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Lisa 15 novembre 2020

Le Tour de France DIMANCHE SOIR : L'agent sportif Alors que Pauline et Lorenzo semblent prêts à aller jusqu'à la jouissance, leur petit jeu est interrompu par la sonnette. Pauline repose la serviette épaisse sur le sexe de Lorenzo. Elle ramasse son string et retourne dans la chambre pendant que Cédric va ouvrir au nouveau venu. En ouvrant la porte, Cédric découvre un homme de haute stature, plus âgé que lui, tenant un grand sac de sport aux mêmes couleurs que le maillot de Lorenzo. Il comprend qu'il s'agit de l'agent de Lorenzo : - Bonjour, je suis Karl, l'agent de Lorenzo. - Entrez, entrez. Je suis Cédric. Ma fiancée s'est occupée de faire les premiers soins. Apparemment c'est superficiel mais votre coureur semble avoir du mal à se tenir debout. Karl entre et découvre son cycliste allongé sur le divan. Il s'approche et pose à côté de lui le gros sac de sport : - Ti ho portato un cambio di vestiti. Stai soffrendo? - Mi fanno molto male la spalla e l'anca. Penso che avrò problemi a camminare. Spero che con una notte di riposo potrò continuare a pedalare. Cédric ne comprend pas un mot des échanges entre Karl et Lorenzo, mais il trouve que c'est une langue très musicale. L'agent continue : - Cosa fai nudo? - La moglie del tizio si è presa cura di me. - E non ne ha approfittato? - Sì, e anch'io. È molto, molto eccitante. Non indossa niente sotto il vestito. Ils rigolent. Cédric se demande ce que Lorenzo lui a dit. Quand Pauline revient, Cédric voit qu'elle a remis ses sous-vêtements. Elle semble encore un peu sous le coup des attouchements qu'elle partageait avec l'italien. - Chérie, l'agent de Lorenzo est arrivé. Il s'appelle Karl. Quand sa fiancée s'approche de Karl pour lui faire la bise, Cédric voit le nouveau venu plonger son regard dans le décolleté de la robe. Cédric perçoit une certaine déception dans son regard probablement dû à la présence de sous-vêtements. Lorenzo a donc cafté. Mais quand Karl se recule et regarde en détail Pauline, il fronce les sourcils. Pauline semble abasourdie, comme si elle reconnaissait l'homme : - Karl ? Karl Boujert ? - Mince ! Pauline ! J'ai failli par te reconnaître. Pauline se tourne vers Cédric qui ne comprend pas ce qu'il se passe : - Karl est un ancien ami de lycée. - Tu veux dire, LE Karl, ton premier amour ? Pauline hoche la tête : - Oui... C'est dingue ! Cédric n'en revient pas d'un tel concours de circonstance. Il s'agit du Karl dont elle lui avait parlé la veille. Et il se trouve là, devant sa fiancée. Karl et elle s'embrassent sur la joue et sont, eux aussi, stupéfaits de ce hasard incroyable. Lorenzo s'est levé avec la serviette autour de la taille. Pauline voit qu'il a l'air gêné : - Il veut peut-être se changer ? Je peux lui montrer la chambre s'il veut s'habiller tranquillement. Karl traduit : - Si offre di portarti nella sua stanza. Ma non per scopare. Solo per vestirsi. Pendant que Cédric informe Karl sur les circonstances de l'accident, Lorenzo suit la jeune fille au bout du couloir. Une fois la porte de la chambre ouverte, Pauline tente de demander par signe s'il saura s'habiller seul. Il semble comprendre et fait signe de la tête que ça ira. Pourtant, Pauline entre avec lui et repousse la porte derrière elle. Lorenzo attend un peu puis, voyant qu'elle ne part pas, il retire sa serviette. Un peu déçue, elle constate qu'il ne bande plus. Elle ouvre son sac et lui sort son pantalon. Comme il lui désigne le caleçon à côté, elle lui fait non de la tête et lui tend avec insistance le pantalon. Il cède et enfile le pantalon dissimulant son sexe nu. Pauline observe attentivement son trouble, excitée de le savoir nu sous son pantalon. Puis elle lui tend la chemise qu'il peine à enfiler à cause de sa blessure à l'épaule. Lorenzo semble souffrir. Pauline vient donc se coller à lui et lui boutonne de haut en bas sa chemise. Quand elle atteint les boutons du bas de la chemise, elle en profite pour défaire le bouton du pantalon et plonge sa main dedans afin de saisir le sexe qui commence à se gonfler peu à peu. Comme il est bientôt l'heure du repas, Cédric veut demander à Pauline si elle est d'accord pour proposer à leurs invités de rester manger. Alors qu'il pousse discrètement la porte de la chambre, il voit sa fiancée de dos, une main plongée dans le pantalon du cycliste alors que celui-ci lui caresse les seins à travers la robe. Cédric ouvre la porte et entre : - Chérie, il est bientôt l'heure du repas. Est-ce qu'on propose à nos amis de rester manger avec nous ? Lorenzo semble tétanisé mais, voyant que Pauline continue de le masturber et que Cédric ne se fâche pas, il se détend. Pauline, toujours la main dans son pantalon, tourne la tête et répond : - Bonne idée. Je termine de lui donner un coup de main pour s'habiller. - Je vois ça... Cédric referme la porte et Pauline extrait le sexe maintenant tendu de Lorenzo. images similaires Elle baisse les yeux dessus et ne peut s'empêcher de saisir à deux mains le membre tendu pour en apprécier toute la longueur : - Ta queue est magnifique... - Non capisco quello che dici, ma a quanto pare lo trovi di tuo gradimento. Lentement ses doigts glissent le long de la longue hampe. images similaires Lorenzo ne reste pas inactif. Il déboutonne le haute de la robe de Pauline et fait glisser les bretelles pour la dépoitrailler. - Era molto meglio senza... Pauline ne saisit pas ce qu'il dit mais en comprend vaguement le sens quand il vient se placer derrière elle pour dégrafer son soutien-gorge. Tout doucement, il fait aussi glisser les bretelles des épaules et observe par au-dessus les seins qui se dévoilent. Pauline termine de retirer le soutien-gorge tandis que son athlète italien empoigne ses seins pour les caresser avec passion. Quand Cédric revient dans la cuisine, Karl semble l'attendre : - Pauline est occupée ? - Oui, mais elle va venir nous rejoindre. On vous propose de rester pour le dîner, comme ça vous aurez le temps de discuter. - Excellente idée ! Merci. Est-ce que j'ai le temps de fumer une cigarette avant ? - Bien sûr. On va se mettre sur la terrasse. Vous voulez un apéritif ? - Volontiers. Vous avez du Ricard ? - Je vous prépare ça. Cédric lui ouvre la baie vitrée qui donne accès à la terrasse et prépare un plateau avec la bouteille de Ricard, quelques verres et un bol de glaçons. Quand il vient rejoindre Karl sur la terrasse, Cédric aperçoit Pierre dans son jardin : - Salut Pierre ! - Bonsoir Cédric. Comment va le cycliste ? - Il se repose. Son agent est arrivé, il s'appelle Karl. Tu viens boire un coup avec nous ? - Avec plaisir. Pierre fait le tour de la haie et vient rejoindre les deux hommes. Après avoir donné son verre à chacun, Cédric se positionne de manière à être le seul à pouvoir observer par la fenêtre ce qu'il se passe dans la chambre. Pauline a remis les bretelles de sa robe et est en train de faire glisser sa culotte sur ses genoux. Lorenzo a finalement retiré la chemise et son sexe se dresse fièrement en dehors du pantalon ouvert. Cédric se demande jusqu'où sa fiancée prévoit d'aller avec cet italien. Il ne prête pas vraiment attention à la conversation de Pierre et Karl qui échangent leurs expériences du vélo. Il essaye de ne pas regarder trop longtemps pour que les deux hommes ne se rendent pas compte qu'il y a du spectacle juste derrière eux. Pourtant, il ne peut détacher son regard de la sublime croupe de Pauline quand elle se penche en avant pour terminer de retirer sa culotte. Karl et Pierre, dos à la fenêtre continue de raconter leurs exploits cyclistes, les montagnes gravies à la force des cuisses, les vitesses vertigineuses atteintes dans certaines descentes et l'endurance nécessaire pour tenir sur les longues étapes. Cédric hoche la tête mais son attention est ailleurs. Pauline attrape le bas de sa petite robe et entreprend de la retirer. Tout comme Lorenzo dans la chambre, Cédric sur la terrasse retient son souffle en voyant la robe dévoiler le ventre nu, puis les jolis seins de Pauline. Une fois la robe retirée, elle s'approche de la fenêtre et fait un clin d'œil à Cédric. Lorenzo aussi l'a vu. Lorenzo sait donc que Cédric sait. Cédric sent son sexe se tendre. Par ces échanges de regards, il vient de donner sa bénédiction. Mais sa bénédiction à quoi ? Qu'est-ce que sa sublime fiancée va faire avec Lorenzo et qu'est-ce que Lorenzo va faire à sa sublime fiancée ? Lorenzo s'approche d'elle. Il regarde Cédric et observe sa réaction quand ses mains viennent empaumer les deux seins. Cédric laisse son regard alterner entre la fenêtre et ses deux interlocuteurs qui semblent être en train de comparer leurs prouesses, sans doute pour savoir qui a la plus longue. Devant l'absence de réaction de Cédric, Lorenzo se penche sur la jeune fille pour embrasser un mamelon. Heureusement, les huisseries sont bien isolées phoniquement et Cédric ne peut que deviner les gémissements de Pauline en voyant sa bouche entrouverte. Quand Lorenzo se lasse de lui sucer les seins et se redresse, Pauline saisit son érection et le masturbe lentement. L'italien la laisse faire glisser peu à peu son pantalon et en profite pour lui caresser les fesses. Cédric a une petite boule d'angoisse au ventre. L'italien est particulièrement bien membré et son sexe est plus long et plus large que le sien. Il ressent à la fois de la jalousie, mais aussi une certaine crainte de souffrir de la comparaison, surtout si Lorenzo entreprend de pénétrer sa fiancée. Pour le moment, ils n'en sont qu'à des jeux, loin d'être innocents, mais qui excitent plus qu'ils n'inquiètent Cédric. Ils se masturbent mutuellement et Lorenzo continue de la peloter en lui léchant un mamelon. Pierre ramène Cédric à la conversation en essayant de l'impliquer davantage : - Et toi, Cédric ? Tu n'as jamais fait de vélo ? - Hein ? Ah si. J'ai un vélo. J'en fais un peu. - Oui mais à un niveau sportif ou juste pour aller chercher le pain ? - Ah non. Moi c'est juste pour me balader. Pas pour me donner une suée. Karl rigole et raconte une anecdote concernant la sueur. Cela permet à Cédric de jeter un coup d'œil dans la chambre pour voir comment la situation progresse. Lorenzo embrasse Pauline, avec la langue, et lui caresse un sein d'une main et les fesses de l'autre. Le fait qu'ils s'embrassent pourrait rendre Cédric jaloux, mais il se dit qu'il s'agit là d'un baiser sexuel qui n'a rien à voir avec un tendre baiser d'amour. D'ailleurs, leur baiser évolue et leurs lèvres ne se touchent même plus : seules les langues se mêlent comme des serpents qui s'accouplent. La main de Lorenzo est retournée entre les cuisses de Pauline et, à sa réaction, Cédric est persuadé qu'elle prend un réel plaisir à cet attouchement. Le sexe du cycliste semble parfaitement bandé et Pauline continue de le masturber lentement. Les doigts de Lorenzo doivent être particulièrement efficaces car Pauline atteint l'orgasme. Derrière le double vitrage, seul un petit couinement à peine perceptible parvient aux oreilles attentives de Cédric. Il craint que ce ne soit qu'un préambule et que la suite soit plus sonore, mais Lorenzo se penche sur elle et l'embrasse à pleine bouche pour étouffer ses gémissements. Cédric ne suit plus du tout la conversation avec ses convives tant le spectacle le fascine. Alors qu'elle jouit, Cédric voit tout le corps de sa fiancée vibrer, pris de soubresauts. Cela dure plus que de coutume. Les doigts de Lorenzo semblent ne pas vouloir abandonner encore l'entrejambe de Pauline. La main de celle-ci accélère peu à peu la cadence de la masturbation sur l'imposante tige. Lorenzo finit par retirer sa main, les doigts dégoulinants de cyprine. Soudain, tout son corps semble se rigidifier. Une puissante giclée de sperme vient s'écraser contre le ventre de la jeune fille, coulant peu à peu jusqu'à ses cuisses. Lorenzo a éjaculé discrètement, sans le moindre bruit. Quand il a repris son souffle, il embrasse à nouveau sa partenaire. Cédric est stupéfait de voir la taille de la queue de Lorenzo car, même après avoir éjaculé, il semble encore parfaitement tendu et prêt à repartir. Il se dit aussi que Pauline a une sacrée résistance pour ne pas avoir succombé au désir de se glisser cette magnifique queue entre les cuisses. Le sexe de Lorenzo a encore quelques soubresauts où quelques gouttes de sperme retardataires tombent sur le parquet de la chambre. Cédric pousse un profond soupir. Il se dit que c'était exactement ce qu'il voulait. Si Pauline était allée plus loin que de simples attouchements avec cet inconnu, il se demande s'il l'aurait supporté. Mais maintenant qu'il l'envisage, Cédric se pose la question. Il a laissé Pierre regarder sa fiancée. Il a laissé Lorenzo tripoter sa fiancée. Jusqu'où supportera-t-il de pousser ces petits jeux. Pendant que Lorenzo entreprend de remettre sa chemise et son pantalon, Pauline essuie le sperme sur son ventre et ses mains avec sa culotte, puis elle remet sa robe, sans rien dessous. Cédric se dit que cela va certainement intéresser Karl. Pierre sort Cédric de son rêve : - Merci Cédric, il faut que je rentre. Karl, bonne chance pour la suite. J'espère que Lorenzo va pouvoir continuer. Le sympathique voisin repart chez lui et disparait alors que Lorenzo arrive, un petit sourire satisfait sur le visage. Quand l'italien se présente à la porte vitrée, Karl échange encore en italien avec lui, échange dont Cédric ne comprend pas un mot : - Berremo un aperitivo e resteremo a mangiare qui. - Non ho fame. Quella donna mi ha masturbato fino a farmi eiaculare. Sono esausto. Ho bisogno di dormire. Karl se tourne vers Pauline qui vient d'arriver derrière Lorenzo : - Il est fatigué. Il n'a pas faim. Il préfère se reposer. Pauline sourit : - Je comprends. Il peut s'allonger sur le canapé. Karl s'adresse à Lorenzo : - La stronzetta ti propone di sdraiarti sul divano. - Almeno la moglie saprà dove incontrarmi per la notte. Pauline repart vers la chambre : - Même s'il fait chaud, je vais lui apporter une couverture et un oreiller. Equipée de son linge de nuit, elle rejoint Lorenzo dans le salon. Quand elle se penche pour installer le drap, sa petite robe, trop courte, dévoile à nouveau sa croupe. Depuis la cuisine, Cédric et Karl n'en perdent pas une miette. Cédric voit que Karl est bouche bée : sans doute n'avait-il pas encore pris conscience de la tenue de son ex. Par jeu, Cédric interpelle Pauline : - Ma chérie, fait attention quand tu te penches, on pourrait voir ta culotte ! Pauline se redresse et rajuste sa robe. Elle entend Karl qui ajoute tout bas : - On la verrait si elle en portait... Cédric voit le regard désormais plus acéré de Karl sur sa fiancée. Attentif particulièrement à la poitrine de la jeune fille, il remarque enfin que Pauline n'a pas remis non plus de soutien-gorge sous sa petite robe. Cela semble le mettre en émois. Cédric est ravi de voir le désir que suscite Pauline envers son ex. Lui-même ne se prive pas de la dévorer des yeux une fois qu'elle est à table, se délectant de ses seins jouant librement sous le tissu de la petite robe. Pendant le repas, quand ils commencent à évoquer les souvenirs, Pauline se montre un peu agressive : - Je me souviens très bien. Tu m'as quittée pour cette salope de Cynthia qui était aussi une copine de ta sœur... - Oui, je n'en suis pas vraiment fier à vrai dire... - Elle s'était tapée tout le lycée... Tu sais ce qu'elle est devenue ? - Heu... je l'ai épousée. C'est ma femme maintenant... - Oups, désolée. La reine des gaffeuses... - Non, ne t'excuse pas, tu as raison. Je pensais qu'avec le mariage elle s'assagirait mais ça n'a pas vraiment changé. Elle me trompe à la moindre occasion... - Merde et tu ne la quittes pas ? - Non, je l'aime. Elle m'aime aussi d'ailleurs. Finalement, ce n'est que du sexe... Karl dit ça en se passant la langue sur les lèvres, laissant son regard vagabonder sur la poitrine de Pauline. Cédric sent que Karl ferait volontiers l'amour à Pauline en souvenir du bon vieux temps. Pauline sent le trouble de son fiancé et dit : - Et moi, j'ai rencontré Cédric à l'Université. Depuis, on est ensemble et on file le parfait amour. Elle montre fièrement son anneau et ajoute tout bas : - On va se marier ! Aussitôt, elle se colle à lui pour l'embrasser et, ce que Karl ne voit pas sous la table mais imagine sans doute, c'est la main de Pauline posée sur l'entrejambe de Cédric pour le caresser. Cédric pousse un profond soupir de soulagement car il se sentait un peu mis en concurrence avec Karl, plus âgé et expérimenté que lui. Pauline se met debout et dit : - Allez, je fais le service ! Penchée au-dessus de la table, elle offre aux garçons un bien beau panorama dans son décolleté. Karl suit les déplacements de Pauline avec beaucoup d'intérêt. Cédric prétexte alors d'aller aux toilettes et quitte la pièce. Pauline, d'humeur coquine, profite de toutes les occasions pour se pencher face à son ex afin qu'il profite au maximum de son décolleté : - Avant le dessert, je te débarrasse de ton assiette Karl ? Karl prend son temps pour répondre, profitant de la vue dans le décolleté. - Oui, mais j'aurais pu te donner un coup de main. - Tu es mon invité, profites-en. Là où il ne s'y attendait pas, c'est quand Pauline ouvre le lave-vaisselle et se penche pour ranger la vaisselle sale. Bien sûr, la courte robe dissimule à peine les fesses de la jeune fille. Comme elle lui tourne le dos et qu'elle est très occupée, Karl recule alors sa chaise et se penche un peu pour profiter d'une vue plus complète sur la croupe de son ex. Pauline reçoit alors un long SMS. Elle s'assoit pour le lire. Il s'agit d'un message de Cédric qui lui fait une proposition honteuse : "Je vais faire semblant d'aller téléphoner dehors, tu feras tomber le gros pot de cure-dents aux pieds de Karl et quand il s'accroupira pour les ramasser, tu te positionneras debout devant lui pour qu'il voie ta moule. Tu devras te débrouiller pour le convaincre de te faire un cuni et de te donner un orgasme." A la lecture du message, Pauline est un peu troublée. Karl demande : - Tout va bien ? - Oui. Juste un copain qui me propose une activité. - Quelque chose de sympa ? - Plutôt oui. Cédric revient alors et fait effectivement mine de recevoir un appel téléphonique : - Ah, excusez-moi... Je sors car ça risque d'être long. Cédric sort alors côté rue en refermant bien la porte et fait discrètement le tour de la maison pour se positionner sur la terrasse qui, dans l'obscurité, lui permet de voir sans être vu. Pauline a déjà mis le plan à exécution. Les cure-dents sont étalés pour moitié sur le bord de la table et le reste par terre. Il voit alors Pauline se mettre accroupie pour ramasser les cure-dents, sa petite robe se retroussant haut sur ses cuisses. - Quelle maladroite je fais ! Karl descend de sa chaise et s'accroupit aussi : - Attends, je vais m'en occuper. En étant dans cette position, il croit entrapercevoir l'entrecuisse nu de la jeune fille pendant un bref instant. Pauline se relève alors : - Je te laisse ramasser ceux-ci, je m'occupe de ceux sur la table. Cette fois-ci, comme Pauline tourne le dos à Karl, elle offre à son ex-petit copain une vue plus directe sur sa croupe nue. images similaires Karl ne ramasse plus du tout les cure-dents et Pauline s'en rend bien compte. Sans le regarder, elle dit : - Tu crois que je devrais les jeter ? - Heu... quoi donc ? - Les cure-dents qui sont tomber par terre. C'est pas très propre de les reproposer après... - Heu... je sais pas... Penchée sur la table pour ramasser les cure-dents, Pauline expose totalement ses fesses et sa moule et elle sait que Karl ne regarde plus que ça. - Dis donc, tu ramasses les cure-dents ou tu mattes mon cul ? - J'avoue que je ne me rappelais plus que tu avais un si beau cul ! - Celui de Cynthia n'est pas mieux ? - Non, ton cul est vraiment magnifique et ta moule toujours aussi appétissante. Elle tourne tête et lui fait un clin d'œil : - Alors vient goûter... - Que je... ? Mais... et si Cédric revient ? - On entendra la porte s'ouvrir et puis il a dit qu'il en avait pour un moment. Convaincu par ces quelques arguments, Karl abandonne les cure-dents et se lève pour lui caresser et lui lécher les fesses - Eh bien : On dirait que ça t'a manqué ! - Si tu savais... Je pense à toi de temps en temps. - A moi ou à mon cul ? - Ton cul, tes seins...Et ça me fait bander systématiquement... - Moi aussi ça m'arrive de repenser à nos moments de sexe, les pipes que je te faisais... - Ah ça oui. Tu savais te servir de ta bouche ! - Toi par contre, tu ne m'as jamais montré tes talents avec la tienne... Tu te contentais de me masturber le clitoris. Elle écarte les cuisses et se caresse la moule. - Ah oui ! Quels souvenirs ! Tu partais loin quand je te masturbais, parfois même plus que quand on faisait l'amour. - Je suis un clitoridienne, pas une vaginale, ça n'a pas changé. Cédric me suce la moule divinement bien. - Mmmm, en tout cas, je me sens prêt à te montrer ce que je sais faire avec ma langue. Karl s'amuse à effleurer du doigt la moule qui mouille déjà... - Ne me fais pas attendre trop ! - Et tu as essayé d'autres choses avec Cédric ? - Quoi ? Qu'est-ce que tu veux dire ? - Des trucs de ce genre. Karl s'accroupit derrière elle et place son visage entre ses fesses, lançant sa langue à l'assaut de l'anus. - Oh putain ! Karl s'interrompt et sourit : - Apparemment, Cédric ne te fait pas ça ! L'homme replonge sa langue dans l'anus de la jeune fille et complète sa caresse buccale par l'insertion de son majeur dans la moule trempée. images similaires - Oh ouiiii... Pauline se retourne et pose son pied sur l'épaule de son ex : - Suce-moi la moule. Fais-moi jouir ! Karl est un peu déçu de ne pas pouvoir essayer de lui donner un orgasme anal mais il accepte bien volontiers de lui sucer le clitoris. Pauline ne tient pas longtemps. Elle a un orgasme qui dure près d'une minute. Dans l'obscurité du jardin, Cédric, n'en perd pas une miette. Puis, Karl se relève et admire Pauline avec le regard d'un conquérant, car les bretelles de la robe ont glissé et les seins se sont échappés du décolleté. - Tu es délicieusement indécente. Encore sous le coup du plaisir, elle ne se rend pas compte de sa tenue et, pensant qu'il parle de sa moule trempée, elle porte pudiquement une main à son entrejambe. Elle se rassoit quand Cédric revient, sans prendre conscience que sa poitrine est découverte. - Ah Cédric. Il était long ce coup de téléphone... - Désolé de vous avoir fait attendre. - Oh, on en a profité pour continuer à évoquer quelques souvenirs. Cédric lui fait remarquer : - Je crois que les bretelles de ta robe ont un peu glissé ma chérie. Karl risquerait de voir tes seins. - Bof, il les a déjà vus quand j'avais 18 ans. - Mais tu es encore plus jolie qu'à 18 ans. Contente d'avoir toute l'attention de ces deux hommes, Pauline se rajuste. Pendant le dessert, Cédric demande à Karl : - Les seins de Pauline étaient déjà de cette taille à 18 ans ? - Un peu plus petits mais déjà fermes et bien ronds. - Dites donc, les gars, je ne suis pas au menu que je sache. - Non ma chérie, je m'informe seulement. Et tes seins, on pourrait en parler pendant des heures. Les deux garçons ne peuvent s'empêcher d'admirer ce que Pauline veut bien laisser voir dans le décolleté de sa petite robe. Quand elle se lève pour débarrasser, elle fait presque exprès de ne pas trop se pencher pour ne plus exposer son décolleté. Mais, une fois chargée de toutes les assiettes, Cédric se lève et dit : - Ne lâche pas, je vais te mettre les couverts dedans. Une fois les couverts déposés, Cédric s'amuse à faire glisser les bretelles de la robe pour dégager les seins. Pauline, ne pouvant pas lâcher les assiettes pour l'en empêcher, se contente de pester : - Pffff... C'est dingue l'attrait que vous avez pour les nibards, vous les mecs. Pauline pause la pile d'assiette sur le lave-vaisselle et rajuste sa robe sous les regards amusés des deux garçons. Une fois la vaisselle dans le lave-vaisselle et la table rangée, Karl tente de réveiller Lorenzo mais celui-ci dort à poing fermé - Mince, il est complètement dans le coltard... Cédric, tu pourrais m'aider à l'amener à ma voiture ? - Laisse-le dormir là. Tu viendras le chercher demain matin. Pauline semble alors avoir une idée qu'elle propose aussitôt : - Ce ne serait pas plus simple que Karl reste lui aussi dormir ici ? - Chérie, il n'y a que le canapé occupé par Lorenzo et nous n'avons pas d'autre lit que le nôtre... - C'est vrai, mais il est super large... Tu disais bien pour rigoler que tu y dormirais facilement avec deux femmes. Donc ce sera l'occasion de tester cela, mais ce sera moi avec deux hommes. Voyant que Pauline ne plaisante pas et que Cédric semble accepter la proposition, Karl ajoute : - Cédric, tu pourras te mettre au milieu, si tu as peur que je retrouve de vieux réflexes avec Pauline. - Oh, j'ai confiance. Pas de soucis. - Du coup, je vais devoir passer quelques coups de fil pour prévenir l'organisation. Je peux me mettre sur la terrasse ? - Oui, vas-y. On t'attend pour aller dormir. - Oh, non, j'en ai pour un bout de temps donc ne m'attendez pas pour vous coucher. Je verrais bien où il restera de la place.

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