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Le Tour de France DIMANCHE APRÈS-MIDI : Les retardataires Quand Pauline revient de la maison, Pierre n'est plus là : - Pierre est parti ? Pauline vient se positionner devant Cédric, sur le bord du trottoir, pour regarder passer les coureurs retardataires. Cédric lui répond : - Il est parti se chercher une casquette. Il a peur de faire une insolation. Et toi, ça a l'air d'aller mieux ? - Oui, j'avais vraiment trop chaud... ![]() - Tu sais que tu aurais moins chaud sans sous-vêtement... Et je ne dis pas ça juste parce que ça m'exciterait mais aussi parce que... c'est vrai ! - Et qui te dit que je n'ai pas suivi ton conseil ? - Tu déconnes ?! Lentement Pauline remonte le bas de sa robe. Cédric est hypnotisé. Il voit le bas des fesses apparaître. Puis la ficelle d'un string. Pauline rigole en lisant la déception sur le visage de son fiancé. ![]() Rajustant sa robe, elle vérifie que les voisins n'ont pas vu sa petite exhibition, mais comme elle tournait le dos à Cédric, il a été le seul à en profiter : - Dis donc, ne tire pas cette tête d'enterrement. J'ai déjà troqué la culotte par un string, c'est quand même un net progrès, non ? Cédric soupire : - C'est vrai, excuse-moi. - Et puis tu n'es pas très attentif... car ce n'est pas le seul changement. Se tournant vers lui, elle fait lentement glisser de ses épaules les bretelles de la petite robe. Cédric prend alors conscience qu'elle a retiré le soutien-gorge. ![]() Cédric reste bouche bée. Quand elle rajuste les bretelles, il vient l'embrasser dans le cou et murmure à son oreille : - Merci... je bande déjà... Elle voit qu'il en profite pour jeter un œil à son décolleté : - Dis-moi. Qu'est-ce qui est le plus important : les seins libres ou ma minette libre ? - C'était déjà très excitant de te voir exhiber tes charmes même avec tes sous-vêtements. Si maintenant tu rentres pour retirer aussi ton string, tu feras de moi le plus heureux des hommes. - Tu plaisantes. Il y a les voisins quand même. Et Pierre... - Pierre... Je suis certain que ça t'exciterait qu'il puisse aussi en profiter. - Oui, mais en attendant, contente-toi de ce que tu as. Pauline s'assoit sur une borne kilométrique qui se trouve juste devant leur haie et écarte lentement les cuisses en regardant Cédric droit dans les yeux : - Et puis, ce qui t'excite aussi c'est que d'autres en profitent. ![]() Cédric sourit et regarde autour de lui pour voir s'il est le seul à profiter du spectacle du string de sa fiancée : - Pierre n'est pas encore revenu... - Mais les voisins et les coureurs peuvent voir mon string. Ah, justement, je crois que celui d'en face vient de mordre à l'hameçon. Elle sait que cela suffit pour exciter encore plus son fiancé. Alors elle se penche lentement en avant. Cédric ne perd pas une miette du spectacle des seins libres qui se dévoilent peu à peu dans le décolleté de la petite robe. ![]() Cédric n'a d'yeux que pour le décolleté de sa fiancée. La course dans la rue, les voisins de l'autre côté, plus rien n'existe. Quand Pauline se redresse, il la voit lever une jambe et découvre alors qu'elle ne s'est pas penchée en avant uniquement pour exposer publiquement son décolleté, mais aussi parce qu'elle a fait glisser son string sur ses jambes. Et là, qu'elle relève la cuisse pour se défaire du petit morceau de tissu, la petite robe dévoile de manière fugace son sexe nu. ![]() - Qu'est-ce que tu fais, Pauline ? - Ah ? Je croyais que c'est ce que tu voulais. Je la remets ? Elle lui tend le string en boule dans sa main. Cédric lui prend et la fourre dans la poche de son short : - Ah non ! Mais je ne m'attendais pas à ce que tu la retires en public. Cédric semble à la fois amusé et un peu paniqué, scrutant parmi les voisins ceux qui ont pu assister à la scène. Seul celui d'en face semble garder les yeux rivés à Pauline et a sans doute vu la manœuvre. Pauline se relève alors que Pierre revient : - Jolie casquette ! Pierre a un temps d'arrêt car les quelques boutons retirés en haut de la robe forment un décolleté suffisamment échancré pour montrer que le soutien-gorge a disparu. ![]() - Heu... merci Pauline. Moi je ne t'ai même pas complimentée pour ta jolie robe. Pierre brandit un chapeau de paille : - Tiens, j'ai pensé à toi ! Si tu es sensible au soleil, c'est mieux que tu te protèges la tête. - Tu es adorable, Pierre, merci ! Pauline saisit le chapeau et le met sur sa tête en observant les garçons. Comme son geste lui a fait lever les bras, ils ont pu admirer les seins se remonter sous le fin tissu de la robe. ![]() Pierre commente : - Il te va bien. - Oui, un peu grand peut-être. Mais il n'y a pas de vent, ça devrait aller. ![]() Cédric aperçoit une camionnette qui approche à grande vitesse : - Méfie-toi quand même du souffle au passage des voitures... Voyant le véhicule approcher, Pauline tient son chapeau à deux mains en tournant le dos à la route. La camionnette passe en générant effectivement un souffle important mais, là où les garçons sont surpris autant que Pauline, c'est que le souffle relève le bas de la petite robe légère, sur le devant, dévoilant son entrejambe libéré. Pauline lâche son chapeau aussitôt pour rajuster sa petite robe. ![]() Pierre n'en revient pas : - Oh ! Je vois que tu as trouver comment te rafraichir, Pauline... Cédric rigole : - Ma chérie, il va te falloir choisir entre la robe et le chapeau... Et en disant cela, il donne une petite tape sur l'arrière du chapeau, faisant tomber celui-ci par terre. Pauline se penche pour le ramasser en le fusillant du regard : - Gros malin ! ![]() images similaires Cédric admire les seins qui jouent librement dans le décolleté. Comprenant le stratagème de son fiancé, Pauline prend plus de temps que nécessaire pour ramasser le chapeau pour laisser le temps aux garçons de se rincer l'œil dans son décolleté. Pierre s'exclame alors : - Attention ! Pauline n'a pas le temps de comprendre. Une voiture passe rapidement juste derrière elle et le souffle qu'elle produit, à nouveau, fait voler le bas de la petite robe. Cette fois-ci, c'est le voisin de l'autre côté de la rue qui profite du spectacle. ![]() Pauline se redresse avec son chapeau et se retourne. Oui, le sourire ravi du voisin semble indiquer qu'il n'a absolument rien manqué. Cédric rigole encore : - Voilà une tenue bien dangereuse pour regarder passer le Tour de France ! Pierre ajoute : - Je crois que le voisin s'est brûlé les yeux, sans doute au sixième degré. - Arrêtez de rire les gars, ce n'est pas drôle. ![]() Cédric rigole toujours : - Brûlé, oui ! Faut-il appeler les pompiers ? - Avant que le voisin ne s'enflamme ? demande Pierre, hilare. - Non pour l'incendie sous cette petite robe ! Les garçons ont le fou rire. Un peu agacée, Pauline rétorque : - Dites, je crois qu'il y a moins de feu ici que dans votre pantalon... Elle relève légèrement la petite robe pour dévoiler sa minette. ![]() Les rires des garçons stoppent aussitôt. Pierre se reprend : - Excuse-nous. Tu as raison. On se moque, alors que tu ne fais ça que pour le plaisir de nos yeux... Cédric se calme aussi : - Désolé ma chérie. C'était nerveux. Et oui, on est sûrement beaucoup plus excité que toi... Mais il a à peine fini sa phrase qu'une autre voiture passe en trombe. Pauline met les mains devant et derrière sa robe pour qu'elle ne se soulève pas mais le souffle fait s'envoler le chapeau sur le bord de la route. Rapidement, avant que d'autre voitures n'arrivent, Pauline se penche en avant pour le ramasser, offrant aux deux garçons une vue magnifique sur sa croupe. ![]() Pauline en a marre. Les garçons le voient tout de suite à son air quand elle se redresse et revient vers eux. Elle ne remet pas le chapeau sur sa tête et le rend à Pierre : - Je crois qu'effectivement, ma robe et le chapeau sont incompatibles... Pierre sourit : - Dommage que tu choisisses de te passer du chapeau... Pauline se déride et rigole de cette plaisanterie : - Bien sûr... En attendant que le peloton arrive, je reste à l'ombre. La jeune fille s'assoit donc le long de la murette, sachant très bien qu'elle offre ainsi aux deux garçons une vue particulièrement intéressante dans son décolleté. ![]() Pierre est malheureusement pris par un appel téléphonique : - Oh ! Excusez-moi, je vibre... S'éloignant, il consulte son téléphone où il vient apparemment de recevoir un message. Quelques instants plus tard, il revient : - Désolé, j'ai un imprévu. J'ai un coup de téléphone à passer en urgence. Pas longtemps, j'espère... mais je dois m'isoler. Je vous laisse. J'espère que je reviendrais avant le passage du peloton. A peine le voisin parti, Pauline tire sur les bretelles de son décolleté pour dévoiler à Cédric le profond sillon de ses seins nus : - Maintenant, tu m'as pour toi tout seul... ![]() - Voilà une perspective bien intéressante, mais tu sais que ça m'excite presque plus que d'autres en profitent... - Evidemment, mais profite quand même de ce que je t'offre, sinon je... Mais la jeune fille n'a pas le temps de terminer sa phrase. Se mettant juste à côté d'elle, Cédric la pousse de son genou et la fait tomber sur le côté, juste au moment où les voitures qui précèdent le peloton arrivent. Déséquilibrée, Pauline se retrouve à quatre pattes, les pieds hors de ses chaussures, la robe retroussée sur ses hanches à cause du souffle du passage des voitures. ![]() Les automobilistes n'en reviennent pas et ils auraient certainement ralenti pour profiter de la vue s'ils n'étaient pas contraints d'avancer pour ouvrir la voie au peloton. Pauline se redresse et râle : - C'est malin, tu vas créer un accident et tu vas nous faire arrêter par les gendarmes avec tes bêtises. Accroupie, elle ramasse ses chaussures. D'où il est, Cédric profite de la vue dans le décolleté et sur l'entrejambe que révèlent les cuisses écartées. ![]() Quand elle se redresse, Cédric vient la rejoindre : - Oh ma chérie, tu es si désirable... Il ne résiste pas à poser une main sur un sein et à sentir dans sa paume le mamelon se tendre à travers le tissu. Son autre main se pose sur l'entrejambe et lui masse doucement le mont de vénus à travers la robe. Pauline ferme les yeux, appréciant ces caresses, même si c'est en public. Soudain, elle le repousse : - Le peloton est là ! Aussitôt elle se retourne et se penche pour ramasser deux bouteilles d'eau. Cédric sourit en voyant que la petite robe ne dissimule pas la délicieuse moule dénudée et que les premiers cyclistes ont peut-être remarqué ce charmant détail. ![]() Quand elle se redresse pour tendre les bouteilles, Cédric apprécie de voir ses seins bouger sous le tissu léger de la robe, ses mamelons pointer à travers le tissu. Il la laisse donner seule les bouteilles aux coureurs, profitant du spectacle qui, peu à peu, achève de le mettre en érection. Certains coureurs semblent aussi avoir remarqué la particularité de la tenue de la jeune fille. Comprenant la raison de l'inactivité de Cédric, Pauline se moque de lui : - Il n'y a donc que moi pour bosser ? ![]() - Ma chérie, tu es si belle quand tu rends ainsi service... Cédric profite surtout du spectacle de la voir bouger et surtout de voir ses seins s'agiter sous le tissu à chacun de ses mouvements. Quelques voisins aussi ont remarqué. Ils se rincent l'œil discrètement. Cédric n'est pas jaloux : cela l'excite même un peu de voir que d'autres apprécient les courbes de sa fiancée, il est tellement fier d'elle. Pauline prend sa tâche très au sérieux et se dépêche de reprendre des bouteilles dès qu'elle a distribué les précédentes : - Tu pourrais au moins me tendre les bouteilles ! ![]() - Tu n'y penses pas ! Si tu ne te penche plus, on rate le meilleur ! - "On" ? Se relevant, Pauline constate qu'un voisin semble plus s'intéresser à elle qu'à l'épreuve sportive. Elle n'y prête pas attention et continue de distribuer les bouteilles, se voyant parfois recevoir en retour des "merci", ou "jolie robe" et même un "Je reviens dès que j'ai franchi la ligne d'arrivée". Elle est tellement concentrée sur la distribution qu'elle ne se formalise pas que le souffle du passage des coureurs fait parfois se soulever sa petite robe de manière indécente et que quelques boutons se sont ouverts en haut, élargissant son décolleté. ![]() Pauline est penchée en avant pour attraper deux nouvelles bouteilles quand Pierre revient : - Mince, j'ai manqué le peloton... Il s'arrête net en découvrant le spectacle magnifique de la croupe nue de sa jeune voisine. ![]() Cédric rigole en voyant sa tête et, désignant les fesses de sa fiancé, complète : - C'est surtout ça que tu as raté, Pierre. Elle a été absolument divine pendant tout le passage du peloton. En entendant Pierre, Pauline se redresse vivement, se doutant que sa position est particulièrement indécente. Dans la vivacité de son mouvement pour se redresser, Pauline se rend compte que sa poitrine est prête à sortir du profond décolleté. Si elle aime bien s'exhiber, là elle se trouve carrément indécente. ![]() Un peu honteuse de sa tenue, Pauline reboutonne le haut de sa robe et s'éloigne de la route où les derniers cyclistes du peloton ont fait place aux voitures et camionnettes publicitaires. Les voisins commencent à rentrer chez eux. Cédric sent la gêne de sa fiancée : - Tout va bien, ma chérie ? - Oui. Je vais remettre des sous-vêtements, je reviens. - Quoi, mais pourquoi ? Tu es très belle, comme ça ! - Je n'en doute pas, mais j'ai le sentiment d'être allée un peu trop loin et je ne voudrais pas que ça dérape. Laissant Cédric un peu confus, Pauline retourne à la maison. |