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Legul
26 septembre 2019
Émilie, directrice et traînée de lycée - 27

Suite :

Au lycée, mon humeur c'est grandement améliorée, comme si j'étais sous antidépresseurs et j'ai adopté un mode de fonctionnement et d'habillement beaucoup plus décontracté, sans tomber pour autant dans la vulgarité. Mais, à nouveau, je mettais en valeur mon corps sans complexe vu, qu'à l'extérieur du lycée, je baisais jusqu'à plus soif !


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J'avais organisé mon réseau pour me faire une clientèle avec plusieurs canaux en fonction de mes envies. Je fréquentais pas mal les routes nationales et départementales où j'arrivais souvent à me faire des routiers ou des commerciaux en manque de femmes.



Ceux-ci, en général, baisaient assez mal mais étaient parfois très pervers. J'étais donc très souvent enculée et fessée. Certains me crachaient au visage ou me pissaient dessus. J'adorais ces humiliations, ces actes dégradants et je rentrais chez moins puante mais plus vivante que jamais.


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Surtout, ces routiers salaces étaient très différents d'autres clients, plus « normaux » que je rencontrais sur des sites spécialisés. Là, je fixais des rendez-vous à l'hôtel, pratiquais des tarifs plus élevés pour des séances de sexe plus classiques mais bien aussi plus romantiques, souvent basées sur des jeux de rôles ou autre mise en situation.


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Les clients étaient souvent des hommes mariés, avec une certaine aisance financière et cherchaient avant tout une prestation de qualité. Je sortais donc le grand jeu en lingerie et scénarios mais aussi en qualité de la prestation ! Ils me payaient cher mais ils en avaient pour leur argent...



En parallèle de cela, je continuais les rencontres non tarifées et je passais de coup d'un soir en aventure plus ou moins longues. Mais jamais ne me m'attachais à un homme, de peur de foutre en l'air tout mon univers.

J'avais aussi développé une activité de « faiseuse d'hommes » : je déniaisais des adolescents un peu coincés mais plein de bonne volonté. Au départ de cette activité, il y a eu le fils d'un couple d'amis chez qui nous mangions qui m'avait surpris en train de me caresser dans leur WC dont le loquet, je l'ignorais, ne fonctionnait pas.


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Embarrassée autant que lui était troublé, j'ai négocié son silence...


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...avec une petite pipe qu'il a fortement apprécié.


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Quinze jour plus tard, alors que je savais ses parents absents puisqu'ils prenaient l'apéritif chez moi avec mon mari, je lui rendais une petite visite après le lycée et lui prenais son pucelage.



Je me suis ainsi découvert un véritable don quand il s'agissait de faire d'un gamin un homme, d'autant que leur fraicheur, leur innocence me reposait un peu entre deux humiliations rémunérées !

Dans les mois qui ont suivis, à l'occasion de repas ou de soirées mondaines, j'allumais les fils de bonnes familles que nous fréquentions et qui, malgré leurs 16, 17 ou 18 ans était terriblement coincés. Mes prestations dépendaient du contexte : branlette discrète sous la table...


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...ou carrément rendez-vous après l'école à la maison pour une séance de sexe en règle.


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Une fois, on mangeait chez un couple d'amis dont le fils et la fille étaient déjà âgés. Leur fille, 25 ans était en couple et était partie du foyer parental tandis que leur fils 21 ans, vivait encore à la maison. Mais comme il avait une copine depuis au moins 2 ans, je suis partie du principe qu'il avait déjà baisé et n'ai donc pas essayé de le déniaiser. Mais tout de même habillée assez sexy, j'ai très vite remarqué qu'il me matait avec assez peu de discrétion. J'ai donc commencé à l'allumer avec mon décolleté ou mes croisements de jambes.


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Puis, alors que nos hommes parlaient économie et que l'amie qui nous invitait et moi discutions études, orientation, job avec son fils, celui-ci s'est excusé pour aller dans sa chambre. Au moment où il s'est levé, j'ai immédiatement remarqué une grosse bosse qui déformait son pantalon. Après avoir attendu 2 ou 3 minutes en parlant avec la mère, je me suis excusée pour aller aux toilettes. Arrivée dans le couloir, j'ai cherché la chambre du jeune homme et j'ai tendu l'oreille à la porte.

Un bruit discret mais caractéristique venait de l'intérieur. J'ai donc cédé à la tentation et suis entrée dans sa chambre. Il était effectivement en train de se branler, sur le fauteuil de son bureau ! En me voyant, il remonte immédiatement son boxer sur un sexe qui m'a semblé plutôt correct.

Mais je m'approche de lui en lui disant de ne pas s'inquiéter, que tout est de ma faute car je n'ai pas arrêté de l'allumer et que je vais arranger ça... Il semblait tétanisé et ne prononce pas le moindre mot alors que je m'accroupi en face de lui et rebaisse le boxer pour en faire sortir son sexe.


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L'engin était effectivement d'assez belle taille. Je le prends alors en main et que je commence à le branler doucement.



J'accélère mon mouvement, le branle à deux mains et lui palpe aussi un peu des testicules. Il semble adorer ce que je fais d'autant que, tandis que je lui fais probablement la meilleure branlette de sa vie, je le chauffe en lui demandant s'il se branlait en pensant à moi, à quelle partie de mon corps, s'il s'imaginait en train de me baiser, etc.


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Mais je suis censé m'être absentée pour un cours instant, et je ne veux donc pas que cela dure trop longtemps. Je donne alors un coup de langue sur son gland pour le stimuler un peu, ce qui provoque chez lui un « wouaaa » de surprise et de plaisir.


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- Ça ne te dérange pas si je te suce ? lui demandais-je alors en continuant de le titiller avec ma langue.

Il fait « non » de la tête, comme s'il était incapable de parler. Mais cela me suffit amplement et je commence alors à sucer, avaler, dévorer son sexe.


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Je le pompe avec expertise et enfile sa queue dans mon gosier jusqu'à la garde. Avec ma main placée sous ses couilles je sens alors qu'elles remontent, indication d'un orgasme imminent pour lui. Mais le gamin se maitrise et semble vouloir profiter de la pipe.

Commençant vraiment à craindre que mon mari et nos hôtes trouvent le temps long, je propose alors de lui montrer mes seins en lui demandant de se laisser aller et de venir rapidement.



Je le branle alors énergiquement ainsi seins nus et fixe avec toujours plus de désir cette queue si grosse, suintante de plaisir.


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J'accélère, crache dans ma main, donne des coups de langues et voyant qu'il allait très bientôt craquer, je lui demande s'il veut venir sur mes seins. Il fait « oui » de la tête et se laisse alors aller à la jouissance. Il m'en met sur les seins, comme prévu, mais aussi sur la main et l'avant-bras, son éjaculation n'étant pas spécialement puissance mais tout de même abondante.


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Puis, tout en continuant de le branler doucement pour accompagner la fin de son orgasme, je lui dis :

- La prochaine fois que l'on vient manger ici, si tu as une envie comme ça, demande moi... J'adore les belles queues comme la tienne !

Et pour lui montrer que je ne plaisantais pas, je lèche son gland encore suintant de sperme et en avale une petite gorgée, histoire de gouter à un de mes plats préférés : le foutre chaud.


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Nous avons finis le repas tranquillement entre vieux, sans que le jeune ne redescende de sa chambre.

Comme d'autres, il a, plus tard, eu le droit de me baiser car, même s'il n'était plus puceau, il était encore très inexpérimenté et je me devais de lui montrer quelques ficelles !

J'adorais m'envoyer tous ces jeunes ! Par contre, je ne proposais jamais cela si le gamin était dans mon lycée. Hors de question de retomber dans les travers de ma précédente vie. Et je ne m'attachais pas trop à ces gosses car je savais par expérience qu'un jeune coincé timide pouvait vite devenir un pervers de première.

Il s'agissait donc uniquement de les allumer et de les déniaiser.

Pour résumer, entre mes activités tarifées et mes aventures de ci de là, je passais tout mon temps libre à sortir et à baiser, ce qui bouleversait forcément mes anciennes habitudes si tranquilles. Mon mari a bien sûr remarqué mon nouvel emploi du temps chargé et j'ai donc inventé des excuses de plus en plus élaborées. Cela a fonctionné un temps mais mon rythme de vie restait louche avec notamment les achats de nouvelles tenues, les soirées, mon changement d'humeur, etc.

J'ai donc trouvé un prétexte solide qui n'était qu'un demi-mensonge : je lui ai dit que je me sentais seule dans cette région dans laquelle je n'avais pas d'amies/amis à moi et que j'avais fait la rencontre d'une femme avec qui je m'entendais très bien et avec qui je faisais des soirées, des fêtes, des repas.

Et c'était presque la vérité puisque j'ai effectivement fais la rencontre d'une femme avec qui je me suis liée d'amitié puis d'amour. Elle était mariée et a d'abord fait appel à moi pour les 50 ans de son mari. J'étais le cadeau...

Après une mise au point ferme mais amoureuse de la femme envers son mari pour que celui-ci ne tente jamais de me revoir, l'anniversaire a pu commencer !



Nous avons branlé, sucé, embrassé son mari ensemble et avons également échangé de magnifique baisers entre nous deux.



Le mari m'a ensuite longuement et tendrement baisé, prenant bien le temps de montrer à sa femme à quel point il appréciait son cadeau. Celle-ci a assez peu participé, en tout cas avec son mari, se contentant souvent de regarder en se masturbant ou de nous caresser, passant de baisers dans mon cou à des coups de langues sur la queue de son mari, fraichement sortie de ma chatte.



Puis, alors que Jean-Claude, le mari, me prenait par derrière, Séverine, la femme, a fini par céder à mes sollicitations et a accepté que je la lèche.



Après que son mari m'ait fait jouir et que j'arrive de mon côté à déclencher son premier orgasme lesbien à Séverine, nous nous sommes toutes les deux placées devant Jean-Claude pour qu'il nous honore de sa semence.



Nous avons vraiment passé une soirée divine et jouissive tous les trois mais, alors que nous nous séparions après qu'elle m'ait donné l'argent, la femme a été de nouveau été très claire : elle ne voulait pas que son mari me revoie. C'est elle qui avait traité avec moi, c'est elle qui m'a payé et c'est elle qui a gardé mon contact.

Sauf que peu de temps après cette soirée, elle me rappelait pour une autre séance. Et alors que je pensais de nouveau devoir jouer avec le couple, je me suis rendue compte qu'elle était seule. Nous avons donc passé la soirée ensemble, nous avons parlé, nous avons ri, nous avons flirté puis, évidemment, nous avons baisé.


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Et nous avons ensuite continué d'entretenir une relation, de moins en moins tarifée et de plus en plus sentimentale.

Pour rassurer mon mari sur la véracité de mon explication, j'invitais régulièrement cette femme à la maison pour des repas et, une fois le soir venu, elle me rejoignait dans ma chambre (nous faisions chambre à part avec mon mari) et nous faisions l'amour chez moi.


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En fait nous faisions l'amour partout, tout le temps, comme des adolescentes ! Dès que mon mari avait le dos tourné, elle et moi nous amusions à nous embrasser, nous toucher, nous doigter.


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Cette « amitié » m'a permis de justifier auprès de mon mari mon emploi du temps chargé mais également de justifier des petites vacances que je prenais avec elle. Au début, on s'échappait réellement de nos maris respectifs pour nous amuser et rapidement, je l'ai initié au libertinage d'abord uniquement avec d'autres femmes puis avec d'autres hommes, mais uniquement en voyeur ou en exhibition. Elle aimait toujours son mari et lui est resté fidèle.

Nous allions donc régulièrement à Paris où j'avais réussi à reprendre contact avec la boite de strip-tease dans laquelle Laurent m'avait emmené il y a 10 ans de cela. Et c'est avec joie que le gérant m'a laissé refaire mon show et m'exposer sans aucune pudeur (et gratuitement) devant des dizaines d'hommes aux anges.



Séverine, au début, se contentait de regarder et ne souhaitais pas participer. Puis, en me voyant prendre autant de plaisir à l'exhibition et surtout en voyant tous ces hommes qui n'avaient d'yeux que pour moi, elle voulut elle aussi essayé.

Il a fallu d'abord convaincre le gérant de laisser une femme débutante et d'âge plus avancé que le mien monter sur scène...



Après cette difficile négociation, il a accepté que Séverine monte sur scène pour un premier essai.


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Et lorsqu'il a vu tout l'argent que celle-ci avait ramené, tous ses doutes furent levés et il nous a laissé nous amuser sur scène comme on le voulait.



Nos shows pouvaient être assez sages quand, par exemple, on jouait à se déshabiller mutuellement en se mettant en scène.



On pouvait aussi se partager le travail, une dansant sur la scène et l'autre allant vers les clients pour les chauffer plus particulièrement.


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Séverine était très douée pour cela (précisons aussi qu'elle dansait très mal !) et s'exhibait sans gêne devant les clients qui payaient des fortunes...


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Nos jeux pouvaient être aussi carrément plus trash lorsque, par exemple, on proposait aux clients du club de se vider sur mon visage moyennant participation pécuniaire, Séverine organisant la queue et encaissant, moi servant juste de kleenex...


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Dès que cela devenait trop porno, Séverine se mettait en retrait, me laissant assumer seule l'appétit sexuel des hommes que l'on rencontrait.

Mais nos aventures parisiennes ne se limitaient évidemment pas à cette boite de strip-tease...

A suivre...

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