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Legul
16 septembre 2019
Émilie, directrice et traînée de lycée - 26

Il venait de se passer 10 ans, dix années ternes durant lesquelles j'avais réussi à me sevrer du sexe et de la luxure. Les premières années de ma vie dans ce coin perdu avaient été très calmes, voire mortelles... Puis, au hasard de rencontres parents/élèves, élus locaux et compagnie, j'ai fait la connaissance de Philippe, un homme de 20 ans plus âgé que moi, héritier d'une famille d'industriels et très riche lui-même.

Assez seule, je l'ai laissé me séduire, me faire rêver et j'ai finis pas accepter sa demande en mariage, sans éprouver vraiment d'amour pour lui. Il me comblait, ça lui faisait plaisir et j'étais moins seule. Malgré mon absence d'amour, ce mariage avec Philippe avait deux gros avantages : il était très cultivé et donc intéressant, en tout cas intellectuellement, et il était impuissant. Ce qui fait que notre mariage n'a jamais vraiment été consommé !

De ce fait, je restais dans une inactivité sexuelle totale et cela me convenait car je n'avais peur que d'une chose : que ma nymphomanie ne resurgisse.

Mais tout ça venait de voler en éclat car, comme je m'en doutais, le prof qui venait de me présenter les preuves flagrantes de mon passé réclamait, pour son silence, des faveurs en nature de ma part. Et donc, pour la première fois depuis 10 ans, j'ai baissé le pantalon de cet homme...


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...pris en main son sexe...



...et je l'ai sucé...



...jusqu'à le faire jouir rapidement, dans ma bouche.


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Même si j'ai recraché sa semence, au moment où j'ai sentis qu'il craquait, un déclic s'est produit dans ma tête. J'allais retomber, je le savais, dans la boulimie de sexe...

Cette rechute a d'abord pris la forme d'une simple aventure extra-conjugale sur mon lieu de travail, comme cela doit se produire très souvent un peu partout en France entre enseignants.

Durant plusieurs semaines, Sébastien, le jeune prof de techno venait me voir à mon bureau pour me baiser ou me donnait rendez-vous à l'extérieur.

Lui-même n'était pas marié mais avait une copine. Il ne souhaitait pas que cette infidélité se sache et restait très discret. De fait et contrairement à ce que je craignais, la découverte de ma vie précédente par ce jeune collègue n'a absolument pas dégénéré en prostitution généralisée au sein de mon actuel lycée.

Sébastien se contentait de me sauter où et quand il voulait, en échange de son silence. J'étais baisée à mon bureau...


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... aux toilettes...


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... ou tout simplement dehors, lors de rendez-vous « galant » dans la campagne.



De rapports quasi contraints, notre relation a évolué vers quelque chose de plus classique : nous baisions par plaisir. En tout cas, moi, je prenais de plus en plus de plaisir durant ces parties de jambes en l'air et j'attendais avec impatience le prochain sms de Sébastien. Sauf que lui me sollicitait de moins en moins et semblait se désintéresser de moi.

Au début, il m'enculait dans les toilettes comme un sauvage, trop content de pouvoir (enfin) tester ça ou me baisait la bouche puis me jutais au visage dans mon bureau.



Mais ces parties de sexe sauvages se faisaient de plus en plus rares. Et lorsqu'elles avaient lieu, il était mal à l'aise, comme s'il se sentait coupable.
Puis un jour, il m'a annoncé qu'il devait arrêter les conneries... Il allait se marier, sa copine voulait des enfants, bref, son histoire devenait du sérieux et il ne voulait pas tout foutre en l'air. Il m'a donc proposé qu'en échange de son silence sur mon passé, je garde pour moi l'aventure que nous avons eu.

Cette discussion c'est achevée par une belle pipe goulue et une baise sauvage.



Il m'a enculé avec une fougue rare, profitant de cette dernière occasion de défoncer violement un cul !



Puis il m'a recouvert le visage de sperme, trop heureux, là encore, de pouvoir le faire tandis que sa (future) femme devait sans doute le lui refuser.


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Et c'est ainsi que c'est terminé le chantage... Facile, hein ? Sauf qu'à partir de ce moment, j'ai éprouvé un terrible sentiment de vide, d'abandon.

A la maison, Philippe était toujours fidèle à lui-même : gentil mais distant, prévenant pour mes besoins matériels mais, malgré mes tentatives d'approches, absent pour le reste. Et pourtant j'avais des besoins de plus en plus pressants : il fallait que je me fasse sauter !

Pour pallier à mon état de manque, j'ai fait ce que toutes les femmes seules font à un moment : se soulager elles-mêmes. Je me suis mise à me masturber pour calmer mes ardeurs, d'abord assez classiquement sous la douche ou dans les toilettes...


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... ou même seule dans mon lit tandis que mon impuissant de mari pouvait entrer à tout moment. Ce qu'il ne faisait jamais...


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Puis, mes envies de sexe augmentant sans cesse, il fallait que je me soulage partout, tout le temps... dès que je pouvais avoir 5 min à moi.

Ce pouvait être au travail, évidement...



Mais aussi durant mes trajets quotidiens, que je sois au volant de ma voiture...



... ou dans les transports en communs. Aucune situation ne me retenait et il suffisait que je sois un peu excitée par un homme prenant le bus à côté de moi pour que je me masturbe dans un coin ou sitôt arrivée au lycée.


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Il m'arrivait aussi de me soulager lors des repas chez nos rares amis (plutôt ceux de mon mari), dans leurs toilettes...


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... mais aussi à table, la main discrètement entre mes jambes, alors que nos hôtes discutaient de politique étrangère !


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A un moment, mes doigts ne m'ont plus suffit et j'ai entrepris de me rééquiper en sextoy pour pouvoir satisfaire mes pulsions et mes désirs de gros calibres me défonçant à tout moment. A la maison comme au bureau, j'avais toujours un gode aux dimensions suffisantes pour me soulager.



Cela n'a évidemment pas suffi très longtemps, d'autant que je me suis surprise, à cause du manque de sexe, à me masturber au bureau en regardant des photos de certains de mes élèves les plus excitants...



...ou, pire, à me doigter à côté d'eux ou de profs, lors de réunions ou en surveillance.



Je commençais également à trainer dans les vestiaires de mes élèves pour mater des beaux mecs, parfois en me caressant, prête à céder à la tentation d'entrer dans les douches pour m'offrir à eux.



Mais un jour que je me voyais déjà servir de poupée gonflable à notre équipe de foot se douchant ensemble, les souvenirs de ma vie passée ont resurgis et m'ont dissuadé de franchir le pas. Craignant de retomber dans les mêmes dérives que précédemment, j'ai fait le choix de n'avoir de relations sexuelles qu'à l'extérieur de mon lieu de travail, et de fait, à l'extérieur de chez moi, étant mariée.
Mais pour tenir cet engagement, il fallait que trouve des mecs et vite !

J'ai donc commencé à aller dans des bars pour draguer ou m'inscrire sur des sites de rencontre. Mais cela ne me donnais pas entière satisfaction. En effet, je rencontrais souvent des hommes seuls cherchant l'amour (ce qui n'était pas mon cas !) ou juste des mecs qui voulaient, comme moi, tirer un coup vite fait mais, malheureusement la qualité était rarement au rendez-vous.



Il me fallait souvent des jours de discussions et plusieurs rendez-vous avec un homme pour avoir enfin l'occasion de passer une nuit avec lui, d'autant qu'en étant mariée et occupée par mon poste de directrice, mon planning était contraint. Ces relations sexuelles étaient malheureusement souvent minables, surtout au vue de l'investissement en temps et en argent...

Parfois, j'arrivais à me faire tringler derrière un bar, entre 2 poubelles, par un gars que je venais de rencontrer, mais c'était rare et surtout souvent encore plus piteux. Cela me soulageait donc à peine sur le moment et me frustrait finalement plus qu'autre chose.


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Bref, je quémandais du sexe et je n'arrivais pas à avoir ce que je voulais, je n'arrivais pas à trouver une combine simple et efficace pour combler mes envies. Un soir, en rentrant du travail, j'ai aperçu un camion arrêté sur un parking en rase campagne. Espérant un coup facile, je me suis arrêtée et voyant le routier casser une graine, je lui ai proposé une partie de baise. Mais j'ai sans doute été trop directe et il m'a demandé :

- Mouai... c'est combien ?

Il m'avait pris pour une pute. J'étais surprise même si les femmes proposant à des inconnus un coup vite fait étaient souvent, il est vrai, soit des professionnelles, soit vraiment des salopes de compétition.


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- Non... c'est gratuit... je veux dire, j'ai juste envie de baiser... lui répondis-je honnêtement.
- C'est quoi ce délire ?? commence-t-il à se méfier. Vous êtes flics ? Ou un truc du genre ?
- Mais non... je veux juste....
- Allez, c'est bon, dégagez, madame, je ne veux pas d'ennuis !

Et il referme alors la porte de son camion, me laissant comme une conne, surexcitée, au milieu du parking. Je remonte donc penaude dans ma voiture et rentre chez moi. A la maison, en train de me masturber sous la douche pour me calmer, je me suis imaginée me faire sauter par ce routier en me faisant passer pour une pute. Et si c'était ça la clef pour avoir ma dose de sexe ?

Le lendemain, en rentrant du lycée, j'ai parcouru plusieurs routes départementales à la recherche d'un autre routier, pour tester ma théorie. Alors que je croyais rentrer bredouille, j'aperçois enfin plusieurs poids-lourds garé au bord d'une route, près d'un vieux garage abandonné.

Je m'arrête et m'approche du premier routier potable que je vois en lui proposant mes services plus subtilement :

- Salut... On fait une pause ? Ça te dirait que je t'aide à te détendre ?
- Mmhh pourquoi pas... tu proposes quoi ?
- Tout ce que tu veux mon chéri... Du moment que tu as de quoi payer.
- J'ai... 50 balles...
- C'est ton jour de chance ! C'est justement ce qu'il faut pour avoir ça, dis-je baissant mon pantalon pour lui montrer mes fesses.


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- Vendu ! dit-il en me donnant l'argent...



Incroyable, ça marchait ! Se faire passer pour une pute était la sésame qui ouvrait les portes du sexe à volonté. Enfin, pour la première fois depuis des semaines, j'allais me faire troncher bien salement, comme je le voulais, par ce routier. Je l'ai sucé contre son camion, alors que d'autres gars passaient par là.


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La présence de voyeurs ne me dérangeait pas du tout. Mais comme mon « client » semblait peu enclin à l'exhib, il m'a ammené vers le vieux garage près de là où il était garé et m'a baisé bien violement contre ce batiment.


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Il m'a prise dans tous les sens et j'ai pu enfin prendre mon pied. Puis il s'est retiré et m'a juté au visage et dans la bouche. J'ai tout avalé avec plaisir et l'ai remercier pour cet agréable moment !


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Pour 50 euros, je venais d'avoir exactement ce que je désirais : du sexe, du sperme, un orgasme. Mais c'est moi qui ai été payée ! Et d'un coup, sans que je l'aie prévu, je me suis retrouvée prostituée. A nouveau, j'étais une pute, sauf que là, je l'avais choisi et je comptais bien décider de tout : clients, prestations, tarifs... Je n'allais pas subir ma nymphomanie, j'allais la vivre, j'allais en vivre !

A partir de ce moment, j'ai tout simplement recommencé à vivre !

A suivre...

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