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Boris
1er septembre 2020
L'autre cousin - épisode 7 : Sur l'autoroute


Dimanche soir


La fin d'après-midi est encore caniculaire et Camille se trouve presque trop couverte avec sa petite robe grise.



Au moment de monter en voiture, Camille ouvre la portière arrière mais est arrêtée par son cousin :
- Camille, monte devant avec moi. Julien montera derrière.
Camille accepte volontiers la proposition mais y met des conditions :
- Ok, mais vous n'en profitez pas pour me tripoter !
- Mince, dit Antoine, moi qui voulait te faire faire des trucs pendant le trajet...
- Des trucs ?



- Ah, je vois que ça te titille de savoir ce que j'imaginais... Si on promet de ne pas abuser de toi, tu acceptes de te soumettre à nos requêtes ?
- Je ne sais pas... c'est pas des trucs trop tordus, Tony ?
- Non... ce sera des trucs excitants.
Camille se mordille la lèvre inférieure. Antoine sait qu'elle est déjà convaincue et ne tente pas d'argumenter davantage. Il se contente d'attendre et compte sur l'impatience de sa cousine. Après seulement quelques secondes, il obtient gain de cause.
- Ok, je marche, dit Camille.



- Alors commence donc par me relever cette robe.
- Mais les conducteurs autour vont voir !
- Tu abandonnes déjà ? En plus, non, personne ne verra avec la portière. Relève ta robe.
Camille remonte donc le bas de sa robe jusque sur son ventre, découvrant ainsi son intimité.



Enfin, ça semble simple et facile comme ça à décrire, mais en réalité elle le fait tout de même avec un peu de fébrilité. Après quelques minutes, elle s'aperçoit qu'Antoine avait raison, les conducteurs des voitures se trouvant du côté de Camille ne semblent pas voir sa nudité. Aussi, elle prend confiance en elle et finit par se décontracter totalement. Elle se libère tellement de ses appréhensions qu'elle ne réagit même pas lorsqu'un gros bus touristique stoppe juste à sa hauteur. Ce n'est qu'une fois qu'il redémarre et les dépasse qu'elle réalise que de là où il se trouvait, le chauffeur devait avoir une vue merveilleuse sur son entrejambe.



- Mince... je crois que le chauffeur du bus a vu ma minette...
- Très bien, et écarte-moi bien ces jambes s'il te plaît, que l'on puisse bien voir ta fente.
Camille est sidérée par cette remarque de son cousin et sa nouvelle attitude consistant à la mettre ainsi en vitrine. Sidérée, mais agréablement surprise de voir qu'Antoine peut aussi facilement se prêter au jeu qui, comme elle l'imaginait, commence à devenir excitant. Bientôt à côté d'elle se place un véhicule utilitaire. En prenant son courage à deux mains, Camille ose regarder le chauffeur. Celui-ci plonge déjà ses yeux sur ses cuisses et sur son sexe totalement visible.



Lorsque son regard rencontre le sien, elle lui fait un petit sourire à la fois coquin et complice. Il baisse sa vitre et se penche légèrement.
- Je peux voir le haut aussi ?
Camille a à peine entendu la requête à travers la vitre mais est certaine que c'était cela. Malheureusement, Elle n'a pas le temps de réfléchir à la demande du conducteur qu'Antoine redémarre.
- Ah, le pauvre, je n'ai même pas eu le temps de lui répondre quoi que ce soit.
- Que t'a-t-il demandé ? demande Julien.
- S'il pouvait voir aussi le haut...


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- Eh, ce n'est pas une mauvaise idée.
- Ah non !
- Ah si ! C'est mon tour de te demander quelque chose. Alors déboutonne le haut de ta robe et montre-lui tes seins. Et Tony, fais en sorte qu'il nous rejoigne.
Une fois de plus Camille obéit et défait tous les boutons de sa robe jusqu'à mon nombril et ouvre largement les deux pans du tissu qui recouvre sa poitrine. Ses seins sont maintenant à l'air libre, visibles de tous.



Ses tétons pointent largement en avant et elle sent son sexe s'enflammer. Les efforts d'Antoine pour rattraper par la camionnette finissent par payer. Cette fois le chauffeur gratifie Camille de quelques sifflets d'admiration. Elle le regarde et lui sourit à nouveau. Il lève son pouce, poing serré. Elle lui mime alors un merci de sa bouche muette.
Poursuivant leur route, Antoine s'amuse à dépasser le plus lentement possible tous les camions qu'ils rencontrent. La position de Camille n'a pas changé, son sexe est toujours exposé au grand jour tout comme ses seins.



Pourtant, aucune réaction semble se produire, pas un coup de klaxon, pas un appel de phare, rien. Arrivant en vue du péage, elle commence à reboutonner le bas de sa robe.
- Qu'est-ce que tu fais ? demande Julien.
- Ben, on arrive au péage, je ne vais tout de même pas le passer comme ça, la minette à l'air.
- Tu avais promis de suivre nos indications et on ne t'a pas dit de reboutonner ta robe ! Bon, c'est trop tard, mais garde tes seins à l'air.



Camille laisse sa robe grande ouverte sur sa poitrine nue et fait mine de dormir en tournant ma tête à droite, car elle ne veut pas croiser le regard du péagiste. La voiture s'immobilise devant la barrière. Camille entend la vitre électrique se baisser et l'échange de bonjours entre Antoine et le péagiste. Elle imagine que l'homme a remarqué sa présence et surtout sa tenue, mais aucune remarque ne se fait entendre.



Ce n'est qu'au redémarrage de la voiture qu'elle ose enfin ouvrir les yeux et là c'est l'horreur, un car de voyage se trouve dans au péage juste à leur droite et tous les passagers ont le regard sur elle, ses joues deviennent rouges. Heureusement cet instant ne dure que peu de temps et le car redémarre beaucoup plus lentement qu'eux.
Antoine lui jette un coup d'œil avant de se concentrer sur sa conduite :
- Bon, maintenant rouvre complètement la robe et quoi qu'il se passe, sans nouvelles instructions de notre part, tu restes comme ça.
Ils dépassent beaucoup de camions, bus, camionnettes mais aucune réaction ne se produit. Malgré tous les efforts d'Antoine qui se fait klaxonner parce qu'il roule comme une tortue sur la voie du milieu, la tenue inconvenante de Camille ne parait pas faire recette. Camille commence à s'agacer de passer ainsi inaperçue. Julien intervient :
- Bon, Camille, il faut réagir. Écarte bien les cuisses et caresse-toi. Ou plutôt non, masturbe-toi carrément.

Sa réflexion stupéfait la jeune fille, mais au point où elle en est, elle peut bien faire cela. Elle replie donc sa jambe droite afin de poser son genou contre la vitre de la portière et écarte son autre jambe presque jusqu'à toucher le volant avec mon tibia. Son sexe est grand ouvert et, l'excitation montant, ses lèvres intimes se gonflent et s'ouvrent légèrement. Camille sent de la cyprine humidifier son entrejambe. Elle est en position. Elle pose sa main sur son sexe et commence à se caresser.



Rapidement, elle enfonce un doigt et trouve son bouton d'amour pour le faire vibrer. Elle s'excite de plus en plus, un deuxième doigt vient soutenir le premier et des frissons traversent à présent son bas-ventre à chaque pression de ses doigts sur son clitoris. Le plaisir l'envahit, doucement. Elle enfonce ses doigts dans son vagin, encore et encore jusqu'à ce que sa main vienne se poser contre ses lèvres. Elle sent son jus couler sur l'intérieur de ses cuisses, c'est bon, cela l'excite davantage et elle commence un va-et-vient régulier en faisant ressortir totalement ses doigts avant chaque nouvelle pénétration.



À l'extérieur toujours rien, aucune manifestation. Elle est pourtant certaine qu'elle se fait remarquer, alors pourquoi ce silence, cette absence de tout signe qui lui ferait comprendre qu'elle est observée ? L'action de ses doigts dans son sexe et le plaisir qu'ils lui procurent la portent jusqu'à l'extase finale. Elle a très envie d'avoir quelque chose de plus gros en elle, même l'arrivée en renfort d'un troisième doigt ne l'apaise pas. Elle se masturbe de plus en plus vite, enfonçant ses doigts tout au fond de sa caverne. Antoine et Julien se rendent compte de l'état dans lequel elle est à cet instant, ils l'encouragent.
- Oui, c'est ça, Camille, vas-y, continue, enfonce-toi bien les doigts tout au fond. Fais-toi un fist.
- Ah... j'aimerais tant avoir quelque chose de plus gros en moi, cela me ferait jouir plus fort.



- Attends, je crois que j'ai une petite bouteille d'eau dans le vide-poche. Ah non, désolé Camille, j'ai dû la jeter.
Camille est déçue, déçue par ce faux espoir, déçue parce que personne ne semble la remarquer. Son plaisir est grandissant, mais sa jouissance ne vient pas. Elle sent bien qu'elle est toute proche, mais un rien la retient. Soudain, elle croise brièvement le regard d'un chauffeur routier qui écarquille ses yeux à les faire sortir de leur orbite.
- Tony ! Tony ! Ralentis, j'ai enfin en admirateur !

Lentement, ils se laissent rejoindre par le camion. Camille voit le pare-chocs dépasser sa vitre. Elle lève les yeux. La cabine arrive enfin à sa hauteur. Le chauffeur la gratifie immédiatement d'un grand sourire auquel elle répond tout de suite. Le conducteur perd de son attention, il surveille la route, mais ne manque rien du spectacle qu'elle lui offre. Son regard sur son intimité et son indécente attitude la rendent folle.



Ses doigts s'agitent de plus belle, l'homme fait comprendre en passant sa main sur son torse qu'il souhaite la voir se caresser les seins. Sans hésiter une seconde, son autre main se pose sur sa poitrine, elle se caresse, se pince un téton puis l'autre. Son regard ne le quitte plus, elle ne peut pas le dévier. L'homme fait sortir sa langue de sa bouche et la fait trembler comme pour simuler un léchage qu'elle imagine chaud et savoureux. Tout son corps se soulève soudainement, elle se raidit, ses jambes se crispent, son ventre se gonfle :
- Ah, ça y est, oui, oui, oui...!
Sa main se colle contre sa fente emprisonnant ses doigts bien au fond de son sexe qui semble vouloir exploser. Le plaisir qu'elle ressent à cet instant est merveilleux, ses yeux se ferment, Elle reste ainsi, le corps tendu, avec aux premières loges son sexe envahi de ses doigts.



Quelques secondes se passent. Camille ouvre les yeux. Le chauffeur est toujours là. Il comprend ce qui vient de se passer et lui fait un clin d'œil accompagné d'un large sourire. Camille retire ses doigts de sa chatte, ils sont trempés, elle les porte à sa bouche et les suce l'un après l'autre tout en regardant son voyeur. Celui-ci lui fait signe du pouce levé que le spectacle lui a plu. Elle lui sourit une nouvelle fois. Antoine comprend lui aussi qu'elle a pris son pied et que la représentation est terminée.
- Allez ! Dis au revoir au monsieur.

La voiture accélère, Camille plaque sa main contre sa vitre et fait un petit signe d'adieu au camionneur qui, enfin, la salue de deux coups de klaxon. Camille se remet de ses émotions.
En voyant un panneau annonçant une aire de repos, Julien passe la tête entre les deux sièges avant :
- Je crois qu'on a mérité une petite pose, non ?
- OK.
Le dossier du siège légèrement incliné, les jambes nonchalamment ouvertes, Camille profite des deux kilomètres qui les séparent de l'aire de repos pour se laisser bercer par le ronronnement du moteur.



L'aire est déserte. Antoine et Julien semblent déçus. Rajustant sa robe, Camille rigole :
- Haha, je crois que vous n'allez pas pouvoir me livrer aux regards de voyeur ici...
Elle sort de la voiture pour se diriger vers la zone des toilettes. La démarche très sensuelle que prend la jeune fille attire aussitôt l'attention des deux garçons. Ils matent ! Ils matent ces jambes offertes, cette petite robe très prometteuse et cette allumeuse qui ondule du cul en digne représentante de la gent féminine. Pour le plaisir, Camille se penche, fait semblant de rajuster un lacet, histoire d'exhiber son petit cul et sa belle chatte dénudée aux deux garçons.



Au retour des toilettes, les yeux pétillants d'un regard coquin, Camille décide de combler le désert de cette aire de repos par un effeuillage total de sa petite robe. Camille se retrouve alors entièrement à poil, chaloupant vers la voiture, et s'exhibe aux seuls yeux de ses accompagnateurs qui regrettent tous les deux de ne pas avoir le réflexe de prendre des photos avec leur téléphone.



Avant de reprendre place dans la voiture elle enfile sa robe, adressant un sourire coquin aux garçons :
- Le spectacle est fini, on repart.
- C'était trop rapide, se plaint Julien.
- Vous avez eu le privilège de cet intégral, vous n'allez pas vous plaindre !
Ce petit arrêt l'ayant quelque peu allumée, Camille s'étend sur le siège, très chatte et chaude. Dès qu'il est monté, Julien de plaque contre le siège de Camille et passe une main de chaque côté pour saisir le décolleté. Il écarte largement celui-ci pour dégager les seins et les empoigne.



- Hey Julien ! Tu ne t'emmerdes pas !
- Désolé, mais de te voir comme ça, je en résiste pas...
Camille le laisse quand même faire appréciant pouvoir subir ces caresses après tous ces jeux de regards :
- Pourtant, Tony se contrôle bien lui...
- Il a une volonté plus forte que la mienne.


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Antoine se remet au volant et voit Camille se faire peloter par Julien :
- Allons allons. Contrôlez-vous les jeunes ! Nous avons encore de la route.
Julien laisse Camille qui rajuste son décolleté.



Du fond de son siège, il peste :
- Dommage, je trouve bien ces petites pauses...
Antoine dit à Julien, derrière :
- Ce qu'il y a de bien sur l'autoroute, c'est que les aires de repos sont fréquentes.
Et effectivement, quinze kilomètres plus loin, une nouvelle pause s'impose. Camille sourit en voyant Antoine mettre son clignotant :
- Tony, on ne va jamais y arriver à ce rythme.



Antoine réagit quand même :
- Arrêts fréquents, ce sont les conseils de la sécurité routière.
Cette aire n'est pas aussi déserte que la précédente. Un poids-lourd et une seule voiture avec un petit monsieur tout seul et son chien. Antoine se gare à quelques places de lui, descends et va ouvrir la portière à Camille - galant, certes, mais surtout voyeur. Il a droit à une vue superbe sur deux cuisses qui s'ouvrent grand pour sortir, exhibant une chatte magnifique et surtout fière de l'intérêt qu'elle lui procure. Une poitrine à peine dissimulée par le décolleté déboutonné de la robe qui, visiblement, est un fervent militant de l'attentat à la pudeur.


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Évidemment, Camille remarque le regard très marqué, même s'il se veut discret, de son complice.
- Tu va aller te faire mater, chère cousine ! Et pas que par Julien et moi...
Sorti de la voiture, le trio fait quelques pas, histoire de se dégourdir les jambes et, l'air de rien, ils se dirigent dans la direction de cet homme et son chien. Camille sait ce que les gars attendent d'elle. Évidemment, arrive ce qu'ils souhaitent : le labrador se dirige sur eux et les renifle pour, finalement, venir sentir avec insistance entre les cuisses de Camille.
- Philou! Viens ici tout d'suite ! Excusez-le, m'sieurs-dame... Philou ! Ça suffit ! Viens là !
Certes, il parle à son chien, mais c'est Camille qu'il regarde... qu'il regarde... qu'il mate, surtout ! Son chien est à la fois son complice mais aussi le nôtre.



Loin de se débarrasser de Philou, les garçons font en sorte de le garder près d'eux, et d'engager un semblant de conversation. Le petit monsieur est maintenant à deux mètres du groupe et ne sait plus trop où regarder, un peu gêné certes, mais extrêmement intéressé par cette apparition. L'air de rien, Camille se penche pour caresser l'animal et offre au monsieur une vue plongeante sur ce gouffre gigantesque où trône une poitrine chaude et accueillante.


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Puis, toujours sous prétexte de caresser le labrador, elle s'accroupit, offrant aux spectateurs le panoramique d'une magnifique paire de cuisses tout autant sympathique.
Bien sûr, ils discutent tous de ce chien, avec des banalités lamentables, mais ils sont tous les quatre très occupés. Le petit monsieur et les garçons sont occuper à mater le plus avidement, le plus goulûment les deux nichons qui ballottent, s'exhibent, montrent leurs pointes tendues, jouent à cache-cache avec le décolleté de la robe qui, lui, s'évertue à vouloir les faire jaillir coûte que coûte vers ces voyeurs qui ne demandent que ça. Sans oublier ces deux cuisses glabres bien blanches qui s'entrouvrent, se ferment et jouent aussi à leur faire deviner une chatte qu'ils espèrent découvrir.


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Camille, elle, prend un infini plaisir à changer de position, se penche un peu plus, un peu moins, tente de montrer plus un sein que l'autre, en espérant pouvoir exhiber les deux en même temps comme si de rien n'était, comme une ingénue... Elle n'oublie pas que ses cuisses passionnent aussi ses voyeurs, ses cuisses mais aussi sa chatte et son cul, alors elle les bascule à droite, à gauche, les écarte doucement, les referme pour les rouvrir. Elle joue à "Tu as vu ma chatte ?" avec une aisance fabuleuse. Le temps semble s'être arrêté pour le plaisir de tous. Après quelques minutes trop courtes, constatant que le soleil va bientôt se coucher, Camille se redresse et dit :
- Bon... C'est pas tout ça mais y'a encore de la route à faire !



Le charme semble être rompu, surtout dans le regard du petit monsieur. Camille fait un clin d'œil aux garçons et fait deux pas en direction de la voiture. Antoine et Julien sont comme deux spectateurs aux premières loges à la fin de la pièce. Camille, majestueuse, leur fait le bouquet final. Leur tournant le dos, elle s'arrête alors que Philou passe une dernière fois devant elle comme pour lui dire au revoir. Elle se penche alors pour une dernière caresse au chien, les jambes bien droites, légèrement écartées, pour exploser aux voyeurs, de dessous sa minirobe, sa chatte nue, chaude et luisante.



Puis elle se redresse, se tourne vers l'homme avec, dans les yeux une étincelle adorable :
- Au revoir et bonne route...

De retour dans la voiture, Camille est radieuse sur son siège :
- Alors, les gars ? J'ai été assez cochonne pour vous ? Vous en voulez encore, je suppose ?
Le ton de sa question semble exprimer très clairement : « Vous avez largement intérêt à dire OUI ! »
C'est alors que Julien remarque que deux autres poids lourds sont venus stationner près du premier. Les camionneurs sont installés à discuter et à fumer sur une table de pique-nique non loin derrière. Julien les désigne à Antoine qui comprend aussitôt son idée. Il démarre la voiture et dit à Camille :
- Fais semblant de dormir... mais n'en perd pas une miette : je pense que ça peut marcher.



Antoine va se stationner à seulement quelques mètres des trois camionneurs, sous un lampadaire, en prenant bien soin qu'il éclaire au mieux Camille. L'attente est très courte. Un des hommes se lève et s'approche de la voiture, se disant sans doute que les jeunes gens avaient besoin d'une information. Quand il se penche à la fenêtre de la portière de Camille, Antoine lui fait signe de ne pas faire de bruit. Le gars semble comprendre ses intentions et fait signe à ses deux collègues de s'approcher sans faire de bruit. Une fois les trois devant la portière de Camille, Julien ouvre sa fenêtre derrière et leur dit :
- Hors de question de toucher. Vous pouvez mater, vous branler, mais c'est tout, et surtout restez discrets, sinon on s'en va.
Les trois hommes hochent la tête pour montrer qu'ils ont parfaitement compris. Ils ont l'air respectueux. Antoine se penche délicatement sur Camille, comme si elle dormait vraiment.
- Tu as trois admirateurs... Tu vas te faire mater, régale-toi !

Puis, avec d'infinies précautions, il commence à lui déboutonner le haut de la robe, bouton après bouton, pour en écarter les pans avec la plus grande indécence, sur des seins aux mamelons tendus, offerts et qui réclament crûment ce viol visuel.



Les trois mateurs sortent alors leurs queues tendues et commencent à se branler avec gourmandise. Antoine murmure doucement au creux de son oreille :
- Tu les fais bander, cousine... T'as vu comment ils te matent les nichons ! Maintenant, on va leur montrer ta chatte et ils vont se vider leurs couilles rien que pour toi.

Par le petit entrebâillement de la vitre, Camille entend leur respiration, presque leur main sur leur queue violacée et durcie. Les mains d'Antoine descendent sur le bas de la robe, termine de retirer les boutons, pour finalement soulever un pan, faire apparaître une cuisse indécente et la dénuder complètement. L'autre pan de la robe se soulève, glisse tout doucement, dévoilant petit à petit une petite toison tondue et taillée, une chatte qu'ils espèrent chaude et humide.



Un des trois hommes ne tient pas davantage et jouit, le visage rouge, les yeux exorbités.
- T'es trop bandante, tu vois... Murmure Antoine à l'oreille de sa cousine.

Il voit que le compliment va droit au cœur de Camille, sa respiration devenant rauque. Il faut noter qu'elle fait d'énormes efforts pour ne pas bouger. L'autre cuisse s'expose, comme à la parade, cette femme leur fait admirer son intimité, violentée par ces regards lubriques. Le rythme de leurs mains accélère, leur souffle se fait plus profond. Quelques mots en sourdine transparaissent :
- ... salope... chatte... putain...

Doucement, Antoine leur montre deux doigts tendus de sa main gauche, les dirige sur cette moule offerte, et les fait pénétrer dans ce trou de convoitise. Un « Oooh... » contenu ponctue l'éjaculation du deuxième.



Se penchant sur sa cousine, il murmure :
- Et de deux... Tu es très efficace, chère cousine.
Antoine masturbe lentement Camille qui a beaucoup de mal à faire semblant de rester endormie.


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Puis il sort ses deux doigts trempés de cyprine, les dirige sur la bouche de Camille et le lui enfonce entre les lèvres. Toujours en faisant mine de dormir, Camille suce le doigt couvert de sa mouille. Ce qui fait se contracter le troisième.
- Regarde...Murmure Antoine, il va se vider les couilles pour toi...



Le sperme gicle sur la vitre dans un soubresaut expiatoire. Quelques secondes de calme après cette tempête, et le voyeur lubrique passe un mouchoir sur ces traces blanchâtres dégoulinantes, pour faire disparaître ce viol consenti, puis retourne vers son camion, imité par ses deux collègues. Des phares indiquent l'arrivée d'un nouveau véhicule sur l'aire. Julien se retourne et dit :
- Merde, une patrouille de police...
Camille rajuste sa robe jusqu'au dernier bouton. Soudain, ils entendent la sirène qui se met en marche. Les trois voyageurs ont des frissons en s'imaginant emmenés au poste de police. Mais la voiture passe en trombe à leur hauteur et regagne l'autoroute. Camille pousse un profond soupir de soulagement :
- Je suis trop conne, j'ai cru que c'était pour nous !



Julien se remet au fond de son siège :
- Non, moi aussi j'ai cru que c'était pour nous...
- Il y a peut-être eu un accident sur la route.
- On y va ? demande Antoine.
- J'aimerai bien être rentrée chez moi avant 23h, si c'est possible.
- On est large. Mais tu as raison, il faut avancer.
Antoine redémarre et ils quittent l'aire d'autoroute pour poursuivre leur route. Après toutes ces émotions, Camille somnole. Au bout de dix minutes, ils voient un ralentissement. Antoine soupire :
- Et voilà l'accident qui a mobilisé les flics.
Un panneau lumineux signale effectivement un accrochage à cinq kilomètres. La circulation ralentit progressivement. La voiture est maintenant immobilisée. Un moment plus tard, Camille, toujours à moitié endormie, ouvre les yeux à demi et tourne la tête vers la droite. Un camion est arrêté à leur hauteur. Instinctivement, elle lève légèrement la tête et peut à présent voir le visage du chauffeur. Le chauffeur doit avoir une quarantaine d'années. Son visage, en lame de couteau, est animé par deux petits yeux enfoncés. Ses cheveux, châtains clairs et gominés, sont coiffés en arrière. Ses joues sont barrées par deux pattes grossièrement taillées. Ses lèvres sont minces et maintiennent par le mégot une cigarette. Camille remarque un tatouage sur l'avant-bras qui pend le long de la portière à la vitre baissée. Son regard, immobile, fixe Camille.

Camille sent l'excitation remonter. Tout en esquissant un léger sourire au chauffeur, elle croise et décroise les jambes de manière à les dégager au maximum du tissu de sa robe et les écarte légèrement.


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L'homme reste impassible. De sa fenêtre, Julien observe le routier et voit bien que Camille cherche à attirer son attention :
- Camille, je crois que tu vas devoir lui en donner un peu plus si tu veux avoir une réaction.
La jeune fille déboutonne doucement sa robe de façon à ce que le chauffeur puisse admirer ses seins. Le visage de l'individu rougit progressivement et devient écarlate lorsque la jeune fille passe le bout de la langue sur ses dents. Voulant l'exciter encore plus, elle bombe légèrement le torse en faisant semblant de vouloir s'étirer et le gratifie d'un clin d'œil.



Antoine sourit :
- Tu reprends du service ?
- J'ai un client...
- Dommage, on va pouvoir avancer un peu mais pas lui...
La voiture repart lentement. Ayant toujours un regard provocateur vers le chauffeur qui reste en arrière, Camille remarque que ce dernier tient un micro de CB et semble parler. Camille se contente de rabattre les pans de sa robe sur ses seins. Malheureusement, ils ralentissent à nouveau. Comme ils se retrouvent à passer lentement au niveau d'une succession de quatre camions, Antoine dit à Camille :
- Ouvre complètement ta robe, tu vas avoir des clients. C'est le moment où jamais.
Camille enlève les derniers boutons et ouvre sa robe en écartant largement les jambes.



Lorsque la voiture arrive à hauteur de chaque cabine de camion, Antoine ralentit un peu et Camille s'applique à tourner son visage vers le chauffeur pour le fixer et voir sa réaction. Les conducteurs ont quelques secondes pour admirer le spectacle. Quelques-uns lui adressent un sourire, d'autres des gestes un peu plus osés. Un autre, un gros blond, manque même de s'étouffer à la vue du spectacle. Une fois les camions passés, Camille rabat les pans de sa robe sur sa nudité au moment de passer au niveau de l'accident où interviennent les policiers.



Dès que la zone de l'accident est passée, la circulation reprend et la voiture gagne rapidement de la vitesse. Camille pose sa tête contre la vitre et se remet à somnoler. Après une demi-heure de route, elle se réveille brusquement. Il fait pratiquement nuit et elle s'aperçoit que la voiture est sur une voie de décélération menant vers une aire de repos.
- Vous voulez remettre ça ?
- Non, je dois prendre de l'essence. En revanche, si ça te dit de faire un peu d'exhibition, on ne sera pas contre...
Camille entreprend de reboutonner sa robe :
- Je vais surtout aller me prendre un café pendant que tu vas à la station.
- Je t'accompagne. Un café me réveillera aussi, dit Julien.
Dans la lueur des phares, elle distingue les masses sombres des poids lourds alignés les uns à côté des autres. Ils sont imposants et reflètent la puissance. Antoine dépasse le parking réservé aux camions et se gare sur celui réservé aux voitures. Julien accompagne Camille et ils se dirigent vers la station-service. Camille a laissé quelques boutons ouverts au bas de sa robe, laissant les pans s'ouvrir à chaque pas ce qui découvre ses jambes et ses cuisses. Sa démarche assurée fait trembler sa poitrine au rythme de sa marche, ce qui n'a pas échappé à Julien.



A cette heure, la cafétéria est loin d'être déserte. Les camionneurs ont investi les lieux pour manger, prendre un café, regarder la chaîne sportive à la télé ou lire des journaux. Étonnamment, la vaste salle est silencieuse et n'est animée par aucune discussion. Seule la musique de fond de la station de radio de l'autoroute donne un peu de vie à ce lieu un peu surréaliste éclairé par des néons blafards. Camille y entre pourtant et va commander un café au bar. Presque tous les regards la suivent depuis son entrée, une douzaine de paires d'yeux fatigués mais dont l'intérêt est soudainement éveillé par la créature extra-terrestre qui vient d'apparaître. Julien et Antoine restent à l'extérieur et observent les réactions. La plupart de clients sont béats. Camille est accoudée au comptoir, attendant le retour du serveur momentanément absent. Sa robe déboutonnée en bas révèle ses cuisses très haut, à la limite de l'indécence et son décolleté n'est pas suffisamment sage pour ne pas révéler l'absence de soutien-gorge.



Le serveur revient et marque un temps d'arrêt en découvrant le magnifique décolleté de sa nouvelle cliente. Avec un large sourire, il l'accueille :
- Bonsoir Mademoiselle. Vous désirez ?
- Bonsoir, je vais prendre un café s'il vous plaît.
De l'extérieur, Antoine et Julien ont seulement deviné les mots du serveur mais ont parfaitement entendu ceux prononcés par Camille, sur un ton enjoué et chantant. La coquine veut se faire remarquer, comme si sa seule présence n'était pas suffisante. Camille jette un œil vers la porte et distingue Julien et Antoine qui restent derrière à la porte, cachés par l'obscurité de la nuit tombant. Elle leur fait un sourire, sans pouvoir voir elle-même si eux lui répondent.



Une fois le café servi, elle s'assied à une table libre, dos au mur. Elle s'assoit de façon à ce que sa robe découvre ses cuisses à la limite de la décence. À la table en face, un jeune homme de 25 ans environ l'observe à la dérobée. Elle croise ses jambes sensuellement. Le jeune homme n'en revient pas et dévore Camille des yeux. Il n'est d'ailleurs pas le seul. Beaucoup de sexes commencent à se dresser dans les pantalons. Antoine s'amuse de voir que quelques hommes se trémoussent sur leur siège, de toute évidence mal à l'aise avec leur érection. Camille a bien conscience du vif intérêt qu'elle suscite.


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Camille change de position. Elle met ses deux pieds sur la barre transversale de la table, les genoux écartés. Cela donne une vue imprenable sur sa chatte légèrement entrouverte. Le jeune homme face à elle prend des couleurs et commence à danser sur son siège. Camille écarte ses cuisses un petit peu plus. Le jeune homme n'en peut plus. Il se lève et fonce aux toilettes. À sa tête, il est fort probable qu'il y va pour se masturber. Le serveur semble se douter de quelque chose. Il en profite pour venir faire un peu de nettoyage de la table fraîchement libérée. Il veut sans doute voir ce qui a pu donner une telle émotion à son client. Camille s'en rend compte mais ne resserre pas ses cuisses, bien au contraire.



Le serveur passe un temps infini à poser la vaisselle sur son plateau et à essuyer la table. Pour sa défense, il parvient malgré tout à le faire sans regarder ce qu'il fait une seule. Son regard est totalement aimanté par le spectacle que lui offre la jeune fille. Soulevant une jambe pour poser le talon sur la chaise, Camille offre une vue encore meilleure sur sa moule humide. Quand en plus, elle se glisse une main sous la cuisse pour se masturber lentement, le serveur n'en revient pas.


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Le jeune client revient alors des toilettes, tout rouge, et ressort de la cafétéria sans regarder vers Camille. Quand le serveur regagne, à regret, son comptoir, Camille termine rapidement son café et se lève. Elle ne fait aucun effort pour rajuster sa robe qui, pourtant, retroussée assez haut à cause de ses manœuvres d'exhibition, révèle son sexe dénudé. S'il y avait pu avoir plus de silence dans la salle, cela aurait révélé le changement de situation. Mais ce n'est pas le cas et Julien et Antoine se fient surtout aux yeux écarquillés des clients pour voir que Camille vient de gagner leur attention.


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Camille se rend alors compte qu'un des camionneurs a osé sortir son sexe et se masturbe maladroitement sous la table. Elle trouve cela un peu dégoûtant mais aussi amusant. Elle s'approche alors de lui et le gars interrompt sa masturbation. Arrivée à sa table, elle désigne le journal du jour :
- Excusez-moi, je peux regarder ce qu'ils annoncent comme météo pour demain ?
Mais le gars ne répond rien car Camille est déjà penchée pour consulter la dernière page du journal et offre à l'homme une magnifique vue dans son décolleté où ses seins pendent librement, avec une vue dégagée jusqu'à l'entrejambe.



Camille prend volontairement son temps. En observant les bras du gars, elle voit qu'il ne reprend pas sa masturbation. Pourtant, derrière elle, elle entend ce bruit si caractéristique de la main qui monte et descend en cadence sur une colonne de chaire. Elle comprend qu'un autre client se fait plaisir en admirant sa croupe. Sans doute que la robe est restée un peu retroussée sur ses hanches et révèle sa moule ?


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L'homme derrière elle pousse rapidement un petit râle étouffé et Camille comprend qu'il est en train de jouir. Sous la table, le sperme se met à jaillir. Tétanisé par le plaisir, l'homme se cramponne de son autre main à la table en la faisant vibrer au point de faire tomber la petite cuillère de son café. Camille saisit cette occasion pour voir ce qui se passe. Elle se retourne et se penche pour ramasser la cuillère, elle en profite alors pour voir le sexe en train de finir de libérer l'épaisse semence qui s'écrase en flaque sous la table. Mais ce dont elle n'a pas vraiment conscience, c'est qu'elle offre à la vue de l'homme au journal sa croupe splendide.



C'est quand un liquide chaud et collant tombe sur sa cheville qu'elle comprend que l'homme au journal est en train d'éjaculer. Elle ramasse la cuillère et la repose sur la table en rigolant. Puis, elle ressort de la cafétéria et retrouve Antoine et Julien :
- Alors ça vous a plu ?
- Tu as de la chance de ne pas t'être faite violer !
- Non, ils sont civilisés. Seulement deux ont osé se branler et les dix autres le feront dès qu'ils auront regagné leur camion, en pensant à moi.
- Et tout de ton initiative, en plus, sans ordre de notre part.
- Oui, d'ailleurs les gars, j'en peux plus ! Vous avez intérêt à me sauter sinon je retourne là-dedans pour me faire prendre par tous les camionneurs !
Camille avance vers la voiture en déboutonnant sa robe.



Julien et Antoine la suive à la trace. Debout contre la voiture, surexcitée et avec la robe complètement ouverte, Camille veut donner libre cours à toute cette envie contenue, à tout ce stupre, voire même à toute cette bestialité sexuelle que Boris apprécie tant chez elle. Se cambrant pour présenter sa croupe aux garçons, elle leur sourit :
- Allez, qui se dévoue ?



Julien avance aussitôt en déboutonnant son pantalon :
- Moi !
Son sexe est déjà parfaitement bandé et cela fait sourire Camille de le voir :
- Mmmm, elle a l'air bien grosse...
- Faut dire que tu nous as bien chauffés.
- Aaaaaah Oui !
Julien pénètre Camille en levrette sans préliminaire.



Bien sûr, toutes les exhibitions de la jeune fille durant le voyage constituent d'excellents préliminaires. Dès qu'il commence à coulisser en elle, Camille ne peut réprimer ses gémissements de plaisir. Elle est si excitée qu'elle sait qu'elle va avoir un orgasme très rapidement. A côté, Antoine se masturbe. Camille est fascinée de voir sa main monter et descendre sur le membre tendu :
- Ooooh Tony ! Il me baise bien ton copain...



Julien, déjà beaucoup trop excité par tout ce qu'il avait vu dans la soirée, ne tient plus. Il aimerait que cela dure encore mais il est trop tard. Il sent son sexe se tendre et ses couilles se contracter. Il pousse un profond râle et se met à éjaculer. Camille sent les puissants jets de sperme en elle :
- Ooooh putain, Tony ! Ton copain me remplit de son foutre !
Julien s'immobilise et profite de ce délicieux moment. Soudain, il sent des contractions autour de son sexe. Camille est en train de jouir. Elle se met à crier :
- Oooh ouiiiii ! C'est si booooon...
Quand il sent qu'il a terminé, Julien se retire lentement et s'assoit derrière la jeune fille, épuisé. Il voit alors sa semence qui s'échappe de la fente béante de Camille.



Camille se retourne vers Antoine et rajuste sa robe :
- La vache ! C'était rapide mais quelle intensité !!!
Antoine s'approche alors, le sexe tendu à la main. Camille lui sourit :
- Mmm, ça t'a plu apparemment de voir ton copain fourrer ta cousine, non ?
- Carrément.
- Et comment tu veux jouir toi ?
- Si j'ai le choix, j'aimerai beaucoup sur tes seins...
Faisant glisser les bretelles de sa robe pour dégager sa poitrine, elle s'agenouille devant et le prend en bouche pour le sucer.



Quand elle sent qu'il est parfaitement tendu, elle interrompt sa fellation et continue à le masturber lentement, tout en se caressant les seins :
- Tu les aimes mes nichons ?
- Carrément.
- Dis donc, tu perds des neurones quand tu bandes ?
- Cerveau au ralenti...
Camille comprend qu'il est effectivement plus concentré sur son plaisir que sur la formulation de ses réponses.


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Quand elle le voit fermer les yeux, elle sait qu'il est sur le point de jouir. Elle porte alors sa seconde main entre les cuisses de son cousin et se met à lui masser les testicules :
- Je crois qu'on y est mon cher cousin !
Antoine pour un râle profond et libérateur, comme s'il s'était retenu depuis plusieurs jours. Camille laisse alors le sexe libre se tendre et observe le sperme qui se met à jaillir éclaboussant généreusement son sein droit.


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Antoine reprend alors son sexe en main et enserre la base. Camille le regarde, interloquée :
- Qu'est-ce que tu fous, Tony ? C'est déjà fini ?
- Non...
Souriant à sa cousine, il relâche alors la pression et un puissant jet de semence épaisse vient s'écraser entre les yeux de la jeune fille.



Camille est surprise :
- Oumpf ! La vache, je ne m'attendais pas à ça !
- Ah, c'était bon de jouir comme ça après toute cette soirée à être excité.
- Oui et tu as été généreux !
Camille regarde tout le sperme qu'elle a entre les seins


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Camille se relève et se rend alors compte qu'il y a un troisième homme qui les observe. Aussitôt elle rajuste sa robe, remettant ses seins dans son décolleté malgré le sperme. Elle reconnait alors le premier jeune homme qu'elle a excité dans la cafétéria :
- Oh, c'est vous...
- Oui.
- Vous êtes là depuis longtemps ?
- Assez pour vous avoir vu jouir quand votre ami vous a prise en levrette.
- Vous avez aimé ?


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- Oui, vous êtes une fille incroyable. Superbe et avec un sacré tempérament.
Pendant qu'elle discute avec le jeune homme, Antoine prend des mouchoirs en papier et essuie les traces de son forfait sur le buste et le visage de sa cousine. Observant le jeune camionneur, Camille se mord les lèvres et dit :
- J'ai une question que j'aimerai vous poser concernant ce qui s'est passé dans la cafétéria...
- Allez-y.
- Je me demandais si vous étiez parti dans les toilettes pour vous soulager ?
- Non... Je me suis passé de l'eau fraîche sur le visage pour me calmer. J'étais encore à me calmer dans mon camion quand je vous ai vu sortir...
Camille est surprise qu'il puisse faire preuve d'une telle volonté. S'approchant de lui, elle lui passe la main sur la bosse qui déforme son entrejambe et lui souffle à l'oreille :
- Mmmm, moi je ne vois qu'une seule solution pour vous calmer...
Elle s'agenouille alors à ses pieds et libère son érection. Relevant la tête pour regarder le jeune homme dans les yeux, elle engouffre lentement l'érection entre ses lèvres pour la sucer.


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Le gars la laisse faire, trop heureux. Antoine et Julien, appuyés à la voiture, se moque de Camille :
- Et allez hop ! Encore un à son tableau de chasse !
- Tu parles, on y est carrément nous aussi dans ses trophées...
- Camille, tu nous dis quand tu sens qu'il va éjaculer, j'irai t'en chercher un autre à l'intérieur.
Camille rigole mais continue la fellation qu'elle dispense au garçon. Celui retient soudain son souffle. Camille le sent se tendre entre ses lèvres. Elle ouvre la bouche et laisse le membre turgescent en sortir. Une première giclée vient lui fouetter le menton.



Le sperme continue à sortir doucement et tombe sur le haut de la robe de Camille et un peu dans le décolleté. Ce ne sont pas des jets puissants, mais l'éjaculation dure plusieurs dizaines de secondes. Quand enfin cela s'arrête, Camille regarde le jeune homme étonnée :
- Tu ne te branles pas souvent, toi !
- Non, j'évite... Mais là, c'était trop bon. Vous êtes vraiment douée !
- J'imagine que c'est un compliment.
- C'était super en tout cas. Merci messieurs dame. Au revoir.
Le jeune camionneur se rajuste et regagne son camion et sifflant joyeusement. Du sperme plein la robe, Camille se relève.



Camille regarde Antoine et Julien qui la regardent en souriant bêtement :
- Je crois que je suis bonne pour retourner aux toilettes de la cafétéria pour me nettoyer tout ça...
- Comme tu veux, dit Antoine, mais si tu rentres comme ça là-bas, je te garantis qu'une bonne demi-douzaine de gars vont te suivre aux toilettes et qu'au lieu de te débarrasse de ce sperme tu vas en récolter des litres et des litres... C'est ce que tu veux ?
- Non peut-être pas...
Antoine fronce les sourcils :
- En tout cas, tu ne montes pas dans la voiture avec ta robe pleine de sperme.
- Oui, tu as raison, je vais me changer.
- Ah non, on est en retard, on n'a plus le temps. Tu la retire et ça ira bien.
- Pffff, tu n'es qu'un pervers Tony !
Camille déboutonne rapidement la robe sur toute la hauteur.



Une fois nue, elle s'installe sur le siège passager pendant que Julien monte derrière et Antoine au volant. Camille se rend compte qu'elle a encore un peu du sperme de Julien qui s'écoule de sa chatte. Elle hésite à le dire à Antoine mais finit par l'avouer, un peu gênée m:
- Antoine, je crois qu'il y a encore un peu du sperme de Julien qui coule...
- C'est celui d'Antoine, c'est différent. Je te conseille même d'écarter un peu les cuisses pour que ça sorte pendant la fin du voyage. Pas la peine que Boris te récupère encore fourrée de la semence d'autres mecs...
- J'aime ta délicatesse, Tony... Mais tu as raison.



Nue sur son siège, les cuisses écartées avec le sperme de Julien qui s'écoule doucement de son sexe, Camille finit par s'endormir, épuisée. Antoine s'amuse à allumer le plafonnier de manière à ce que les automobilistes qu'ils doublent où qui les doublent puissent apercevoir sa charmante cousine. Dans une demi-conscience, elle entend la conversation de Julien et Antoine :
- Alors, Julien ? Pas trop fatiguant ce weekend de déménagement ?
- Tu rigoles ? Je crois que j'ai jamais autant bandé, ni autant éjaculé.
Antoine regarde sa cousine qui dort nue à côté de lui :
- Tu m'étonnes...



Après une dernière heure de route, ils arrivent enfin dans la rue de Camille. Julien se penche entre les sièges :
- Bon, il faut peut-être la réveiller ?
- Oui. Et lui dire au revoir. C'est fini...
- Je vais faire les deux en même temps.
Julien tend un bras et malaxe doucement le sein gauche de Camille en faisant tourner le mamelon tendu dans la paume de sa main. Camille gémit en se réveillant doucement.



- Mmmm ? Ah, on est arrivé ?
Julien arrête de la peloter :
- Oui, à l'instant.
Camille s'étire :
- Bon, je peux remettre ma robe ?
Julien sort de la voiture et va chercher les sacs de Camille dans le coffre. Antoine dit :
- Ta robe empeste le sperme. La porte est juste là, on va t'accompagner mais je suis certain que Boris sera heureux de te retrouver dans le plus simple appareil...
Camille est trop crevée pour négocier. La rue étant absolument déserte, elle sort nue de la voiture et va jusqu'à la porte, suivie d'Antoine qui tient sa robe et de Julien qui porte son sac. Une fois la porte poussée, elle voit que la lumière du salon est allumée et elle aperçoit les pieds de Boris dépasser du canapé. Antoine fait signe de ne pas faire de bruit. Antoine dépose la robe par terre à côté du sac. Camille leur fait la bise et les laisses repartir, discrètement, et referme la porte. Puis elle s'avance vers le canapé pour découvrir son mari endormi profondément, probablement épuisé par sa journée de rafting.
- Coucou chéri. Je suis rentrée.





Cet épisode est très librement inspiré d'une partie de l'histoire de Alex (2007)
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb121/reve12108.html ,
d'une partie du récit de Oeilsoft (2007)
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb116/reve11638.html
du début de l'histoire de BCBG (2004)
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb071/reve07151.html
d'un paragraphe de l'histoire de Kiss31 (2005)
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb090/reve09039.html

Episode précédent <<< L'autre cousin - épisode 7 : Sur l'autoroute

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