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Le Tour de France DIMANCHE APRÈS-MIDI : Le blessé A peine est-elle rentrée dans la maison qu'un accident se produit. Une moto du cortège arrive extrêmement vite, voulant rejoindre le peloton. Elle se rabat précipitamment avant la chicane, percutant de sa roue arrière la roue avant d'un des derniers cyclistes de la course. Le cycliste se vautre contre le trottoir juste devant Cédric, se raclant tout le côté du corps sur le bitume sur un bon mètre. Le motard poursuit sa route sans s'être rendu compte de la manœuvre malheureuse. Le maillot du cycliste est arraché à l'épaule et il est bien égratigné. Le haut de la cuisse semble avoir subi davantage de dommage. L'homme gueule : - Cazzo! La mia coscia! Mi fa un male cane! Ni Pierre ni Cédric ne comprennent. L'homme semble Italien. Pierre a la présence d'esprit de dégager le vélo de la route avant l'arrivée des voitures et Cédric aide le blessé à s'asseoir sur le trottoir. Cédric est en panique : - Que fait-on ? Qui appeler ? Pierre semble garder un sang-froid exemplaire : - Normalement, il y a des médecins en fin de cortège. En attendant, il faudrait l'allonger mais il n'y a pas d'ombre. - On peut l'amener dans la maison. Mais on risque de rater les médecins... - Je reviendrais guetter leur passage. Alors qu'ils portent le pauvre garçon jusqu'à la maison, Cédric commence à se sentir plus rassuré : - En plus, Pauline est infirmière, elle saura quoi faire. Ils le portent jusque dans le salon où ils surprennent Pauline en train de déboutonner sa robe. ![]() Pauline cache aussitôt ses seins. Seul Pierre qui est dans le bon sens semble avoir profité du spectacle : - Qu'est-ce qui se passe ? - Désolé chérie, je crois qu'on te ramène du boulot. Ce pauvre bougre vient de se faire renverser par une moto juste sous nos yeux. Il a l'air esquinté à l'épaule et à la hanche... Tu peux lui faire les premiers soins ? - Heu... Oui, mais là j'étais en train de me changer... ![]() - Fais vite, il a l'air de douiller. Pauline rajuste sa robe sans avoir eu le temps de remettre des sous-vêtements. - Et si tu pouvais ranger ça, s'il te plaît... Pauline voit que Cédric désigne le soutien-gorge et la culotte, posés sur le canapé. ![]() La jeune fille ramasse précipitamment et les cache derrière le dossier du canapé. Pierre et Cédric peuvent alors installer le blessé. Pierre retire les chaussures du coureur, puis son casque, et dit : - Bon, je retourne dehors guetter le passage des médecins. Pauline s'approche du blessé : - Comment vous appelez vous monsieur ? Devant la mine ahurie du gars, Cédric dit : - Il ne parle sans doute pas français. Je pense qu'il est italien. - Bon, le mieux est de lui donner un papier et un crayon, il saura quoi y écrire. Pendant que sa fiancée fouille dans le buffet pour sortir ce qu'il faut, Cédric note le regard intéressé du gars sur les fesses de Pauline dont la base est légèrement découverte par la petite robe. ![]() Quand elle revient, elle se penche vers le cycliste pour lui tendre le carnet et le crayon en le pointant du doigt et en mimant un téléphone : - Vous, votre nom, c'est quoi ? Et donnez-nous un numéro de téléphone à appeler. Le gars semble moins ahuri mais encore un peu troublé. Cédric comprend aussitôt qu'il se délecte de la vue dans le décolleté : - Meno male che non capisci quello che dico, perché ho una forte voglia di dirti cose oscene... ![]() Pauline tourne la tête vers Cédric : - Tu crois qu'il a compris ? - Peut-être... En tout cas, tu peux en profiter pour regarder s'il n'a pas d'hématome à la tête. - Il avait son casque, ça limite les risques, mais tu as raison. Pauline se penche encore plus sur lui pour ausculter son crâne, passant délicatement ses doigts fins dans ses cheveux légèrement bouclés : - Se ti pieghi ancora, ti succhio le tette. ![]() Voyant qu'il parle mais qu'il n'écrit pas, Pauline se redresse et lui désigne à nouveau le carnet : - Ton nom et un numéro de téléphone de quelqu'un à prévenir. Pendant qu'elle observe attentivement ce que l'italien écrit, Cédric vient traitreusement derrière elle et fait glisser les bretelles de la robe de ses épaules sans qu'elle ne s'en rende compte. ![]() - C'est bon, j'ai l'impression qu'il a compris. Elle se penche pour lire ce qu'écrit le blessé et, quand elle se redresse, ses seins s'échappent du décolleté. Elle peste, ne s'étant pas rendu compte que son fiancé était responsable de cet accident : - Mince, j'aurais vraiment dû prendre le temps de me rhabiller. ![]() Alors qu'elle remet une première bretelle, Cédric tente de la distraire : - Il a écrit son nom et un téléphone ? - Oui, j'ai l'impression qu'il a compris. Super ! ![]() Comme escompté par Cédric, la jeune fille oublie de rajuster la seconde bretelle et se penche vers l'Italien qui lui tend le carnet. Restant penchée vers lui pour lire le carnet, le sein à moitié dénudé, Pauline lit : - Lorenzo ! ![]() Elle le montre du doigt : - Lorenzo ? L'homme hoche la tête positivement en souriant. Pauline se redresse et, en lui tendant le carnet, désigne son fiancé : - Cédric ! Et moi : Pauline, en se désignant elle-même. Cédric prend le téléphone et appelle le numéro que Lorenzo a noté sous son nom. Coup de chance, l'agent parle parfaitement le français, coup du sort, il est en panne sur la route à une vingtaine de kilomètres de là et attend le dépanneur. Cédric lui laisse leur adresse. La poisse. Pendant ce temps, Pauline s'occupe du blessé et commence par le palper sous toutes les coutures pour s'assurer qu'il n'a pas de fracture. Cela excite Cédric de la voir s'affairer autour de cet inconnu plutôt bel homme et musclé. Cédric se penche derrière elle pour voir sa moule et constate qu'elle mouille. ![]() images similaires Pierre revient alors : - Le cortège a fini de passer... La voiture des médecins a dû passer pendant qu'on amenait le blessé à l'intérieur. - Il s'appelle Lorenzo. Je viens de contacter son agent. Il ne sera pas là tout de suite mais Pauline lui fait déjà les premiers soins. - Parfait. Dans ce cas, si vous n'avez plus besoin de moi, je vais ranger les bouteilles qu'il reste sur le trottoire et rentrer chez moi. Merci de m'avoir accompagné cet après-midi les jeunes. C'était fort plaisant. Pierre prend congé. Pauline poursuit l'auscultation : - Les blessures se trouvent du côté du dossier du canapé. - Mince, tu veux qu'on change Lorenzo de sens pour faciliter les soins ? Pauline lui fait un clin d'œil : - Je pense que ça ira bien comme ça... Cédric ne comprend pas alors le sens de ce clin d'œil mais il le devine assez vite. Penchée sur Lorenzo pour ausculter son épaule, Pauline lui offre à nouveau une jolie vue dans son décolleté, mais cette fois aux premières loges. ![]() Cédric voit que cela ne déplaît pas à Lorenzo. Il écarquille les yeux, le regard perdu dans le décolleté, et son sexe prend lentement des proportions impressionnantes, moulé dans son short qui semble épouser son gland avec une précision anatomique. Cédric se demande si Pauline a remarqué cet éloquent éloge à sa beauté. Pour le moment, elle aide Lorenzo à retirer son tee-shirt. Cédric, lui aussi bien en érection, en profite pour admirer encore la croupe de sa fiancée. ![]() Comme leur hôte ne parle pas le français, Cédric demande sans détour à Pauline qu'elle caresse le blessé : - Tu as vu dans quel état tu l'as mis ? - Putain, oui... Il a un sacré bambou ! - Tu ne veux lui sortir et le branler un peu ? - Tu déconnes ! On s'amuse à un peu d'exhibition, c'est déjà pas mal, non ? Cédric n'insiste pas. Pourtant, Pauline ne peut s'empêcher de poser régulièrement les yeux sur l'impressionnante protubérance. Lorenzo se rend compte de ces regards et semble un peu gêné. Pauline s'excuse : - Désolée, je ne devrais pas regarder... Mais c'est tellement... - Ne te fatigue pas, il ne comprend rien. La jeune fille se relève pour aller cherche sa trousse médicale dans la chambre. Elle ramasse ses sous-vêtements au passage. ![]() Quand elle revient, elle pose la trousse de soin sur le dossier du canapé, aux pieds de Lorenzo. Pour s'occuper de sa cuisse, Pauline doit lui retirer son short. Elle tente de lui expliquer par signe et il comprend mais semble peu enclin à le faire. L'infirmière s'adresse donc à Cédric : - Cédric, ça le gêne que je lui retire son short. Si je t'indique quoi faire après pour les soins, tu veux bien t'en occuper ? ![]() - Tu plaisantes ? C'est toi l'infirmière. C'est pour son bien. Tu es une professionnelle et ce n'est pas la première fois que tu vois une bite. - Non.... mais de cette taille, ça reste assez rare... - Coquine. Pauline attrape le haut du short et prend un air désolé pour lui montrer qu'elle n'a pas le choix. Lorenzo semble comprendre et finit par accepter : - Va bene, va bene... ma mi dà fastidio che si veda il mio cazzo quando serve a guarirmi e non a prendersi cura di lei. Il semble s'excuser de son érection. Une fois le short retiré, Pauline admire la magnifique queue parfaitement épilée. ![]() L'italien semble s'impatienter : - Ok, hai intenzione di sistemarmi o di succhiarmelo? Pauline se ressaisit et pose pudiquement une serviette sur l'érection. Pourtant, tandis qu'elle nettoie la plaie, elle effleure autant que possible l'érection de Lorenzo à travers la serviette. ![]() D'où Cédric se trouve dans la cuisine, il ne voit pas Lorenzo, mais il voit dans le reflet du miroir le blessé, des pieds jusqu'au torse. Se faisant discret, il veut faire croire à Lorenzo qu'il est parti. Cédric voit Lorenzo poser sa main sur la cuisse de Pauline. Pauline ne dit rien. Cédric comprend aux mouvements du torse de Lorenzo que celui-ci est en train de regarder autour de lui pour s'assurer qu'ils sont bien seulement tous les deux. Cédric sait ce qu'il veut faire. Pauline aussi lance un regard vers lui : elle veut son approbation. Pouvoir autoriser sa fiancée à se laisser tripoter, cela excite énormément Cédric. La main de Lorenzo remonte jusqu'aux fesses. ![]() C'est quand Lorenzo soulève la petite robe que Cédric prend conscience que, quand elle est partie chercher sa trousse de secours, sa fiancée en a profité pour enfiler un string. Cédric brûle d'envie de lui demander pourquoi mais il préfère se taire pour que l'italien continue d'ignorer sa présence. Aussi, il prend sur lui et observe, sans broncher, même quand il voit le cycliste soulever la robe de sa fiancée et admirer le string qui dévoile une bonne partie des fesses. ![]() La main de Lorenzo caresse les fesses de la petite infirmière. Il lui murmure : - Tu guarisci me e io guarisco te. - Je ne sais pas ce que tu me dis, mais je constate que les italiens sont très éloquents avec leurs mains. Pauline ne résiste pas à caresser le torse musclé de son patient. ![]() Quittant les fesses, Lorenzo repasse sa main devant et la glisse entre les cuisses de la jeune fille : - Oh ! Voilà qui me semble soudain bien audacieux, mon cher Lorenzo ! Cédric s'amuse du ton théâtral que prend Pauline, sans doute un peu désinhibée par le fait que l'homme ne comprend pas ce qu'elle dit. Lentement, la main remonte et Cédric voit les doigts bouger, occupés à caresser la moule à travers le tissu du string. ![]() Pauline le laisse faire. Cédric entend que la respiration de sa fiancée se fait plus courte. Lorenzo sourit et lui dit : - Ti piace, lo vedo... Pauline ne sait pas ce que ça veut dire, mais elle fait comme s'il lui demandait de lui rendre la politesse. Elle saisit donc l'érection à travers la serviette et commence à la caresser. ![]() Lorenzo ferme les yeux et abandonne ses caresses entre les cuisses de son infirmière. Pauline sourit : - Mmm, c'était donc ça que tu attendais mon bel athlète. La main de Lorenzo repart en exploration des fesses musclées de Pauline tandis que les caresses de celle-ci sur le membre tendu se font de plus en plus précises. ![]() Cédric sent son sexe bondir dans son pantalon quand l'Italien commence à abaisser le string de sa fiancée. Pauline semble vouloir le laisser faire : - C'est un fruit défendu, Lorenzo. Et c'est parce qu'il t'est interdit qu'il te sera meilleur. Le string glisse des fesses et Cédric voit apparaître la moule de Pauline. ![]() Lorenzo n'est pas un simple voyeur. C'est un homme généreux qui veut rendre à sa bienfaitrice le plaisir qu'elle lui donne. Les yeux fermés, il laisse son infirmière commencer une véritable masturbation au travers de la serviette. En retour, sa main investit l'entrejambe dénudée. - Oh ! Le petit cri de surprise de Pauline indique à Cédric que les doigts de l'Italien viennent d'atteindre les lèvres du sexe de sa fiancée. ![]() Cédric a une érection de tous les diables à imaginer les doigts de cet inconnu qui explorent l'intimité de sa fiancée. Dès qu'elle a terminé les soins, Pauline tourne la tête vers Cédric. Elle lui adresse un regard qu'il a déjà eu l'occasion de voir, comme quand elle veut s'acheter un nouveau sac ou des chaussures, celui qui demande une approbation. Cédric lui sourit. Elle lui fait un clin d'œil. Elle tire d'un coup la serviette, exposant le sexe palpitant. Sa main se pose alors sur le membre tendu et le masturbe lentement. ![]() Alors qu'elle effleure le gland de son patient, celui-ci sursaute et fait tomber la trousse de soins par terre. Entravée par sa culotte à mi-cuisse, Pauline fait glisser celle-ci et la laisse au sol. Voulant ramasser sa trousse de soin, plutôt que de faire le tour du canapé, Elle se penche au-dessus de l'accoudoir pour rassembler le matériel et le remettre dans la trousse. Cédric hallucine alors : dans cette position, sa fiancée offre à Lorenzo une vue magnifique sur sa croupe totalement nue. ![]() Cédric sent son sexe se tendre encore davantage et il voit celui de Lorenzo se gonfler lui aussi. Quand Pauline se redresse, elle sourit en voyant le sexe toujours tendu de son patient et reprend sa masturbation. Lorenzo replonge une main sous la petite robe de Pauline. Un petit sursaut de sa fiancée laisse penser à Cédric que Lorenzo vient d'atteindre sa fente. Un très léger mouvement de son bassin lui confirme que Lorenzo est en train de lui caresser la moule voire de la branler. ![]() Tout aurait pu aboutir à la jouissance des deux amants quelques instants plus tard si un événement n'était pas venu perturber la fin des soins du cycliste italien blessé. |