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Boris
1er juin 2020
L'autre cousin - épisode 1 : Le déménagement


Le téléphone de Camille sonne, indiquant l'arrivée d'un SMS. Camille le consulte et s'adresse à Boris :
- Antoine demande si on pourrait venir lui donner un coup de main ce weekend.
- Il veut un coup de main ou c'est surtout sa cousine qui lui manque ?
Boris se souvient bien du récent passage chez eux d'Antoine, le cousin de Camille, accompagné de son frère Raphaël. Ces retrouvailles après plusieurs années ont été l'occasion de faire ressurgir quelques souvenirs d'enfance mais surtout d'opérer un rapprochement sexuel qui a satisfait tout le monde, y compris Boris. Voyant bien ce que son mari suggère dans sa réponse, Camille précise :
- Il a promis à ses parents de vider tout le garage de leur maison de vacances, sur la côte. Il a loué un camion et il a besoin de bras. Pour le coup, je pense que c'est plus de tes bras que de mon cul dont il a besoin.
- Haha. Ton cul, ce sera la cerise sur le gâteau, alors. Par contre le weekend prochain, je te rappelle que je fais du rafting avec mes collègues le dimanche et il faut que je parte le samedi soir.
- Ok. Je lui dis qu'on ne peut être là que le samedi.




Samedi matin


Comme Camille et Boris ont beaucoup de route, ils se lèvent tôt pour espérer arriver vers 10h dans la maison de vacances des parents d'Antoine et Raphaël. C'est le printemps, la météo à la radio annonce une belle journée. Durant le trajet, Boris ne peut s'empêcher de demander à Camille de lui raconter à nouveau son récent passage chez le plus jeune de ses deux cousins, Raphaël. Camille se plie à cet exercice de mémoire avec d'autant plus de plaisir que les quelques jours passés chez Raphaël ont été particulièrement excitants. Après presque une heure à évoquer chaque détail du temps passé avec Raphy, interrompue régulièrement par Boris qui voulait toujours en savoir un peu plus, Camille achève son récit et regarde l'entrejambe de son mari :
- Tu bandes sérieusement...
- Depuis le début où je t'écoute !
- Et tu ne veux pas que je te soulage ?



Boris lui caresse la cuisse et lui sourit :
- Tu l'as rappelé plusieurs fois dans ton récit : la clé du plaisir tient essentiellement à l'excitation et à la patience. Je vais être patient... D'ailleurs, ça semble être aussi ton idée puisque tu n'as pas dégainé toutes tes armes.
Tendant le bras vers elle, il saisit le décolleté et le tire pour dévoiler le sage soutien-gorge que Camille a pris soin d'enfiler.



- A la base, on vient faire un déménagement, pas une partouze. J'ai pris une tenue adéquate.
- Je ne sais pas encore comment ça va se passer, mais en tout cas, je sais qu'on ne va pas se contenter de bouger des cartons toute la journée. Je te fais confiance...
Finalement, la circulation étant plutôt fluide, ils arrivent même un peu avant 10h. Quand ils se garent devant l'imposante villa, ils remarquent qu'elle semble vide :
- Tony doit être allé chercher le camion.
- Sans doute. Il ne devrait pas tarder....
Ils remarquent un pack de bières posé devant la porte. Boris en saisit deux et en décapsule une pour la tendre à Camille :
- Au moins, il est prévoyant. Avec cette chaleur, un petit rafraichissement est le bienvenu.



Ils n'avaient pas menti à la météo, il fait très beau et chaud. Alors que Camille s'installe sur les marches du porche pour commencer à boire, un camion de location entre dans la cour et s'y gare. Antoine en sort aussitôt pour les accueillir chaleureusement :
- Ha ! Je suis content de vous voir. Surtout toi, cousine !
Antoine ne se prive pas d'admirer sa cousine vêtue d'un débardeur assez décolleté et d'un mini-short.



Camille se lève et montre sa bière :
- On s'est permis.
- C'était fait pour, vous avez bien fait.
Après avoir serré rapidement la main de Boris, Antoine vient enlacer sa cousine
- C'est super que vous soyez venus.
Boris sent une petite excitation le gagner quand il les voit s'enlacer comme s'il s'agissait d'un couple très amoureux. Antoine est lui aussi si excité qu'il n'hésite pas à caresser la poitrine de sa cousine tandis qu'il l'embrasse sur la joue. Malgré le débardeur et le soutien-gorge, Camille frémit en sentant la main de son cousin coiffer doucement son sein.



Quand ils se détachent, Camille et Boris remarquent quelqu'un qui descend du camion. Un garçon grand et assez costaud, plutôt mignon.
- Salut !
Antoine fait les présentations :
- Je vous présente Julien, mon pote. Julien, je te présente ma cousine Camille dont je t'ai parlée et son mari, Boris.
Julien vient saluer Camille et celle-ci sent bien son regard insistant dans son décolleté tandis qu'il se penche sur elle pour lui faire la bise. Quand il se redresse, avec un petit sourire en coin, elle se demande ce qu'Antoine a pu lui raconter à son sujet.



Elle regarde Antoine qui a aussi un petit sourire de satisfaction. Il continue :
- J'ai un peu organisé à la dernière minute et tous mes potes sont partis ce weekend. Il n'y a que Julien qui a répondu à l'appel. Et vous.
- On sera assez ?
- Bah, ça nous prendra un peu plus de temps, mais on a jusqu'à 18h pour rendre le camion.
- Ok, alors on s'y met sans tarder.
- Il y a quelques cartons dans le bureau à l'étage. C'est pas trop lourd. Julien tu veux bien t'en charger ?
Camille saute dans l'escalier juste devant Julien en disant :
- Si c'est pas trop lourd, je lui file un coup de main, ça m'échauffera.
Boris se penche vers Antoine et lui chuchote :
- J'en connais un autre que ça va échauffer...
Effectivement, Julien trouve particulièrement intéressant de voir les jolies jambes et surtout la magnifique croupe de Camille moulée dans le mini-short juste sous ses yeux. Celle-ci n'est pas dupe quand elle tourne la tête pour lui demander où se trouve le bureau, Julien se sent un peu gêné :
- Le bureau, c'est à droite ?



- Heu oui... la première porte. Tu n'es jamais venue ici ?
- Une seule fois quand j'étais petite. La piscine n'était pas encore construite. J'avoue en avoir assez peu de souvenir. Et toi tu viens régulièrement ?
- De temps en temps. Profiter de la piscine avec Tony.
Ils entrent dans la pièce et voient trois cartons en plein milieu. Camille en attrape un :
- Je prends le plus gros. Tu prends les deux autres.



Julien ne répond pas, tellement il est en admiration de la dentelle du soutien-gorge dans le décolleté de Camille. Camille sourit :
- Et bien ? Tu ne vas pas te contenter de regarder quand même ?
Julien a quelques secondes d'hésitation, se demandant un instant s'il elle l'invite à profiter d'un peu plus que la vue. Mais il se ressaisit en comprenant qu'elle parle des cartons :
- Heu, oui, désolé... J'étais ailleurs...
- Dans mon décolleté ?



Julien n'ose pas dire non car elle a forcément vu son regard se noyer entre ses seins mais il devient rouge comme une tomate et saisit le carton qu'elle s'apprêtait à descendre. Camille s'amuse de le voir ainsi perturbé et lui demande :
- Tu préfères prendre celui-là ?
- Heu, je ne sais pas. Tu... tu voulais prendre celui-là ?
- Ok, vas-y. Je vais prendre les deux petits, ça ira.



Une fois redescendus, Boris vient lui prendre ses deux cartons et les emmène au camion, suivi de Julien. Antoine arrive alors derrière Camille et la fait sursauter :
- Ha ?!
- Détends-toi, Camille, tu sembles stressée...
- Tony, je ne m'attendais pas, c'est tout...
- Un petit massage ?
Antoine commence à masser la nuque et les épaules de sa cousine.



Elle pousse un profond soupir et dit :
- C'est à Julien que tu devrais dire de se détendre. Je crois qu'il a été choqué par mon soutien-gorge.
- Ah mais je suis complètement d'accord avec lui. Surtout que je t'ai connue sans et que c'était bien mieux !
Les mains d'Antoine font glisser les bretelles du débardeur et du soutien-gorge sur l'épaule gauche, puis suffisamment bas sur le bras pour dégager une bonne partie de son sein. Voyant qu'elle se laisse faire, il repasse devant elle pour admirer son travail, satisfait.



- Pffff, tu es toujours aussi obsédé...
- Ah parce que tu vas me faire croire que je suis le seul à m'intéresser à tes nibards ? Boris s'en moque, peut-être ?
Camille se rajuste et se dirige vers le garage :
- Si, lui aussi est un obsédé.
- Et tu ne crois pas plutôt que le problème vient de toi. C'est toi qui nous obsède ? Et je pense que tu obsèderais n'importe quel homme...
- Et bien ton copain s'est montré plus raisonnable que toi en tout cas...



- Quel copain ? Demande Julien qui arrive au garage en même temps qu'eux, les empêchant de poursuivre leur conversation.
Antoine répond :
- Oh, un ami d'enfance avec lequel on a gardé le contact.
Camille saisit un carton et va le porter au camion, suivie par Julien, puis Antoine. Boris étant encore dans le camion, il fait la réception des cartons et attrape celui tendu par Camille. C'est alors qu'il voit les regards de Julien et Antoine sur la croupe de Camille.


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Par jeu, il leur dit :
- Hey ! C'est la bière qui vous fait briller les yeux comme ça, les gars ?
Julien et Antoine sourient, rassurés semble-t-il que Boris le prenne comme ça et ne montre pas de jalousie à leur encontre. Quand Boris a installé les cartons, Julien propose de le remplacer dans le camion pour réceptionner et ranger les cartons. Antoine les laisse alors :
- Attendez, je crois que mes parents m'ont dit qu'il y avait aussi deux ou trois cartons à la cave. Je descends voir...
Dès qu'Antoine disparait dans l'escalier, Camille pousse Boris sur un vieux canapé et s'assoit à côté de lui en lui caressant le torse :
- Alors ? Est-ce que la manière dont Tony et Julien me regardent te convient ?



- Mmmm, oui. C'est pas mal. Je vois leurs yeux qui brillent. Mais je ne les vois pas encore bander...
- Tu exagères ! Laisse-moi un peu de temps... Toi non plus, tu... oh si !
Camille vient de poser la main sur l'entrejambe de son mari et se rend compte de son érection. Elle commence à le masser en murmurant :
- Tu crois qu'il faut que je les masse comme ça, Julien et Tony ?



- Mmm, ça aiderait mais c'est un peu direct. Enlève déjà ton soutif.
- Toi aussi !? Pffff, Tony aussi m'a demandé tout à l'heure.
- Un type bien, ton cousin.
- Idiot. Obsédé, comme toi, c'est tout.



Comme elle commence à retirer les bretelles en les glissant le long de ses bras, de toute évidence pour retirer le soutien-gorge sans retirer le débardeur, Boris râle :
- Ha non, pitié ! Pas cette méthode de vieille fille pudique. Tu as des beaux nichons, je devrais survivre à les voir pendant que tu retires ton soutif.
Camille soupire :
- Toi, tu veux le beurre et l'argent du beurre.
- Non, seulement les seins de la fille de la crémière.
Un peu par défi, elle retire le débardeur pour enlever son soutien-gorge, s'exhibant seins nus devant son copain :
- Et si Antoine remonte de la cave ?



- Je crois qu'il les a déjà rencontrés...
- Tu aimes m'exhiber, hein, espèce de pervers ?
- Autant que tu aimes t'exhiber, ma chérie.
Entendant justement les bruits de pas de son cousin qui remonte l'escalier, Camille reprend son débardeur et se dépêche de le renfiler.



Au moment où il émerge, il découvre Camille et Boris hilares :
- Quoi ? J'ai manqué un truc ?
Antoine désigne le soutien-gorge de Camille par terre au pied du canapé :
- Ma chérie avait un peu trop chaud...
- Yes, les choses commencent à devenir intéressantes.
- Okay les gars. On regarde mais on ne touche pas. Compris ?



Camille retourne au garage chercher un carton.
- Quelle paire elle a ! C'est une vraie bombe cette fille. T'es un sacré veinard !
- Je sais. En attendant, Julien est tout seul au camion et je suis curieux de voir sa tête quand il va la voir arriver.
Les deux garçons emboîtent le pas de la jeune fille pour découvrir qu'elle a renversé le carton qu'elle transportait et qu'elle est penchée pour ramasser les divers flacons en plastique que contenait le carton. Antoine rigole alors :
- Camille, tu n'es pas tournée du bon côté !
Effectivement, Boris et Antoine peuvent se délecter de la vue des deux seins libres dans le décolleté mais elle tourne le dos à Julien.



Boris murmure à Antoine :
- Pauvre Julien... Il doit se contenter du spectacle de son cul, ignorant totalement quel autre trésor elle expose.
Comme Camille a terminé de remettre les flacons dans le carton, elle se redresse et voit les deux garçons qui rigolent bêtement.
- Vous êtes incorrigibles, les gars...



Se calmant un peu, les gars attrapent des cartons et viennent les apporter à Julien au camion. Une fois Camille retournée au garage, Julien demande à Antoine :
- J'ai pas bien compris. Vous vous foutiez de sa gueule parce qu'elle a renversé le carton ?
- Ah non. Pas du tout. On rigolait parce que... Tu verras bien.
Ils retournent alors au garage où Camille vient de s'emparer de deux cartons.



Boris arrive derrière elle et demande :
- Un coup de main, ma chérie ?
- Sers-toi, il y a ce qu'il faut !
- C'est proposé si gentiment !
Boris passe alors ses deux mains sous le débardeur et remonte pour peloter sa copine. Camille en laisse tomber ses cartons qui, heureusement, ne semblaient rien contenir de fragile.
- Hey, qu'est-ce que tu fous ?



- Tu m'as dit de me servir, je t'ai prise au mot.
- Je parlais des cartons, imbécile !
- Oh, je suis désolé ma chérie.
Tout en continuant à la peloter, il l'embrasse sur l'épaule. Rien de cette scène n'échappe à Antoine qui, en silence, observe.



Boris finit par laisser Camille et saisit un gros carton pour l'apporter au camion. Camille rajuste en faisant mine de se rendre seulement compte de la présence d'Antoine :
- Oh Tony, tu étais là...
- Bah ouais, vous êtes chauds bouillants tous les deux.
- Oui toujours excités... Et toi ? Est-ce que par hasard tout ça te ferait bander ?
- Un peu oui...
Camille s'approche de lui :
- Montre moi.
Il n'a pas le temps de dire qu'il ne préfère pas, vu que Boris peut revenir, Camille a déjà ouvert son jeans et extrait son érection :
- Pas mal, dis donc ! Juste pour une paire de seins, je suis impressionnée.


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- Ce n'est pas que ça. C'est un tout, Camille.
- Allons aider les autres avant que tu ne commences à déballer de viles flatteries.
Elle prend un carton et lui laisse le soin de se rajuster alors que Boris revient vers le garage. Alors qu'elle tend son carton à Julien dans le camion, elle voit au regard de celui-ci vers son décolleté qu'il a enfin repéré qu'elle n'avait plus son soutien-gorge.


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De retour vers le garage, en croisant Antoine, elle lui dit tout bas :
- Ton copain a enfin repéré...
En la voyant arriver au garage, Boris lui dit :
- A voir son sourire radieux, je dirais que Julien vient de se rendre compte que tu avais abandonné ton soutif.
- Tu es très perspicace. C'est exactement ça.



- J'imagine que ça t'excite bien de t'exhiber comme ça.
- Ce n'est pas vraiment de l'exhibition pour le moment.
- Tu as raison, allons-y progressivement.
Boris fait alors glisser une bretelle du débardeur de l'épaule de Camille.



Quand Camille se penche pour saisir le carton, elle se rend compte que la bretelle a glissé encore davantage et que son décolleté doit révéler une bonne partie de sa poitrine. Tenant le carton contre sa poitrine, elle se dit qu'elle va pouvoir croiser Boris et Antoine sans qu'ils ne se rendent compte de sa tenue. Effectivement, les deux hommes lui sourient béatement mais sans se douter de ce qu'ils ratent. Une fois au camion, elle tend le carton à Julien guettant son regard. Bien sûr, grâce à sa position surélevée, il n'allait pas se priver de se rincer l'œil dans le décolleté, mais en lui prenant le carton des mains, il ne s'attendait pas à voir un tel spectacle, si bien qu'il reste en arrêt quelques secondes, les yeux écarquillés. Camille joue l'innocente :
- Julien ? Tout va bien ?


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Celui-ci se ressaisit alors :
- Heu, je... oui. Très bien. Tu... tu as ta bretelle qui a un peu glissé, là...
- Quoi ? Je... Oh merde !
Sa surprise n'est pas feinte car, si elle espérait bien révéler un large décolleté, elle n'imaginait pas que ses deux mamelons aient pu se retrouver exposés ainsi. Un peu gênée d'en avoir montré autant, elle se rajuste et s'excuse auprès de Julien :
- Désolée, ça doit être en prenant le carton. J'ai pas vu...


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Le pire c'est qu'elle est réellement embarrassée et qu'elle est véritablement sincère. Boris et Antoine arrivent alors. Boris demande :
- Alors ? Le carton, ça allait ? Pas trop lourd ?
- Si, beaucoup, beaucoup plus lourd que je ne le pensais mais je m'en suis sortie !
Elle fait un clin d'œil à Boris qui comprend qu'elle vient de lui laisser un message codé. Quand Boris et Antoine reviennent au garage, Camille est penchée en avant et Boris applaudit :
- Bravo, ma chérie, double spectacle pour nous quand tu te tiens ainsi !



Camille se redresse :
- Quoi ?
- On voyait tes seins sous ton débardeur et une bonne partie de tes fesses dans le mini-short.
- Et même ta culotte ! ajoute Antoine.
Camille rigole :
- Oh, je vous vois venir. J'ai déjà lâché le soutif. Pour la culotte, je ne me sens pas le courage de faire cet effort.



Antoine s'approche alors d'elle et dit :
- Je comprends que cela soit difficile alors que tu te donnes à fond depuis presque une heure... Alors je vais faire cet effort pour toi.
D'un geste vif et précis, il saisit le bas du mini-short et le tire d'un coup sec vers le bas, libérant les jolies fesses de sa cousine et une culotte noire en dentelle. Camille ne s'attendait pas à ça de la part de son cousin.
-Hey !



Les garçons rigolent tandis que Camille remonte son short :
- Vous exagérez. Il vous en faut toujours plus. Je trouve que vous en profitez déjà pas mal, non ?
Antoine hoche la tête :
- C'est vrai que tu nous offres déjà du rêve...
Boris fait un clin d'œil à sa femme :
- Toujours plus ?
- On verra...



Les deux garçons repartent avec des cartons et Boris dit :
- Je vais remplacer Julien dans le camion.
Sitôt seule, Camille décide de faire plaisir aux gars et commence à faire glisser son short en emmenant sa culotte.



Antoine revient alors et la surprend :
- Ah ! Tu as réussi à te motiver ?
Camille remonte son short :
- Non... je... je regardais juste l'état de mes fringues. Je commence à puer la sueur et je me dis que ça va être long d'attendre jusqu'à ce soir pour prendre une douche.
Elle prend son débardeur et le soulève pour le sentir, révélant (involontairement ?) à son cousin le bas de la courbe de ses seins.



- Tu pourras en prendre une ici, si tu veux.
Julien arrive alors :
- Petite pause technique. Je vais aux toilettes et je m'y remets.
Une fois Julien passé, Antoine se confie à sa cousine :
- Je suis frustré, j'ai vraiment cru que tu étais en train de retirer ta culotte.
- De toute façon, même si je la retire, je garde mon short. Je ne vais pas me balader à moitié à poil devant Julien.
- Mince ! Tu veux dire que si Julien n'était pas là, tu le ferais ?
- Tu aimerais, hein, Tony ?



- Carrément !
Antoine fait mine de repartir au camion :
- Attends, Camille, je vais dire à Julien de se barrer. On peut finir sans lui.
- Idiot...
Camille rigole mais tout cela commence à la troubler sérieusement. Quand son cousin s'approche d'elle avec un air enjôleur, elle se demande si elle ne va pas craquer et lui demander de lui faire l'amour. Il lui dit :
- Allons, Camille. Puisque tu auras ton short et que tu es persuadée que ça ne changera rien, fais nous plaisir : retire cette culotte.
- Pourquoi ne te contentes-tu pas déjà de ce que tu as ?
Ce disant elle soulève son débardeur et exhibe ses seins à son cousin.



Antoine sourit :
- Tu essayes d'acheter Tony, là !
- Non, je t'offre une compensation.
- Généreuse...
Il pose sa main sur son ventre mais au lieu de la faire remonter pour caresser les seins, comme Camille s'y attendait, il la fait descendre et la glisse dans le short :
- Mais j'ai vraiment très envie de ces trésors cachés.



Camille lui retire la main :
- Dis donc, Tony, il prend une tournure curieuse ce déménagement...
Comme elle a toujours les seins à l'air, Antoine lui empoigne les seins et les embrasse :
- C'est vrai que habituellement on attend que le déménagement soit terminé pour déballer...



La cousine rigole mais commence à vouloir se dégager de son étreinte et essaye de remettre son débardeur :
- Tu as raison. Hop ! Je remballe.
- Non attend, c'est toi qui m'emballe.
- T'es con...
Camille rigole et laisse son cousin lui retirer son débardeur et reprendre ses caresses buccales sur ses mamelons tendus.



Comme il s'écarte, Camille se dit qu'il a obtenu ce qu'il voulait. Mais comme il retire son tee-shirt, elle s'inquiète :
- Tu fais quoi, là ?
- Je me mets torse nu, comme toi.
- Mais on ne va pas faire l'amour ici dans ton garage alors qu'il y a Boris et Julien qui sont juste à côté.
- Pfff, Ok, je te fous la paix si tu retires ta culotte.
- Tu as de la suite dans les idées toi...
Le repoussant gentiment, elle l'embrasse.



Camille cherche son débardeur mais se rend compte que son cousin le cache derrière son dos :
- Rends-moi mon débardeur.
- Je te l'échange contre ta culotte. Dépêche-toi, Julien va revenir des toilettes et Boris va s'impatienter dans le camion.
- Gros malin...
Sans autre choix, Camille retire son short.



Une fois en culotte, elle semble hésiter. Antoine se penche pour vérifier que Boris patiente toujours dans le camion :
- C'est bon. Boris attend encore. Julien n'a pas encore tiré la chasse. Tu as le temps.
Lui tournant le dos, Camille retire la culotte.


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Elle la tend à Antoine mais celui-ci semble ne pas vouloir l'attraper :
- Prends-la et rends-moi le débardeur.
- Ou bien tu restes comme ça. Boris sera ravi et je pense que Julien aussi.
Camille lui lance sa culotte au visage :
- Arrête de déconner.


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Antoine lui lance le débardeur à ses pieds et met la culotte dans la poche de son jeans :
- Voilà un bien beau trophée !
Camille commence par renfiler son short alors qu'ils entendent la chasse d'eau dans la maison, signe que Julien va bientôt repasser par là.


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Elle achève tout juste de remettre son débardeur quand Julien arrive :
- Et bien ? Vous discutez mais je vois toujours autant de cartons ici moi.
- On faisait une pause...
Boris arrive alors à l'entrée du garage :
- Qu'est-ce que vous foutez ? Vous faites une pause sans me le dire ?
- Non, on négociait l'organisation de la fin de matinée avec Camille. J'ai obtenu gain de cause.
Camille sourit en voyant que Boris se doute de quelque chose. Elle attrape un carton et motive les gars :
- Allez, les garçons, on y retourne.



Quand ils arrivent au camion, tous chargés de leur carton, Boris pose le sien sur le bord et se hisse dans le camion pour réceptionner les autres :
- Allez, on essaye de terminer avant midi.
Antoine modère son enthousiasme :
- Non, ça va être trop chaud. Les meubles, on les fera dans un second tour cet après-midi.
Camille tend son carton en premier à Boris qui se rince l'œil dans le décolleté, se rendant compte de la vue dont Julien a pu profiter à chaque fois que Camille lui apportait un carton.



Camille remarque la bosse qui déforme l'entrejambe du jeans de Boris. Elle sourit en le regardant :
- C'est dommage de réfréner une si belle motivation...
Boris croit comprendre qu'il s'agit encore d'un message codé. Quand Camille se redresse, il remarque à quel point elle aussi est excitée en voyant ses mamelons pointer fièrement à travers le fin tissu du débardeur :
- Le tout est de rester motiver jusqu'à ce soir !



Arrivée dans le garage, Camille se penche sur le canapé pour regarder derrière :
- Tony ? Les cartons, là derrière, il faut aussi les charger ?
- Heu, il y en a combien ?
En réalité, Antoine se fiche de savoir combien il y a de cartons mais la position de sa cousine est particulièrement sexy : son mini-short, très étroit à l'entrejambe, révèle une partie de son sexe. Antoine cherche juste à gagner du temps pour que Julien puisse aussi se rincer l'œil.



- Il y en a une douzaine. Pas très gros. On déplace le canapé pour les récupérer ?
Julien, les yeux écarquillés, sort de son silence ahuri et dit :
- Oh, tu peux peut-être les attraper pour nous les passer, non ?
Camille n'est pas dupe, mais décide de jouer le jeu :
- Ok, alors approchez-vous pour les récupérer que je n'aie pas à me retourner à chaque fois.
Faisant ainsi, les deux hommes, les yeux exorbités, profitent du spectacle incroyable de la moule de Camille à peine dissimulée par l'entrejambe du mini-short.



Quand Camille se redresse, les deux garçons reprennent leur respiration et poussent un profond soupir. Camille sourit faisant mine de ne pas connaître la raison de leur trouble. Alors que Julien s'apprête à partir avec le premier carton, Antoine l'arrête en tendant un marqueur noir :
- Attends, j'ai oublié de marquer ceux-ci.
- Marquer quoi ?
- Que ce sont des livres. Quand on va déposer tout ça à Emmaüs, ça leur fera gagner du temps. Je l'ai fait pour tous les autres...
Camille attrape le marqueur :
- Alors je m'en charge, Tony. C'est à ma portée.
Camille se penche alors au-dessus du premier carton. Devant elle, Antoine profite de ses seins nus dans le décolleté. Derrière elle, elle sent le regard de Julien sur sa croupe et ses cuisses.



Alors que les deux garçons ne bougent pas, Camille redresse la tête et dit :
- Je viens d'en faire deux, vous pouvez peut-être déjà les emmener plutôt que d'attendre que je les fasse tous... A moins que vous ayez besoin de faire une pause.
- Une pause contemplative, oui.
- Allez, espèce de vicieux, décroche de mes nibards et emporte ce carton à Boris.
- Tu es injuste avec moi. Julien aussi en profitait...
- D'où il est, il ne pouvait certainement pas voir mon décolleté.
- Non, mais il voit ça !
Alors qu'il passe derrière elle, d'un coup sec, Antoine lui abaisse son short comme il l'avait fait précédemment, sauf que maintenant Camille n'a plus de culotte.


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- Tony, t'es qu'un salopard !
Antoine rigole et fait comme s'il était surpris :
- Camille !? Tu ne portes pas de culotte sous ton short ?
- Gros malin, dit-elle en remontant le mini-short, elle est dans ta poche !



Julien, complètement subjugué par ce qu'il vient de voir et d'entendre, prend le second carton marqué par Camille et se dirige vers le camion. Quand Boris le voit arriver, il se met à rire :
- Et bien, Julien ? Tu as vu un fantôme ?
- Ah non, ça n'avait rien d'un fantôme. C'était du très concret...
- Camille s'amuse avec vous, c'est ça ?
- Je ne sais pas qui s'amuse avec qui, mais elle n'est pas farouche.
- Elle aime qu'on s'occupe d'elle... Ce n'est pas désagréable, n'est-ce pas ?
Camille arrive alors et tend son carton à Boris :
- Qu'est-ce qui n'est pas désagréable ?
Mais avant que Boris ne lui réponde, Antoine arrive derrière et pose son carton par terre. Il saisit sa cousine à la taille et dit :
- Pousse-toi, on ne peut pas passer !
Quand Camille tente de se dégager de son étreinte, Antoine en profite pour corriger sa prise et lui empoigner un sein.



Camille se calme et lui lance :
- Attention, tu t'égares...
Antoine retire sa main accrochant au passage la bretelle du débardeur, ce qui a pour effet de découvrir un sein.



- Oh pardon ! s'excuse-t-il avec un grand sourire.
Se rajustant, Camille rigole et lui dit :
- Tu ferais mieux d'aller chercher les derniers cartons au lieu de me peloter.
- Tu as raison, il faut qu'on aille décharger tout ça à Emmaüs avant 12h30. Julien, viens m'aider pour les derniers cartons. Boris et Camille, terminez de bien caler tout ça pour que ça ne bouge pas pendant le voyage.
Camille tente de se hisser dans le camion mais reste coincée :
- Merde, c'est super haut !
Antoine et Julien, se retournant, regrettent d'être partis si tôt car ils auraient mieux profité du spectacle de la petite cousine avec les cuisses écartées.



Quand ils reviennent, Julien est le premier à tendre ses cartons. Boris est le plus près mais fait comme s'il était occupé avec son téléphone portable. Camille s'approche donc pour faire la réception :
- Attends Julien, je vais te les prendre.
Bien sûr, Camille n'hésite pas à se pencher et évidemment Julien ne perd pas une miette du charmant spectacle des seins qui s'agitent librement sous le débardeur.



Tenant les cartons, elle se tourne vers Boris :
- Je les mets où chef ?
- Faut pas que ça bouge. Essaye de les caler derrière le gros sur le côté.
- A vos ordres.
Est-ce le plus approprié pour les cartons où bien Boris vient-il encore de créer une opportunité pour exhiber sa copine ? Quoi qu'il en soit, Camille doit à nouveau se pencher et se cambrer pour atteindre l'espace désigné par Boris. A nouveau, les garçons peuvent se régaler de la vue sur sa moule à peine dissimulée par le mini-short.


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Boris réceptionne et range les derniers cartons apportés par Antoine :
- Allez, chérie, tu descends pour que je ferme.
- Oh, je peux essayer ?
- Oui, si tu veux. Il faut commencer à tirer la porte en étant en haut, puis descendre pour refermer d'un coup sec.
Camille commence à tirer la porte coulissante jusqu'à mi-hauteur puis saute du camion. Bien campée sur ses cuisses écartées, elle attrape la poignée et tire fermement la porte vers le bas en poussant un petit cri aigu. Les garçons ne regrettent pas de l'avoir laissé faire car, encore une fois, ils ont pu admirer ses jolies fesses musclées en pleine action.



Fière d'elle, Camille se recule mais bouscule Antoine qui se retrouve par terre :
- Oh mince, désolée Tony. Tu vas bien ?
- Mmmm, je crois que je me suis foulé la cheville... Pas méchant.
Il se relève mais Boris lui pose la main sur l'épaule :
- Je ne pense pas que ce soit prudent que tu conduises si tu t'es fait mal... Julien sait où se trouve Emmaüs ?
- Oui.
- Alors, reste à te reposer ici, moi je conduis le camion avec Julien.
Camille se dirige vers la voiture :
- Je vous suis pour vous aider au déchargement ?



- Pas la peine, il y aura du monde là-bas. Reste avec Antoine pour lui faire un massage. C'est de ta faute après tout....
Boris n'ose pas imaginer l'effet qu'aurait la tenue de Camille sur les Compagnons d'Emmaüs... Une minute plus tard, le camion sort de la cour. Camille demande à Tony :
- Tu peux marcher ?
- Bah ouais. En fait ça m'a fait super mal sur le coup, mais j'ai l'impression que c'est passé.
- Pfff... Boris aurait dû se douter que tu avais une idée derrière la tête. Tout ce cinéma pour profiter de moi...



- Maintenant qu'on n'est plus que tous les deux j'avoue que, des idées, j'en ai pas mal qui me traversent l'esprit. Tu nous as pas mal chauffés à bosser sans sous-vêtement.
Camille s'assoit dans un fauteuil du salon :
- Hé, Tony ! Tu ne vas pas me le reprocher, c'est toi qui m'a suppliée !



Antoine s'installe dans le canapé face à elle :
- Je ne te reproche rien. C'est juste un plaisir de faire un déménagement en ayant quelques surprises sympathiques, des visions volées.
- Tu as bandé ?
- Bien sûr ! Depuis que tu m'as fait la bise en arrivant et je ne faiblis pas !
- Moi aussi... j'ai mon short qui commence à être trempé...
Comme s'il s'agissait de deux anciens soldats se montrant leurs cicatrices de guerre, Camille écarte les cuisses et tire sur le short pour dévoiler à son cousin sa moule toute humide de cyprine.



- Oh que tu dois avoir envie de jouir, ma pauvre cousine...
- Et bien en fait, juste faire monter l'excitation, je trouve ça bien.
- Ah oui. Raphaël m'a beaucoup parlé de ton passage chez lui avec ta copine.
- Il a appris des choses. Et je pense que Pauline ne regrette pas.



Antoine se masse l'entrejambe pour repositionner son érection un peu congestionnée dans son jeans. Puis il demande à sa cousine :
- Tu m'apprendrais aussi ?
- Je peux. Reste assis et observe.
Camille écarte lentement les cuisses.



- Si je dois juste jouer les voyeurs, ça devrait aller. J'ai fait ça toute la matinée.
Camille fait glisser son short sur ses cuisses.
- Ce n'est pas seulement ça. Tu es voyeur mais je suis officiellement consentante à ce que tu regardes. Tu as aperçu mes seins, mes fesses, ma moule ce matin et ça t'a d'autant plus excité que tu te plaisais à penser que c'était à mon insu. Tu l'as dit "des visions volées". Là, tu n'as pas besoin de voler, je t'offre le spectacle.



- Et tu penses que ça m'excite moins ?
- Non, je pense que ce sera plus difficile pour toi. Car tu vas me voir me donner du plaisir devant toi et que je ne vais pas t'autoriser à en prendre. Mais ce sera cette frustration qui va augmenter ton excitation.
Antoine a du mal à se concentrer sur ce que lui dit sa cousine, surtout quand elle commence à mettre en application le supplice qu'elle vient de lui exposer : lentement, elle fait pénétrer deux doigts dans sa moule et commence à se masturber.



Camille ferme les yeux et se met à gémir sans retenu. Après deux minutes, elle s'interrompt et ouvre les yeux :
- Tu as prévu quoi pour le repas de ce midi ?
Antoine se demande pourquoi elle pose cette question :
- J'ai préparé des salades et une quiche, pourquoi ?
- Mmmm, moi, je te propose de déguster un bel abricot bien mûr et bien juteux.
De manière parfaitement explicite, elle écarte les lèvres de sa moule.



Lentement, Antoine se lève. Camille commente :
- C'est bien, malgré l'excitation, tu te retiens.
- Tu m'as ouvert l'appétit...
Il s'agenouille entre ses cuisses et commence par admirer pendant quelques secondes le magnifique fruit qui lui est offert.


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- Allez, vas-y goutte-moi.
Antoine se penche entre les cuisses de sa cousine. Lentement. Il dépose un baiser sur l'intérieur de la cuisse, d'abord à droite, puis à gauche. Enfin, il pose sa langue à la base de la vulve et, toujours avec beaucoup de retenues, la pointe de sa langue remonte jusqu'à atteindre le clitoris. Camille a un frisson à ce contact.


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- Mmmmm, oui... Tu es presque aussi doué que ton frère...
Ayant trouvé le point sensible de sa cousine, Antoine insiste sur le clitoris, faisant tournoyer sa langue sur l'organe érigé. Camille a le souffle court et gémit de plus en plus :
- Oh putain Tony, c'est bon !



Mais soudain, elle pose ses mains sur son front et le repousse gentiment, avant de se relever. Antoine ne comprend pas et reste à genoux :
- Tu... tu n'as pas joui !
- Non, mais ce n'est pas une fin en soi. Si tu as écouté ma leçon, tu auras compris que l'excitation est parfois plus importante.
- Tu ne veux pas d'orgasme ?
Camille attrape son short et l'enfile :
- Si, mais je pense que je peux avoir un orgasme d'autant plus puissant que mon excitation sera grande. Il en sera de même pour toi.



Camille ramasse son débardeur et a presque de la pitié en voyant la mine déconfite de son cousin :
- Ne sois pas déçu. Je compte vous exciter encore... Et que vous m'excitiez aussi.
- "Vous" ?
- Il me semble qu'il y a aussi Julien et Boris.



Antoine se lève et vient la rejoindre :
- J'avoue que j'avais espéré qu'on profiterait d'être juste tous les deux pour...
- Se faire jouir, l'un l'autre ? Comme un vieux couple ? On peut faire mieux que ça, Tony.
- Tu nous mènes vraiment par le bout du nez, ma belle.



- Mais c'est pour votre plus grand plaisir.
- Et le tien...
Se plaquant dans son dos, il l'embrasse dans le cou. Il passe une main entre ses cuisses pour lui masser l'entrejambe encore brûlante et lui caresse un sein de son autre main.



Antoine murmure à son oreille :
- Tu as changé. Tu n'avais pas ces exigences quand on est venu te voir avec Raphy.
- Non, on était au stade de la découverte, des souvenirs. Là on peut estimer qu'on peut passer à quelque chose de plus intime, dans une relation de confiance.
Elle se retourne et l'embrasse.



Quand ils achèvent leur baiser, Antoine demande :
- Camille, comment vas-tu gérer pour Julien ? La découverte ou la confiance ?
- On improvisera...
Se détachant de son cousin, elle va à la cuisine et lui demande :
- Elles sont où tes salades ? Boris et Julien ne vont plus tarder à revenir. On peut installer la table pour leur arrivée.




Cet épisode est librement inspiré de la première partie de l'histoire de Free (2008)
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb130/reve13010.html

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