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30 juin 2006
Suite à l'épisode de l'escalier, j'attendais (et redoutais quelque peu) la prochaine rencontre avec ma voisine. Je l'attendais puisqu'après tout, elle n'avait pas semblé fort gênée de me voir tringler ma collègue dans la cage d'escalier et je la redoutais parce qu'il était aussi possible qu'elle ait été franchement choquée de la situation et que je me sois trompé sur les regards et les gestes qu'elle avait fait sur le moment.
Il a fallu deux semaines pour que le hasard nous remette en présence. Je rentrais du boulot et elle relevait son courrier dans sa boîte aux lettres. J'étais un peu tendu en ouvrant la porte vitrée du sas d'entée, mais elle s'est tournée vers moi, m'a offert son plus beau sourire, m'a dit « bien le bonjour » d'une voix chantante puis a refermé sa boite aux lettres et est partie vers l'extérieur. Tout ceci en l'espace de 3 secondes, sans que je puisse dire le moindre mot. Je suis resté interloqué quelques secondes, avant de rentrer dans l'immeuble, me disant que j'avais été ridicule de m'inquiéter.
Ma voisine est une belle femme de 25 ans environ. Plutôt grande (au moins le mètre quatre-vingts), mince, avec de longs cheveux noirs ondulés, qui lui tombent en cascade sur les épaules un visage d'ange et des yeux bleu-verts qui feraient fondre un igloo au premier regard. Elle s'habille toujours avec beaucoup de goût, toujours sexy, jamais vulgaire. Style jeans taille basse laissant dépasser le string ficelle et petite blouse courte et moulante lui permettant d'arborer fièrement le piercing qui décore son nombril et mettant en valeur sa poitrine plutôt généreuse.



Le lendemain, bien motivé par le bonjour chaleureux qu'elle m'avait adressé la veille, je me suis décidé à frapper à sa porte. Il était 21h et j'entendais sa radio fonctionner. Elle m'a ouvert la porte dans une tenue charmante (petite nuisette en soie très courte, qui me permettait de voir ses longues jambes bronzées sur toute leur longueur et qui n'offrait à ses seins que bien peu de protection. Et ce d'autant plus que ses mamelons pointaient ardemment. Serait-elle excitée à l'idée de me voir devant sa porte ?



- Bonjour Valérie
- Bonjour
- Dites... je me rends compte que nous sommes voisins depuis plusieurs mois et que nous n'avons vraiment fait connaissance
- En effet, et je trouve que c'est fort dommage
- Et bien, pour rattraper cela je voudrais....
Elle m'interrompt alors et me dit
- C'est d'accord, demain, 18h30
- Quoi donc ?
- J'accepte ton invitation. Je serai prête demain à 18h30 précises et nous irons au resto, puis nous aviserons de la suite de la soirée.
J'étais sidéré. J'ai d'habitude une faculté à la répartie assez efficace, mais là, je n'ai pu que lui sourire et lui répondre un « Super, à demain alors ? » un peu plat.
- Oui, à demain... et sois ponctuel, j'ai horreur d'attendre un homme.

Mon idée initiale était plutôt de l'inviter à prendre un verre le soir même (j'avais envie de sexe et Sophie n'était pas disponible), mais puisqu'elle avait pris les choses en main, je me retrouvais à devoir faire de même... je suis donc rentré chez moi et me suis couché directement... j'ai juste pris le temps de me branler un coup en imaginant ce que serait la soirée de demain. Pour le moment, elle dominait la situation, mais je planifiais de reprendre l'avantage dès que possible.


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18h30 précise le lendemain. Je frappe à sa porte, qui s'ouvre avant même le deuxième « toc ». Apparemment, elle m'attendait. Son sourire éclaire son visage alors que mon sexe palpite instantanément dans mon pantalon quand je découvre sa tenue. Elle porte au dessus un magnifique chemisier en voile blanc, qui ne cache strictement rien et qui me permet de découvrir ses seins, magnifiquement fermes malgré l'absence de tout soutien-gorge. Et dessous, une jupe noire, fort courte et ultra-moulante, qui ne permettrait pas le port du moindre sous-vêtement sans laisser un pli visible. Et bien évidemment, pas le moindre pli en vue.
Elle tourne sur elle-même en riant doucement et me demande « ca te plait » ?



Ma seule réponse fut de lui indiquer du regard la bosse que formait ma queue durcie dans mon pantalon. Elle s'approcha alors et passe doucement sa main sur mon braquemart en me regardant dans les yeux (ha, ces yeux) et en passant sa langue su ses lèvres, d'une manière très vicieuse. Elle ajouta alors un « bon, on y va, à ce resto » ? Qui me fit débander directement. Décidément, cette fille savait me manipuler. ((J'enrageais intérieurement de ne pas lui trouver de répartie, alors que c'est normalement une de mes armes de séductions les plus efficaces.))
- « Je suppose que tu n'as rien réservé », me dit-elle. « Et de toute façon j'ai envie d'aller dans au restaurant chinois ». Celui dans la rue, tout à coté, qui vient d'ouvrir.

((Et voilà, ca continue... Elle me mène par le bout du nez, ma parole.))

J'accepte néanmoins sans broncher. Tant pis pour a table réservée dans ce resto deux étoiles. De toute façon j'aime bien les cuisines exotiques et si ça peut lui faire plaisir...
Tout en marchant vers le restaurant, elle me prend le bras et se colle à moi comme si nous étions en couple et me regarde avec un air d'amoureuse transie. Elle m'explique qu'en fait, le restaurant est tenu par deux de ses amies, qui ont bien besoin de clients pour lancer le commerce.
Le restaurant est vide quand nous y entrons, mais un carillon retentit et une serveuse arrive rapidement de l'arrière Salle. Une vision de rêve que cette magnifique chinoise dans une longue robe de soie rouge, fendue de chaque coté jusqu'à la taille, découvrant des jambes parfaites à chaque pas qu'elle fait et avec un décolleté profond ne cachant que les aréoles et les mamelons de ses petits seins.


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Dès quelle reconnaît Valérie, elle lui sourit, s'avance, l'enlace et lui roule une pelle. Je suis, encore une fois, estomaqué. Valérie n'en finira donc jamais de me surprendre. Dans mon pantalon, c'est de nouveau la fiesta. Je n'ai jamais pu résister à tout ce qui touche à l'homosexualité féminine, Dès que je vois des femmes au contact, je trique.


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Le baiser se termine au bout de quelques secondes et Valérie me présente alors à Lî An. Elle me regarde de la tête au pied en me souriant. Bien sur, elle remarque la bosse caractéristique qui déforme mon pantalon, puis elle relève la tête et m'adresse un clin d'oeil mutin... Serais-je tombé dans un guet-à-pines ?
Lî An nous conduit à une table dans le coin du restaurant et ajoute « ici vous serez tranquille ».
A peine assis, Valérie prend la parole :

- Dis-moi, je me trompe ou tu bandais quand j'ai embrassé Li Ân ?

Cette fois j'avais bien compris que Valérie était du genre sans complexe et enfin, je ne me laissais plus intimider par sa franchise.

- non, non, tu as raison. Je bandais. D'ailleurs, je bande encore.

La seconde suivante, son pied nu était planté dans mon entrecuisse et me malaxait le chibre au travers de mon pantalon.

- Sors là, me dit-elle.

Malgré le fait qu'aucune nappe ne couvrait la table, pourtant élégamment habillée de magnifique sets de table, je lui ai obéi. ((Mais qu'est-ce qu'elle m'énerve à contrôler la situation avec autant d'assurance)). Le restaurant était vide. J'ai donc dégagé ma pièce de chair hors de ma braguette et Valérie, très souplement, m'enferma entre ses plantes de pied et commença à me branler ainsi. Cette sensation était étonnante et délicieuse.



Lî An revint alors avec deux apéritifs que nous n'avions pas commandé, remarqua forcément le manège de Valérie et sourit en lui disant : « je vois que tu retiens bien mes leçons ». Elle se pencha alors vers moi et m'embrassa goulument tout en plongeant la main dans mon entrejambe afin de soupeser mes bourses et d'estimer la longueur de mon chibre. En se dégageant elle me dit « ton sexe me plaît, il faudra que tu me le mettes profond, tout à l'heure ». Je n'étais décidément pas au bout de mes surprises ce soir et je continuais à subir la loi de ces femmes fort étonnantes.

Le carillon de la porte d'entrée retentit et Li An accueillit quatre clients, deux hommes et deux femmes. Elle les installa à une table ayant vue directement sur la nôtre (et vice-versa). Ce qui n'empêchait pas Valérie de continuer à me malaxer l'engin avec ses pieds.
Au bout d'un moment, Valérie m'a demandé, en parlant bien fort « j'ai envie de te sucer, ca ne te dérange pas ? ». Et avant que je puisse articuler une réponse, elle était sous la table et me pompait le dard avec une ardeur impressionnante.


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Les nouveaux arrivants avaient bien évidemment entendu Valérie et me regardaient en souriant. Je ne pus que hausser les épaules avec une moue entendue, signifiant « je ne peux quand même pas dire non à une telle proposition », ce qui les amusa beaucoup.
En dessous de la table, les choses étaient claires. Valérie n'avait pas l'intention de faire durer les choses. Elle pompait pour me faire cracher la sauce. Et quand femme veut, l'homme doit. J'ai donc très rapidement joui dans sa bouche, en laissant entendre un râle de contentement qui n'échappa pas aux autres clients. Ils se tournèrent tous vers moi et un des hommes me fit signe, le point fermé et le pouce vers le haut. « Bien joué, mon gars » semblait-il vouloir dire.


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Valérie s'est remise en place sur la chaise et, calmement m'a dit « j'adore le goût de ton sperme. Ce n'est pas pour te flatter, mais j'en ai rarement bu de l'aussi bon. »


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((Cette femme n'a donc aucune limite ? Ai-je pensé.))

La discussion vira alors temporairement à des propos très classiques, pendant que nous sirotions l'apéro. C'est donc après avoir éjaculé dans sa bouche que j'ai réellement fait connaissance de ma voisine de palier. Situation inversée s'il en est. Elle m'a beaucoup parlé de son boulot d'infirmière, qu'elle a qualifié, je cite, de « métier idéal pour une baiseuse ».

Quand Li An nous apporta le premier plat (que nous n'avions toujours pas commandé) j'ai remarqué qu'elle avait repositionné son décolleté pour qu'il laisse maintenant sortir complètement ses petits nichons, qui bandaient fièrement. Pendant qu'elle remplissait mon assiette j'ai fait glisser ma main le long de sa cuisse, en passant pas la longue fente de sa robe et j'ai plongé sans attendre mon doigt dans sa cramouille, qui était bien humide.


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J'ai ressorti le doigt et j'ai gouté sa cyprine puis je lui ai dit, en la regardant dans les yeux : « toi aussi, ton sexe me plait. Je me ferai un plaisir de te le fourrer ». Mes propos firent mouche... elle a serré les jambes et j'ai l'impression qu'elle a jouit, simplement par la surprise de m'entendre lui dire ça. ((Haaaa, on veut jouer aux femmes fatales... vous n'êtes pas sauvées, mes minettes)). Pendant ce temps là, Les choses avaient changé à l'autre table. Vraisemblablement inspirées par Valérie tout à l'heure, les deux filles avaient plongés sous la table et pompaient avec la même ardeur les queues des deux hommes, chacune la sienne. Eux se marraient et, excités par la situation parlaient fort :

- tu vas voir que ma chérie va te faire craquer avant moi
- 'tain, c'est vrai qu'elle suce comme une reine, ta femme. Mais Sonia a une arme secrète. Le piercing qu'elle a sur la langue va te faire gicler en premier.



Ils jouaient à celui qui crache sa sauce en dernier. Et comme annoncé, c'est celui qui subissait le piercing qui a joui d'abord... mais à peine 3 secondes avant l'autre. Chacune des suceuses recueillant avec délectation la semence du sucé. Une fois les bites remises au propres de quelques coups de langues bien ajustés, les femmes se sont remises à table et le gagnant a annoncé à son copain que l'addition était pour lui, puis il a mis la main entre les cuisses (et sous la jupe) de sa femme et la félicita pour cette belle victoire.

(à suivre...)

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