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Lovesymbol 30 juin 2006

(...suite de l'épisode précédent) « T'es un voyeur, toi, hein ? » me demanda Valérie. « Note, je te comprends, moi aussi j'adore mater les autres qui baisent ». « Tu vas rire » a-t-elle ajouté « Il y a 2 semaines j'ai surpris mon voisin en train d'enculer une gonzesse dans l'escalier... il avait l'air doué... en tout cas elle est complètement partie, point de vue orgasme... et moi aussi, tellement je me suis labourée la chagatte en les regardant »... Puis elle explosa de rire et me regarda droit dans les yeux. Evidemment, je riais aussi et j'ai répondu « tu as bien fait de te branler à ce moment là... sinon, j'aurais pensé t'avoir choqué, je ne t'aurais pas invitée et ce soir, tu n'aurais pas connu ma queue ». Elle continua à rire, mais un peu jaune ((remise à sa place aussi... comme quoi, c'était possible et je reprenais enfin un peu l'ascendant verbal)). « Bon, puisqu'on en parle... si tu me la présentais » dit-elle. Elle s'est alors levée, s'est mise face à la table, a retroussé sa jupe et a posé ses mains sur la table et se cambrant. images similaires « J'attends » dit-elle d'un ton autoritaire. ((Toi ma fille, tu va arrêter de me mener par le bout du nez))... Je me suis donc levé, mon épieu bien bandé sortait toujours de mon pantalon.je me suis placé derrière et je me suis planté en elle jusqu'à la garde, en un seul coup de reins. images similaires Faisant la fille décontractée et pas du tout intéressée par ce qui lui arrive, elle a pris sa fourchette et a commencé à manger pendant que je la prenais. Elle n'a pas fait la maline très longtemps. Mes coups de queue étaient bien ajustés et elle n'est jamais parvenue à mettre la troisième fourchette en bouche. Son plaisir montait et elle a rapidement joui une première et une deuxième fois sans que je ne diminue la cadence effrénée que je donnais à mon pistonnage. Ha, elle faisait l'innocente, et bien elle allait apprendre à connaître la loi de la chair. Au quatrième orgasme successif, elle me demanda de jouir en elle. Au cinquième, elle m'en pria. Au sixième elle m'implora. Au septième, me supplia. Et c'est seulement à ce moment que je me décidai à lâcher mon sperme en elle, ce qui lui offrit bien évidemment un huitième et, temporairement dernier, orgasme. Quand son gémissement et mon grognement se terminèrent, les deux couples de la tables d'à coté commencèrent à applaudir. « Belle prestation » me dit un des gars. « T'es une belle cochonne » lança la fille au piercing à Valérie. Rassasiés sur le plan cul, pour le moment du moins, nous nous sommes réinstallés à table et avons terminés le repas, en reprenant notre discussion. Après le dessert, pas plus commandé que le reste du repas, qui fut par ailleurs excellent, Valérie me dit : « Il y a encore des surprises, tu vas voir, Li An aime offrir un petit spectacle à ses clients ». L'autre table avait également fini de manger... Il ne faudrait pas attendre longtemps. Et de fait, dans les minutes suivantes, la belle chinoise est revenue dans la salle e portant une chaise assez bizarre et un godemiché d'une taille respectable. Elle a placé son siège de manière à être visible par les deux tables et s'est installée dessus. Valérie m'a expliqué qu'il s'agissait d'une chaise spéciale, permettant à une femme d'avoir une position idéale (le dos en arrière, les cuisses bien écartées) pour se masturber, que ce soit à la main ou avec un accessoire. C'est chinois. images similaires Lî An avait gardé sa robe et pour le moment, caressait son sexe à deux mains, passées de chaque coté par les longues fentes. La vision était dès lors plus suggérée que visible, mais bigrement excitante quand même, le retour de la robustesse de ma queue l'attestait. A l'autre table, les femmes branlaient les hommes qui caressaient les femmes. Sans que je comprenne bien comment, la robe de Lî An se retrouva au sol, alors qu'elle se saisissait du gode qu'elle avait amené tout à l'heure. Commença alors un show de masturbation avec accessoire dont, à mon avis, seules les asiatiques ont le secret. images similaires Li An subjuguait son assemblée en manipulant avec brio le stick entre ses cuisses, tantôt calmement, tantôt rapidement. Elle l'entrait et le ressortait de son con, le léchait de manière vicieuse avant de le replonger plus profondément encore dans ses entrailles. Valérie avait relevé sa jupe et se malaxait la chatte avec une cadence fort proche de celle de Lî An. L'autre table avait passé la vitesse supérieure et les filles chevauchaient maintenant les hommes, assis sur leurs chaises. Ils étaient tous les quatre à poils. images similaires Quant à moi, j'étais le seul à ne pas... mais...mais si... j'étais en train de me branler. J'étais impressionné par le pouvoir hypnotique de la « danse » de Lî An. J'avais pris mon sexe j'avais commencé à l'astiquer sans même m'en rendre compte. Valérie poussa un gloussement... Elle venait de jouir. Elle porta deux doigts luisant de sa propre mouille à sa bouche est les lécha consciencieusement. images similaires Lî An me regardait maintenant droit dans les yeux, son corps s'est raidit et elle a laissé échapper un long feulement de plaisir. Un orgasme qui l'a envahi et l'a fait frémir des pieds à la tête. Mais durant tout le temps qu'a duré sa jouissance, elle ne m'a pas quitté des yeux et ce regard provoquait en moi une excitation intense. images similaires Elle me fit signe de la tête, ainsi qu'a Valérie, de venir la rejoindre. Elle a installé Val sur la chaise après l'avoir complètement déshabillée puis s'est placée, à quatre pattes entre ses jambes et à commencé à lui lécher le sexe. Elle me fit signe de la main de la prendre par derrière. A l'autre table, les filles étaient maintenant couchées sur le dos sur la table est les mecs, debout, avaient plantés leurs queues en elles. Ils avaient échangés leurs partenaires. Il devenait temps que je prenne un peu part à cette joute. Je me suis donc déssappé totalement (j'étais le seul encore habillé) et puisqu'elle me le demandait, j'ai plongé mon sexe dans celui de Lî An. Il était chaud, humide et accueillant. Juste dimensionné à la grosseur de mon vît. Un régal. Et vu l'ardeur redoublée des coups de langue sur la chatte de Val, Une autre se régalait. J'effectuais de lentes allées et venues, sortant complètement ma queue, gardant juste un effleurement entre le bout de mon gland et ses lèvres vaginales, puis je m'enfonçais le plus loin possible en elle, avec une lenteur mesurée. Ce traitement semblait la rendre folle. Elle remuait du cul pour que j'accélère le mouvement mais je gardais ce train de sénateur, tout en profondeur. ((Tu vas vois ma jolie, les européens aussi ont leurs astuces sexuelles pour faire chavirer leurs partenaires)). A chaque fois que mon gland touchait la paroi du fond de son vagin, elle gémissait plus fort. Jusqu'à arriver à des petits cris puis au même feulement de plaisir que tout à l'heure. Cette garce jouissait. Valérie l'accompagna dans ce qui devait être son quinzième orgasme de la soirée. A la table des quatre, les filles étaient maintenant retournées, à plat ventre sur la table, les jambes posées au sol. Face à face. Elles s'embrassaient à pleine bouche pendant que les gars, qui avaient de nouveau inversés leurs partenaires, les sodomisaient en cadence. images similaires Lî An, dégagea ma bite de son con, me la pris en main et la guida d'autorité vers la chatte de Val en me disant « Baise-là. C'est pour elle que tu es là, après tout. ». Puis elle s'est dirigée vers la table des quatre. Avant que je ne puisse m'introduire en elle, Valérie dit « non, pas comme ça ». Elle s'est alors dégagée de la chaise « sex made in china » et s'est mise à quatre pattes, par terre. « Prend-moi par derrière » dit-elle. Je me retrouvais donc, une nouvelle fois ce soir, à levretter. images similaires Le gode de Lî An traînait par terre. Valérie l'a attrapé et me l'a donné puis a salivé sur son index et son majeur et s'est mouillé le bouton de rose. Puisque c'était son souhait et tout en continuant mes va-et-vient en elle, j'ai introduit, avec le plus de délicatesse possible, l'ustensile entre ses fesses. Etonnamment, son cul semblait aspirer l'engin tant son trou se dilatait vite. Elle était complètement partie, marmonnant des mots à la limite du vulgaire, pendant que je la limais doublement. Lî An, à l'autre table, recevait elle aussi les honneurs d'une double pénétration. Elle s'était empalée par le cul sur un des gars et l'autre la prenait par au dessus. images similaires A coté, les deux filles s'offrait un 69 qui semblait presque trop sage au vu des prestations du reste des convives de la soirée. images similaires Valérie était une vraie fontaine sans fin. Je sentais sa propre mouille couler le long de mes cuisses, tant elle en déversait sur mon vît et mes couilles. Le phallus artificiel montait et descendait dans son conduit anal, sans aucune difficulté et Valérie hurlait des « encore... encore ». Je n'en pouvais plus. Je voulais jouir, et que Val s'en souvienne. Je lui ai planté le gode au plus profond possible, provoquant chez elle un spasme de surprise et, le laissant bien en place, j'ai placé mes mains à sa taille et j'ai augmenté considérablement la vitesse et la profondeur de ma pénétration, la tirant vers moi tout un poussant du bassin. J'ai tenu moins d'une minute avant d'exploser... et de faire jouir une dernière fois Valérie... Mais quelle fois... Elle a hurlé quand ma semence brulante s'est déversée en elle. Un pur cri de plaisir. Un cri qui dura longtemps. Quel bonheur de satisfaire une fille de la sorte. images similaires L'orgie touchait également à sa fin chez les autres clients. Lî-An était à genou et présentait sa bouche grande ouverte aux bites des deux mecs, branlées par leurs femmes. Ils ouvrirent les vannes à la même seconde, et les filles faisaient de leurs mieux pour guider les jets puissants vers la bouche de Lî-an, qui se remplit rapidement de foutre. Une fois la douche terminée, elle avala le tout d'un air gourmand, pendant que les deux autres filles recueillaient les dernières gouttes au bout des glands. Quelques minutes plus tard, Valérie s'était levée et rhabillée. Elle me dit alors, de son air taquin que je commençais à connaitre : « ce fut un plaisir de manger avec toi ... je te propose de prendre un dernier verre chez moi ? J'ai très envie de faire l'amour ». ((Mais quelle salooooooope)).

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