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Legul
4 septembre 2019
Émilie, directrice et traînée de lycée - 25

Avant de reprendre, faisons un petit point sur la situation en cours : je suis en plein gangbang, dans ma chambre d'internat, avec 7 de mes élèves/clients et en compagnie de Laurent et de Lia. Laurent a voulu m'organiser cette orgie en guise de grand final à mes prestations pour cette année scolaire et Lia, comme à son habitude, m'accompagne pour s'amuser un peu.
Mais après avoir été bridée par Laurent qui refusait qu'elle participe avec moi à cette partouze pourtant si agréable, il lui a enfin lâché la bride et l'a autorisé à batifoler avec un élève.

--

Reprenons donc maintenant l'histoire là où je l'avais laissée, c'est-à-dire au moment où Lia commençait donc à sucer un élève qu'elle avait choisi pour son bon comportement au cours de cette année... Mais tandis que l'élève reste muet, ne voulant sous doute pas croire qu'enfin sa pionne si belle s'offrait à lui, Lia semble ne pas se lâcher complétement. Elle jette un œil à Laurent que ne la quitte pas des yeux, impassible mais tout de même un peu contrarié.


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L'absence de réaction de Laurent finit par détendre Lia qui, enfin, se libère. Surexcitée par de longues dizaines de minutes de frustration, Lia dévore littéralement la queue de l'élève qui semble sur le point de s'évanouir tant la sensation de se faire enfin sucer par sa pionne est délicieuse. Lia, joueuse, relache un peu la pression sur la queue et se consentre sur les testicules de l'élève qu'elle pompe et avale.


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Cette accalmie dans la fellation permet au jeune de reprendre ses esprits.

- Vous voyez qu'être sympa avec les pions, ça paie ! lance-t-il à ses copains, envieux.

Cette remarque, l'application que met Lia à lécher et gober la bite du jeune fayot et l'absence de réaction négative de Laurent commencent à attirer l'attention du groupe de garçons, et certains se rapprochent d'elle, queue à la main. Tout en continuant de s'occuper de son élève, Lia attrape un sexe avec sa main, l'évalue et lorgne sur les autres grosses queues qui l'entourent, comme si elle faisait son prochain choix.


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Sentant qu'il allait perdre son exclusivité, le jeune qui se faisait sucer par Lia l'invite à lui avaler la queue plus en profondeur. Elle s'exécute et se l'enfonce loin dans le gosier, démontrant ainsi une aptitude aux gorges profondes que j'ignorais.


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Puis se retire pour reprendre sa respiration et regarde avec délectation le choix de bites qui s'offre à elle.


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Elle se jette alors sur l'autre queue qu'elle avait en main, confirmant ainsi l'adage « premier arrivé, premier servi » et la suce avec application, mais sans lâcher la première qu'elle continue de branler.


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Mais Lia est affamée et ne peut se satisfaire d'une seule queue à la fois. Elle les gobe en même temps dans sa bouche, faisant rouler sa langue sur les deux glands suintants.


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Et à nouveau, après avoir longuement pompé les deux bites, son regard se perd vers les autres sexes qui l'entourent, toujours plus nombreux. Cette fois, elle semble s'être décidée pour le membre, énorme, du black arrivé en cours de gangbang. Elle le saisi en pleine main (tout en branlant un autre jeune lui-même bien membré) et lui demande :

- Je peux me permettre ? Je ne crois pas avoir déjà eu une aussi grosse queue dans la bouche...
- Alors fais-toi plaisir, Lia, répond le jeune, et profite-en, elle est tout à toi !
- Mmmhh quel honneur, dit-elle en s'accroupissant et s'approchant du gros membre ébène.


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Elle s'en saisit immédiatement et le pompe comme si elle voulait aspirer tout ce qu'il contenait.


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Mais alors qu'elle se ragalait, Laurent intervient :

- Heu... Lia, on avait dit « un seul mec »... C'est le troisième et je sens que tu ne vas pas t'arrêter là...
- Rhoo, ça va... Lâche-moi un peu... Va plutôt baiser Emilie et ne t'occupes pas de moi !

Vexé, Laurent s'exécute et se dirige vers moi. Il pousse le garçon derrière mon dos qui était en train de m'enculer et prend sa place. Il m'enfonce brutalement sa queue et me défonce le cul, tout aussi brutalement.


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Malgré mon expérience, cette violente pénétration commence à me faire plus de mal que de bien et je lui demande donc de se calmer.

- Madame la directrice à mal au cul ? réagit-t-il alors avec ironie. Et, je vais changer de trou, dans ce cas !

Et sans plus attendre, il retire sa queue de mon cul et l'enfonce presque d'un coup dans ma chatte pourtant déjà occupée par le jeune homme que je chevauchais.


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Celui-ci réagit avec un « oh putain !! » du fait de l'étrange sensation d'une queue contre la sienne et d'un orifice soudain très serré. Mais il s'habitue finalement bien et me lime tranquillement pendant que Laurent, lui, me défonce à rythme soutenu.


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Habituée aux doubles pénétrations vaginales, je profite avec plaisir de cette intromission qui me permet, en outre, de soulager un peu mon cul. Je suis également ravie car, en face de moi, j'assiste à la transformation de Lia qui suce comme une folle la queue du black tout en branlant les autres sexes à ses côtés.


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Puis, lassés de se faire sucer, les blacks retournent me baiser et une rotation s'effectue entre Lia et moi. La belle blonde est bientôt submergée de nouvelles queues qu'elle suce, branle et lèche.


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De mon côté, j'étais prise en sandwich en continu depuis un bon moment avec Laurent, tantôt dans mon cul, tantôt en dans ma chatte (en surnombre...) qui me défonçait, se vengeait sur moi.


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Mais les blacks qui venaient de quitter la chaleureuse bouche de Lia font alors valoir leur droit de clients et demandent à Laurent de laisser la place. Je suis donc prise à présent par d'énormes queues ébène qui, même sans violence, me déchirent tous les trous.



Laurent, inoccupé, se rend alors compte que sa copine chérie suce une petite dizaine de queues et qu'elle y prend manifestement un plaisir incroyable. Fou de colère, il me prend soudain par les cheveux, me crache au visage et me dit :

- C'est de ta faute si ma copine est devenue la même salope que toi ! Espèce de pute !!
- C'est toi qui as fait de moi une pute et c'est toi qui l'as envoyé avec moi vers les clients, connard, lui répondis-je alors en dégageant mes cheveux de sa main. Et Lia était une nympho avant de me connaître. Tu voulais la garder pour toi mais c'est impossible !
- Putain, c'était la femme de ma vie !
- Et bien maintenant, c'est la femme de beaucoup de monde !! Et ton amour pour elle ne t'a pas empêché de me faire chanter et de me baiser en long, en large et en travers ! Tout est de ta faute, en fait... Tu aurais pu nous avoir elle et moi pour toi tout seul... Et tu as tout perdu, t'es vraiment un con !

Furieux de cette défaite qui lui saute enfin au visage, Laurent se recule, la queue à demi molle et regarde, presque triste, Lia entourée d'hommes qui, à présent, farfouillent dans sa chatte lui lèchent le fion et sont, manifestement, prêt à passer à la vitesse supérieure avec elle.



Moi-même, curieuse de voir comment la situation allait évoluer, je me dégage des élèves qui me prenaient en double pour faire une pause et vais admirer ma surveillante préférée. Les blacks qui me baisaient rejoignent alors, sans surprise, le groupe.

Je me place à côté de Laurent et lui dit gentiment :

- Laisse là être ce qu'elle veut être : une femme qui assume sa sexualité ! Lia ne peut pas être la femme d'un seul homme et...
- Putain, mais ta gueule, hurle-t-il alors en me giflant sous les regards scandalisés des élèves.

Puis il se dirige à grands pas vers Lia, pousse les gamins qui l'entourent et la saisi du bras.

- Maintenant tu arrêtes tes conneries et tu viens avec moi !!
- Putain mais lâche moi ! Tu crois vraiment qu'on forme un couple, toi et moi ?? C'était juste pour la baise mais maintenant c'est fini ! Ok ?
- Dis pas n'importe quoi, c'est à cause de cette salope d'Emilie !
- Non ! Emilie a raison, c'est à cause de toi ! Maintenant dégage, Laurent !
- Tu vas...

Soudain un grand black le pousse violement au fond de la pièce et lui dit :

- Elle va rien du tout ! T'as pas compris ce qu'elle a dit ? Vous deux c'est fini, alors casses-toi. Ya plus d'histoire de clients, de prix, de pute. On va juste baiser toute la nuit ces deux chiennes pas parce qu'elles ont été payées mais parce qu'elles le veulent. Alors maintenant tu dégages ou je te jure que toi aussi, tu vas avoir le cul explosé !

Vaincu, Laurent se dégage de la prise de l'élève et va prendre ces affaires. Il se rhabille puis sort de la pièce en nous lançant :

- Vous allez tous me le payer !

Puis il claque la porte de ma chambre et nous laisse enfin tranquilles. Histoire de détendre l'ambiance qui avait un visiblement refroidit tout le monde, vu les sexes ramollis de certains, je dis :

- Bon ! On en était où ? Ah oui, Lia était en train de tous vous sucer... Et certains envisageaient même de la baiser je crois...
- Il me semble que c'est bien ça, répond alors Lia avec un grand sourire.

Le gangbang a ainsi pu reprendre un cours normal et, malheureusement pour nous, allait vite devenir incontrôlable. En effet, si pénible était-il, Laurent maintenait des limites, des bornes. Mais ces limites venaient de disparaitre et les garçons allaient en profiter... toute la nuit.

Les élèves ont repris ce qu'ils faisaient à Lia, à savoir lui baiser la bouche et la doigter de partout. Je me suis jointe à elle pour satisfaire toute ces queues en demande et, pendant de longues minutes, nous avons donc gobé tout ce qui passait à notre portée.


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Malgré ces corps qui nous entouraient, j'ai vite remarqué que de nouveaux élèves se joignaient à la fête. Il était évident que, sans Laurent, certains gamins avaient prévenus leurs potes, restés dans l'internat.

Rapidement, des élèves passent derrière moi pour me pénétrer à nouveau. Mais Lia, elle, préfère y aller plus doucement. Elle se lève, va s'allonger sur mon lit en tenant par la main un des élèves et l'invite à la pénétrer sans brutalité.



Il est vrai que, contrairement à moi depuis des mois, Lia n'a pas eu d'expérience avec des partenaires multiples. Mais malgré cet état de fait, elle accepte volontiers les queues qui, à nouveau se présentent à elle alors qu'elle se fait baiser.

Après avoir reçu une belle série de queues dans la chatte, je me relève également et vais m'allonger à côté de Lia. Hors de question que je sois loin d'elle alors que mon fantasme se réalise : la voir se faire baiser. Je relève mes jambes, crache dans ma main et dépose ma salive sur mon anus, montrant ainsi le chemin à prendre pour mon prochain amant.

Se succèdent ainsi de nombreux élèves dans mon cul, tandis qu'à côté de moi, ils défilent également dans la chatte de Lia.


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Celle-ci me regarde avec envie me faire enculer et cède à la tentation. Elle se saisi d'une queue qui allait la pénétrer pour la diriger plus bas, vers son anus. Le gamin, ravi, appuie pour entrer dans le petit trou de Lia mais je la vois alors faire la grimace tandis que la queue progresse très péniblement.


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D'un bon, je me lève, pousse le gamin, me place entre ses jambes et commence à lui lécher l'œilleton car je veux que Lia ne ressente aucune douleur pour cette sodomie qui en annonce, j'en suis sûre, des tas d'autres.


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Sentant son anus bien lubrifié mais encore serré, j'y enfonce deux doigts et commence à aller et venir dans son colon. Les garçons nous observent tranquillement faire mumuse, en nous laissant tout notre temps puisqu'ils savent très bien que dans quelques instants, ce sont eux qui nous défonceront le cul.


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J'enfonce un troisième doigt dans l'arrière train de Lia et la masturbe doucement. Elle me sourit et semble vraiment apprécier. Mais je sens qu'elle est tout de même étroite et je ne suis pas sûr que les garçons survoltés la pénètrent avec la prudence de rigueur...


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Tout en la besognant, je demande à Antoine de jouer à nouveau les éclaireurs, les ouvreurs de piste ! Je sais qu'avec son sexe de taille normale et le respect qu'il m'a toujours montré, il saura être délicat avec Lia. Les autres garçons râlent de devoir laisser leur place mais Antoine répond avec humour :

- Hé, les gars, faut bien qu'il y ai quelques avantages à avoir une petite queue !!

Tout le monde s'amuse de cette remarque, Antoine ayant l'intelligence de ne pas complexer à côté des immenses blacks qui l'entourent. Je laisse donc la place à mon protégé qui vient se mettre en les jambes grandes ouvertes de Lia.

Par prudence, il crache dans sa main pour se lubrifier la bite, ainsi que l'anus de sa pionne envers laquelle un tel contact était encore impassable il y a 2 heures. Il y enfonce ces doigts en commentant :

- Mmhh, tu n'es pas si étroite que ça, Lia...
- Ce ne sera pas ma première fois dans le cul... Mais je suis quand même contente que ce soit toi qui passes en premier ! Tu y va mollo, hein ?
- Promis ! Tu vas adorer...

Entre la pionne et l'élève, la complicité semble réelle, facilitée il est vrai par le sexe de l'un qui commence à entrer dans le fion de l'autre ! De mon côté, je m'empale à nouveau sur la première queue à ma portée et surveille de près l'intromission anale de Lia.


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Le groupe, satisfait, observe la queue d'Antoine disparaitre doucement dans le cul de Lia puis réapparaitre tout aussi doucement. Le couple profite et semble en totale harmonie même si une dizaine d'autres sexes bandés les entourent.

Lia ferme les yeux et se concentre pour dépasser la gêne et l'inconfort de cette première pénétration. Antoine, lui, se couche sur elle en continuant de la pénétrer doucement et l'embrasse tendrement. Ils vont si bien ensemble qu'aucun autre mec n'ose les déranger en demandant à Lia de les sucer, par exemple.


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Du coup, ils s'en retournent tous vers moi et, à nouveau m'enculent et me baisent à la chaine.

Mais il est évident qu'ils ne peuvent se satisfaire longtemps de ne passer sur moi qu'un seul à la fois. Je suis donc rapidement placée sur un élève allongé sur le dos pour m'enfoncer sa queue dans le cul. Puis, alors que j'ai les jambes écartées et la chatte disponible, un autre en prend possession.


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Et s'en suit une nouvelle série de doubles pénétrations, auxquelles s'ajoutent des fellations tout azimut.


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A côté de moi, Antoine a enfin cédé sa place à un de ses potes et se fait maintenant branler par Lia. Je note qu'elle refuse de le sucer, sachant d'où il vient de sortir, alors qu'elle a, peu de temps avant, sucer Laurent qui pourtant sortait de mon propre cul.

Mais ces futiles frilosités allaient bientôt disparaitre. Car avec les mecs qui se succédaient en moi ou en elle, nous léchions forcément, à un moment donné, des queues épicées...

Deux groupes s'étaient donc constitués, l'un autour de Lia avec sodomies, branlettes, fellation...


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...et un autour de moi, avec un orifice sollicité en plus. Et alors que je pensais que la fête allait gentiment toucher à sa fin, vu les signes de faiblesse de certains, elle redouble au contraire de perversité.

En effet, Florian, que me besognait la chatte, me fait un clin d'œil, sort de mon vagin et appuie sur la queue de son pote pour rentrer, avec lui, dans mon cul. Et alors que je pensais que celui du dessous allait protester avec vigueur, il n'en fait rien et laisse le gros sexe de Florian coulisser sur le sien pour venir me dilater le fion.

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Les deux sexes progressent difficilement en moi, mon anus étant encore assez peu entrainé à ce genre de pénétration extrême. Je m'efforce de ne pas montrer ma douleur naissante et fais tout pour me détendre.


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Mais Lia n'est pas dupe et c'est à son tour de voler à mon secoure demandant aux deux larrons qui me défoncent le fion d'y aller plus doucement.



- Eh, mollo les gars, vous allez la déchirer !

Voyant que cette demande ne suffisait pas, elle se retire du mec qui la sodomisait et tire Florian en arrière pour qu'il sorte de mon anus. Puis elle me soulève, m'éloigne du groupe de clients et me fait m'assoir sur un fauteuil.

- Ce n'est pas parce que c'est une pute de compétition qu'elle ne mérite pas un peu de précaution... Venez là Madame la directrice, je vais vous élargir l'anus pour vos élèves...

Ayant déjà eu affaire au talent de dilatation de Lia, je sais pertinemment ce qui m'attend, et j'en suis ravie !

Avec beaucoup moins de finesse que je n'en avais utilisé pour son fion, Lia enfonce 4 doigts dans le mien et fais tourner sa main pour assouplir le sphincter. Puis, sentant que le passage était fait, elle joint son pouce à ses autres doigts et enfonce la totalité de la main en moi.



Elle me stimule également la chatte en me léchant le clito, ce qui rend l'intromission de son poing d'autant plus agréable.


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Elle me fait ensuite m'allonger par terre, au milieu des garçons admiratifs et bien contents d'une pause aussi divertissante. Elle me renfonce son poing dans le cul en le faisant pivoter mais se s'arrête pas à la main. Sans rencontrer de grande résistance, elle continue de s'enfoncer, faisant disparaître son poignet...


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... puis une bonne partie de son avant-bras, sans que je ne conteste ni ne me plaigne. Mon colon est rempli jusqu'au plus profond de mes entrailles, plus que je ne l'ai jamais été.


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Cette sensation digne d'Alien est déroutante mais très excitante. Mon ventre se soulève légèrement sur son passage tandis qu'elle enfonce son bras jusqu'au coude.


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Les garçons autour sont médusés par une telle souplesse. Mais ils n'ont encore rien vu ! Lia retire son bras doucement, ressort sa main gluante de lubrifiant et d'autres liquide sécrétés par mon organisme et me place sur le côté.

Elle me renfonce alors d'un coup ample et continu le poing dans le cul puis le retire aussi tôt et recommence dans la foulée son mouvement. Et elle continue ainsi son intromission infernale avec son poing fermé : dedans, dehors, dedans, dehors...


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Elle me massacre le cul avec son poing, considère mon anus comme un élastique incassable et moi, pendant ce temps, je gémis, je bave, je jouis, comme une malade mentale qui aime qu'on la détruise.


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Puis elle approche sa deuxième main et commence à la glisser en moi, en même temps que sa première. Puis, sans aucune résistance, elle fait mouvoir ses deux mains jointes dans mon cul.

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Souhaitant sans doute pousser l'expérience encore plus loin, elle me demande de me mettre à quatre pattes pour recommencer le « double fist fucking ». Et alors que Lia semble essayer de me rendre incontinente à vie, cette petite vicieuse m'arrache un nouvel orgasme... Je jouis de me faire détruire le cul et alors que la douleur a largement remplacé le plaisir depuis un moment.


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Flageolante, épuisée, je demande à Lia d'arrêter le fist car une fois l'orgasme passé, je sens que mon cul commence sérieusement à me faire souffrir. Et comme il est prévu qu'il serve encore de manière intensive ce soir, j'essaie de faire entendre raison à ma suiveillanet adorée et de me le ménager.

Elle accepte volontiers de me libérer, non sans vérifier, au passage, l'élasticité de mon sphincter.



Lia, satisfaite, déclare que ce trou peut à présent accepter n'importe quoi et annonce aux garçons qu'ils peuvent à nouveau me remplir ! Mais la coquine déclare également qu'elle veut s'assurer elle-même que leurs queues vont passer sans poser de problème.

Elle me propose donc de me placer sur un des blacks sur-membrés et enfonce elle-même sa queue colossale dans mon cul.


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Puis elle demande à un autre, non moins membré, de passer au dessous de moi et de s'introduire également dans mon cul, doucement et prudamment.


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Mais l'engin n'entre qu'avec difficulté et Lia leur demande de ressortir. Elle se saisit de la queue « black » et la suce goulument pour la lubrifier...


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... et en fait de même avec la queue « blanche ».


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Le gout épicé ne la dérange manifestement plus et je pense d'ailleurs que sa prudence envers mon anus tient plus du zèle pervers que d'une réelle nécessité car je me voyais bien accueillir sans souci ces deux chibres ! En tout cas, elle prend son rôle à cœur et, à nouveau, m'enfonce son poing dans le cul pour « me préparer ».


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Le jeune métisse sur lequel je suis allongée patiente en m'écartant les fesses mais celui-ci qui était sur moi, lui, semble s'impatienter. Trop excité pour attendre une minute de plus, il dirige sa queue vers mon anus et s'y enfonce alors que Lia occupe encore l'endroit avec son poing !


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Et alors que cette double anale était, pour le coup, assez extrême pour moi, Lia ne se retire pas, n'engueule même pas le jeune impatient et continue de me fister et de branler cette queue à l'intérieur de moi. Elle prend même la peine de branler le black pour qu'il ne trouve pas le temps trop long.


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Pour le coup, j'étais maintenant prête à me prendre tout et n'importe quoi dans le fion et Lia, consciente qu'il fallait reprendre le gangbang et s'occuper de tout nos clients affamés, retira sa main et y plaça elle-même la queue qu'elle branlait.

D'ailleurs, ce que je ne savais pas, c'est que pendant tout ce temps où elle facilitait ma double pénétration anale, elle-même était prise par derrière par un client qui, lui aussi, en avait assez d'attendre qu'un trou se libère.


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Les affaires allaient donc reprendre sérieusement et je vois Lia qui se place à côté de moi pour s'enfoncer dans le cul un autre black pendant que j'étais encore et toujours prise en double anale, mais dans une autre position.


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Plusieurs élèves défilent en moi et dans Lia, tous voulant profiter de son cul. A un moment, un grand black s'approche d'elle et souhaite tenter sur elle la double anale. Mais Lia explose de rire en lui disant que ce n'est même pas la peine d'y penser !


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Déçu, l'élève recule mais Lia lui dit alors :

- Hé Oh ! Pourquoi vous êtes si obsédé par le fion ?? Ma chatte est là, libre et disponible, alors prend là !

Je n'en revenais pas : Lia venait de demander une double pénétration ! Il ne faut pas le dire deux fois au client qui, avec plaisir, s'engouffre dans la chatte serrée de Lia.


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A nous deux Lia, nous nous occupons d'entre 3 et 5 clients à la fois, en comptant ceux que l'on suce et que l'on branle en même temps. Pourtant, il semble que nous soyons toujours débordée et la pièce se rempli de plus en plus d'élève et des sept participants du départ ils sont à présent au moins une quinzaine à nous tourner autour.

Lia et moi sommes assises à cheval sur chacune un élève, avec leur bite soit dans le cul (pour moi)...


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... soit dans la chatte (pour elle)


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...et derrière, se succède le reste de la troupe. De mon côté, les garçons entrent et sortent de mon fion, systématiquement à deux dedans, et vont ensuite se faire sucer, branler ou juste se reposer.


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Chez Lia, même manège. Elle se fait baiser et enculer, tout en suçant ou branlant tout ce qui passe à sa portée. Nous ne contrôlons plus rien, ne dirigeons plus rien. Les garçons se succèdent où ils veulent, s'organisent comme ils veulent. Nous sommes réduites à des orifices béants.


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Tandis que mon statut de pute et mon gout pour la soumission font que je ne refuse rien de ce que les garçons veulent me faire, Lia, même soumise, garde un caractère très solide et refuse systématiquement les tentatives de double pénétration anale qui, régulièrement, arrivent. Du coup, les garçons se vengent sur son cul et, un par un, le défoncent dans toutes les positions possibles et inimaginables.


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Clairement, le gangbang nous a échappé mais, à ce moment, je ne pense absolument pas à l'état dans lequel je vais terminer. J'ai déjà jouis à plusieurs reprises depuis le début de l'orgie et le plaisir est toujours au rendez-vous. On me baise, on me fesse, on m'insulte, on me crache dessus mais rien n'y fait, j'aime ça et j'en jouis !

L'excitation est clairement à son comble et les garçons présents depuis le début commencent à craquer. Alors qu'on me défonce le cul en groupe, un premier gamin me jouis au fond du gosier alors qu'il me baisait la bouche.


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Evidemment, j'avale la majeure partie de son jus mais il continue de me baiser la bouche alors qu'il se vide... Je recrache donc de long fils visqueux où se mélangent foutre, glaire, salive...


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Cette première éjaculation décomplexe certains gamins au bord de l'explosion mais ne voulant pas être les premiers à craquer... Un de ceux que je branlais me jute alors au visage dans la foulée du premier...


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... pendant qu'un autre rempli la bouche de Lia.


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Mais ces trois premiers clients « satisfaits » ne réduisent pas pour autant l'intensité du gangbang. Ils décident de nous retourner et de nous changer de position. Lia et moi nous retrouvons donc assises sur d'autres gamins, mais en cowboy inversé, les jambes ouvertes vers l'extérieur.

Dans cette position, ma chatte est bien disponible, mais bizarrement, c'est à nouveau mon cul rempli que les clients visent. Les doubles anales sur succèdent à nouveau et un autre gosse craque à son tour en me maculant le visage et la poitrine se sperme.


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Lia est également prise en double et celui qui l'enculait jouis soudain et la rempli. Il se retire mais est immédiatement remplacé par un autre qui lime son cul comme un fou et jouit à son tour puis se retire. Remplie, Lia se redresse et laisse échapper de son cul souillé et béant un flot impressionnant de sperme.


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Lia est alors placée sans ménagement sur un autre gamin qui choisit de s'enfoncer dans sa chatte, alors encore propre. Un autre élève s'approche par derrière pour la prendre en double, mais voyant l'allure de son anus encore maculé de foutre frais, décide de pénétrer également le vagin de Lia. Il y enfonce donc sans autorisation préalable de la blonde sa queue et prend Lia en double vaginale. Sa toute première !


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Je la vois qui essaie de contester un peu mais cède rapidement à la pression populaire et se laisse élargir le sexe pendant que sa bouche est à nouveau assaillie puis remplie de foutre chaud.

C'est à ce moment que j'ai commencé à perdre le fil de l'orgie et à n'avoir que des souvenirs flous du reste de cette soirée aux conséquences terribles.

En effet, j'ai commencé à me laisser totalement faire, ne raisonnant plus du tout et ne voyant pas que ma vie allait être bouleversée à jamais. Toujours plus de monde nous entourait et toujours plus de queues nous pénétraient. On nous plaçait et déplaçait comme de simples poupées et on nous prenait dans tous les sens.


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Les éjaculations se succédaient également régulièrement tout comme nos orgasmes et nous « bénéficions » donc de temps en temps de pause pendant lesquelles nous sommes souillées de foutre.


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Puis ils nous nettoient un peu, en tout cas suffisamment pour ne pas être eux-mêmes recouvert du sperme de leurs copains, et reprennent l'orgie à un rythme toujours aussi effréné. En effet, malgré que certains garçons craquent régulièrement, entre les premiers qui avaient jouis et voulaient du rab et les nouveaux venus sans cesses plus nombreux, il y avait toujours du monde excité et prêt à nous baiser !

La chaleur, le plaisir, la douleur, l'odeur de foutre me faisaient perdre mes repères. Aujourd'hui encore, difficile de retracer le reste de cette soirée.

Je sais que j'ai expérimenté la triple pénétration lorsqu'un gamin, un peu trop imaginatif, m'enfila sa queue dans le cul alors qu'une double pénétration « classique » était en cours.


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Dans l'euphorie et la folie du moment, j'ai même expérimenté une triple anal, insertion sans aucun intérêt si ce n'est contenter 3 pervers en même temps...


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Lia a également tester ce genre de pénétration multiple mais différemment. Elle avait deux bites dans la chatte et une dans le cul. Et si elle n'avait pas conservé un semblant de raison, ils lui auraient pris également le cul en double...


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Nos orifices ne ressemblaient plus à rien, tout comme nous car nous étions recouvertes et remplies de sperme. D'abord prudents lorsque les premières éjaculations ont eu lieu, les garçons jouissaient à présent en nous sans se préoccuper des mares de foutre déjà présentes. Nous débordions de sperme par tous les bouts et étions dans un état lamentable.


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L'anarchie était totale et les choses allaient trop vite pour nous. Je me souviens tout de même avoir cru à la fin de l'orgie alors que nous étions à genoux entourées d'élève, avec Lia à mes côtés, à sucer toutes les queues qui se présentaient à nous...



...pour un bukkake géant où, cette fois, tous ceux qui n'avaient pas encore jouis ont participé.



Ils nous ont ensuite demandé de nous embrasser, de nous lécher mutuellement pour nous nettoyer.


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Mais nous avions déjà avalé des quantités industrielles de foutre et nous avions toutes les deux la nausée. Nous peinions donc à tout avaler et l'un des gars a dit qu'il serait plus simple de nous faire prendre une douche. J'entends alors un autre répondre :

- Une douche ? Ça c'est une bonne idée...

Et sur ces mots, alors que nous nous embrassions encore, il commence à nous pisser dessus.



Il est bientôt rejoint par d'autres élèves. Seul un petit nombre participe à cette humiliation supplémentaire mais il y en avait assez pour que nous prenions une véritable et longue douche de pisse.



Puis nous avons enfin été à la douche, la vraie cette fois-ci, pour enlever toute ces souillures immondes et accumulées depuis des heures. J'aurais aimé vous dire que nous avions batifolé, Lia et moi, dans la douche mais les seuls contacts entre nous deux avaient pour but de nous nettoyer le plus efficacement possible.


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Je me souviens alors penser que l'orgie allait s'arrêter car tout le monde était vidé mais en regardant vers le salon, j'ai vu que les garçons restaient là, queues bandées en main, tous prêts à un deuxième round !

Lia et moi nous nous embrassons alors pour nous donner du courage et pour profiter d'un dernier moment de romantisme avant la reprise des hostilités !


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Puis nous sortons de la salle de bain, récupérons notre lingerie, en tout cas les parties non maculées de sperme ou d'urine et nous nous apprêtons le mieux possible en essayant de ne pas montrer notre fatigue.


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Mais les garçons se foutaient pas mal de ces détails ou de nouvelles préliminaires et nous ont sauté dessus sans ménagement. Soumises, nous nous sommes agenouillées au sol, avons tendu les fesses pour qu'ils nous enculent à la chaine, l'une à côté de l'autre.


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La baise a ainsi continué toute la nuit, dans toutes les positions et combinaisons possibles inimaginables. Et ils nous défonçaient par tous les trous, encore et encore.

A un moment, nous nous été sorties de ma chambre pour être baisées dans les couloirs puis dans la salle commune de l'internat (avec babyfoot, bar géré par les élèves, musique, etc.). Là, assises sur des tabourets de bar, nos anus ont été défoncés à la chaine par une bonne partie de l'internat. Si ce n'est tout l'internat.


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Je me souviens aussi de groupes « thématiques » qui se formaient. Par exemple, les noirs, arabes et métisses du lycée, certes rares vu le caractère rural du coin, se sont regroupés et m'ont prise dans tous les sens...


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...puis se sont accaparé Lia qu'ils ont ravagés en long en large et en travers.


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A ce moment-là, Lia et moi avons été séparées et, pendant qu'elle était aux mains des plus grosses queues bronzées de tout le lycée, j'étais promenée de chambre en chambre pour que ceux qui n'avaient pas encore participé au gangbang, puissent s'amuser un peu. J'étais attachée à la porte et mise à disposition pour 15 min de ses occupants.


Ensuite, on venait me rechercher et j'allais dans une autre chambre. Je suis passée dans toutes les chambres de mon internat et, de fait, tous mes élèves me sont passés dessus cette nuit-là.

Entre deux chambres, je suis repassée devant la salle communale où Lia était restée avec l'autre moitié du groupe, dont les blacks, et était elle aussi en train de se faire défoncer, encore et encore. Elle était, au moment précis où je l'ai aperçu, dans une situation délicate puisqu'elle était prise en double, avec une queue également dans la bouche et un autre mec s'approchait par derrière, bite en main, pour apparemment se joindre à la fête.


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Allait-il attendre son tour ou au contraire s'inviter dans un des trous pourtant bien rempli de Lia ? Et surtout, lequel allait-il choisir ??

Je n'ai, malheureusement ou heureusement, pas pu le voir car on me tirait par la laisse vers la prochaine chambre. J'ai juste entendu Lia pousser un hurlement où le plaisir se mêlait à une touche de douleur. Après, plus rien, je suis allé de chambre en chambre sans la recroiser.

Après m'être faite remplir le cul, la chatte, la bouche, après avoir dépucelé tous élèves les plus timides qui n'avaient encore jamais osé faire appel à mes services, après avoir joui encore de nombreuses fois malgré la déchéance absolue que je vivais, les élèves qui tiraient ma laisse m'ont ensuite emmené au sous-sol, dans un espace de rangement insalubre normalement interdit aux élèves. J'étais toujours à quatre pattes, comme une chienne, et j'attendais sagement les instructions, complètement brisée, incapable de résister.


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Là, un des mecs a déclaré que j'étais maintenant leur esclave, que je devrait porter un collier de chienne en permanence et que mon corps était à la libre disposition de l'ensemble du lycée. La journée, je pourrais être à mon bureau, habillée normalement mais tout de même en « libre accès », mais le soir venu et les weekend, mon nouveau domicile serait ce sous-sol lugubre où je serais le jouet de tout l'internat.

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Brisée, humiliée, fatiguée, j'étais incapable de protester. Et, en même temps, pourquoi l'aurais-je fait ? Tout l'internat m'avait baisé cette nuit et il m'était impossible dorénavant d'être leur directrice. Je savais que ma vie était foutue et que c'était entièrement de ma faute... J'avais eu ce que je méritais : j'étais une directrice salope et exhibitionniste, je suis devenue ensuite une pute de la pire espère, j'étais maintenant une esclave sexuelle...

Malgré ma soumission et mon absence de protestation, certains des garçons voulurent me montrer qu'ils ne plaisantaient pas. A quatre ou cinq, ils me prirent à nouveau mais de manière très brutale, en me molestant, me secouant, m'étranglant juste ce qu'il fallait pour me faire flipper un peu, et, évidemment, en me baisant et en m'enculant.



Et moi, en véritable malade mentale, je branlais leurs queues sans qu'on me le demande, j'hurlais et pleurais de plaisir et je jouissais... encore et toujours. Je jouissais d'être étranglée et d'être utilisée comme une esclave, comme un objet.

De nombreux élèves restaient en arrière, se contentant de regarder. Mais lorsque la douche de sperme a commencé, ils ont tous participé avec joie !


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Le soleil commençait à percer derrière les fenêtres de l'internat, il devait être 5 ou 6 heure du matin (nous étions fin juin). Cela signifiait que j'avais été littéralement baisée toute la nuit, sans aucun répit. Et il paraissait évidement que mon nouveau statut d'esclave sexuel était la seule issue envisageable à cette terrible soirée.

C'est au moment où les dernières giclées de sperme s'abattaient sur moi et que ma vie semblait irrémédiablement foutue que le directeur et le CPE de l'établissement entrèrent dans le local, avertis et accompagnés par Laurent et deux autres surveillants venus en renfort. Ce fût alors la panique chez les élèves encore habillés, ceux qui voulaient participer mais sans trop s'impliquer : ils détalèrent par les différentes portes d'accès au vaste sous-sol sans que le directeur n'essaie de les arrêter. Les leaders, nus, se retrouvèrent une poignée et comme des cons devant le directeur et ses gros bras qui leur ordonna de retourner dans leur chambres en attendant de connaître leur sort.

Vautrée sur ce sol dégoutant, épuisée et ravagée, j'ai tout de même trouvé la force de dire que Lia était encore sans doute dans l'internat avec les autres élèves et qu'il fallait aller la chercher de toute urgence.

Ils la trouvèrent à l'étage, dans les toilettes à côté de la salle commune où je l'avais vu pour la dernière fois, endormie entre deux urinoirs...



Elle était dans un état presque encore plus lamentable que moi, couverte de sperme, d'urine, de crachats et d'inscriptions au feutre indélébile toutes plus insultantes les unes que les autres. Les élèves, eux, étaient retournés dans leur chambre et ont tous été fraichement cueillis par le directeur qui instaura un couvre-feu : tout élève présent ce soir-là à l'internat avait l'interdiction d'en sortir jusqu'à nouvel ordre.

La suite des évènements, elle, n'est pas floue et restera gravée à jamais dans ma tête. Nous avons d'abord été prises en charge par l'infirmière du lycée pour nous aider à nous nettoyer, à nous remettre physiquement et émotionnellement de cette épreuve.

Vu le spectacle et l'ampleur de la catastrophe annoncée, le directeur a tenté de trouver un « scénario » pour se sortir de ce bourbier. Il a considéré qu'il y avait forcément de la relation non consentie dans cette histoire pour afin d'obtenir le silence de tous en expliquant aux surveillants et élèves qu'ils pouvaient tous avoir de gros soucis avec la justice si l'histoire se savait.

Pendant que nous nous reposions à l'infirmerie, il a donc convoqué les enseignants d'un côté et les élèves de l'autre. Aux enseignants, le message était clair : une soirée à l'internat avait mal tourné et nous nous sommes faites violées, Lia et moi. Certes il pouvait tout simplement aller à la Police. Mais vu le nombre d'élèves impliqués (tous en fait), de surveillants et peut être même de professeurs, le directeur demandait d'enterrer totalement et définitivement cette histoire (avec menace de licenciement à l'appui) et prétendait régler ça en interne avec les victimes (nous).

Avec les élèves, c'était différent. Il annonça qu'il connaissait toute l'histoire, que des sanctions seraient prises et qu'il disposait de noms sur des listes. Il dit aussi qu'il pouvait rajouter des noms, si besoin... Il ordonna donc que cette histoire ne sorte pas du lycée, à grand renfort de menace sur les diplômes, sur la suite de la scolarité voir avec la justice, l'ensemble des garçons impliqués étant majeurs ou presque. La plupart des élèves qui avaient pris le leadership lors de cette soirée ont été renvoyés du lycée avec un dossier disciplinaire bidon et le directeur constitua un dossier (avec liste de noms, tarifs, photos retrouvées, etc.), prêt à être envoyé à la Justice si un élève se montrait bavard.

Restait encore à nous faire taire, nous, les victimes... Après avoir attendu deux semaines pour que nous nous remettions de cette soirée et pour régler l'affaire avec le reste du lycée, il nous convoqua. Il commença par Lia qui ne s'était pas prostituée mais qui avait une responsabilité dans la gestion des clients. Elle était donc, aux yeux du directeur, autant une coupable qu'une victime du système de Laurent. Tout comme lui, elle fût donc envoyée dans un autre établissement. Mais contrairement à lui qui n'eut que des menaces de poursuites s'il parlait, Lia eut droit à une belle enveloppe pour acheter son silence. Elle trouva l'offre bizarrement généreuse et elle avait raison de se méfier car elle dût faire un passage sur et sous le bureau du directeur pour conclure le contrat.



Mon cas était plus difficile car j'étais directrice titulaire et bien notée. Il ne pouvait pas me licencier comme ça, d'autant que je le menaçais s'il le faisait de tout balancer dans les journaux. Mais il était impossible de me laisser en place ici, de nombreux élèves/clients étant présents pour les années prochaines. Il usa donc de ses connaissances pour me trouver une place de directrice dans un autre lycée, à l'autre bout de la France, avec une belle augmentation à la clef.

Le compromis était idéal pour moi : changer de vie, me faire oublier, repartir de zéro. Evidemment, c'était sans doute un peu trop idéal et mon directeur, comme avec Lia, eu la gentillesse de me demander un remerciement « spécial »... Une toute dernière fois cette année, je dû passer à la casserole sur un bureau de mon lycée. Il se comporta comme un goujat et me baisa comme une malpropre. Mais méritais-je vraiment un autre traitement ?



Et ce fût la dernière fois qu'on me prit pour une pute, une esclave, une salope. La dernière fois durant des années et des années. La dernière fois avant ce moment où un jeune prof déposa sur mon bureau des photos de mon ancienne vie de directrice/prostituée (souvenez-vous le tout début de l'histoire...).

A suivre...

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