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Boris
16 août 2020
L'autre cousin - épisode 6 : Les voyeurs


Dimanche après-midi


Antoine et Julien commencent à décaper le papier-peint dans la chambre en face de celle de Camille. Elle entre dans la pièce, vêtue de son minishort et de son débardeur :
- Besoin d'aide les garçons ?



Antoine la jauge et dit :
- Qu'est-ce que tu fous sapée avec tes fringues d'hier ?
- Et quoi ? Tu n'aimes pas, Tony ?



- Si, mais c'est une tenue de travail ça.
- Bah oui, je veux vous filer un coup de main...
- Si tu restes ici, on ne va pas réussir à terminer ce mur avant de repartir... Et de toute façon, il n'y a pas assez de matériel pour trois. Va profiter de la plage ou de la piscine pendant qu'on fait ça. On se dépêche.
- Ok, si vous préférez rester entre mecs...
Camille, un peu vexée ressort de la pièce et rejoint sa chambre pour se changer... sans fermer les portes ! Julien et Antoine ont tous les deux noté ce détail intéressant et préparent le matériel en ayant constamment un œil sur la chambre voisine. Quand Camille se tourne, ils détournent aussitôt la tête comme s'ils n'avaient rien remarqué du tout.



Camille, comme pour s'assurer qu'ils remarquent son manège, s'adresse à eux depuis la pièce en face :
- Et vous n'avez que ce mur-là à faire ?
- Oui... Les autres, ce sont mes parents qui s'en occuperont. Je leur ai promis juste celui-ci parce que c'est le plus grand.
- Et toi Julien ? Tu n'as pas l'impression de te faire exploiter ?
- Bah non, c'est mon pote et il y a... des compensations...
Bien sûr, pour répondre aux questions, les garçons se tournent vers Camille et la voient retirer aussi son short et enfiler le string de son bikini vert. Antoine sait qu'elle le fait délibérément pour les exciter et sans doute pour se venger de l'avoir éconduit aussi rapidement.



- Quelles compensations ? demande innocemment Camille.
- De la bière à volonté et, surtout, sa reconnaissance éternelle !
- C'est beau l'amitié. Et bien pendant qu'il t'exploite ici, moi je retourne à la piscine pour prendre un bain de soleil.
Les garçons retiennent leur souffle en voyant Camille dans le couloir, vêtue d'un petit bikini cachant bien peu ses courbes affolantes.



Camille descend pour profiter de la piscine, pas pour se baigner, mais pour prendre le soleil. Alors qu'elle est en bas, Antoine crie dans le couloir qu'elle entende :
- Camille, penses à te mettre de la crème si tu restes au soleil !
Elle l'a entendu et décide de tirer un transat du côté du jardin pour l'installer sur la pelouse juste à côté de la piscine, en profitant de l'ombre diffuse que procure le feuillage des grands arbres.


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La jeune fille s'y allonge en bikini. Pendant ce temps, Antoine et Julien sont dans la maison et retirent le papier peint. Ils mettent la décolleuse à vapeur en route et commencent le travail. Dehors, Camille est au soleil, elle se préoccupe surtout de ses futures marques de bronzage.
- C'est quand même dommage de profiter d'un si grand jardin et de ne pas bronzer intégralement, comme sur la plage.
Camille jette un coup d'œil aux alentours.
- Après tout, les garçons sont occupés dans la maison et personne ne peut me voir.
Camille décide donc de retirer son maillot.


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Tout d'abord le haut, ce qui dévoile une poitrine appétissante, d'un volume supérieur à la moyenne, ses seins sont bien fermes et ne tombent pas. Elle en est plutôt fière et apprécie de plus en plus le regard des autres dirigés sur eux, que ce soit quand elle fait du topless sur la plage, quand elle se douche à la piscine municipale ou, plus souvent, quand elle porte des vêtements légers sans aucun sous-vêtement. Elle adore sentir ses tétons pointer sous l'excitation et attirer ainsi encore plus les regards masculins. Une fois les seins à l'air, elle enlève ensuite le bas, laissant apparaître son sexe épilé, sauf le mont de vénus, où demeure un petit triangle de poils foncés.


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Dans la chambre, Antoine et Julien ont commencé le décollage, mais la machine à vapeur rend vite l'atmosphère étouffante. Ils ont d'abord retiré leurs chemises, mais ça ne suffit pas. Antoine dit :
- On se croirait au sauna.
- Attends, je vais faire de l'air.
Julien va à la porte-fenêtre et saisit la poignée pour l'ouvrir, mais il s'arrête brusquement.
- Qu'est-ce qu'il y a ? demande Antoine.
- Viens voir !
Antoine le rejoint à la fenêtre et peut voir ce que voit aussi Julien : Camille est allongée, nue, en train de bronzer.


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Julien n'hésite pas à dire le fond de sa pensée.
- La salooope...
- Elle est bonne.
- Ouais, super bonne.
- Si on ouvre la fenêtre, elle va l'entendre et se rhabiller.
- T'as raison, on va laisser la fenêtre fermée. Comme ça on pourra continuer à la mater.
Antoine et Julien se remettent au travail, mais il fait vraiment très humide dans la pièce.
- Putain, ça me colle de partout. Allez, je retire tout.
Antoine se déshabille pour ne garder que son caleçon, même s'il sait que Julien se rendra compte de l'érection qui tend le caleçon.


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Quelques instants plus tard Julien en fait autant. Et lui aussi affiche une érection bien marquée :
- Désolé, ta cousine est trop excitante...
- Pas de soucis, je pense qu'on subit le même sortilège de sa part...
- Pffff, finalement, je ne sais pas si on aurait pas été plus efficace si elle était restée pour nous aider...



Julien se remet au travail et Antoine reste encore quelques instants à la fenêtre, mais il ne se rince pas l'oeil sur les courbes de sa cousine. Il croit avoir vu bouger derrière les arbres. Dans la partie haute du jardin, au-dessus de la piscine, masqué par un gros chêne et un bouleau à triple tige, Antoine semble voir comme un mouvement, une ombre, une présence. Quelque chose d'insolite, là-bas entre le tas de compost et le pin de Weymouth qui a tant de mal à se développer à l'ombre de ses grands voisins. Patientant quelques minutes, immobile derrière la vitre, Antoine finit par distinguer une silhouette qui se déplace très lentement le long de la haie de thuyas, vers les petits buissons en hauteur, à une vingtaine de mètres de la piscine. La zone est ombragée avec une vue imprenable sur la piscine et ses abords. L'inconnu a nécessairement vu Camille. Antoine est tout émoustillé à l'idée qu'un voyeur ait réussi son coup et vienne se rincer l'œil incognito sur sa cousine qui se prélasse au soleil.
- Julien, viens voir.
- Elle est toujours à bronzer ?
- Oui, mais elle n'est pas seule. Tu vois derrière les buissons, là ?
- Putain, c'est qui ce type ?
- Je ne sais pas...
- Il faut descendre le faire dégager !
- Non, attends de voir...
La silhouette rejoint progressivement le deuxième buisson et se dissimule encore dans l'ombre et les feuillages, à moins de dix mètres de la piscine, mais toujours hors de vue de Camille. L'homme, semble-t-il assez jeune, reste maintenant immobile, à l'affût. Alors qu'une petite brise fait se déplacer quelques branches, un rayon de soleil éclaire le visage de l'inconnu et Antoine le reconnait soudain :
- Merde, c'est Lucien !
- Tu le connais ?
- C'est un neuneu du village qui s'occupe des jardins...
Lucien est effectivement un garçon simple d'esprit mais particulièrement robuste à qui tous les gens du quartier confient l'entretien des jardins en leur absence. Antoine se souvient d'ailleurs que ses parents lui avaient dit qu'il croiserait peut-être le jardinier. Lucien est donc en position de voyeur, comme Antoine et Julien, et reluque Camille étendue sur son transat, à moins de dix mètres du jeune jardinier. Sous les yeux de Julien et Antoine, sans que Camille ou Lucien ne se doute de leur présence. Leur position surplombant la piscine et le bosquet de Lucien leur permet de voir les deux à la fois.
Antoine reprend le travail tandis que Julien reste à la porte-fenêtre. Il constate soudain que Lucien a un comportement étrange. Le garçon ne semble plus se contrôler très bien et, d'où il est, il le voit agrippé aux branches basses du bouleau, la bouche entrouverte et les jambes légèrement fléchies. Il lui semble même observer une légère ondulation des hanches. Comme les prémices d'une longue et lancinante agitation qui voudrait s'emparer du jeune homme pour un très long moment et qui va le conduire peut-être à des attitudes et des comportements qu'il ne maîtrisera pas. Baissant les yeux sur la terrasse au bord de la piscine, Julien comprend : Camille vient de se retourner, exposant ses fesses magnifiques aux rayons du soleil et aux yeux chanceux dont elle ignore la présence.


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Julien appelle Antoine :
- Tony, viens voir. Ta cousine vient de se mettre sur le ventre et ça semble mettre le jardinier dans un état étrange...
L'intuition de Julien ne l'a pas trompé. Lucien, les yeux fixes, regard bloqué en direction de la croupe de Camille, tel un automate, dégrafe lentement les boutons de sa chemise. Plus exactement les arrache en force, un par un comme avec une lente violence quasi programmée. Celui du col pour commencer. Les suivants sautent facilement. Aucun ne résiste aux doigts puissants rompus aux tâches les plus rudes. Il jette sa chemise de toile épaisse, laissant à nu un torse sec et musclé, puis il se débarrasse avec la même tranquille obstination du reste de ses vêtements.



- Merde, il est à poil, là, non ? Il faut prévenir Camille !
- Attends. Je ne pense pas qu'il puisse lui faire du mal et ce qui peut suivre intéressera sans doute Camille.
Comme en état d'hypnose et, désormais totalement nu, Lucien reprend sa position, agrippé aux branches basses du bouleau, les jambes légèrement fléchies. Antoine et Julien voient maintenant son sexe raide, vertical et parallèle au ventre, venir tutoyer son nombril.



Les ondulations du bassin reprennent. Esquissées puis plus marquées, elles donnent le branle à ce sexe aux proportions maintenant phénoménales. Les deux garçons sont fascinés de voir cette verge colossale qui gonfle encore et encore, gourdin gorgé de sang, lourd et sauvage.
Puis, reportant le regard sur sa cousine, Antoine constate qu'elle écarte les cuisses pour se vaporiser un peu de crème solaire sur les fesses.


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- Oh putain ! Elle va se faire violer si elle continue comme ça...
- Mince, quel corps de rêve elle a !
- Moi, je fais comme elle.
- T'as raison, comme ça, on est vraiment comme au sauna.
Impudiques, les deux amis se retrouvent nus devant la porte-fenêtre.


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Si le corps splendide de Camille attire leurs regards, tous les deux ont les yeux inexorablement attirés par le jardinier à l'érection phénoménale. Ahuris, ils voient la monstrueuse matraque, raide, qui se balance, plantée bien à la verticale au carrefour des cuisses, et qui brille soudain à son extrémité, comme si le gland qui la couronne se nappait d'un vernis transparent. Subjugués, Antoine et Julien doivent se rendre à l'évidence. La bite plantée droit, enracinée au bas du ventre de Lucien dégorge doucement une liqueur translucide, par petites vagues successives, régulières et qui, comme la lave d'un volcan qui se réveille, débordent le méat, roulent sur le gland enflé et ruissellent le long de la tige bandée aux veines bleues bien apparentes maintenant.



Le jardinier libère inconsciemment les prémices de sa semence, sans même se caresser, à la seule vue d'une femme nue qui bronze. Mais pas encore d'éjaculation pour le moment, seulement une émission sourde et régulière d'un liquide cristallin annonciateur de giclées plus consistantes et plus vigoureuses. Alors, Lucien s'agrippe plus fort à ses branches et, la bouche mi-ouverte, le rouge lui monte brusquement à la face. Le voilà cramoisi comme en proie à une violente émotion qu'il ne contrôle plus. Abaissant leurs regards sur Camille, les garçons comprennent tout. Camille s'est remise sur le dos et a entrepris de se caresser.


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Elle se laisse aller et se caresse le corps, les seins, le sexe. Pour Antoine et Julien, l'effet est immédiat, leurs sexes se redressent. Malgré eux, ils commencent à se caresser le sexe. C'est quand Camille a commencé à gémir sous l'excellence de ses caresses que la première salve de Lucien est partie. Le jardinier se lâche à la vue de ce corps vibrant de plaisir, presque à portée de ses mains. Ce sont maintenant de beaux et longs jets qui fusent de sa lance, amples, à la fois lourds et aériens. Les copieuses giclées de sperme montent et culbutent dans l'espace en loopings généreux. La matière est abondante. D'une blancheur irréprochable. Le produit de ses glandes débordantes inonde l'herbe. Une bonne dizaine de traînées claires zèbrent la pelouse tondue récemment. Lucien avait les couilles chargées à bloc. Il se trouve délesté d'une cargaison conséquente de semence.



Julien rigole :
- Plus à s'inquiéter pour Camille. Les cales sont vides maintenant. Le petit jardinier va devoir attendre un bon moment avant de recharger.
Antoine ne répond pas. Lucien ne bouge pas, torse musculeux, jambes mi-fléchies et contractées dans une position provocante. Il exhibe et pousse devant lui une verge tendue qu'un fil d'araignée translucide relie au sol. Le jardinier a le regard fixe et garde la bouche ouverte. Antoine observe et dit à Julien :
- Il n'a pas l'air de débander...
Le formidable gourdin ne donne effectivement aucun signe de relâchement et se tient toujours bien droit, raide et arrogant le long de ses abdominaux.
Dans le même temps, Camille expose son petit corps de rêve aux spectateurs privilégiés et commence à se fourrer un doigt dans la fente, ignorant tout de ce qui vient de se passer.


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Le jeune mâle, précédé de son phénoménal étendard, sort de l'ombre et descend vers le bassin sans plus prendre garde à ne pas se faire surprendre. Il progresse, nu sur le bord de la piscine, et vient se planter devant elle alors que Camille, sans doute avec l'idée de réitérer l'expérience du fist en est à son troisième doigt. Mais la jeune fille sent soudain la présence de l'intrus et, rouvrant les yeux, découvre Lucien qui se tient juste devant elle.



Elle se redresse :
- Qui... qui êtes-vous ?
Bien qu'ayant interrompu sa masturbation, Camille ne se montre pas particulièrement pudique. Sans doute plus surprise par les mensurations hors normes du nouveau venu.



L'homme bafouille :
- Je suis Lucien. Je m'occupe des jardins.
- Et vous travaillez toujours dans cette tenue ?
- Il fait trop chaud...
- Et vous me regardez depuis longtemps ?
- Je vous trouve très très belle...
Cela, Camille le sait déjà en voyant l'énorme verge dressée devant elle. Elle est à la fois surprise par cette soudaine apparition alors qu'elle était sur le point de se donner un orgasme, mais également subjuguée par ce sexe gigantesque offert à son regard.



Camille ne s'attend alors pas du tout à que ce membre turgescent, excité par la proximité d'une femme nue allongée, se remette en branle. Lorsque, sans que rien ni personne n'y touche, le monstre explose à nouveau, lâchant quelques salves de semences épaisses. Certaines atterrissant dans l'eau, d'autres allant s'écraser sur le carrelage du bord de la piscine, plusieurs toutes proches de Camille que ce spectacle semble sidérer et amuser à la fois. Le jardinier semble inépuisable.



Du haut de leur poste d'observation, Julien et Antoine sont estomaqués et continuent de se masturber tous les deux, presque machinalement.
- La vache !
- Putain, c'est dingue !


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Sur sa chaise, Camille est au spectacle. Cette volumineuse verge gonflée, tendue et dressée la ravit. La dernière salve lâchée, Camille se ressaisit et s'accroupit par terre pour faire face à la bête. Elle agrippe à pleine paume la queue du jardinier sans que celui-ci ne fasse quoi que ce soit pour échapper à sa prise. Les doigts n'en font évidemment pas le tour. Comme pour affirmer leur présence face à ce tube de chair frémissant qui les défie, les phalanges se crispent et tentent désespérément d'étrangler le pieu vivant.
Mais ce geste a alors pour effet de relancer la tige dans son inlassable et prodigieuse activité. La bite de Lucien se réactive au moment-même où Camille se penche pour tenter de la prendre en bouche, bien convaincue de ce que l'éjaculation précédente ne lui fait courir aucun risque.



Ni Camille, ni Antoine, ni Julien n'ont encore réalisé en présence de quel phénomène ils sont. Lucien n'est comme aucun des mâles communs. Pas un ne présente ni les mesures ni les réserves du jardinier. Aucun ne peut décharger coup sur coup de telles quantités de sperme, puiser dans des réservoirs sans fond et se répandre à répétition sans même qu'on ne le suce ni ne le touche. Camille est penchée sur la bête, lèvres prêtes à s'en saisir. Elle reçoit alors en pleine face le premier jet d'une nouvelle série de giclées. Le liquide s'écrase sur son front, rebondit et éclate en auréole dans la lumière autour d'elle.



Par réflexe Camille ferme les yeux tout en saisissant la lance à deux mains pour la diriger plus bas. Les vagues suivantes s'acharnent sur la base du cou et les seins. Ces paquets de foutre se ruent tout en violence à l'assaut du buste qui brille et ruisselle désormais. Pour la troisième fois en moins d'un quart d'heure, le jardinier monté comme un âne balance la sauce, sans mesure, sans compter. La douche se calme enfin. Lucien reste immobile, les bras le long du corps, nu, raide et dégouttant d'une liqueur blanchâtre. Il fixe Camille de son regard vide et contemple la poitrine vernie de la semence dont il vient de l'asperger.



Camille le regarde aussi :
- Lucien, vous êtes un garçon surprenant... Mais vous êtes payé pour vous occuper du jardin, pas pour asperger de foutre les jeunes filles !
Camille prend un ton mi-amusé, mi-autoritaire, mais le garçon n'en perçoit pas la subtilité et, penaud se dirige vers ses vêtements. Camille l'arrête aussitôt :
- Non non ! Rappelez-vous : il fait trop chaud.
Camille se lève et s'essuie le visage et le buste avec sa serviette. Elle observe le jardinier reprendre son activité en tenue d'Adam. À dix mètres de là, arcbouté sur sa bêche, Lucien reprend le boulot, à poil et déjà luisant de sueur. D'où elle est, Camille admire les superbes fesses musclées du garçon et se caresse la poitrine en se rinçant l'œil.



Mais elle ne peut pas voir ce que Antoine et Julien voient. La verge du jardinier se réveille.
Antoine et Julien n'auraient jamais cru être témoin d'un tel spectacle. Comme la situation semble se calmer, Antoine tape sur l'épaule de son copain :
- On ferait peut-être mieux de retourner au boulot.
- Oui, c'est plus sûr. Il faut qu'on termine ça avant de partir.
Ils retournent au boulot, leurs sexes encore en érection. Pendant ce temps-là, Camille, encore sous le choc de ce qu'elle vient de vivre, remet son bikini.



Pourtant, elle ressent une certaine frustration à ne pas avoir eu d'orgasme. Abandonnant le spectacle du jardinier travaillant nu, elle monte à l'étage :
- Je me demande où en sont Tony et Julien.
Au moment où elle arrive à la porte de la chambre où ils travaillent, les deux garçons, trop excités pour travailler, retournent à la fenêtre, le sexe dans la main, se masturbant déjà. Julien voit le transat vide.
- Elle est où ?
- Ben, elle bronze plus ?
La porte s'ouvre en silence pendant que les garçons scrutent le jardin pour trouver la jeune fille. Camille entre dans la chambre et referme la porte derrière elle en la claquant.
- Non, je ne bronze plus, je suis là. Et vous ? Qu'est-ce que vous foutez, à poil dans la chambre ?



Antoine essaye de s'expliquer, aidé de Julien.
- C'est à dire, il faisait trop humide avec la machine à vapeur.
- Ouais, un vrai sauna.
- Alors on s'est déshabillés pour être plus confortables.
Camille ne l'entend pas ainsi.
- Vous-vous foutez de moi ou quoi? Vous étiez en train de vous branler en me matant.



Antoine regarde son sexe en érection et celui de Julien.
- Oui... Bon... C'est vrai qu'on aurait du mal à dire le contraire. En même temps, tu n'as pas été très discrète. Tu te mets à poil, tu te masturbes. On comprend presque pourquoi Lucien à éjaculer trois fois.
- Trois fois ?
- Oui... Il y a eu une première fois pendant que tu te caressais...
- Merde, donc vous avez tout vu...
- Tout. Mais si on s'est déshabillés, c'était d'abord à cause de l'humidité.
Julien essaye maladroitement de trouver un prétexte raisonnable :
- Et puis, le sauna, c'est très bon pour la santé.
- Vous n'y connaissez pas grand-chose, les gars, là ce serait plutôt un hammam, vu la température.
Camille passe les mains dans son dos pour défaire le nœud de son haut de bikini.



Antoine sourit en voyant sa magnifique poitrine encore un peu luisante de la semence du jardinier :
- Qu'est-ce que tu fous, cousine ? Tu veux nous donner un coup de main ?
- Non. Mais continuez à travailler, je vais profiter du hammam.
Sous les yeux stupéfaits de Julien, elle retire aussi son petit string sans montrer la moindre pudeur.



Comme les gars semblent rester statufiés par sa nudité, Camille se dirige vers l'unique meuble de la pièce : le canapé trop volumineux pour avoir été déplacé dans la pièce à côté. Camille s'installe et les rappelle à l'ordre :
- Au boulot maintenant, sinon on va repartir à pas d'heure ce soir.



Les deux garçons s'exécutent, ne voulant surtout pas contrarier la superbe cousine nue. Avec beaucoup de difficulté pour se concentrer, ils reprennent le travail, chacun le sexe tendu et dressé. Camille les observe à l'œuvre. Rapidement son corps, tout comme ceux de Antoine et Julien, ruisselle sous l'effet de la condensation de la vapeur. Antoine et Julien n'arrêtent pas de mater furtivement Camille, les sexes gonflés, mais ils n'osent se masturber.
- Vous m'avez regardée tout à l'heure, alors que j'étais en train de me caresser ?



Sans trop de gêne, Antoine se retourne et répond :
- Oui...
Camille se rejette en arrière dans le canapé et écarte largement les cuisses.
- Et vous vous êtes contentés de mater ?


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- Non, on s'est masturbé aussi.
- Alors, qu'est-ce que vous attendez ?
Antoine et Julien n'attendent pas qu'on leur dise deux fois. Ils prennent leur sexe en main et entament un mouvement de va et vient.



Tous les trois se masturbent ainsi pendant plusieurs minutes dans la moiteur de la pièce. Camille est vautrée dans le canapé, les cuisses écartées, Julien et Antoine debout face à elle, à moins de trois mètres. Camille est si excitée qu'elle a une soudaine envie. Elle regarde les garçons et leur dit :
- Est-ce que ça vous dérange si je me fiste devant vous ?



Julien n'en revient pas qu'elle demande cela. Il est si excité qu'il sent qu'il est sur le point de jouir. Il enserre la base de son sexe pour retenir autant que possible l'éjaculation. Camille se moque de lui :
- Julien, il ne faut pas te retenir ! Lâche tout !
Le pauvre garçon n'a pas la force de résister davantage. Relâchant la pression, son sperme jaillit avec fougue et puissance.


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En voyant les longs jets de sperme venir s'écraser au sol juste devant elle, Camille encourage Julien :
- Oh Julien ! C'est magnifique... vas-y, vide bien tes couilles...
Et en disant cela, elle enfonce lentement ses doigts dans sa fente, allant jusqu'à presque y mettre toute la main.



Antoine a les yeux exorbités à voir cette main qui entre et sort entre les cuisses de sa cousine. Celle-ci lui sourit et lui dit :
- J'ai une faveur à te demander, Tony...
- Laquelle ?
- J'ai été impressionnée de voir le jardinier éjaculer sans se masturber. Je voudrais que tu lâches ta queue et que tu me regardes, jusqu'à éjaculer.
- D'accord.



Antoine, ravi de participer à l'expérience de sa cousine, abandonne sa masturbation et se concentre sur le spectacle qu'elle lui offre. Sentant l'orgasme arriver, elle retire sa main de sa fente, la laissant béante et dégoulinante de cyprine, et elle commence à faire tourner les doigts de son autre main à toute vitesse sur son clitoris. Antoine est figé par ce qu'il voit. Soudain, sa cousine se redresse et elle se cambre. L'orgasme est là et l'envahit toute entière, sans demi-mesure.



Camille se force, malgré le plaisir, à garder les yeux ouverts, pour rester concentrée sur le sexe d'Antoine. Ce sexe magnifiquement dressé, gonflé à souhait, qui n'attend que d'exploser et d'offrir sa semence au regard avide de la jeune fille. Camille, entre deux gémissements de plaisirs, murmure à l'intention de son cousin :
- Oh... Tony, vas-y maintenant... Ooooooh...
Et Antoine obéit, docilement. Son sexe a un premier soubresaut qui lance le premier jet de semence au pied du garçon. Puis, le reste de son jus épais s'écoule lentement au sol, en continue, tel un robinet laissé ouvert.



Quand elle reprend ses esprits, elle observe la semence par terre sur le sol de la chambre. Elle sourit et dit aux garçons :
- C'est tout ?
- Quoi ???
- J'espérais que vous seriez aussi généreux que Lucien...



Les gars rient jaunes, manifestement un peu vexés de devoir souffrir cette comparaison, même s'ils savent qu'il s'agit d'une plaisanterie. Ils savent très bien qu'ils ont lâché à eux deux moins qu'une seule des trois éjaculations de Lucien. Rigolarde, Camille se lève et se dirige vers la porte. Au moment de quitter la pièce, elle s'adresse aux deux garçons.
- Merci pour le hammam. Je vous laisse finir de travailler. Je vais rassembler les affaires et commencer à charger la voiture. Travaillez bien !




Cet épisode est très librement inspiré de l'histoire de Zwico (2001)
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb030/reve03082.html
et de l'histoire de Ralph-Henri (2009)
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb132/reve13233.html

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