l'imaginer nue ou dans des situations salaces, j'avais trop de respect pour elle et trop honte d'être un pervers ; aujourd'hui, j'ai envie de tout voir, tout faire. J'ai envie de la baiser.



Je la caresse langoureusement et lui suce les tétons, elle glisse ses mains dans mes cheveux en gémissant. Je l'embrasse puis la retourne vers le mur, elle se penche contre en se tenant par les bras. Elle s'offre à moi, c'est tellement érotique. Je soulève sa minijupe et lui retire sa culotte. Elle se cambre bien pour me montrer son cul, il est magnifique. Je couvre ses fesses de baisers, elle écarte ses cuisses.


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J'ai le nez plongé sur son minou. Il est magnifique, tout rasé, suppliant d'être pénétré par une bite.


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J'y enfonce deux doigts, elle coule. Je récolte son jus en la léchant.



- Prends-moi, David, fait-elle brusquement.
- Tu es sûre que c'est ce que tu veux ?
- Oui, j'attends ça depuis trop longtemps.
- Vraiment ? Alors demande-le-moi encore, tu es trop belle quand tu le dis.
- Tu n'es qu'un salaud !
- Si tu le prends comme ça, tant pis alors.
- Je te veux en moi ! Ça te va ? Je veux que tu prennes ma virginité !


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Satisfait, je me relève et défait mon pantalon. Je pointe mon gros dard à son entrée. Je suis tout excité. Je l'enfonce dans sa chatte d'un seul trait, nous gémissons de plaisir tous les deux.


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-Vas-y, prends-moi maintenant.


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Je fais du va-et-vient dans son vagin. Puisque c'est une vierge sans hymen, je n'ai pas à être trop doux. Je la baise pour de vrai en la maintenant par les hanches. Elle est terriblement bandante.


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- Ah ! Salaud ! Oui ! Oui !
- Alors, c'est meilleur avec une vraie bite, hein ?
- Oui ! Oui !


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Mes coups sont de plus en plus puissants. Mes couilles claquent contre son pubis. Son corps se balance sous mes assauts.



Je ne devrais pas faire ça, je couche déjà avec Hélène, mais comment pourrais-je le lui avouer ? J'aimerais pourtant le lui dire, qu'elle sache que je ne la saute pas juste parce que je suis un pervers en manque. Si je voulais juste tirer un coup, j'irais voir Hélène.


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Si je prends le risque de tout foutre en l'air et de tout perdre, c'est parce que je la veux, elle, et personne d'autre. J'ai besoin d'exprimer charnellement ce que je ressens, à coup de queue.


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- Aaaah ! Crie-t-elle. Tu n'es qu'un salaud ! C'est trop bon !
- Ta chatte est si serrée, Amélie.


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Je ne voudrais pas la décevoir. Je tiens à ce qu'elle se souvienne de sa première fois.


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Je la défonce contre le mur. Elle se laisse faire, ou plutôt elle me laisse faire tout le boulot. Cela m'étonne d'elle, elle qui prend d'habitude toujours les initiatives. Cela me plait bien, cela me change d'avoir le contrôle sur elle. Elle tourne la tête vers moi pour me regarder pleine de passion.


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Elle passe une main autour de mon cou. Ce qu'elle est belle, mais ce qu'elle est belle. Je l'embrasse. J'ai une mèche de ses cheveux dans les yeux. Ma langue joue avec la sienne, je suis frustré lorsque nous nous séparons, j'ai besoin d'accélérer le rythme pour compenser.


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- Ah ! Oui ! Salaud ! Encore ! Plus fort !
- Plus fort ?!
- Oui !


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À sa demande, je la ramone comme un animal. Tout comme avec Hélène, cela me fait drôle de voir Amélie en manque de bite ; j'adore. Elle fait toujours autant la fière, la petite salope. Je sens son plaisir monter, elle n'est sans doute plus très loin de jouir. Je m'apprête à lâcher ma sauce pour la rejoindre.


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- David! Stop ! s'exclame-t-elle soudainement.
- Hein ? Quoi ?
- J'ai dit stop !
- J'arrête mes coups de reins par un effort surhumain.
- J'ai fait quelque chose de mal ? dis-je.


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Je ne comprends pas ce qui se passe.
- Non, non. Je veux juste que tu me prennes à quatre pattes, comme une chienne.


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Elle grimpe sur le lit. Je la regarde ébahi. Amélie, le cul à l'air, sa fente dégoulinante de mouille. Elle se met en position pour que je lui démonte son trou. On ne voit pas ça tous les jours.


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- Tu te dépêches oui ? s'impatiente-t-elle. Viens-me la mettre !


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Je la rejoins mais je prends mon temps. C'est un spectacle sublime. Elle regarde droit devant elle, elle m'attend comme une petite soumise. J'ai toujours rêvé de la voir comme ça.


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- Allez bordel ! Ne me dit pas que tu n'en as pas envie !
- Je veux que tu me le demandes encore une fois.
- Salaud ! Je n'en peux plus ! Je veux que tu me baises comme une chienne ! Là, tu es content comme ça ?
- Oui !


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Je la pénètre et la lime à fond pour la récompenser. Elle crie de bonheur en retrouvant ma bite. J'avoue que je trouve un malin plaisir à la voir esclave de mon bon vouloir.


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- Alors, c'est comme ça que tu demandes à Hélène de te baiser, salope ?
- Ça ne te regarde pas !
- Tu es sure ? Je pourrais peut-être participer un jour.



- Ne touche pas à Hélène, salaud ! Elle est à moi !
- Et toi tu es à moi, rien qu'à moi !


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- Aaaaaaaaah !



Elle s'écroule en avant, la tête dans l'oreiller. Je prends un pied monstrueux à la dominer comme ça. Peut-être qu'elle m'en voudra après, mais pour le moment, je m'en fou.


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J'ai une envie folle d'éjaculer dans sa chatte, cela devient super dur de me retenir, je prie qu'il ne lui faille plus longtemps pour jouir, je tiens absolument à lui donner un bel orgasme.


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- Aaah ! Salaud ! geint-elle.
- Alors, c'est mieux qu'avec Hélène hein ? Avoue !


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- Oh oui ! Ta queue est bien meilleure ! Putain, c'est trop bon ! Baise-moi ! Je te jure, tu n'as pas intérêt à éjaculer avant moi ! Fais-moi jouir !
- Je vais te faire jouir, sale petite pute !


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C'est une torture. J'ai beau avoir tirer mon coup il n'y a pas si longtemps, j'ai l'impression que mes boules vont exploser tellement qu'elles sont trop pleines. J'essaie de la sauter à bon rythme comme elle le demande, mais outre la fatigue physique, le plaisir est tellement intense que c'est d'autant plus dur de ne pas cracher mon jus. Mes hanches bougent toutes seules, j'ai ce besoin bestial de lui labourer le vagin jusqu'à ce que mort s'en suive.


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Plus rien d'autre n'existe, plus rien d'autre ne compte. J'ai perdu la tête, je suis dans un autre univers, un où je ne peux plus penser qu'avec ma bite.


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- T'aime ma chatte ? Elle est bonne, hein ? me nargue-t-elle. Tu n'en as jamais baisé une comme ça avant, n'est-ce pas ?
- Putain, oui ! Je l'adore !
- Fait la bien jouir, salaud, et je te promets de t'assécher les couilles comme jamais.


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J'ai hâte de voir ça !
- Allez, continue, ça ne va pas tarder là, je le sens.
C'est la dernière ligne droite. Je deviens encore plus violent. Je tiens à son plaisir plus qu'au mien. C'est plus qu'une question fierté, je veux qu'elle m'appartienne, que je sois son mec, et pour ça, je dois être capable de l'emmener au septième ciel.


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- Ah ! Putain ! Oui ! Oui ! Oui ! crie-t-elle.
Ça y est, elle va venir, j'ai gagné. Je lui donne encore quelques coups de reins, puis elle explose de jouissance :
- Salaud. Oui ! Je jouis !


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Elle tremble de plaisir. Son vagin se resserre comme un étau. Je suis obligé de sortir pour ne pas venir avec elle. Je la regarde en train de se perdre dans les nuages. Je suis heureux d'être celui qui l'a mise dans cet état.


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Elle est à moitié dans les vapes, la respiration courte. Elle ouvre les yeux et me regarde. Elle se redresse, le dos collé à moi, puis m'embrasse.


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- Tu as mérité ta récompense, déclare-t-elle.


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Elle me pousse sur le lit, puis rampe jusqu'à ma queue. Sans dire mot, elle m'avale pour me sucer.


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Je suis surpris par son audace. C'est sa première fois avec un garçon, même si elle s'est peut-être entrainée avec des godes, je ne m'attendais pas à ce qu'elle se mette à me pomper le dard comme ça.


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D'ailleurs, je ne pensais pas qu'elle serait du genre à faire ça tout court. Elle ne doit pas se rendre compte de ce qu'elle fait. Avec mon niveau d'excitation, si elle me suce comme ça, je vais éjaculer.


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- Amélie ! Attends ! Non ! Je vais...
- J'ai dit que j'allais t'assécher les couilles, m'interrompt-elle. Tu vas voir, je vais te les vider avec ma bouche.


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Putain de salope ! Elle est folle ! Cela ne rate pas : à la seconde où elle reprend sa fellation, je me sens venir. Même si je le voulais, je ne pourrais plus me retenir à présent. Je grogne pour la prévenir. Elle comprend le message et fait ventouse avec ses lèvres.



- Amélie !
Je lui crache un premier jet de foutre en plein dans la gorge. Elle déglutit. Je lui en envoie un second, elle fait de même.


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Sérieux ? Amélie avale le sperme, mon sperme. Je la maintiens par la tête pour la forcer à avaler les giclées suivantes, non pas qu'elle ait besoin de ce genre d'encouragement.



Ça pour m'assécher les couilles, elle me les assèche. Je la nourris, et elle me boit. Je suis au paradis. Elle continue jusqu'à ce que ma source se tarit.


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Je ne suis pas sûr d'avoir déjà jouis aussi fort, elle est incroyable.


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- Amélie... fais-je en soupirant tandis qu'elle me fixe d'en bas avec des petits yeux de chat.
- Je t'aime, me dit-elle.
- Je t'aime aussi.


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Je viens de baiser avec Amélie et elle a avalé mon sperme. Je ne m'attendais pas à ce qu'une vierge fasse ce genre de chose à sa première fois, elle m'épate.



Je lui demande pourquoi elle a fait ça :
- Bah, je ne sais pas, je n'ai pas réfléchi. Quand tu as commencé à éjaculer, ça m'a semblé plus simple pour ne pas en avoir trop dans la bouche.
- Ça ne t'a pas écœurée ?
- Non, ça va. On pourra le refaire quand si tu veux si t'a plu.
- Un peu que ça m'a plu ! Aucune fille ne m'avait jamais fait ça.


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Ce n'est pas la seule chose extraordinaire qui s'est passé. Elle m'a dit « je t'aime », et je le lui ai répondu aussi du tac-o-tac. Cela venait du fond du cœur. Ce sont des choses que je ressentais pour elle depuis longtemps et que j'avais enfoui pour ne pas souffrir, je n'avais aucune idée qu'elle pouvait ressentir la même chose.


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Nous nous allongeons tous les deux dans son lit, sa tête contre mon épaule. Qu'est-ce que je me sens bien, je ne l'ai jamais vue aussi câline.



J'ai une pensée pour Hélène : je l'ai trompée avec Amélie, une de ses meilleures amies.



Je ne suis même pas sûr de comment elle réagirait si elle le savait. Qu'est-ce que je représente pour elle exactement ? Juste un coup de vacances ?


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J'ai envie de dire que c'est parce que notre relation n'a jamais été bien définie que je n'ai pas hésité à coucher avec Amélie mais c'est faux. Même si cela avait été officiel avec Hélène, j'ai honte de l'avouer, mais cela n'aurait rien changé. Je l'aime.


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Est-ce que cela veut dire que je n'aime pas Hélène ? Non, bien sûr que non, mais je ne sais pas, c'est le bordel dans ma tête. C'est possible d'aimer deux filles en même temps ?


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Il est temps que je parte avant que quelqu'un ne se rende compte de ce que nous avons fait.
- Tu t'en vas ? me demande-t-elle surprise.



- Oui, sinon, Hélène et Emilie pourraient nous surprendre.
- Et alors ? Ce serait mal ? Elles ont le droit de savoir qu'on est ensemble, maintenant.
- Je ne sais pas. Comment réagiraient-elles, tu penses ? Je n'ai pas envie de causer du remue-ménage entre vous.
- Pourquoi cela ferait du remue-ménage, on fait ce qu'on veut, non ?


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- Je ne sais pas. Je serais un peu gêné de nous afficher en couple alors qu'elles sont célibataires. Je veux dire, moi je serais un peu jaloux, ça me rappellerait ma solitude.
- Ça, ce n'est pas faux. Ce n'est pas pour rien qu'Hélène et moi... faisons ce que nous faisons. Je pense que ça l'affecterait, en effet. Sans parler d'Emilie. Elle n'a jamais eu de copain, je sais que ça la travaille.
- Tu es sérieuse ? Emilie ? M'enfin, elle est super mignonne. Les prétendants doivent se bousculer.


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Je sens que ma remarque l'a un peu irritée, elle est jalouse :
- Oui, oui, je sais, Emilie est super jolie, mais elle reste souvent enfermée. Puis elle est compliquée aussi, elle repousse tous les mecs. On dirait qu'elle a peur. Tu me pensais lesbienne ? Ben elle c'est sûr, si elle continue comme ça, tout le monde va y croire.


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- À propos d'Hélène... Tu comptes recommencer avec elle maintenant que nous sommes ensemble ?



- Pourquoi ? Cela te dérange ?
- Non, non, je trouve ça mignon quelque part. C'est juste que... je ne sais pas...
- Je ne sais pas non plus.


- Je veux que tu saches que quoique tu fasses, je ne te juge pas, et que je ne t'en empêcherais pas.
- Vraiment ? C'est... gentil et... inattendu.


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- Bon, il faut que j'y aille maintenant.
- D'accord d'accord. On ne leur dit rien pendant les vacances, mais on le leur dit plus tard alors, ok ?
- Ok.
- Ça va être dur de faire comme si de rien était n'empêche...
- Pour moi aussi.


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Je quitte sa chambre et essaie de reprendre mes esprits. Peu importe comment le prendra Hélène, à la fin des vacances, je lui dirais tout. J'ai envie de tout lui dire afin de préparer le terrain mais quand elle me saute dessus pour me sucer le lendemain, je ne parviens pas à lui dire non.


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Je l'ai rebaisée sans hésiter.


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J'aime Amélie, mais putain, ce qu'elle est bonne elle-aussi. Je sais, je devrais avoir honte, mais mettez-vous à ma place : je retrouve mes trois amies d'enfance après une longue absence.



Elles sont belles, elles sont chaudes, alors si deux d'entre elles veulent coucher avec moi, comment pourrais-je leur dire non ?!



J'admets également que de pouvoir m'en taper deux sans qu'elles ne le sachent, ça a quelque chose d'excitant.


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J'ai également une pensée pour la pauvre Emilie. Tout le monde baise et elle ne se doute de rien. Prude comme elle est, je n'imagine pas le choc si elle savait. C'est un véritable joyeux d'innocence.


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