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Weekend sportif - 1 : Arrivée au camping Samedi, 9h53 Pauline et Cédric arrivent au camping après quelques heures de route. Afin de ne pas faire toute la route d'une traite, ils ont réservé un hôtel bon marché à mi-chemin afin d'y passer la nuit. Tous les bagages étaient prêts dès le jeudi soir pour le permettre de prendre la route sitôt rentrés du travail. Pauline avait proposé à Cédric de conduire mais il avait insisté pour garder le volant en se contentant de faire une pause de 10 minutes toutes les heures. L'hôtel avait été calme, mais les matelas étaient mauvais et ils avaient eu la mauvaise surprise d'avoir deux lits séparés au lieu d'un grand lit. Le choix avait été fait de manière à faire des économies, mais ils ne s'étaient pas attendus à ce que ce soit à ce point au détriment de leur confort. La nuit ayant été plutôt mauvaise, ils ont été réveillés avant les première lueurs de l'aube et ont aussitôt quitté l'hôtel, se contentant d'emporter quelques croissants pour les manger dans la voiture. C'est donc avec une profonde satisfaction qu'ils se sont garés à l'entrée du camping, lieu ultime de leur pèlerinage pour ce weekend spécial dédié aux activités sportives. A peine le moteur coupé, Pauline ouvre sa portière et sort ses longues jambes pour s'extraire. Une fois debout, elle profite de ce déconfinement pour s'étirer. - Pas fâchée d'être arrivée ! ![]() Pauline tire sur le bas de sa robe pour la rajustée après ce long trajet en voiture. Cédric admire les jolies fesses de sa fiancée et sort à son tour de la voiture : - Oui, ça fait du bien de sortir de la bagnole ! Pauline regarde vers l'entrée du camping et désigne un petit chalet en bois : - Regarde, je crois qu'on nous attend... Effectivement, un jeune homme à peine plus de vingt ans semble attendre devant le chalet. Refermant leurs portières, le couple se dirige vers ce qui est désigné en grosses lettres rouges comme étant l'accueil du camping. - Bonjour. - Bonjour. Moi c'est Rodolphe. Vous êtes Pauline et Cédric, j'imagine ? Pauline est surprise qu'il les appelle par leurs prénoms : - Exactement. On vous avait fourni des photos ? ![]() A la question de Pauline, Rodolphe lève un peu les yeux pour les détailler, ne comprenant pas immédiatement la question de la jeune fille. - Non, mais j'ai rarement des réservations aussi tôt le matin. C'est très très calme cette semaine. Il n'y avait que vous à arriver aujourd'hui et... Il semble se perdre dans sa phrase. Venant de découvrir la jolie petite robe rouge de Pauline sous le tissu de laquelle les seins de la jeune fille semblent libres. ![]() Après quelques secondes de troubles, Rodolphe se reprend et termine sa phrase : - ... et les gens visent davantage les camping plus proches de la plage. - Nous, ça nous va. On recherchait justement plutôt la tranquillité. - Vous allez être servis. J'ai ici un couple de retraités Belge et il y a deux jeunes Italiens qui sont installés dans un bungalow plus loin, du côté de la piscine. Et c'est tout. - Effectivement, c'est très calme... Du coup, les infrastructures sont quand même ouvertes ? Comme Pauline se tourne face à lui en lui posant la question, la lumière du soleil fait jouer la transparence du tissu et laisse deviner furtivement la jolie poitrine de la jeune fille. ![]() Encore une fois, il reste muet quelques secondes. Puis il prend une profonde inspiration et répond : - Heu...Oui oui. Le cours de tennis, juste ici. Les vestiaires sont toujours ouverts et il y a des douches communes si besoin. Tout au fond, il y a la piscine municipale, en libre accès pour le camping. On mutualise les sanitaires, douches et toilettes. Plus économiques. C'est pas de première fraîcheur mais c'est fonctionnel et tout est nettoyer chaque matin. - D'accord. C'est parfait. Alors qu'ils avancent, Rodolphe marchant devant eux, Cédric s'amuse à faire glisser une bretelle de la robe de sa fiancée et se penche pour lui murmurer à l'oreille : - Je crois que ta petite robe lui a tapé dans l'œil... - Tu crois ? ![]() Rodolphe s'arrête devant un bungalow : - Et voici votre bungalow. Je vous laisse les clés. Vous pouvez approcher la voiture jusqu'ici pour décharger mais par contre je vous demanderais de bien vouloir laisser la voiture sur le parking à l'entrée. - Entendu. Merci beaucoup. - Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis à l'accueil la plupart du temps, sinon, il y a mon numéro de portable sur la porte. Bonne installation. Déjà le gérant s'éloigne pour regagner le chalet de l'accueil. Pauline gravit les deux marches qui permettent d'accéder à la pièce principale : - On visite ? ![]() - Oui. Cédric suit Pauline dans le bungalow et découvre la pièce principale. Pas très spacieuse mais bien agencée, la pièce propose un petit coin cuisine juste à côté de la porte d'entrée, un canapé faisant face à la télé et un coin repas avec une table et quatre chaises. En dix secondes, la visite est terminée et Cédric imagine que les trois autres portes donnant sur la pièce sont celles de la chambre, de la salle de bain et des toilettes. Cédric semble un peu déçu, trop petit à son goût, mais il se garde de tout commentaire en voyant que Pauline semble ravie. Il se contente de commenter le départ précipité de Rodolphe : - Curieux que Rodolphe ne nous fasse pas la visite, ça ne lui aurait pas pris dix minutes... Mais je crois que tu as troublé ce pauvre garçon. - Oui, j'ai vu qu'il était très ému par mes seins qu'il devait deviner sous la robe. - Et encore, il n'a pas eu l'occasion de voir tes fesses et peut être même ma minette... Pauline remonte sa petite robe pour dévoiler une partie de son postérieur : - S'il nous avait fait la visite, il aurait eu le droit. ![]() Cédric retire son tee-shirt pour se mettre torse nu. - Le droit de quoi ? De voir ou de toucher ? Pauline s'assoit et écarte les cuisses, exhibant sa moule de manière parfaitement indécente. - Au moins de voir. C'est le minimum... ![]() - Ah oui ? Et tu l'aurais laissé toucher ? - Oui, je suis trop en manque... Rouler toute la soirée, dormir dans cet hôtel pourri et repartir avant l'aube, ça ne t'a même pas laissé le temps de t'occuper de moi... - Je vais me rattraper. Mais je te rappelle qu'on est là surtout pour profiter du tennis et de la piscine. Pauline soupire : - Pfff oui... Weekend sportif... En attendant, si Rodolphe revient, je lui demanderais de me caresser la moule. - Dis donc, tu t'es quand même masturbé pendant plus d'une demi-heure ce matin pendant qu'on était sur l'autoroute. - Oui mais je n'ai pas joui. Et là j'ai trop envie... Se caressant la fente, Pauline finit par s'insérer un doigt entre les lèvres pour se masturber lentement. ![]() - Tu ne préfèrerais pas qu'il te la suce ? - Oh oui. Excellente idée ! Va me le chercher ! Cédric rigole : - Dans tes rêves. C'est mon rôle de fiancé que de te contenter. Le jeune homme s'accroupit devant elle et commence à lui lécher la moule, laissant la pointe de sa langue s'attarder sur le clitoris tendu. ![]() Pauline rejette la tête en arrière et laisse échapper un profond soupir de soulagement : - Oh putain ! C'est divin. Ne t'arrête pas... Va au bout... Cédric continue de lui sucer le clitoris mais fait pénétrer son index dans la fente humide pour la masturber doucement en même temps. Pauline est tellement en manque qu'elle sent l'orgasme monté moins d'une minute après que Cédric ait lancé cette combinaison cunnilingus-masturbation. ![]() images similaires Cédric est surpris quand il la voit se tordre en retenant ses gémissements : - Oh ouiiiii. Ouiiiiiiiii. Cédric attend les derniers soubresauts pour retirer son doigt et sa langue. Pauline a le souffle court. Il la regarde avec amusement : - Te voilà aussi essoufflée que si tu avais couru un 400m. - Attends un peu, toi ! Pauline se lève et baisse le short de Cédric, libérant une belle érection. Elle reste derrière lui et saisit son érection. ![]() Cédric sent son souffle chaud sur son épaule et il sait à quel point cela excite sa fiancée de sentir son sexe se tendre sous ses caresses : - Tu veux me faire jouir ? - Oui, tu vas commencer cette journée sportive en ayant les couilles vides. Comme ça on pourra se concentrer sur le sport. Pauline s'interrompt et retire sa petite robe. ![]() images similaires Cédric sourit : - Franchement, tu es bien naïve si tu crois que ça ne va pas m'exciter de te voir te trémousser sur le cours de tennis. - Non. Tu vas rester sérieux. Je ne vais pas me trémousser mais te mettre une branlée. - Une branlée ? Rien que ça ? A propos de branler... Pauline se met contre lui et saisit son membre tendu pour commencer à le masturber. Cédric passe une main sous son menton et, avec tendresse, guide la bouche de sa fiancée vers la sienne. ![]() Quand ils interrompent leur baiser, Pauline sourit : - Ne fais pas ton macho. Ce n'est pas parce que tu as une bite que ça te rend meilleur que moi au tennis. Elle arrête de le masturber et se contente de lui masser les testicules. ![]() Cédric met quelques secondes avant de répondre : - La bite non, mais l'entraînement, ça peut jouer, non ? J'ai été classé quand j'étais plus jeune. - Et alors, j'ai fait aussi plusieurs années de tennis moi aussi. - Tu as été classée ? - Non, mais c'est parce que je ne voulais pas faire de compétitions. On règlera ça sur le cours tout à l'heure. En attendant... Pauline tend à nouveau se bouche vers celle de Cédric pour échanger un profond baiser. ![]() Pauline reprend possession de la verge dressée. Elle s'amuse à effleurer de la paume de sa main la base du gland, partie qu'elle sait être particulièrement sensible chez Cédric. Elle lui sourit : - Essaye d'éjaculer vite, sinon on ne va pas avoir le temps de jouer au tennis. - Mon sort est entre tes mains... - Caresse-moi, ça te stimulera. Le jeune homme caresse un sein d'une main et de l'autre il explore les fesses légèrement cambrées de sa fiancée. ![]() images similaires Pauline murmure : - Mmmm, j'ai l'impression qu'effectivement ça fait son effet. - Toujours ma chérie. Ton corps me rend dingue. - Mes surtout mes nichons quand même ? - Bien sûr. Cédric empoigne les deux seins pour les malaxer et les caresser : - J'adore sentir les pointes de tes seins se dresser d'excitation sous l'effet de mes caresses. ![]() images similaires Pauline s'agenouille soudain : - Et moi j'adore sentir ta queue grossir dans ma bouche quand je te masse les couilles. Avant qu'il ne puisse répondre, son gland est déjà dans la bouche de Pauline et elle lui malaxe les testicules de ses doigts experts. ![]() images similaires - Aaaah coquine ! Tu vas pouvoir aller jouer au tennis rapidement avec traitement pareil ! La jeune fille abandonne sa fellation : - Oui... j'espère que tu seras plus endurant au tennis ! - Dis-donc, toi non plus tu ne t'es pas montrée très endurante quand je t'ai sucé la moule. Pauline ne répond pas se baisse pour lui lécher les testicules. ![]() images similaires La langue de sa fiancée sur ces partie sensibles, ses doigts de fée, ses cheveux soyeux qui effleurent son gland. Tout cela est trop pour le pauvre Cédric. Une ultime contraction alerte sa fiancée. L'éjaculation est déclenchée. Le sperme jaillit. Un premier jet survole la jeune fille s'écrasant au sol derrière elle, ne laissant que quelques vestiges dans sa chevelure sombre. Le sperme continue de jaillir, éclaboussant le doux visage et le buste de Pauline. Cédric reprend peu à peu ses esprits. Il remarque que Pauline regarde vers la petite fenêtre : - Qu'y a-t-il ? - J'ai cru voir quelqu'un... - Rodolphe ? - Je ne sais pas... ![]() Pauline se redresse : - Prêt pour passer au vrai sport ? - Oui. Va te nettoyer un peu, je vais chercher la voiture et si je croise Rodolphe je lui demande l'accès au terrain de tennis. Pauline se dirige vers la petite salle de bain. - Ok, tu lui demanderas aussi si c'est lui qui nous mâtait. ![]() - Je ne crois pas qu'il l'avouerait aussi facilement... Cédric sort en refermant la porte du bungalow. Pauline en profite pour se passer un coup de gant sur la poitrine. Quand elle a terminé sa toilette, elle entend la porte du bungalow s'ouvrir. Elle sort alors pour demander à Cédric : - Tout est OK ? Mais elle tombe nez à nez avec Rodolphe qui est en train de déposer une clé sur la table. Celui-ci est éberlué de voir apparaitre Pauline toute nue. ![]() - Oh ! Je... désolé... je pensais qu'il n'y avait personne ! - Il n'y a pas de mal... Pauline s'apprête à retourner dans la salle de bain mais elle se rend compte que sa robe est sur le canapé du salon et que ses autres vêtements sont dans la chambre, ce qui l'oblige à passer devant Rodolphe. Elle se contente donc de dissimuler sa nudité autant que possible. ![]() images similaires Le gérant du camping tente d'expliquer les raisons de sa présence : - Ce sont les clés des vestiaires du cours de tennis. J'ai reçu le SMS de votre mari mais j'étais de l'autre côté donc je me suis dit que je vous déposerai les clés en revenant. Je pensais que vous étiez avec lui. Pauline ramasse sa robe et la met devant elle pour essayer de cacher un peu ses seins et son ventre. - Ce n'est pas grave. Autre chose à nous dire ? ![]() - Ah ? Euh, non... Vous pouvez y aller quand vous voulez... IL est interrompu par l'arrivée de Cédric armé d'un gros sac de vêtements : - Ah Rodolphe, je vous cherchais. Je viens de vous envoyer un SMS pour... Pauline ? Tu ne veux pas enfiler ta robe ? - J'allais le faire juste quand Rodolphe est arrivé... ![]() Le gérant se confond aussitôt en excuses, craignant finalement presque plus Cédric que Pauline : - Je suis désolé. J'ai reçu votre message et j'ai voulu vous déposer les clés du vestiaire. J'étais persuadé que votre femme était avec vous. Si j'avais su qu'elle... enfin bon, je ne me serais pas permis d'entrer. Je suis vraiment désolé... Je vous laisse. Dès que Rodolphe a quitté le bungalow, Pauline en profite pour enfiler sa robe. Cédric rigole : - Héhé, je crois qu'il était encore plus rouge que ta robe ! - Il faut dire que je n'ai cru que c'était toi qui arrivais. - Et donc tu as failli lui tailler une pipe en croyant que c'était moi ? - N'exagère pas... ![]() - Tu penses que c'était lui qui nous mâtait ce matin ? - Aucune idée, mais je ne pense pas car il semblait vraiment gêné de la situation. Pas le genre à se planquer pour jouer les voyeurs... - Ce qui en revanche est tout à fait ton genre. ![]() - On ne me changera pas sur ce point... Dis-donc, tu comptes jouer au tennis en robe ? - Non mais j'attendais que tu apportes les fringues. - Les voilà. Cédric lui pose le sac de vêtements sur le lit et la laisse se changer pendant qu'il sort le reste des bagages du coffre de la voiture. |