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Legul
25 juillet 2022
The Good Place - Épisode 11 - partie 1

Précédemment The Good Place :

Tiraillé entre ses missions dans le quartier...



...son traitement avec Dakota pour se débarrasser de ses pulsions sexuelles et les sollicitations d'Anissa et de Janet...




...Julien imagine un stratagème pour faire en sorte que son âme sœur accepte l'échangisme.



Il espère ainsi pouvoir continuer de satisfaire ses voisines et ses propres besoins sans enfreindre les règles de Dakota. Mais celle-ci, avant d'accepter, impose à Julien de la regarder baiser avec un des résidents pour lui faire comprendre que s'il y a échangisme, ce sera dans les 2 sens !



Le jeune homme rentre ensuite chez lui et dispose de la nuit pour réfléchir à sa réponse.

--

Et maintenant, la suite :


Julien n'avait pas toujours été échangiste. Comme beaucoup de personnes respectables, il avait d'abord cru aux vertus de la fidélité et de l'amour pour vivre une vie heureuse et épanouie. Mais ces premières expériences de jeune adulte, notamment avec cette professeure, Mme Lambert, qui s'était joué de lui, avaient abimé la valeur « amour ». Et la valeur « fidélité » n'allait guère survivre à ses débuts d'obsédé sexuel...

Rapidement, il comprit les joies que pouvait apporter le partage et l'échange... Un soir, après une soirée entre collègues un peu arrosée, il avait été invité à rester dormir chez la collègue qui organisait la fête. Et s'il pensait profiter de la soirée pour séduire cette femme qu'il côtoyait tous les jours au bureau et qui lui plaisait tant, c'était sans compter le fait qu'elle vivait en couple avec une autre femme ! Un peu éméché, déçu mais tout de même curieux de voir deux femmes dans le même lit, il était allé, en pleine nuit, jeter un œil dans la chambre de sa collègue. Il y découvrit alors le magnifique cul de la compagne de sa collègue, un cul et une chatte, à peine couverts par un tout petit pyjama. Sa collègue était là également, en sous-vêtements, et profondément endormie.



Etait-ce l'alcool ou l'excitation, ou les deux, qui le poussèrent à poser sa main sur le joli cul de sa concurrente ? Toujours est-il qu'après quelques secondes de malaxage de ces belles fesses, la jeune femme se réveilla et lui demanda en chuchotant ce qu'il foutait.



Puis, voyant Julien confus se dépatouiller dans des excuses bidons, elle enchaina en disant qu'il avait de la chance qu'elle soit bisexuelle et « pompette » et fouilla aussitôt dans le pantalon de Julien pour en sortir son sexe.
Et tandis qu'elle le branlait, Julien écarta le micro pyjama de la jeune femme pour lui caresser le sexe.



Puis elle baissa elle-même son shorty pour permettre à Julien de la pénétrer en lui demandant d'être silencieux.



Malgré toute leur prudence, les gémissements et les à-coups remuant le lit finirent par réveiller la collègue de Julien et un début de dispute éclata alors.



Contre toute attente, la collègue accepta finalement la proposition de sa compagne : s'envoyer en l'air toutes les deux avec Julien. Commença alors une des parties de sexe les plus mémorables pour Julien, la première fois où il baisait avec deux femmes. Celles-ci commencèrent par le sucer ensemble...



Puis Julien reprit l'action là où elle s'était arrêtée quelques minutes plus tôt : il baisa à nouveau la copine de sa collègue qui s'état préalablement déshabillée. La collègue de Julien, a priori moins portée sur les hommes que sa compagne resta d'abord en retrait, se contentant de s'amuser avec elle.



Enfin elle céda à l'envie et surtout aux incitations de sa copine qui lui promettait « un coup d'enfer ». Elle s'empala sur la queue de Julien tout en se faisant titiller le clito.



La baise ne dura pas très longtemps car Julien, éméché et novice en plans à trois, annonça qu'il allait craquer rapidement. Et comme aucune des filles ne voulait recevoir de « creampie » et qu'elles aimaient manifestement tout partager, elles décidèrent de le finir ensemble en le suçant.



La double fellation acheva rapidement Julien. Son éjaculation retomba principalement sur lui mais cela n'empêcha pas les filles d'en profiter un peu puis de s'embrasser et de se lécher le visage pour s'amuser avec sa semence.



Cette première expérience fut donc particulièrement agréable et permis à Julien, par la suite, de régulièrement baiser sa collègue avec l'approbation de sa compagne et parfois même avec sa participation lorsque celle-ci venait leur rendre visite au bureau.



Malheureusement pour Julien, sa seconde expérience du genre fût beaucoup moins heureuse. Promu à un très bel avenir dans cette société où il gravissait rapidement les échelons et multipliait les conquêtes, il fût, un soir, invité par son patron à manger chez lui.
Il fît alors la connaissance de son épouse, une femme magnifique.



Mais sa réputation de tombeur dans sa société l'avait manifestement précédé et cette femme, sans doute habituée à collectionner les amants, jeta immédiatement son dévolu sur Julien malgré la présence permanente de son mari.



Durant tout l'apéritif, la femme du patron de Julien ne cessa de s'exhiber et d'allumer le jeune homme.



Puis, à la première occasion, elle lui mit sa grosse poitrine siliconée sous le nez et sortit son sexe de son pantalon pour le branler.



Son mari prenant manifestement beaucoup de temps à préparer la suite du repas, cette nymphomane en profitant pour sucer sans complexe Julien, qui ne savais comment réagir.



Elle s'arrêta heureusement juste avant que son mari ne revienne. Mais la suite du repas ne l'empêcha pas de passer sous la table pour sucer Julien à la moindre occasion. Le patron, idiot ou aveugle, ne semblait rien remarquer.



Contre toute attente, le repas se passa plutôt bien et le patron de Julien lui annonça qu'il avait une surprise pour lui. Il annonçât qu'il partait préparer cette surprise dans son bureau et que Julien pouvait l'attendre en buvant un verre de vin.

La femme en profita alors pour sauter sur Julien et, cette fois, le sucer sérieusement.



Trop excité par cette salope et commençant à croire que la surprise était justement sa femme, Julien « lâcha les chevaux » ! Il arracha les vêtements de la brune siliconée...



... puis la retourna pour la prendre par derrière, comme une chienne, et la pénétra avec vigueur.



L'épouse nymphomane gémissait bruyamment, sans discrétion, ce qui conforta Julien dans le fait qu'elle était LA surprise annoncée. Il la baisa dans tous les sens et toutes les positions puis se laissa se faire branler pour recouvrir de sa semence la grosse poitrine de cette femme infidèle mais très douée de ses mains.



C'est alors que le patron fît son retour et, cette fois, plus moyen de se cacher sous la table ou de ranger le matériel dans le pantalon. Julien comprit immédiatement son erreur en voyant le visage scandalisé de son boss. La surprise était en réalité un contrat fraichement rédigé pour lui offrir une promotion et celle-ci venait de voler en éclat en même temps que son poste dans la société.



Le lendemain, en faisant ses cartons, Julien apprit par une secrétaire attristée de perdre un bon coup que ces repas étaient en fait des pièges tendus par le patron aux collaborateurs trop ambitieux. Sa femme les séduisait et le patron, mimant la surprise, les renvoyait sur ce motif évident.



Julien, dégouté, en tira une conclusion : les femmes sont des salopes auxquels on ne peut pas faire confiance. Et les hommes : pareil ! Sa solution : baiser tout ce qui bouge, se faire plaisir, ne pas avoir de sentiment, ne s'attacher à personne.

Avant de fonder sa propre boite et de devenir patron, il trouva un job de commercial. Et, pour éviter les ennuis en interne, il essaya de limiter ses aventures sexuelles à ses clientes seulement. Ainsi, comme les marins qui avaient une femme dans chaque port, Julien avait une maîtresse dans chaque quartier de son secteur.
Un jour, il fût accueilli par une de ses maîtresses qui, manifestement pressée, était déjà nue lorsqu'il arrivât.



Ayant lui aussi un planning chargé, il baisa sans attendre cette femme mariée, ou plutôt il l'encula, sans ménagement.



L'histoire se répéta et ils furent surpris par le mari de sa maîtresse. Mais, beau parleur et bon commercial, Julien arriva à convaincre le cocu qu'avec une salope du genre, il serait dommage de ne pas en profiter ensemble. Désireux de se venger, le mari accepta.



La partie de sexe, déjà assez peu romantique, devint alors encore plus extrême pour la femme qui, prise sur le fait et encore très excitée, se laissa faire. Julien commençât par expliquer à son mari comment se servir du gosier de sa femme, lui qui n'avait eu que des pipes minables jusqu'à présent.



Puis Julien encula à nouveau sa maitresse sous les yeux du mari qui, un peu jaloux, se plaint qu'elle ne l'avait jamais laissé en faire de même. Julien l'invita alors à le rejoindre dans ce cul, certes déjà occupé, mais largement assez souple d'après lui.



Après un court moment d'hésitation, le mari se décida finalement à rejoindre l'amant de sa femme. Il lui enfila donc sa bite en se montrant prudent.



Mais la relative facilité avec laquelle sa femme prenait deux queues dans son cul lui fit dire que sa chère épouse devait avoir une longue expérience en la matière.



Les deux hommes prirent la femme infidèle en double pénétration anale dans toutes les positions possibles.



Puis, lorsque celle-ci se plaint de commencer à avoir mal au derrière, Julien et le mari cocu acceptèrent de la ménager. Ils se répartirent entre son cul et sa bouche, échangeant de trou régulièrement sans aucune considération pour la jeune femme qui suçait des bites sortant de son anus ni pour son plaisir puisqu'ils ignoraient sciemment de pénétrer son vagin.



Enfin, les deux hommes craquèrent. L'un se vida sur le visage de la jeune femme...



... et l'autre directement dans son cul.



La jeune femme était manifestement comblée. Mais le mari, passé ce moment de folie, fût à nouveau envahit pas un sentiment de jalousie et de trahison. Il la quitta donc dans la foulée tandis que Julien continua évidemment de fréquenter cette sodomaniaque.

Il décida d'ailleurs qu'il ne la prendrait QUE par le cul, ce qu'elle accepta, qu'il soit seul, lors de ces tournées commerciales par exemple...



... ou en groupe, quand il souhaitait faire plaisir à des collègues après une dure journée de travail !



Il n'eut plus jamais de nouvelle du mari cocu. Cette expérience renforça sa conviction que la monogamie était une illusion et que croire en la fidélité était une connerie.
Sa mort puis son arrivée au bon endroit avait en partie changé cela chez Julien. Alors qu'il ne croyait plus, de son vivant, à l'amour, il dût se rendre à l'évidence : il était amoureux de Dakota et avait des sentiments forts pour Anissa. Mais sa vision du couple, elle, ne changea pas. Il avait d'ailleurs fait du quartier un endroit où la règle était la polygamie et où l'échangisme devenait une pratique courante.

En se réveillant ce matin-là, après s'être remémoré toutes ces aventures orgiaques, Julien était sûr d'une chose : il voulait baiser avec autant de femmes que possible et était prêt à partager son âme sœur, Dakota, pour y parvenir. Mieux que ça, en partouzeur expérimenté, il avait hâte de voir Dakota prise par d'autres hommes !

Après un petit-déjeuner symbolique, Julien se rend donc chez Dakota afin de lui confirmer qu'il était partant. Mais la maison de son âme sœur était vide. Sur la table de la cuisine, un mot attendait Julien : « Julien, je suis partie me promener dans les bois du quartier, je pense y rester toute la journée. Je crois savoir qu'elle est ta décision, je l'ai vu dans ton regard hier. J'ai besoin de prendre l'air, de me retrouver seule pour réfléchir à ce que cela va impliquer pour nous. Je te propose qu'on mange ensemble ce soir pour en parler à tête reposée, non pas sur le coup de l'excitation. Je t'aime. Dakota. »

Imaginant un mot de rupture durant un court instant, Julien est d'abord rassuré puis un poil agacé. Il souhaitait en effet passer au concret au plus vite ! Mais n'ayant pas le choix, il se dit qu'il a la journée pour lui.

Se rappelant de la demande de Julia, il se dirige vers le bureau de l'architecte afin de voir en entretien les candidates au remplacement d'Asa en tant qu'assistante. Arrivé là-bas, il entre dans le bureau de Julia et lui annonce sa disponibilité pour mener les entretiens. Quelques minutes plus tard, une magnifique jeune femme se présente dans le bureau. Julien s'étonne alors de la disponibilité de la candidate puis se rappelle aussitôt qu'il est au paradis et que la plupart des gens ici n'ont strictement rien à faire de leurs journées !

- Entre Raylin, dit Julia pour l'accueillir, installe-toi. Tu connais sans doute Julien ?
- On s'est croisé, répond-elle, un poil intimidée.



Le nom de la jeune femme permet Julien à la remettre, son visage ne lui étant en effet pas inconnu. Il s'agissait de la femme de Vladimir, l'homme qu'il avait vu chez Julia il y a quelques jours alors que celle-ci était en « formation ». Vladimir était, à ce moment-là, troublé de ressentir du désir pour d'autres femmes et Julia lui avait expliqué que c'était normal.

En quelques jours, les mœurs s'étaient totalement libérées dans le quartier et Julien avait hâte de voir comment Kaylin, l'âme sœur de Vladimir, avait été affectée.

L'entretien démarra comme un entretien d'embauche tout à fait classique durant lequel Julia expliqua les tâche principale qu'allait devoir faire son assistante : en gros accueillir les résidents ayant rendez-vous avec Julia.
Malgré que Kaylin soit absolument magnifique et que son teint chocolat éveille en Julien des envies d'exotisme, sa timidité et sa robe assez sage lui faisaient douter du fait qu'elle soit la mieux placée pour ce poste. Comme lisant dans ses pensées, Julia enchaine aussitôt sur une autre mission du poste : éveiller le désir chez les résidents, rallumer la flemme charnelle depuis trop longtemps endormie au sein des couples. Les tournures de Julia étaient volontairement de doux euphémismes que Kaylin n'avait pas l'air de comprendre.

- Tu as bien saisi cette partie du poste, Kaylin ? demanda Julia.
- Oh, oui, absolument. En réalité, c'est surtout pour cela que je postule : pour allumer les résidents, m'exhiber, les exciter...
- Ah... parfait Kaylin, répond alors Julien, un peu étonné de sa franchise. C'est parfait mais j'avoue, vu ta tenue, que je ne savais pas trop à quoi m'en tenir.

Kaylin se lève alors de son fauteuil, s'appuie contre le coin du bureau de Julia et soulève le bas de sa robe, révélant ainsi des bas suspendus à un porte-jarretelle.

- Ne t'en fais pas, Julien. Ma robe est peut-être sage mais pas ce qui est en-dessous, ni celle qui la porte !
- Joli ! répondent alors ensemble Julia et Julien, autant pour désigner les belles jambes de Kaylin que la finesse de sa réponse.



La belle Black se retourne alors sans lâcher des yeux Julien et soulève d'avantage sa robe en exposant cette fois ses fesses.

- Cela fait des jours que Vladimir et moi jouons à la secrétaire coquine, depuis qu'il est venu ici, d'ailleurs. Nous jouons des rôles, nous regardons les autres résidents et nous avons eu notre première expérience échangiste. Mais nous souhaitons aller plus loin et, surtout, aider les autres là où Julia, par tes conseils, tu nous as aidé.



Kaylin enlève alors sa robe et continue son argumentaire sous les yeux impressionnés de Julien et de Julia.

- Lorsque Asa nous a parlé de cette offre, nous n'avons pas hésité. Honnêtement, me rendre utile pour ce quartier était déjà un de mes objectifs. Alors si en plus, ma mission est de m'habiller de manière provocante et de m'exhiber, ce n'est que du bonus !



- Par ailleurs, continue-t-elle en écartant les jambes pour exposer sa culotte de dentelles noires, mon mari se fait déjà une joie de m'imaginer devenant un objet de fantasme pour d'autres hommes. Il... je crois qu'il me trouve très belle et qu'il souhaite en faire profiter le plus de monde possible. C'est sa grande générosité qui l'a conduit au bon endroit et qui nous a réunis. Etre l'objet de cette générosité est pour moi un honneur.



Julien lui demande alors :

- Que ce soit un honneur pour toi est tout à fait louable. Mais nous devons être sûrs que tu y trouves également du plaisir. Cette fonction ne doit en aucun cas être une contrainte pour toi, Kaylin.
- Ne t'inquiète pas Julien. Ce serait évidemment un plaisir d'occuper ce poste. Et pour être honnête, poursuit-elle en ouvrant sa chemise, les regards que vont poser sur moi les résidents, tout comme vos regards en ce moment, m'excitent d'avance... Cela m'excite comme rarement quelque chose m'a excité !



Julien et Julia échangeaient des regards complices alors que Kaylin se déclarait envieuse de commencer son nouveau travail. Mais Julien, en bon professionnel, habitué aux entretiens, voulait la pousser dans ses retranchements. Il demande donc :

- Kaylin, ta motivation fait plaisir à voir, littéralement ! Mais, tu sais, ce poste exigera sans doute bien plus que de s'exhiber et d'être l'objet des regards. Pour ne rien te cacher, j'ai vu hier, ici même, Asa faire une fellation à John après lui avoir donné un cours de cunnilingus pour sa femme. Nous parlons de ce genre de service, vois-tu ?

Avec un sourire sûr d'elle, Kaylin ouvre son soutien-gorge et dévoile ses seins au couple qui l'interview.



Puis, tout en baissant sa culotte doucement, elle déclare :

- Tu sais Julien, en postulant ici, je savais bien que je n'allais pas qu'allumer les résidents ! Et mon mari également lorsqu'il m'a incité à venir à l'entretien.



Puis elle poursuit, en se débarrassant de sa culotte :

- Je vais vous parler franchement : oui je veux me rendre utile pour le quartier. Mais je veux aussi passer mes journées à m'exhiber, à allumer mes camardes du quartier, à faire des fellations, à donner des cours de cunnilingus, à me faire passer dessus par ceux qui auront rendez-vous avec Julia pour les faire patienter. D'ailleurs, regardez, rien que d'en parler, je suis déjà trempée.

Et pour prouver ses dires, Kaylin s'assoit sur le bureau et écarte ses jambes pour exposer une chatte en effet dégoulinante de mouille.



Julien et Julia échangent à nouveau un regard et l'architecte pose alors sa main sur l'entre-jambe de Julien pour y découvrir une énorme érection qu'elle masse avec gourmandise. Puis elle lui fait un clin d'œil et se tourne à nouveau vers Kaylin :

- Écoute Kaylin c'est parfait. Je suis convaincue par ta motivation et il me semble que Julien également ! Tu peux passer dès demain pour discuter avec Asa et organiser vos agendas pour tu puisses la seconder lorsqu'elle est au salon de massage. J'ai hâte de travailler avec toi !
- Merci Julia ! Tu ne le regretteras pas, je te le promets !
- J'en suis sûre ! Tu as l'air d'être très à l'aise avec tes futures missions mais si tu as la moindre question, n'hésite pas à te tourner vers Julien. Il est mon principal conseiller dans cette nouvelle organisation du quartier.
- Oh ? C'est donc à toi que l'on doit toutes ces... nouveautés si plaisantes ? Un grand merci alors !
- Mais de rien, c'était justement le but : augmenter le plaisir des résidents.

Après quelques échanges de politesse et après s'être rhabillée, Kaylin quitte le bureau et laisse Julien et Julia discuter. En l'occurrence, l'échange est bref car les deux s'accordent pour dire que la jeune femme semble être la remplaçante idéale d'Asa.

Mais alors qu'ils sortent dans le couloir et se dirigent vers le hall d'accueil, ils aperçoivent une autre résidente, une jeune femme rousse, qui patiente sur le canapé.



- Oh... Bonjour Linda. Tu souhaites me voir ? demande Julia, étonnée.
- Bonjour Julia, je venais pour l'offre d'emploi. Mais je suis en retard, désolée !

Julien, en fin observateur, pose son regard sur la jeune femme. Sa chemise est généreusement ouverte sur une jolie poitrine et son mini-short révèle de belles et longues jambes. Mais son visage, plutôt joli au demeurant, de sainte-ni-touche et ses couettes de petites filles donnent l'impression à Julien que cette Linda ne fera pas l'affaire.



Julia, embêtée d'avoir déjà dit oui à Kaylin, s'explique :

- Nous n'attendions plus personne, je suis désolée Linda, et nous avons déjà accepté Kaylin.
- Oh quel dommage, répond la belle rousse, visiblement peinée. Je souhaitais tellement participer à la vie de notre communauté !

L'allure et les mots utilisés par Linda finissent de convaincre Julien que la jeune femme a sans doute eu une vie de sainte et n'est clairement pas la plus adaptée pour ce poste.

- Bonjour Linda, je suis Julien et je conseille Julia en ce moment. Ta motivation pour notre quartier est formidable mais je ne pense pas que le poste t'aurait convenu. Tu sais, ce que faisait Asa était un peu particulier... vis-à-vis des résidents... les services qu'elles offraient. Tu vois ?
- Bonjour Julien. Oui je savais très bien à quoi m'attendre, ça n'est pas un problème pour moi ! répond la belle rousse en ouvrant sa chemise pour exposer sa poitrine nue.



Tandis qu'elle reste ainsi seins nus, les mains sur les hanches, Julien commence à douter de son premier jugement envers elle. Cependant, il insiste :

- Je vais être un peu direct : il faudra montrer bien plus que tes seins pour ce job...
- Oh ? répond-elle un peu surprise. D'accord, pas de souci, je suis prête à tout pour aider mon quartier.

Linda ouvre alors son short et l'enlève pour se mettre en string devant Julia et Julien...



...puis enlève sa petite culotte sans aucune gêne.



- Vous voyez, je n'ai aucun problème avec la nudité ! Idem pour de l'assistance sexuelle, aucun souci pour moi !

Voyant Julien douter devant le corps dénudé de Linda, Julia intervient alors :

- Linda, je suis vraiment désolée. Tu sembles être en effet très motivée mais tu comprends que je ne peux pas te donner un poste que j'ai déjà offert à Kaylin. Et comme tu es arrivée en retard, ce serait vraiment injuste envers elle.

- Oui je comprends Julia. Je suis désolée de vous avoir importuné et je m'en veux...
- Il n'y a aucun souci, répond Julien.
- Si vous avez le moindre besoin de renfort, surtout n'hésitez pas à me demander, je serai toujours disponible pour aider.
- D'accord c'est not... commence Julien.
- Par exemple, l'interrompt Linda, s'il vous faut quelqu'un pour des sodomies, même avec des grands groupes, je peux prendre n'importe quoi dans le derrière !

Julien manque alors de s'étouffer en entendant la réponse de Linda et Julia elle-même hausse les sourcils d'étonnement.

- Tu... Tu peux répéter ? demande-elle.
- Je vous dis que je pratique très facilement la sodomie. En fait, j'adore ça et comme je sais que ce n'est pas forcément si répandu, je me permets de vous le préciser. Et même avec plusieurs hommes à la suite, ou en même temps, il n'y a aucun souci parce que mon... derrière... est très entrainé. Regardez.

Linda se met alors à quatre pattes sur le canapé en exposant bien son cul et son anus qui semble, a priori, tout à fait normal.



Mais elle écarte alors ses fesses avec ses mains, prend de grandes inspirations et commence comme par magie à ouvrir son anus qui, rapidement, prend des allures de tunnel ferroviaire.



- Incroyable... soupire alors Julien en observant l'anus dilaté de Linda.
- Tu as déjà vu quelque chose du genre, Julien, demande Julia avec un petit sourire, comme si elle le testait.
- Non, jamais... répondit Julien en pensant dire la vérité, puisque ne se souvenant évidemment pas de son début de journée de la veille rebooté par l'architecte.
- Vraiment ? insiste Julia avec le même sourire.

Et alors que Julien se tourne vers elle, inquiet de ce ton, Linda propose :

- Vous pouvez venir tester mon derrière, je suis en entretien après tout !
- Julien, tu veux le faire ?

Bien que tenté, Julien réussit alors l'exploit de résister à cette alléchante proposition et laisse donc faire l'architecte qui, visiblement amusée, s'approche du cul tendu de Linda et y enfonce deux doigts.



- Je touche à peine les bords... et aucune résistance ! commente Julia, aussi impressionnée qu'excitée.
- Et encore, là c'est sa taille « au repos », ajoute Linda. Tu peux essayer de l'élargir, j'ai de la marge ! Attends, je change de position...

La belle rousse se place alors sur le dos, les fesses et les jambes relevées et écarte son cul pour laisser un accès total à Julia. Celle-ci enfonce à nouveau deux doigts d'une main puis, fait de même avec son autre main. Ne sentant aucune résistance autour de ses 4 doigts, elle commence à étirer les parois de l'anus sur les côté.



- Par tous les architectes... commente Julia. Jamais je n'aurais pensé que le corps humain puisse être aussi élastique que le mien... Enfin, je veux dire... que les corps des êtres de mon genre...
- Et tu n'as rien vu... répond Linda. Enfonce ta main en entier, Julia.

Bouche bée, Julia enlève donc sa main gauche et enfonce sans la moindre résistance sa main droite jusqu'au poignet. Linda, probablement sans s'en rendre compte, accompagne ce « test » de caresses sur son clito.



- Tu as vu ça, Julien ? Je lui enfonce mon poing en entier et non seulement elle ne bronche pas mais en plus elle y prend du plaisir !
- Oui je vois ça ! C'est bluffant ! Linda, comment es-tu capable de cela, si ce n'est pas trop indiscret ?
- Oh non, aucun souci. D'autant que c'est cela qui m'a valu m'a place ici ! répond Linda tout en se faisant fister le derrière.

La belle rousse raconte donc qu'elle avait 20 ans en 1950 et qu'elle a été recrutée par l'URSS, son pays d'origine, pour être espionne aux Etats-Unis. Mais une fois là-bas, elle s'est si bien intégrée qu'elle a été également recrutée par la CIA pour espionner la Russie. Déchirée entre son pays d'origine et son pays d'accueil, elle a décidé de choisir un seul camp : celui de la paix. Ainsi, pendant tout son activité, et jusqu'à sa mort, elle a œuvré dans le dos de ses employeurs pour faire baisser les tensions plutôt que de les accroitre.

- Donc, en gros, tu nous as évité une troisième guerre mondiale, c'est ça ?
- Oui, et à plusieurs reprises, je te le garantis !
- OK... mais quel est le rapport avec ton anus ?
- A ton avis, je les désamorçais comment les conflits ? Qu'est-ce qui marche le mieux chez les hommes ? Les arguments raisonnés et les appels à l'humanité ou une bonne grosse sodomie qui leur vide le cerveau ??
- Ok, je vois...
- Oh non, tu n'as pas idée ! répond-elle avec un poil de provocation. Mais il aurait fallu que tu le voies de tes yeux pour le croire.
- Ah ça, c'est dans mes cordes, intervient alors Julia qui, entre-temps, avait laissé tranquille l'anus de Linda pour écouter son récit.

Julia invite donc Linda et Julien à revenir dans son bureau, tape dans ses mains et fait alors apparaitre au milieu d'un halo de lumière un casque qu'elle place sur la tête de Julien en lui expliquant que grâce à cette interface, il va visualiser les souvenirs de Linda, en tout cas ceux qu'elle veut bien lui montrer. Puis elle donne un autre casque à Linda en lui expliquant qu'il lui suffit de repenser aux évènements qu'elle souhaite montrer. Enfin, Julia elle-même place un casque sur sa tête « pour vivre la vie de Linda autrement que par son dossier », se justifie-t-elle.



Tous équipés et installés, Julia demande donc à Linda de commencer son récit. L'expérience qui suit alors se trouve être, pour Julien, l'expérience pornographique la plus immergée qu'il n'a jamais connu.
Linda raconte qu'après avoir constitué son réseau, elle a multiplié les « aventures » avec des groupes de généraux, d'amiraux ou de collègues de la CIA et du KGB. Des images aux couleurs sépia apparaissent alors grâce au casque. Celles-ci sont parfois précises, parfois floues, parfois animées, parfois figées, tout cela dépendant de la qualité des souvenirs de Linda. Mais elles illustrent toutes parfaitement le récit de Linda. Ainsi, Julien découvre la jeune Russe prise en sandwich au milieu d'au moins quatre hommes.



Puis d'autres images apparaissent, beaucoup plus trash, au moment où Linda précise que c'est son gout pour la sodomie et sa grande capacité d'accueil qui ont participé à faire sa réputation ! Certaines images de Linda en pleine double pénétration anale la montrent visiblement à la peine, endurant cette pratique intense.



Mais tandis qu'elle continue son récit, les images qui suivent la montrent de plus en plus à l'aise, acceptant tous les diamètres et toutes les positions en y prenant manifestement du plaisir.



Julien, évidemment très excité par ce qu'il voit, n'arrive pas à croire que de telle image puissent sortir de la tête d'une femme ayant gagné sa place au « bon endroit ». Il y voit là plutôt les exploits d'une actrice porno expérimentée et se demande donc si tout ce spectacle n'est pas une sorte de test ou même de piège pour sonder son esprit à la rechercher de ses perversions.

Julien décide d'en avoir le cœur net : il relève discrètement le bas de son casque pour observer les filles autour de lui. Il aperçoit d'abord Julia, le casque toujours sur les yeux, visiblement impressionnée de ce qu'elle voit.



Assise sur son fauteuil de bureau, l'architecte se caresse, jambes écartées, pendant que Linda continue son récit.



Julien jette alors un œil du côté de la rousse en train de parler, nue avec son casque sur la tête et qui, elle aussi, se fait du bien. De manière assez logique par rapport à ce qu'elle est en train de raconter, Linda se doigte furieusement le cul et semble y trouver beaucoup de plaisir.



Un poil soulagé, Julien remet finalement son casque sur ses yeux pour reprendre le fil du récit. Il y découvre une Linda avec un chapeau de marin en train de soulager une bonne partie de l'amirauté américaine. Avec 3 queues pour un seul orifice, Julien se dit alors qu'en effet, elle sait gérer les gros groupes !



Plusieurs images du genre se succèdent encore puis Linda annonce que son récit arrive à son terme car, alors qu'elle pensait que tout allait bien, sa double activité a été découverte. Et alors qu'elle tentait de fuir vers un pays neutre, elle a pris une balle dans la tête. Elle n'a jamais su si c'était les USA ou l'URSS qui avait commandité son assassinat et la seule chose qu'elle se souvient ensuite c'est son arrivée dans le bureau de Julia, il y a 60 ans maintenant.

Les images disparaissent donc et les trois enlèvent leur casque. Julia, Julien et Linda se regardent alors, un peu gênés, comme s'ils venaient de vivre une expérience très intense entre voyeurs et exhibitionnistes.

Après avoir été remerciée chaleureusement, Linda se rhabille et sort du bureau de Julia pour la laisser discuter avec Julien.

- Tu en penses quoi, Julien ?
- Que j'ai rarement vu une fille aimer autant la sodomie et le sexe à plusieurs ! Je ne sais pas, cependant, si nous aurons besoin de tels services.

A nouveau, Julien essayait de résister à son envie de faire de Linda sa prochaine proie, ou en tout cas essayait de ne pas le montrer !

- Quelque chose me dit qu'une telle souplesse sera très utile dans le quartier. Qui sait, certains résidents sont peut-être eux aussi portés sur la sodomie ! Tu en penses quoi ?
- C'est possible oui, cette pratique est en effet très appréciée des hommes sur Terre.
- Tu aimes cela, toi ?
- Oui, répond Julien avec honnêteté, j'avoue que c'est une pratique que j'apprécie. Encore faut-il trouver la partenaire qui aime cela également !
- Et bien nous l'avons trouvé, je crois !
- D'accord, mais on ne va pas prendre le job à Kaylin, déclare Julien, désireux de garder également sous sa coupe la belle black.
- Évidemment que non ! Disons que j'aurais dorénavant 2 assistantes. Kaylin sera principalement au bureau et jouera parfaitement son rôle pour accueillir les résidents. Linda, elle, s'occupera des groupes ou des soirées à thèmes ou des demandes spéciales. Je crois sincèrement qu'elle ne nous a pas tout montré de ses souvenirs et que cette fille n'a ni limite ni tabou. Il me semble qu'au rythme où vont les choses, on aura bientôt des partouzes à tous les coins de rue, Julien, et il faut que nous ayant du personnel pour répondre à ces envies.
- Bon, dans ce cas, ça me convient, c'est même sans doute une bonne idée.
- Très bien, je vais lui annoncer la bonne nouvelle. Par contre Julien, pas sûr que tu ais grand-chose à apprendre à Linda...
- C'est clair ! Elle en sait bien plus que moi dans l'art de se servir de son derrière !
- Oh je n'irais pas jusque-là... répond Julia en s'éloignant et en se massant les fesses comme si elles étaient douloureuse. Non, je n'irais pas jusque-là, répète-t-elle avant de sortir du bureau.

Cette vision du postérieur de Julia provoque alors comme un choc électrique chez Julien. Une image, furtive et floue apparait brutalement dans sa tête pour disparaitre aussitôt.



Une femme, blonde, en train de se faire pénétrer le cul avec un poing... Etait-ce Julien dans cette image ? Et la femme, elle ressemblait à Julia... Mais était-ce le fruit de son imagination, de ses fantasmes plutôt ? Quel était cette étrange impression de souvenir ? Y avait-il un lien avec le comportement bizarre de Julia et son étrange appétit pour la dilatation anale ?

A suivre...

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