|
Urgence à domicile 1 Histoire inspirée par http://lisastory.free.fr/histoires.php?num=1502 - Allo, Allo ! Dr Lisa ! Je me sens mal aujourd'hui puis-je avoir un rendez vous d'urgence ? La voix du patient au bout du fil semble vraiment angoissée. Mais je la reconnais, c'est celle d'un mec, plutôt mignon, que j'ai reçu en consultation il y a quelques semaines. Son prénom est Vincent. La consultation a un peu... « dérapé »... même si ce dérapage ne m'a pas complètement comblée, je suis en effet assez « gourmande »... ![]() Je me demande pourquoi il me rappelle et je réponds : - Vous savez que les urgences n'ont lieu qu'à domicile...? - Oui je sais, et tant mieux car je me vois mal dans cet état dans votre file d'attente, je vous attends vite... Et il me dicte son adresse. - Mais, Monsieur, vous vous plaignez de quoi exactement ? - J'ai un gros problème, un ami ma ramené une bouteille en souvenir de son voyage en République Dominicaine et j'en ai pris un peu trop... - C'est quoi cette bouteille ? - Du Bois Bandé ! - Ah oui ! Je vois le topo ! J'espère que vous n'avez pas fait ça suite à notre dernière rencontre ! Ça fait combien de temps que vous êtes dans cet état ? - 10 heures au moins ! - D'accord ! J'arrive ! Je fais au plus vite ! - Merci Docteur ! Je rassemble mes affaires lorsque une petite voix dit derrière moi : - Docteur, je peux venir avec vous pour cette urgence ?" ![]() images similaires C'est Ève, ma nouvelle stagiaire ! Une très jolie petite blonde avec un air un peu enfantin ! - Oui, pourquoi pas... mais au fait, quel âge as-tu ? - 19 ans, me répond-elle, un peu surprise par ma question... - D'accord, change-toi vite et on y va, c'est une urgence... Nous montons toutes les deux dans ma voiture. ![]() Pendant le trajet nous devisons de choses et d'autre et, au détour d'une phrase, je lui demande : - Ève, tu as un copain ? Un peu interloquée elle me répond : - Non Docteur. - Et ton dernier flirt remonte à quand ? - Je .. Je n'en ai encore jamais eu ! Je la regarde un peu surprise... Elle a l'air très gênée et elle me dit, comme pour détourner la conversation : - Nous voici arrivées chez notre malade... Il nous appelle pourquoi Mme Lisa ? Avant de répondre je gare la voiture devant le domicile du patient. Puis j'observe la petite Ève, elle est sexy avec sa jupe courte, ses talons et son joli débardeur qui laisse deviner ses seins fermes... ![]() images similaires Je lui explique : - C'est un homme qui a pris une trop forte dose d'aphrodisiaque, et il n'arrive pas à débander... - Ah bon ! (sa voix semble soudain troublée), et que pouvons-nous faire ? - La seule solution consiste à le baiser jusqu'à ce qu'il se calme ! Mais, ça ne vas pas être une petite affaire ! Le Bois Bandé, c'est pire que le Viagra ! Il faudra, sans doute, le faire jouir plusieurs fois avant qu'il ne retrouve son état normal ! Pendant que je prononce ces paroles, je vois sa main se porter presque inconsciemment à son entrejambe et j'entends sa respiration s'accélérer. Je relève alors ma jupe, ôte mon string en dentelle, le place dans mon sac à main, et lui dis : - Fais-en autant, tu seras plus à l'aise pour travailler... ![]() images similaires Comme c'est une stagiaire très obéissante, elle s'exécute immédiatement et me tend sa petite culotte déjà toute mouillée. Nous voilà toutes les deux, nos chattes à l'air et à moitié dissimulées pas nos jupes. Nous attirons les regards des passants, ce qui renforce notre excitation. ![]() images similaires - Tu vois, Ève, lui dis-je sur un ton professoral, rien de tel qu'une petite exhibition comme ça pour te mettre en condition avant le boulot ! - Oui ! Ça fait du bien ! Je suis toute émoustillée ! - Ça ne te gène pas de te faire déflorer aujourd'hui ? - Non. En fait j'en ai envie depuis longtemps... et ça me permettra de découvrir, en profondeur, tous les dessous du métier ! On n'apprend pas ça à la fac ! - Bien sûr que non ! Quoique !... Et j'ajoute : - Dis-moi, Ève, je ne comprend pas... Mignonne comme tu es tu ne dois pas avoir de mal à attirer les mecs et tu me dis que tu en as envie ! Alors, pourquoi es-tu encore vierge ? - C'est que j'ai un problème ! Je suis autant attirée par les filles que par les mecs, et je ne sais pas quoi choisir ! - Pourquoi choisir ? Tu es bisexuelle, c'est un merveilleux cadeau que t'offre la vie ! Tu vas pouvoir goûter à deux fois plus de plaisirs : celui d'être prise par un homme viril et celui de la douceur d'un corps de femme contre le tien. Et, surtout, tu vas pouvoir faire quelque chose de merveilleux : partager un homme avec une autre femme et, le faire jouir ensemble, faire l'amour devant lui. Les hommes adorent ça ! Peu ont l'occasion d'y goûter mais presque tous en rêvent ! D'ailleurs, je suis certaine que ça va faire beaucoup de bien à notre patient d'aujourd'hui ! Tu vas voir cela va bien se passer ! Tu en veux un petit avant goût !? ![]() images similaires Ce disant, mes lèvres se soudent aux siennes et nous nous embrassons passionnément. Ma main se porte sur sa chatte qui mouille déjà abondamment et la caresse lentement. Les regards des passants se font de plus en plus insistants... - Docteur ! Vous embrassez bien ! Je suis heureuse que nous partagions les mêmes goûts, me dit cette petite vicieuse d'Ève, et si nous allions goûter à la bite maintenant ? - Oui ma chérie, allons-y ! Tu me sembles prête maintenant !... Rabaissant nos jupes nous entrons dans l'immeuble. Nous grimpons les escaliers jusqu'au troisième étage. Je passe derrière elle et je peux admirer ses fesses sous les mouvements de sa jupe. ![]() images similaires On peut dire que je soigne bien mes patients ! Celui d'aujourd'hui est verni, un beau petit cul comme celui-là, ainsi que le mien qui n'est pas mal non plus, je crois qu'on va réussir à le guérir... Nous arrivons devant la porte. Ève me semble à nouveau nerveuse. Je soulève sa jupe pour lui caresser doucement le cul et je lui dis : - Ne t'en fais pas ma chérie, ça va bien se passer ! ![]() Et je sonne ! La porte s'ouvre sur notre patient, plutôt surpris de voir que je suis accompagnée. Mais il n'est pas le seul surpris, puisqu'Ève reste scotchée sur son cache-sexe. Manifestement le jean serrait un peu trop notre malade et il a décidé de se mettre à l'aise dans un slip assez souple... Avec ce type de sous-vêtement, sa gène ne passe pas inaperçue, le piquet de tente est bien mis et la toile est belle et bien tendue, au point d'être presque transparente. ![]() images similaires Manifestement ce spectacle fascine ma jeune stagiaire. - Bonjour Dr Lisa, dit il, je vous attendais, rentrez donc. Vous êtes venue accompagnée ? - Oui, c'est une stagiaire et je lui ai proposé de m'accompagner pour cette visite. Ève n'a toujours pas repris ses esprits et a du mal à lui répondre lorsqu'il demande : - Mme ? Mme ? - Non, Mlle Ève ! - Et si nous commencions à vous examiner, rétorquais-je ! Je demande alors à notre patient de s'allonger sur son canapé. Ève et moi, nous nous approchons de son corps. Je m'aperçois qu'il contemple mes jambes avec avidité au fur et à mesure de mon approche puis son expression change, je devine qu'il a découvert mon sexe nu de tout sous-vêtement. ![]() images similaires Un peu perturbé, il change d'angle de vue et contemple l'approche d'Ève. À son petit sourire, je vois qu'il vient d'apercevoir une deuxième point de vue tout aussi excitant. Il prend un air entendu, comme s'il comprenait soudain que ce n'est pas un hasard que deux ravissantes femmes viennent ausculter sa bite en offrant leurs chattes à ses yeux. ![]() images similaires Ève et moi ne sommes plus qu'à 20 cm de lui et son regard fait des allers-retours entre nos deux minous... il doit faire des comparaisons... J'ai remarqué, dans la voiture, qu'Ève et moi, nous avons toutes les deux la chatte complètement épilée. Je ne sais pas si Ève mouille autant que moi... - Ce n'est pas bien d'exciter ainsi les hommes, Mesdames... dit il ! Et là, je suis surprise de la réponse d'Ève : - Mais, Monsieur, ce n'est pas nos petites chattes qui vous ont mis dans cet état ! Ève tire alors un grand coup sur son caleçon, la bite entraînée par l'élastique revient se cogner sur le bas ventre du mec. Ève n'a plus froid aux yeux et a repris largement confiance. ![]() En tant que Docteur, je commence mon travail. Je sors de ma sacoche un de mes outils de travail, le stéthoscope. Je demande à Ève de lui tenir la bite pour que je puisse écouter d'un peu de plus prés, et je rends mon diagnostic : - Elle est plutôt en forme cette « petite », mais un peu trop calme à mon goût. Depuis que vous êtes comme ceci l'avez vous utilisée un peu ? - Pas vraiment, Mme Lisa, je devais... mais voilà... - Bon je crois que j'ai un remède à ceci, il va falloir mettre cet engin a rude épreuve. - C'est à dire quoi exactement ? Je dois me branler intensément ? - Oui, ça pourrait être ça, mais ne croyez-vous pas que l'on pourrait faire autre chose avec ce joli monstre ? - Ah je vois, vous êtes coquines, vous deux ! - Eh oui, nous allons te baiser chacun notre tour ! décrète Ève... Jusqu'à ce que la situation redevienne normale ! ![]() - Bon ! dis-je à ma jeune stagiaire, nous allons commencer par un peu de « buccothérapie » ! Je vais te montrer. Regarde ! Tu commences à caresser doucement les couilles, comme ça. Vas y n'aies pas peur ! Je prends une de ses boules en main et Ève place ses jolis doigts aux ongles fins et vernis sur l'autre. Après une brève hésitation elle se met à la caresser doucement. - C'est doux ! dit-elle - Tu n'as jamais touché de couilles ? demande Vincent, étonné... - Non, répond-elle, ce sont mes premières, mais il y a longtemps que j'en rêve ! - Alors, profites-en ! répond-il. Je reprends ma leçon : - Maintenant, tu les prends doucement dans la bouche et tu les fais rouler sous ta langue, comme ça ! ![]() images similaires Je joins le geste à la parole, bientôt imitée par Ève, et nous voilà toutes les deux à les déguster ensemble. - Ensuite, Ève, il faut bien explorer les environs, on peut soigner l'organe malade en traitant les zones voisines. Je descends alors ma langue entre ses fesses, jusqu'à l'entrée de son anus dans lequel je tourne ma langue doucement. Je cède la place à Ève qui, passant une fois de plus d'une certaine réserve à une audace incroyable, se précipite pour lui laper la raie et lui sucer le cul avec une gourmandise qui m'estomaque. Pendant ce temps, je commence à donner quelques petits coups de langue sur le gland. ![]() Il est temps de revenir au cœur du sujet. Je montre à Ève comment faire courir la langue de haut en bas et de bas en haut sur la verge de notre malade. Nous la léchons, chacune d'un coté, jusqu'à ce que nos langues viennent courir sur son gland que nous nous partageons comme une glace à la fraise. ![]() images similaires Puis, au hasard de notre dégustation, nos langues se touchent et Ève, subitement, abandonne la bite pour coller ses lèvres aux miennes. Nous nous embrassons longuement. Sa bouche est déjà pleine de l'odeur de la queue et de du cul de notre patient qui finit par protester : - Dites-donc les filles, vous n'avez pas finis votre boulot ! Vous pourrez vous amuser après ! ![]() images similaires Il a raison ! Nous ne pouvons pas commettre une « non-assistance à bite en danger », mais il faut que je montre d'abord à Ève comment sucer. - Tu vois, petite Ève, une bite c'est très délicat ! Tu dois la sucer avec fermeté mais aussi beaucoup de douceur, sinon ça peut faire mal. Masque bien tes dents avec tes lèvres, ta bouche doit être un nid aussi douillet que ta chatte pour ce petit oiseau ! ![]() images similaires Je montre ainsi à Ève comment le sucer, longuement, doucement, profondément. J'aspire sa queue et joue de ma langue dessus. Puis je cède la place à Ève qui se débrouille plutôt bien pour sa première fois vu l'expression satisfaite du patient. - Docteur Lisa ! me dit-elle, c'est si bon une bite ! Mais ça m'a mis la chatte en feu ! Je lui dis alors de se mettre dans une position de travail plus ergonomique. Elle s'allonge donc à quatre pattes au dessus du mec, enfermant son visage sous sa jupe pour qu'il puisse lui bouffer le minou... ![]() images similaires Elle reprend sa fellation en faisant de réels progrès dont témoignent les râles sonores de notre ami. Elle ne s'interrompt que pour pousser à son tour des petits cris aigus de plaisir, toute heureuse des caresses de la langue masculine sur sa moule encore vierge. De mon coté j'appuie son travail en m'occupant à nouveau de l'anus, des couilles et des rares morceaux de bite qu'elle veut bien laisser à ma portée. Tout à coup, une véritable fontaine de sperme jaillit de la queue. Ève a un mouvement de recul, mais je lui dis : - Mais non, ma chérie, goûte ! C'est très bon et excellent pour la santé ! Ce serait dommage de gâcher tout ce bon foutre bien chaud ! ![]() Ève avale, d'abord timidement quelque goûtes de sperme : - Mmmm !! C'est salé ! Mais c'est bon ! Puis elle se met à laper goulûment la bite si vite que je dois me rabattre sur les quelques goûtes qui restent pour avoir ma part de dessert. ![]() Mais ce n'est pas grave, car il va manifestement y avoir du rab... Malgré cette superbe éjaculation, sa queue est restée, droite comme un I et toute aussi dure qu'avant... ![]() images similaires à suivre...? |