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Lisa
1er octobre 2020
Le Tour de France

DIMANCHE APRÈS-MIDI : Le passage du peloton


Cédric occupe son début d'après-midi à ranger le garage et plus particulièrement la partie qu'il a aménagé en atelier où il entasse peu à peu de plus en plus d'outils jusqu'à ce que l'établi ne soit plus du tout utilisable. Quand il rentre, Pauline s'est octroyée une petite sieste dans la chambre. Il irait bien la rejoindre mais va d'abord prendre une douche. Il ne traîne pas à prendre celle-ci, pressé de rejoindre sa belle endormie. Mais quand il sort de la douche, il constate qu'elle s'est réveillée et a même commencé à se rhabiller :
- Zut, je voulais venir te réveiller moi-même.
- J'avais mis le réveil... le Tour passe dans une demi-heure.



- Tu sais qu'il fait presque 40 degrés dehors. Tu ne vas jamais supporter ces sous-vêtements.
- Oui mais on est avec Pierre et il y aura sûrement quelques autres voisins sur le trottoir d'en face donc je tiens à rester décente.
- Une demi-heure, ça nous laisse un peu de temps...
Cédric enlace sa fiancée.



- C'est peu quand même. Et il ne faut pas faire attendre Pierre.
- S'il s'impatiente, il viendra regarder par la fenêtre voir où nous en sommes.
- Tu aimerais ?
- Je crois oui...
Cédric dégrafe le soutien-gorge et commence à la faire glisser des épaules.



- Et si ce n'est pas Pierre ? Si c'est... le facteur ?
- Ce serait un facteur zélé pour travailler un dimanche.
- Ou un autre voisin ?
- Alors Pierre ne sera plus le seul à savoir à quel point tu es magnifique.
Souriant au compliment, Pauline lève la tête et sa bouche réclame un baiser à son fiancé.



Cédric commence à lui baisser sa culotte. Pauline se recule :
- Tu aimes que je m'exhibe devant les autres. Mais tu dirais quoi si ça allait plus loin ?
- Comment ça ?
Elle lui tourne le dos et remonte sa culotte :
- Si, de spectateurs, les voyeurs devenaient participants... actifs ?



- S'ils te caressent ?
- Oui, par exemple. Imagine d'autres mains que les tiennes sur mes seins.
Pauline attrape sa robe et l'enfile. Bien que déçu que cela semble marquer la fin de leurs jeux érotiques, Cédric approuve le fait qu'elle n'ait pas remis de soutien-gorge.



- Je ne suis pas le premier à les avoir touchés. Tu as eu d'autres petits amis avant moi.
- Un autre. Un seul.
- Charles, c'est ça ?
- Non Karl, avec un "K".
Pauline sait qu'il s'amuse volontairement à déformer le nom pour l'embêter.



Cédric vient à nouveau se coller à elle et lui caresse les fesses à travers la petite robe :
- Et à quel autre trésor a-t-il eu l'exclusivité ?
Descendant sa main à la lisière de la robe, ses doigts posés sur le haut de la cuisse remontent, entrainant le tissu dans leur course et découvrant les fesses et la culotte.



Pauline soupire :
- Oui, ça aussi, il y a eu droit...
- Tu ne lui as rien refusé ?
- Et pourquoi l'aurais-je fait ?
- Pour m'en garder un peu pour moi...
Cédric passe son autre main devant et procède au même mouvement, remontant la robe pour laisser ses doigts entrer en contact avec le tissu tiède de la culotte.



Elle apprécie ces caresses délicates :
- Je ne te connaissais pas. Je ne savais d'ailleurs pas, avant de te connaître, que les mains d'un homme pouvaient être aussi douces.
- Karl n'était pas doux ?
- Disons que son plaisir passait avant le mien. Il ne m'a jamais fait minette...
- Et il ne sait pas ce qu'il a perdu, Karl le brutal ! En plus, ça rime...
- Pas brutal, non. Juste centré sur son propre plaisir. Son érection, son éjaculation. Si j'ai appris la fellation avec lui, c'est toi qui m'a fait découvrir le cunnilingus...
Cédric fait remonter ses mains sur la poitrine. Il sent les tétons darder à travers le petit tissu de la robe. Il les caresse doucement.



Malgré les vêtements, Pauline sent l'érection de son homme contre sa cuisse :
- Apparemment, tu n'es pas jaloux...
- Ce n'est pas dans les bras de Karl que tu es actuellement.
Cédric défait tranquillement trois boutons du haut de la robe et dégage les seins pour reprendre ses caresses en contact direct.



Cédric embrasse Pauline dans le cou et murmure :
- Est-ce Karl le Brutal qui te caresse les seins ?
- Non...



Il fait descendre sa main à nouveau à l'entrejambe et fait remonter la robe au-dessus de la culotte pour y glisser presque toute sa main. Ses doigts rencontrent l'intimité chaude et humide :
- Est-ce Karl le Brutal qui te fait mouiller ainsi ?
- Non...



Pauline feule en sentant les doigts de son fiancé caresser sa fente dégoulinante de mouille. Gêné par la culotte, Cédric râle :
- Rhaaa, toujours trop de tissu...
S'agenouillant à côté d'elle, il fait glisser la culotte, se délectant de ce moment où le tissu humide se décolle de la moule moite, comme s'il déballait un cadeau précieux.



Pauline se défend mollement, sans grande conviction :
- On... on ne va pas avoir le temps...
- On fera ce qu'on pourra...
De l'index et du majeur de sa main gauche, Cédric écarte les lèvres de la moule. Doucement, il fait glisser le bout du majeur de son autre main dans le sillon luisant de cyprine. Puis, remontant, il fait pénétrer lentement celui-ci dans l'entrée du vagin de sa fiancée. Pauline gémit, incapable de lui demander de s'arrêter. Cédric penche alors son visage entre ses fesses et s'amuse à lécher son petit anus.



La jeune fille exprime son plaisir à ces attouchements :
- C'est... nouveau. C'est bon... Continue.
Elle ne voit pas Cédric qui sourit, satisfait de la posséder ainsi. C'est la première fois qu'il s'attarde ainsi avec la langue sur l'anneau rectal. Il avait déjà essayé d'y glisser un doigt mais s'était vu refuser l'accès tout net. Enivré par l'effacement de cette barrière, il fait pénétrer lentement son index dans l'anus, tout en continuant à lécher le sillon des fesses juste au-dessus.



Pauline commence à sentir l'orgasme monter tandis que l'index et le majeur vont et viennent, lentement, en cadence, l'un dans son anus, l'autre dans son sexe. Soudain, la sonnette retentit. Cédric sort des doigts et regarde vers la porte :
- Quoi déjà ?
- Tu lui avais dit de sonner ?
- Non. Et il a cinq minutes d'avance.
Pauline remonte sa culotte et rajuste quelques boutons à son décolleté :
- Tu crois qu'il a regardé par la fenêtre comme tu l'espérais ?



- Non. Je vais lui ouvrir.
- Oui, je passe rapidement à la salle de bain et je vous rejoins dehors.
Cédric, frustré d'avoir encore été interrompu, va quand même ouvrir à son voisin :
- Bonjour Pierre. Tu es en avance.
- Oui, je ne dérange pas j'espère ?
- Pas du tout. Pas du tout...
- Je me suis dit que s'il y avait une échappée, ce serait dommage de rater les premiers.
- Bonne idée. Pauline termine de se préparer. Elle nous rejoint.
Ils sortent sur le trottoir et scrutent l'arrivée des coureurs. Pauline les rejoint seulement deux minutes après :
- Bonjour Pierre !



Les deux hommes la détaillent. Pierre apprécie la jolie petite robe d'été qui met bien en valeur les courbes de sa voisine et le maquillage discret. Le fin tissu de la petite robe laissant deviner la présence des sous-vêtements. Cédric note surtout, pour sa part, qu'elle a remis son soutien-gorge. Après tout, elle ne lui avait rien promis. Dommage. Cédric interroge Pierre :
- Et tes packs d'eau ?
- Juste là, devant mon portail à l'ombre de la haie.
Pierre a ramené plusieurs packs de 24 petites bouteilles. Pauline admire l'esprit d'organisation de son voisin :
- Bravo pour la préparation ! Ils devraient te financer au Tour de France !



- Oh, mais je ne vais pas faire ça seul. Je compte bien que vous m'aidiez ! Avec ce temps caniculaire, ces pauvres cyclistes ne vont pas refuser un peu d'eau pour se rafraîchir.
Cédric vient murmurer à l'oreille de sa fiancée :
- Tu entends ? Canicule... C'est dangereux de porter un soutif par un temps pareil...
Pauline a bien entendu cet encouragement de son homme à se débarrasser de son soutien-gorge, petit fantasme qu'elle n'a accepté de satisfaire qu'une seule fois en public alors qu'ils étaient en vacances sur la côte basque. Tournant la tête, elle lui répond tout bas :
- Arrête.
- J'aurais essayé...
Puis, la question semblant clause, Pauline se tourne vers Pierre :
- Moi, je suis partante, Pierre. Le Tour de France, je suis mieux à le regarder passer qu'à le faire en pédalant !
Pauline mime un coureur sur son vélo, faisant rire les garçons.



Pierre raconte alors :
- Vous savez que j'ai été cycliste moi aussi ?
- Ah oui ?
Pauline regarde son voisin sous un autre angle, envisageant l'ancien athlète. Cédric soupçonne Pierre de se vanter pour draguer sa fiancée. Pierre ajoute :
- Oui. J'ai fait un peu de compétition mais je n'ai jamais eu l'occasion de faire le Tour. Et j'ai dû arrêter après une mauvaise chute...
Cédric compatit :
- Ah ça... Des fois ça ne pardonne pas. Ah ! Voilà les premiers coureurs !
- Je prends quelques bouteilles.
Pauline file vers les packs d'eau. Cédric remarque que Pierre admire ses longues jambes et sa croupe qui ondule sous la robe.



Quand elle arrive aux packs d'eau, elle se penche pour essayer d'éventrer le plastique d'emballage et, gardant la pose, interpelle les garçons :
- Il est balaise l'emballage... Tu as un truc pour l'ouvrir, Pierre ?
Cédric sourit. L'interpellation, la pose que prend sa fiancée, il sait que ce n'est pas le fruit du hasard : la petite robe découvre sa petite culotte et ses jolies fesses.



Même s'il en a vu bien plus le matin quand il est passé chercher ses clés, Pierre en reste bouche bée et ne parvient pas à répondre. C'est Cédric qui lui dit :
- Tu peux carrément ramener le pack. Il y a aussi un peu d'ombre, ici. On te l'ouvrira. Si ce n'est pas trop lourd ?
- Je crois que ça va.
Pauline soulève le pack et l'amène aux garçons, se penchant juste devant eux pour le poser par terre, offrant ainsi une très belle vue dans son décolleté où ses seins ronds sont mis en valeur par le soutien-gorge.



Cédric est très fier d'elle. Certes, elle n'a pas cédé à son fantasme de ne pas mettre de soutien-gorge en public, mais il voit bien qu'elle fait de beaux efforts pour en montrer le plus possible, tout en restant assez discrète. Pierre est ravi et un voisin sur le trottoir d'en face semble aussi s'intéresser particulièrement à Pauline. Elle retourne vers le portail de chez Pierre :
- Je ramène un autre pack ?



Cédric sourit :
- Peut-être que ça suffit, non ?
- Le soleil tourne. Dans quelques minutes, il faudra de toute façon les déplacer.
- C'est vrai. Tu veux que je t'aide ?
- Non, ça va. Commencez à sortir les bouteilles pour les coureurs.
Et, à nouveau, Pauline se penche en avant pour attraper le pack d'eau. Les jambes bien tendues, légèrement écartées, elle expose à nouveau sa culotte.



Pierre et Cédric sont tous deux accroupis autour du premier pack. Aucun ne s'occupe de la tâche que leur a assignée Pauline : tous les deux ont les yeux rivés à sa merveilleuse croupe pendant les quelques secondes qu'il lui faut pour soulever le pack d'eau. Dès qu'elle revient, les garçons s'attaquent au plastique du premier pack. Pauline se moque d'eux :
- Eh bien ! Pas encore ouvert ? C'est du plastique armé capable de résister à deux hommes dans la force de l'âge ?
Pierre s'apprête à répliquer mais Pauline se penche juste devant lui pour poser le deuxième pack, lui livrant sous le nez son charmant décolleté.



Quand elle se redresse, Cédric se lève aussi, armé de deux bouteilles :
- Allez hop ! On a raté les premiers, mais d'autres arrivent.
La phrase semble indiquer la fin de la récréation. Cédric tend une première bouteille qu'un cycliste attrape au vol, puis une seconde qui trouve aussi son client. Pierre prend deux bouteilles et se relève en soupirant. Pauline le taquine :
- Ho ? Notre cycliste retraité est déjà fatigué ?



Pierre sourit :
- Non, c'était un soupir de contentement, Pauline. Je suis heureux d'être ici avec vous et de partager ce moment avec vous deux.
- Merci, c'est gentil. Nous aussi on est content de faire ça avec toi.
Cédric ajoute :
- Et ce n'est pas tous les jours qu'on profite d'un tel spectacle !
Il fait un clin d'œil à Pierre qui rigole en comprenant qu'il fait allusion à Pauline. Il ajoute :
- Bien sûr, je parle de la course, pas de ta robe ma chérie...
- Quoi ma robe ?



- Elle est très jolie.
- Je confirme ! ajoute Pierre.
- Et juste assez longue...
Pauline sourit et, s'amusant à relever un peu le bas de la petite robe, dévoilant sa culotte, elle dit :
- Heureusement que j'ai mis une culotte alors...



- Oui, c'est tout juste quand tu te penches...
- Oh je vois que vous vous êtes rincés l'œil quand je relevais les packs d'eau.
- Tu as des jambes magnifiques ma chérie.
- Toi je te connais, je sais que tu n'as pas regardé que mes jambes.
Pierre intervient :
- J'avoue que moi non plus.
- Vous auriez tort de vous priver, les garçons...
En disant cela, elle se penche à nouveau pour ramasser un troisième pack d'eau.



Cédric sait que tout cela est loin d'être aussi innocent que Pauline tente de le faire croire. Pierre distribue aussi ses bouteilles à un nouveau groupe de cyclistes qui passe. Quand elle arrive avec son pack d'eau dans les bras, elle le tend à Cédric au lieu de se pencher pour le poser. Elle lui fait un clin d'œil et dit :
- Je suis épuisée, je te laisse ramener le dernier. Il fait trop chaud.



- Bien sûr ma chérie. Mets-toi à l'aise. Il fait si chaud...
Elle lui sourit. Cédric la voit qui déboutonne un bouton au décolleté de sa robe. Ce qui ne l'étonne pas puisqu'il fait très chaud. Cédric ramène donc le dernier pack d'eau. Quand il revient, il remarque que Pierre est à côté de sa fiancée et qu'il regarde discrètement dans l'entrebâillement de la robe. Sans doute y voit-il le profil d'un sein enserré dans le bonnet du soutien-gorge.



- Tu devrais t'asseoir, ma chérie. On va s'occuper de la distribution avec Pierre.
- Cédric a raison. C'est vrai que c'est insupportable cette chaleur.
Pauline s'assoit sur le bord du trottoir. Les deux garçons profitent alors d'une jolie vue dans son décolleté.



Le peloton arrivant, Pierre et Cédric font des allers-retours pour distribuer leurs bouteilles. Pauline remarque que certains coureurs en profitent aussi pour se rincer l'œil dans son décolleté. Voyant que Pauline ouvre un bouton supplémentaire à son décolleté, Pierre prend pitié :
- Pauline, prends-toi une bouteille. Il faut t'hydrater, même si tu es à l'ombre.
La jeune fille tire la langue :
- C'est vrai que l'air est presque suffoquant...



Cédric revient se ravitailler à ce moment-là :
- Dis donc, ce n'est pas très poli de tirer la langue...
- J'ai chaud. Comme les chiens, ça me rafraichit de garder la langue comme ça.
Elle tire à nouveau la langue. Cédric voit à son regard qu'elle a totalement conscience de l'emprise qu'elle a sur eux.



- Pierre vient de te proposer de t'ouvrir une bouteille.
- Non, elles sont pour les coureurs.
Pauline se lève et se dirige vers la maison :
- Je peux quand même faire l'effort de prendre un verre d'eau à la cuisine. Je reviens.



Cédric la regarde s'éloigner, admirant ses longues jambes nues et sa croupe sur laquelle ondule le tissu de la jolie petite robe. Il est presque déçu de perdre ces quelques minutes de voyeurisme pendant son absence. Pierre remarque sa mine un peu mélancolique :
- Pauline est rayonnante. Tu es un sacré veinard.
- J'en ai parfaitement conscience, Pierre.


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