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Du plaisir que l'on peut prendre dans les escaliers >>> Episode suivant

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26 juin 2006
Bien le bonjour.

J'aimerais vous raconter une fin de soirée plutôt chaude, que j'ai vécue il y a 3 ans.

J'entretenais à l'époque une relation avec l'une des assistantes de direction de la boite où je travaille (personnellement, je suis au service informatique).

Sophie - c'est son prénom - est blonde, mince, jolie, plutôt petite (alors que je suis assez grand... vous verrez plus loin que ceci a un peu d'importance) avec des très jolis petits seins et un petit cul à faire damner un saint.

Sophie est mariée et mère de famille. Nous ne pouvions donc pas nous voir quand nous voulions. Il fallait profiter de toutes les occasions pour assouvir nous envies.

Notre boite organise plusieurs fois par an des réunions d'information pour le personnel, qui se terminent généralement par un excellent repas. Sophie avait annoncé à son mari que vu que la soirée risquait d'être un peu arrosée, elle préférait ne pas risquer de reprendre le volant et qu'elle irait dormir chez une collègue... la nuit était donc à nous.

C'était pour nous une occasion inespérée de passer un excellent moment... et dès que la bienséance nous le permit, nous avons quitté la soirée. Vu qu'il me fallait reprendre le volant, je n'avais pas forcé sur le vin, mais j'en avais bu juste assez pour m'égayer l'esprit et me donner quelques idées...

A peine une minute après avoir pris la route, je glissai ma main sous la jupe assez courte que Sophie portait ce soir-là, afin de lui caresser la chatte. J'avais envie de sexe. J'avais envie de Sophie. Et je n'avais pas l'intention de perdre de temps.

Elle portait un string qui, grâce au "travail" de mes doigts au travers du tissu, fut rapidement trempé (Sophie est une mouilleuse comme j'en ai rarement rencontré). Ce petit carré de tissu, un peu trop tendu par la position assise de Sophie, m'empêchait de la doigter correctement et je lui ai donc demandé de le retirer, ce qu'elle s'empressa de faire.



Tout en conduisant j'alternais alors, avec je pense un certain talent, deux doigts faisant des allées et venues dans son sexe détrempé et mon majeur titillant son clito. Elle a craqué au bout de 8 ou 9 minutes et s'est offert un orgasme de toute beauté.

Il est évident que de lui malaxer le con et de la faire jouir de la sorte me donnait une érection du feu de dieu. Par chance, Sophie n'était pas du genre à laisser un ami dans l'embarras, et tandis que nous continuions notre chemin sur l'autoroute (heureusement qu'on ne doit pas toucher au changement de vitesse sur une autoroute presque déserte), elle fit rapidement sortir mon vît et plongea pour le gober d'une pièce.


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Sophie est la meilleure suceuse que j'ai connue jusqu'a présent. Tantôt suçant, tantôt léchant, parfois mordillant, branlant ou pompant avec gourmandise, Elle est celle qui m'a fait les pipes les plus savoureuses. On sentait dans sa manière de s'attaquer à une bitte avec sa bouche que son plaisir était de donner du plaisir. Sa stratégie était de faire monter l'engin jusqu'au bord de l'explosion et de le maintenir ainsi le plus longtemps possible. Un truc de fou. C'est ce qui se passa une fois encore et plusieurs minutes durant, j'ai du garder les yeux sur la route alors que j'aurais plutôt voulu me laisser aller à les fermer et profiter pleinement du traitement qu'elle me faisait subir.


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Le temps me semblait s'être arrêté. La voiture roulait toute seule, ou presque. J'étais dans un état second. Elle a alors resserré un peu plus l'étau de sa bouche autour de mon pieu dur comme du béton et a accéléré la cadence... Je n'ai pas pu résister plus longtemps et je lui ai offert toute ma semence en jets puissants, qu'elle a pris et avalé en gardant la bouche bien fermée pour ne pas en perdre une goutte. Ce fut un moment extatique. L'obligation de garder une part de conscience pour ne pas envoyer la voiture dans le décor tout en éjaculant à flots épais dans sa bouche fut un mélange de sensations que j'ai rarement connu.

Quelques minutes plus tard, nous arrivions au bas de l'immeuble dans lequel j'habitais. C'était un immeuble sans ascenseur et j'habitais au 3ème. Il était tard (presque deux heures) et l'immeuble était endormi. De manière un peu tactique, je lui ai cédé le passage dans l'escalier et lui ai laissé deux marches d'avance. Une jupe courte et légère qui n'arrivait pas à dissimuler son petit cul dénudé à chaque fois qu'elle montait une marche, tel était mon spectacle.


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Je n'ai pas résisté un étage. Elle posait le pied sur le palier du premier quand je l'ai rattrapée et plaquée contre le mur de gauche. Comme je l'ai dit plus haut, la différence de taille entre elle et moi était conséquente et l'idée me vint que la cage d'escalier pouvait me permettre de lui offrir une belle pénétration sous un angle et une profondeur nouvelle. Pendant que je l'embrassais plus qu'avidement, ma main droite déboutonnait son chemisier sous lequel ses seins se promenait sans la prison d'un soutien et ma main gauche faisait ressortir ma queue de mon pantalon. J'ai pris position une marche plus bas qu'elle et je lui ai enfoncé profondément ma barre d'acier entre ses lèvres vaginales qui m'appelaient en silence. Je l'ai pistonnée longuement dans cette position, prenant un pied d'enfer grâce à l'angle offert par cette position debout et un peu plus bas qu'elle. Au vu du gémissement qu'elle a poussé lorsque l'orgasme l'a atteint, elle partageait mon point de vue.


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Je me retirai d'elle sans jouir (je ne suis qu'un homme après tout, et ma queue n'est malheureusement pas une mitraillette au chargeur sans fin) et nous avons continué de gravir les marches tout en roucoulant et en nous tripotant (mon sexe bandé sortant par ma braguette ouverte)... Nous allions arriver au troisième et donc chez moi quand elle s'arrêtât. Elle s'est penchée en avant et a posé une main sur l'avant dernière marche, a relevé sa jupe et m'a demandé d'un ton presque autoritaire "encule-moi".


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J'ai compris au quart de tour qu'elle aussi voyait bien l'avantage que nous apportait la dénivellation des marches et que j'allais pouvoir la prendre jusqu'a la garde. Je suis redescendu de deux marches, afin d'avoir mon visage juste à hauteur de son cul. J'ai fait tourner ma langue sur sa petite rose anale tout en salivant beaucoup, afin de bien l'humecter (je ne voulais pas lui faire mal lorsque je m'introduirais en elle). J'ai ensuite humidifié mon majeur et j'ai travaillé sur son magnifique trou de cul, pour l'ouvrir et le préparer à accueillir mon vît tendu. Une fois que l'ouverture me paru suffisante, j'ai repris les deux marches que j'avais concédé, je l'ai prise dans la chatte, afin de bien lubrifier la bête, puis rapidement je suis passé dans le conduit plus étroit. Elle a poussé un petit cri étouffé, qui a rapidement été suivi de gémissements, puis de râles et de paroles incompréhensibles. Je lui ai d'abord offert de lentes allées et venues, afin de bien habituer son conduit rectal à ma présence, et puis j'ai bien évidemment accéléré la cadence pour atteindre une vitesse de croisière qui me permettait de tenir longtemps. Personnellement, me retrouver dans les entrailles anales d'une femme m'a toujours rendu fou de plaisir. Et cette fois là fut particulièrement grandiose. Sophie avait la tête penchée en avant et haletait, au bord d'une nouvelle jouissance. Je me préparais à la lui offrir, en l'accompagnant. J'ai alors levé la tête et j'ai remarqué que la porte de ma voisine était légèrement ouverte. Ses magnifiques yeux bleus regardaient le spectacle que Sophie et moi étions en train de lui offrir et je voyais son bras qui semblait pris de tremblements. Apparemment cette petite salope se branlait en nous regardant. Cette découverte fut l'élément de trop. Il n'était plus possible de me retenir et j'ai alors expédié tout mon foutre au plus profond de Sophie, qui n'attendait que ça pour se laisser aller, elle aussi, à l'explosion de plaisir.


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Pendant tout ce temps, je ne parvenais à détacher mon regard des yeux de ma voisine, qui elle aussi m'observait fixement avec des yeux gourmands et un sourire qui en disait long. Ce fut une expérience unique. Je n'avais jamais fait l'amour en ayant un ou des spectateurs... mais j'avoue que de savoir que cette fille avait assisté à la scène et semblait avoir pris du plaisir grâce à nous a multiplié la saveur de ce moment.

Dès que nous avons un peu repris nos esprits, j'ai emmené Sophie dans mon appartement, afin de terminer dans un lit et de manière un peu plus conventionnelle cette soirée si bien commencée... mais tout en ouvrant la porte, je gardais le contact visuel avec ma voisine, qui n'avait refermé sa porte qu'au moment du passage de Sophie puis l'avait rouverte aussitôt, pour bien me faire comprendre qu' elle me serait ouverte, quand je le désirerais.

Ma voisine est très belle mais je n'avais jamais échangé avec elle que quelques banalités. J'ai depuis lors eu l'occasion de discuter plus avant avec elle et j'ai également pu vérifier que c'est une fieffée cochonne... mais ça, c'est une autre histoire....

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