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Lisa
2 janvier 2021
Basket-Ball 2 - Le match


Maintenant que Pauline connaît les principales règles du basket, elle se sent prête à profiter du match que son ancien camarade de lycée, Edgar, l'a invité à venir voir. En fin d'après-midi, elle lui a envoyé un SMS alors qu'ils étaient arrivés à la salle où se déroulaient la rencontre. Edgar, en tant que capitaine de l'équipe, était venu aussitôt les accueillir, les faisant entrer sans passer par les caisses et leur indiquant des places VIP dans les gradins.
Le match a maintenant commencé et, du rang le plus haut de la tribune, Cédric et Pauline suivent la première mi-temps avec intérêt, encourageant l'équipe d'Edgar même si ni l'un ni l'autre n'est grimé aux couleurs de l'équipe comme de nombreux supporters du club. Il n'y a pas un monde fou pour un match de ce niveau, mais il y a une bonne ambiance. Il semble y avoir là de nombreux amis d'Edgar, et quelques-unes de leurs copines. Cédric et Pauline s'impliquent vraiment dans le match et crient beaucoup. N'ayant pas subi le contrôle de l'entrée officielle, Cédric s'est permis d'apporter discrètement quelques canettes de bière. Aussi, lui et Pauline boivent pas mal, ce qui les aide à être bien dans l'ambiance. Pendant le match, Cédric note qu'Edgar regarde régulièrement dans leur direction.

À la mi-temps, Cédric propose :
- Tu viens avec moi, on va au vestiaire encourager Edgar ?
- Ça va pas, tu as vu dans quelle tenue je suis, je vais me faire violer !
Pauline désigne à son fiancé son débardeur un peu décolleté sous lequel il est évident qu'elle n'a pas mis de soutien-gorge et sa petite jupette très courte.



- Tu n'as pas mis de culotte ?
- Bah si. Faut pas déconner...
- Alors ça ira, tu sais, les basketteurs, c'est pas des brutes. Et puis Edgar est leur capitaine, il ne les laissera pas faire. Allez viens.
- Bon, bon, si tu y tiens.

Pauline ne sait pas si Cédric est réellement enthousiaste par ce match où s'il a une idée derrière la tête la concernant. Elle ne le lui dit pas mais elle est aussi un peu piquée de curiosité. Un club de basket professionnel, ce n'est pas les dieux du stade, mais enfin, dans les vestiaires, ça doit quand même dégager pas mal de testostérone. Alors qu'ils arrivent au couloir conduisant aux vestiaires, une voix interpelle Cédric :
- Cédric ?!
Le couple se retourne aussitôt. Cédric reconnaît alors un ancien camarade de lycée :
- Mickael ! Qu'est-ce que tu fous là ?
- Comme toi, mon vieux, je viens soutenir l'équipe locale. Mon frangin joue dedans. C'est Kévin, le grand balaise.
- Ah oui, je vois lequel. C'est vrai que vous vous ressemblez un peu. Tu vas aussi aux vestiaires pour les encourager ?
- Oui. Et toi, tu connais quelqu'un en particulier dans l'équipe ?
- Moi non, mais on a été invité par Edgar, le capitaine, qui était au lycée avec ma copine. Je te présente Pauline. Pauline, voici Mickael, un pote de lycée que je n'ai pas revu depuis le bac, comme toi avec Edgar. Amusant non ?
Pauline sourit poliment puis suit les deux garçons dans les vestiaires. En entrant, elle remarque aussitôt qu'elle est la seule fille et que tous les regards se braquent sur elle. Aussitôt, sans qu'elle puisse le contrôler, ses mamelons se durcissent et tendent le tissu.


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Edgar vient à son secours :
- Je vous présente Pauline, une bonne copine de lycée, et son copain Cédric qui sont venus nous encourager ce soir.
Les exclamations d'admiration fusent alors pour Pauline, ignorant totalement la présence de Cédric :
- Ouah, putain, t'es canon, Pauline !
- T'as de sacrées jolies jambes.
Cédric identifie Kévin, le frère de Mickael, celui qui vient de poser sa main sur la cuisse de sa fiancée pour la caresser.



Pauline lui donne une tape amicale :
- Bas les pattes, je ne suis pas votre mascotte.
Kévin soulève alors la jupette :
- Merde, Edgar, elle a raison. Sa culotte n'est même pas aux couleurs de l'équipe.



Pauline lui tape sur la main et rajuste sa jupe :
- Et dis donc, faut pas t'emmerder.
Mais Kévin y revient :
- Eh, Cédric, tu nous la laisses après le match, ta copine ?


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Pauline répond :
- Perdez pas votre concentration, les gars. Mais si vous gagnez, je reviens vous faire un petit bisou en fin de match.
La proposition est saluée d'un concert d'applaudissements et de cris. L'entraîneur arrive alors et prie tous les supporters de sortir. De retour dans les gradins, Pauline se demande ce qui l'a poussée à réagir comme ça dans les vestiaires. Elle aurait dû rembarrer plus fermement ce Kévin. Elle se demande pourquoi Cédric a laissé ce type se montrer aussi familier avec elle. Ses réflexions sont interrompues par Cédric, tout souriant, qui pose la main sur sa cuisse et remonte sous la jupe pour mettre ses doigts au contact de sa culotte.



- Kévin, a raison. Si ta culotte n'est pas aux couleurs de l'équipe, mieux vaut la retirer...
Un peu dans un état second, à cause de l'alcool mais aussi de sa promesse, Pauline cède à son fiancé :
- Ok. Mais pas ici. Je reviens.
Elle se lève et se dirige vers les toilettes. Une fois à l'intérieur, elle passe les mains sous sa jupe et fait glisser sa culotte à ses chevilles.



Elle entend alors une voix derrière elle :
- Excellente idée. Ça va sûrement encourager les joueurs.
Pauline se retourne, rajustant sa jupe, et découvre Mickael, le copain de Cédric. Il était dans le recoin des toilettes au niveau des lavabos à se sécher les mains, ce qui explique qu'elle ne l'ait pas vu en entrant. Gênée, elle tente de se justifier :
- C'est surtout que j'ai hyper chaud.



Sans attendre davantage, elle met sa culotte en boule dans sa main et va rejoindre Cédric en haut de la tribune, gardant une main sur ses fesses pendant son ascension pour éviter qu'un coup de vent ne dévoile sa tenue. Cédric affiche un ravissement certain et la regarde amoureusement mettre la petite boule de tissu dans son sac à main.
- Merci ma chérie.



- Pas de quoi. Dans les toilettes, je suis tombée sur ton copain.
- Il t'a vue retirer ta culotte ?
- Oui...
Cédric le voit qui s'installe au bas des gradins.
- Il est installé là, en bas. D'où il est, il n'en profitera pas...
Pauline ne sent pas très à l'aise malgré tout. D'autant qu'elle voit Kévin venir s'asseoir à côté de son frère à l'occasion d'un remplacement. Les deux garçons échangent quelques mots et Kévin se retourne vers elle en souriant. Pauline est persuadée que Mickael lui a raconté ce qu'il a vu.



Elle repense aussi à sa promesse faite dans les vestiaires et ne sait pas vraiment ce qui l'a poussée à faire une proposition pareille. Pendant la deuxième mi-temps, elle n'est plus la même : elle sent des tas de trucs qui se nouent et se dénouent dans son ventre, des fourmillements dans les jambes, la vue qui se trouble, et ces bouffées de chaleur qui par moments l'envahissent. Elle n'en a qu'à peine conscience, mais elle ne cesse de se projeter sur son retour tout à l'heure dans les vestiaires.



Cédric sent son trouble mais pense qu'il vient du fait qu'elle se retrouve sans culotte en public. Sa main repart à l'assaut de son entrejambe sous la jupe et découvre qu'elle est déjà sérieusement mouillée.
- Oh ! Mais ils te font un sacré effet les basketteurs.
- Oui...



- Peut-être que tu pourrais écarter un peu les cuisses pour remercier Edgar quand il regardera par ici ?
- Non mais tu déconnes ! Ça va le déconcentrer.
- Pffff, ils mènent largement, aucun risque qu'ils perdent maintenant.
Cédric la main sur le genou l'oblige à écarter de plus en plus les cuisses. Elle se laisse faire et, pour le coup, trouve très excitant de voir qu'Edgar regarde de plus en plus souvent dans sa direction. Et il n'est pas le seul, Kévin aussi a repéré qu'il y avait du spectacle.


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Cédric est ravi de l'effet produit :
- Mmmm, finalement, tu pourrais bien devenir leur mascotte.
Cédric n'a plus besoin de l'aider à écarter les cuisses. Pauline trouve très excitant de voir tous les regards dérobés qui cherchent à se glisser entre ses cuisses.



Il suit le match avec la même ardeur qu'à la première mi-temps et, quand retentit le coup de sifflet final, il exulte et se démène comme un fauve à l'annonce de la victoire de l'équipe d'Edgar. Lorsque les joueurs quittent le terrain, il prend Pauline par la main et l'entraîne avec lui une nouvelle fois vers les vestiaires.
- Viens ! Il faut les féliciter et tu dois leur faire la bise à tous.
- Tu as conscience que je n'ai plus de culotte et que Kévin pourrait soulever ma jupette devant tout le monde.



- Justement, comme il le sait, il n'en fera rien, trop heureux de garder ce secret pour lui.
- Tu es sûr ?
- Certain.
- Je vais la remettre, attends une seconde.



Mais Cédric attrape le sac à main de sa fiancée pour l'empêcher de reprendre sa culotte.
- T'inquiète, ça ira.
Seulement à moitié confiante, Pauline le suit jusqu'aux vestiaires. Dans la pièce principale, c'est un brouhaha indescriptible : des joueurs en train de se déshabiller sur les bancs, une foule de supporters envahissants. Pauline et Cédric sont rapidement séparés. Pauline se sent un peu perdue. Elle aperçoit Cédric qui ressort à l'autre bout de la pièce, en grande conversation avec Mickael. Alors qu'elle s'apprête à fendre la foule pour rejoindre son fiancé, elle sent la puissante main d'Edgar saisir la sienne.



- C'est la première fois que tu entres ici ? Ça te dirait de faire une petite visite ?
Pauline ne sait pas trop si elle doit refuser au risque de paraître coincée, alors, se sentant quand même en confiance avec le grand noir, elle se laisse guider. La jeune fille prend conscience que le capitaine de l'équipe est un sacré balaise, elle lui arrive tout juste à l'épaule.



Il n'a conservé que son short, et elle considère avec surprise son corps musclé. Elle voit la transpiration qui sillonne son torse et surtout cette forte odeur de transpiration qui la trouble profondément. Et puis... et puis il la regarde avec un sourire irrésistible.
- Ici, ce sont les douches.
Il la fait entrer dans la pièce, sans personne pour le moment, au sol carrelé où les douches s'alignent sans aucune espèce de cloison, sauf au fond une cabine avec une porte. Pauline commence à s'imaginer sous la douche avec Edgar.



- Dans quelques minutes, on sera tous à poil ici, c'est pas trop un endroit pour les filles... à moins que tu n'aies envie de nous savonner.
Puis une voix se fait entendre derrière eux :
- T'as pas oublié quelque chose, Edgar ?
Kévin vient d'entrer et tend à Edgar un gel douche et une serviette, et lui jette un clin d'œil complice, puis il ressort en fermant la porte derrière lui.
- Ça te ferait envie de frictionner un corps d'athlète ?
Pauline ne répond pas. Oui elle le veut, mais elle ne veut pas passer pour une salope aux yeux de son confident. Ne sachant que faire, elle regarde les murs, désespérée, ce qu'Edgar interprète à sa façon.
- C'est pour Cédric ou c'est pour moi que tu as retiré ta culotte ?



La question ne surprend pas Pauline : elle-même se l'était posée.
- Sans doute un peu des deux. Ça excite beaucoup Cédric de m'exhiber et moi ça m'excitait que puisse voir...
C'est la réponse qu'attendait Edgar.
- Viens !
Il lui prend la main et l'entraîne dans l'angle où se trouve la seule cabine de douche disposant d'une porte. Il l'ouvre et elle ne proteste pas.



Pauline entre derrière lui. À peine entrée, il referme la porte et plaque la jeune fille contre elle. Elle se sent si petite, elle se demande s'il ne va pas l'écraser mais non, il penche sa tête vers elle, cherchant ses lèvres. Elle n'est pas sûre de vouloir l'en empêcher, elle essaye de balbutier quelques protestations, et puis ses lèvres sans attendre son avis répondent au baiser. La langue d'Edgar vient à la recherche de la sienne, fouille sa bouche, et sa langue elle aussi participe maintenant au ballet. Une des mains de la jeune fille agrippe la nuque du noir et s'accroche dans ses cheveux bouclés. Ses mains à lui sont partout sur Pauline, sur ses cheveux, ses joues, ses épaules.



Elles descendent rapidement le long de son dos et s'emparent de ses fesses à travers la jupette. Il la plaque désormais contre son bassin, et elle peut sentir contre son ventre le sexe de son amant qui palpite.
- Oh, Pauline, si tu savais combien de fois j'ai rêvé de cet instant...
La main du noir passe sous la jupette, et le contact des doigts sur sa peau électrise la jeune fille. Edgar s'écarte maintenant d'elle, plonge ses yeux dans les siens, et les yeux de Pauline lui répondent : « Fais de moi ce que tu veux ». Alors, il fait passer le débardeur par-dessus la tête de Pauline, faisant apparaître la superbe poitrine aux tétons tendus. Il se met à genoux pour gober les seins en poussant un profond soupir comme s'il avait attendu cet instant depuis une éternité.



Cette bouche sombre sur sa peau claire fascine la jeune fille. Edgar caresse les seins, en pince les tétons qui se sont tendus, les reprend dans sa bouche et les vrille de délicieux coups de langue. Pauline a l'impression que ça lui descend dans le ventre, qu'elle se sent inondée de chaleur, que ça descend aussi jusqu'à sa chatte qui est en train de se liquéfier. Et puis la bouche sombre descend, glisse avec une lenteur atroce, s'arrête un instant au nombril et titille le piercing. Ses mains ont dégrafé la jupe qui tombe au sol, découvrant la fente nue de la jeune fille. Après l'avoir admirée quelques secondes, Edgar fait se retourner Pauline et l'appuie contre la porte. Ses mains reviennent à ses fesses, descendent à l'intérieur des cuisses et les invitent à s'écarter.



Alors, il se glisse accroupi derrière Pauline et vient poser sa langue sur son minou, pendant qu'une main par-devant vient à la rencontre de son clitoris. Il aime la sentir inondée de plaisir, il le lui dit :
- J'étais sûr que tu adorerais que je te fasse minette... Cette jolie moule que tu m'as fait miroiter pendant la seconde mi-temps.
Il lui lèche la vulve avec application, et quand sa langue, écartant les lèvres, s'introduit dans le vagin, Pauline laisse aller un gémissement de plaisir.



Bientôt, la deuxième main d'Edgar vient en renfort de la langue, un doigt, puis deux, puis trois s'introduisent dans la chatte et lui prodiguent des sensations délicieuses. Sa langue s'est simplement un peu déplacée et s'occupe maintenant du petit trou de Pauline. Il commence par tourner autour, et puis s'attarde de plus en plus à l'entrée. Pauline sent la tension de l'orgasme bientôt à son paroxysme, et quand la langue du noir, un peu plus insistante, pénètre finalement dans l'orifice, la jeune fille explose de plaisir et couine sans aucune retenue. Pauline a désormais abandonné toute réserve, elle se retourne, le fait se relever et lui enlève le short et le boxer qu'il porte en dessous, libérant son membre, un véritable pieu déjà formidablement dressé.



Edgar s'amuse de sa surprise :
- Alors ? Est-ce à la hauteur de la légende ?
- Putain. Oui...
Elle le prend dans ses deux mains, le caresses et s'agenouille, posant pour commencer ses lèvres sur le gland gorgé de sang, y déposant de petits bisous avant de commencer à y promener sa langue.



Elle aime son odeur, son goût, aussi c'est sans aucune hésitation qu'elle finit par l'introduire dans sa bouche, à le faire coulisser entre ses lèvres. Sa main a saisi ses bourses qu'elle malaxe nerveusement. Elle sent l'excitation qui monte en lui aux spasmes qui agitent son sexe.



Lui, sans doute, ne veut pas venir tout de suite, il se retire et entraîne Pauline sous la douche. Ils font une courte pause, tout à la curiosité de se procurer l'un à l'autre ces caresses si fluides que permet le gel douche. Pauline aime sentir ses mains glisser sur le torse puissant du noir, sur ses fesses, et elle ne s'en prive pas. Edgar joue avec ses tétons, ses seins. La jeune fille empoigne la queue impressionnante et elle s'amuse à la faire coulisser entre ses doigts, à deux mains.



Et puis, Edgar la soulève en l'attrapant sous les fesses et amène sa bite au contact de sa chatte. Pauline scelle son accord en écrasant ses lèvres sur celles du noir, en croisant ses jambes dans son dos, pendant que l'imposante queue s'introduit progressivement dans sa fente et que son ventre rayonne de chaleur pour l'accueillir.



Dans le même temps, Pauline n'a rien remarqué, mais la porte de la douche s'est un instant ouverte puis refermée et quand elle s'attend à sentir dans son dos le contact du carrelage, c'est sur une autre poitrine que son dos vient s'appuyer. Elle le réalise surtout parce que, forcément, les mains qui la soutiennent sous les fesses ne sont pas celles qui viennent d'empaumer ses seins. La jeune fille ouvre de grands yeux surpris, elle n'est pas loin de céder à la panique, mais ce qu'elle lit dans les yeux de son amant est d'une telle douceur, elle sait que, là encore, elle ne va rien lui refuser.



Elle reconnaît la voix du nouveau venu :
- Chut, tu ne vas pas refuser un petit extra ?
Il s'agit de Kévin. Le ballet des mains savonneuses reprend alors. Edgar qui la porte la fait monter et descendre doucement sur son mandrin, la tenant un peu écartée de lui pour que Kévin ait tout le loisir de promener ses mains, titillant les tétons, et puis glissant sur le ventre pour venir fouiller à la recherche du bouton d'amour. À peine a-t-il commencé de le caresser que Pauline jouit d'un second orgasme tout aussi fort que le premier, ponctué de gémissements tout aussi sonores.



L'autre main profite traîtreusement des spasmes qui la secouent pour investir son anus. Un doigt savonné y pénètre comme dans du beurre, et lui prodigue de savantes caresses circulaires qui ont tôt fait de le détendre, autorisant la pénétration d'un deuxième, puis d'un troisième doigt. Pauline n'a encore jamais été prise de cette façon, mais elle est tellement dans la recherche du plaisir qu'elle accepte sans broncher, plutôt même avec une secrète satisfaction. Elle repense également au prix qu'elle a gagné contre Cédric, l'autorisant à coucher avec deux hommes. Elle y est. Quand les doigts de Kévin abandonnent son œillet et qu'elle sent le gland venir s'y appuyer, elle le saisit d'une main pour lui indiquer qu'elle veut de la délicatesse et elle lui souffle :
- Ne me fais pas mal.
- Mais tu n'auras pas mal, bien au contraire.
Le gland s'attarde le temps qu'il faut dans le passage, les doigts s'affairent tout autour à la caresser et la détendre, et le sphincter de Pauline soudain laisse pénétrer la queue.



Kévin est effectivement délicat, et l'appréhension de la jeune fille s'envole. Elle est toute entière à la perception de cette sensation qu'elle connaît déjà : deux bites qui la pénètrent en même temps. Kévin s'engage avec une lenteur qui se transforme bientôt pour elle en un supplice d'attente du plaisir. Elle veut les sentir à fond, elle veut soudain être défoncée, elle veut que toute la puissance des athlètes la laboure, la maltraite et la fasse gueuler. Elle commence à bouger, elle cherche à se faire coulisser mais la posture n'est pas aisée, alors elle leur dit :
- Allez-y les gars, dérouillez-moi.



Il ne faut pas tant leur en demander. Elle ne saurait dire combien de temps a duré un orgasme qui semblait ne jamais devoir s'arrêter, et quand les deux basketteurs déchargent en même temps en elle. Pauline ne réalise pas vraiment ce qui lui arrive, tellement la vague de plaisir l'a emmenée loin. Alors que l'orgasme s'atténue et que ses cris de plaisirs diminuent, Pauline prend conscience qu'il y a du monde dans les douches à côté.



Si le brouhaha des vestiaires a peut-être dissimulé ses cris de plaisir, elle est persuadée que le bruit des douches n'en a rien fait. Quand les deux types la déposent à terre, ils lui font chacun un bisou sur une joue et Edgar, l'a voyant inquiète en regardant la porte, lui dit :
- T'en fais pas, on va te ménager ta sortie.
Séchée et rhabillée, elle sort de la douche entre les deux basketteurs qui la dissimulent partiellement derrière leurs serviettes, et qui imposent aux quelques-uns qui sont sous les douches le silence. La voici de nouveau dans le vestiaire, toujours aussi bruyant et bondé et elle cherche la sortie.



Elle finit par tomber sur Cédric qui la regarde avec un air amusé :
- Je crois que tu vas avoir des choses à me raconter, non ?
- Tu... tu sais ?
- Oui, je t'ai aperçu partir avec Edgar et j'ai vu peu après le frère de Mickael venir vous rejoindre. Je crois que tu as reçu le prix de ta victoire de notre petit match, non ?
Pauline est soulagée. Elle se sentait presque coupable de ce qu'elle avait fait mais elle est maintenant rassurée puisque son fiancé valide son aventure avec les basketteurs comme étant le prix du match qu'elle a gagné contre lui.



Elle l'embrasse amoureusement puis dit :
- C'était un super beau match, non ?
- Oui.
Cédric lui prend la main et la conduit hors des vestiaires :
- Donc, tu l'as fait ?
- Quoi donc ?
- Le prix de ta victoire.
- Oui... Edgar et Kévin... Les deux...



Cédric sourit et lui passe un bras autour de la taille pour la diriger vers la sortie :
- Allez viens. On rentre. J'ai hâte d'entendre ton histoire en détail.


Cette deuxième partie a été très largement inspirée de l'histoire "Rugbymen" publiée par Mitchoum le 28/11/09 sur Revebebe :
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb135/reve13575.html

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