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Legul
21 mai 2023
L'anti-stress - 10

Laissant Julie seule sur le balcon, je récupérai rapidement mon pantalon et allai retrouver Emilie dans son bureau. Elle était en larmes, en train de se rhabiller.

- Emilie, il se passe quoi, là, demandais-je étonné par la violence de sa réaction et par ses larmes qui me bouleversaient.
- Vous vous êtes bien foutue de ma gueule !
- Absolument pas !
- Ah oui ? Vous couchez ensemble depuis des semaines et je suis sûr que c'est toi qui as fait en sorte que Julie nous découvre. Tu voulais juste avoir deux maitresses, en fait. T'es un connard !
- Oui c'est moi qui ai organisé ce plan, je suis désolé. Je voulais te parler de ma relation avec Julie sans te blesser et j'ai pensé que cette façon de faire était judicieuse. Mais je me suis gouré, je suis vraiment désolé !
- Je n'arrive pas à croire que tu sautes Julie qui n'est là que depuis quelques mois et pas...
- Et pas quoi ?
- Rien, laisse tomber.
- Et pas toi ?
- Oui ! Et pas moi, voilà ! Je vois bien qui est ta préférée, c'est clair !

Je dus m'assoir sur une chaise pour continuer la conversation tant je ne comprenais pas ce qui se passait.

- Attend Emilie, c'est toi qui a toujours mis cette limite.
- Mon cul ! Comme si les limites te posaient problème ! « Pas de baiser, Julien »... Mais monsieur me roule des pelles. « On ne touche pas, Julien »... Mais monsieur me doigte dès qu'il en a l'occasion... etc. Tu n'as pas arrêté de franchir ces limites et j'ai toujours été d'accord. Mais depuis que Julie est là, c'est comme si je ne comptais plus. Je ne comprenais pas pourquoi mais si elle te laisse l'enculer, alors forcément elle a des arguments !
- Emilie, je ne veux pas te délaisser et Julie n'est pas ma préférée, je te le promets ! C'est juste que Julie est célibataire et, clairement, elle était... très demandeuse. C'est juste plus facile, avec elle. Mais je ne peux pas te laisser dire que tu ne comptes pas pour moi, tu sais que c'est faux !
- Et pourtant, je suis la couillonne à qui on a caché la vérité.
- Emilie, je ne comprends pas... Pourquoi tu pleures ? Pourquoi tu es jalouse ? Pourquoi tu m'en veux de coucher avec Julie ? On est pas mariés !
- T'es trop con, en fait...
- Alors explique-moi si je suis trop con, merde !
- Je chiale comme une connasse d'ado parce que... Parce que je pensais tout maîtriser comme une grande, pouvoir gérer mon couple d'un côté et toi de l'autre... Mais je viens juste de comprendre que je suis amoureuse de toi, abruti, et que je crève de jalousie de voir votre complicité et d'en être exclu !!
- Tu... tu es amoureuse du moi ?
- Et si je ne voulais pas coucher avec toi, c'était pour éviter justement de tomber amoureuse, pour éviter de foutre en l'air mon couple et le tien. Mais, voilà, c'est comme ça...
- Emilie, tu fais vraiment chier !
- Hein, moi je fais chier ??

Je me précipitai alors sur Emilie et la plaquai contre le mur de son bureau. Ce geste brusque pétrifia ma collègue qui resta bouche bée, des larmes encore en train de couler sur ses joues.

- Oui tu fais chier parce que je ne comprenais pas pourquoi tu t'éloignais de moi et que ça me rendais malade. Tu fais chier parce que ça fais des mois que je crève d'envie de te baiser et que je pensais que c'était un refus non négociable pour toi. Et surtout, Emilie, tu fais chier parce que ça fait des semaines que j'hésite à te dire que je suis dingue de toi. Bref, tu fais chier d'avoir gardé tout ça pour toi et qu'on ait perdu tout ce temps !

Le visage d'Emilie s'était progressivement éclairé tandis que je me livrais à elle et, bientôt, un large sourire de soulagement et de joie intense l'illuminait.
- Tu es dingue de moi ?
- Oui...
- Sois plus explicite, chef.
- Je t'aime.

Je l'embrassai sur le coup, fougueusement. Elle répondit immédiatement à mon baiser alors que je lui enlevais sa robe et la prenait dans mes bras pour l'allonger sur le bureau.



Je n'avais ni l'envie ni la patience pour des préliminaires. Cela faisait des mois que je rêvais de ce moment, de cet instant où je pourrais enfin pénétrer Emilie. Sans attendre une seconde, j'enfonçai mon sexe dans sa chatte et découvrit avec bonheur qu'elle était trempée, bouillante.
Mes premiers coups de boutoir furent brutaux, puissants, à la mesure de la passion qui nous animait à ce moment précis. Emilie criait de plaisir à chaque fois que ma queue entrait en elle de toute la longueur.



Le bureau, quelque peu branlant, n'allait pas résister longtemps à ce rythme. Je retournai donc Emilie pour la prendre en levrette. Le rythme était toujours aussi intense et, alors qu'Emilie posait une main sur mes hanches, je crus qu'elle voulait que je ralentisse.



Mais en réalité, l'orgasme montait en elle et elle me supplia de continuer, d'accélérer. Ce que je fis avec plaisir, finissant par la faire jouir, pour la première fois, avec ma bite.



Les cris, les gémissements, le tremblement des meubles devaient forcément s'entendre dans tous le bureau et je vis logiquement Julie apparaître dans l'encadrement de la porte du bureau d'Emilie. Elle était nue, et souriait :

- Vous êtes réconciliés, on dirait ! Tant mieux...
- Oui, Julie, tout va bien. Mais... est-ce que ça te dérangerait de nous laisser ? S'il te plait ? répondis-je en espérant sincèrement ne pas vexer ma belle collègue.



- Non Julien, c'est bon, elle peut rester, m'interrompit Emilie en s'accroupissant devant moi pour me sucer.



- Tu es sûre, Emilie ? demanda alors Julie, étonnée.
- Oui, je veux que tu restes. Je suis désolée d'avoir été jalouse et ça n'arrivera plus. Nous en sommes maintenant au même stade avec Julien... Mais j'ai besoin que tu me voies en train de le baiser comme moi je t'ai vu tout à l'heure. J'espère que tu comprends.
- Tout à fait... Vas-y, grimpe sur sa queue et amuse-toi ma chérie !

Emilie, évidemment, ne se laissa pas prier. Elle m'assit sur une chaise et s'empala sur ma queue lubrifiée par sa salive. Cette précaution, cependant, était inutile car Emilie était toujours aussi trempée et chaude.



Dans cette position, je pouvais moins facilement gérer la pénétration et c'est donc Emilie qui, à son rythme, s'empalait sur moi, tantôt rapidement, tantôt plus lentement. Je l'aidais cependant avec mes mains sur ses hanches et, parois, m'amusais à la descendre d'un coup pour lui enfoncer profondément ma queue, ce qui lui arrachait des cris gémissant de plaisir.

- Il baise bien, hein ? demanda Julie à Emilie
- Oh oui, putain... pourquoi ai-je refusé cela aussi longtemps ? C'est tellement bon, je crois que je vais encore jouir...



- Tant mieux, ma belle ! Je... je vais vous laisser tranquille, c'est un peu dur pour moi de rester là à ne rien faire... déclara, tête baissée, Julien. Je serai sur le balcon, si ça vous dit, ajoutât-telle enfin en s'éloignant de la porte.



- Julien, attend... On... commença Emilie avant que je l'interrompe en plaçant ma main sur son clitoris pour la masturber tout en la baisant.

Elle ne pût terminer sa phrase car, prise par la montée fulgurante d'un nouvel orgasme, elle ne pouvait que gémir de plaisir et me réclamer de continuer.

- Continue Julien, je t'en supplie ne t'arrête pas.... Oh putain encore, ça vient.... Aahhhhhh !!

Emilie venait de jouir une seconde fois et restait là, assise sur moi, comme abasourdie par cette nouvelle vague de plaisir.



Puis, après avoir repris son souffle, Emilie continua sa précédente phrase :

- Je me sens mal pour Julie...
- C'est tout l'effet que mes orgasmes te font ?
- T'es con ! C'est justement parce qu'elle est toute seule là-bas que moi je suis là en train de prendre mon pied que je me sens mal. On la rejoint ?
- Oui, moi aussi je n'ai pas envie de la laisser à l'écart.

Main dans la main, Emilie et moi sortons donc du bureau pour retourner sur le balcon de notre bureau. Ma collègue resta nue pour déambuler dans le couloir tandis que je remis mon pantalon, resté sur mes chevilles depuis le début de ma séance de sexe avec Emilie.

Sur le balcon, orienté vers la forêt et parfaitement tranquille, Julie nous attendait sur une chaise de jardin. Elle observait la nature devant elle, les cheveux délicatement caressés par un léger vent de ce mois de septembre, si beau et chaud.

Quand elle nous vit arriver, son visage s'illumina d'un grand sourire et elle vint nous prendre dans ses bras et nous embrassa.

- Occupe-toi de lui, ma pauvre chatte a besoin d'une pause, déclara Emilie en se mettant sur le côté.

Julie se jeta alors sur moi et sorti ma queue encore bandée de mon pantalon pour me sucer. Emilie, en nous regardant, commença à se caresser doucement, une jambe posée sur la table de salon du balcon.



- Mmhh sa bite à un gout exquis aujourd'hui ! commenta Julie en regardant Emilie. Ce ne serait pas le bon gout de ta chatte, par hasard ?
- Possible... Je ne me suis jamais « goutée », en même temps...
- Ça peut s'arranger, déclara la belle blonde en allant embrasser la belle brune.



En voyant ainsi mes deux collègues s'embrasser, l'une en train de se caresser, l'autre en ayant le cul tendu, je ne peux résister à la tentation d'y ajouter mon grain de sel. Je retirai, enfin, mes vêtements et pénétrai d'un coup Julie en gémit de surprise et de plaisir.

- Si sa chatte a si bon gout, pourquoi tu n'irais pas gouter directement à la source ? proposais-je à Julie en prenant sa tête pour l'inviter à lécher Emilie.



Pour la première fois de ma vie, je voyais une femme lécher le sexe d'une autre. Pour la première fois de ma vie, je baisais deux femmes en même temps. Cette première fois pour Emilie, Julie et moi fût extraordinaire et j'en ai conservé le moindre souvenir.

Je laissai, pour commencer, Julie lécher à sa guise Emilie qui en gémissait de plaisir. Je n'osais pénétrer la belle blonde trop violement afin de ne pas la faire bouger tandis qu'elle dévorait le clitoris d'Emilie. Mais je finis tout de même par céder à la tentation d'accélérer le rythme. Je pris donc Julie par les hanches et la plaça sur le fauteuil de jardin, toujours à quatre pattes.

Je pus alors la défoncer à ma guise, lui arrachant des cris de plaisir à chaque coup de boutoir. Emilie, abandonnée, vint se placer face à moi et m'embrasse langoureusement :

- Alors, ça fait quoi d'avoir deux salopes rien que pour toi ?
- Je suis un homme comblé !
- Et un chef comblé également ! Car tu pourras profiter de nous aussi souvent que tu le voudras au bureau.



Puis Emilie s'accroupit face à Julie et l'embrassa à son tour en demandant :
- N'est-ce pas que nous sommes ses petites salopes personnelles, à notre chef préféré ?
- Oh oui... de belles salopes... Mais je peux être aussi ta salope si tu veux... Je vous veux tous les deux, maintenant !
- Quelle perspective intéressante ! Hein Julien ?
- Très !
- Tu m'autorises à t'emprunter le chef un moment, Julie ?
- Oui vas-y, ma chatte a besoin d'une pause de toute façon... Il est très bourrin aujourd'hui !



Je m'assis donc sur le fauteuil libérant au passage Julie et accueillis Emilie qui vient aussitôt m'enfourcher. Les filles étaient déchainées et ne me laissaient aucun répit. Elles-mêmes ne se ménageaient pas puisque qu'à peine Emilie s'enfonçait sur ma queue que Julie lui sauta dessus pour lui rouler des pelles et la masturber.



Je sentis, à l'intensité de ses gémissements, qu'Emilie adorait cette double stimulation. Julie, dont j'ignorais l'habileté à faire jouir une femme, se montrait experte dans l'art d'alterner entre la chatte d'Emilie qu'elle léchait et ma queue qu'elle pompait.



Comme possédée, elle se plaça ente mes jambes et goba mes couilles pendant que je continuais de baiser Emilie. Elle me lécha même l'anus et brouta si bien notre belle collègue qu'elle finit par la faire jouir pour la troisième fois aujourd'hui.



Moi-même je n'en pouvais plus. Cela faisait plus d'une heure que la séance avait commencé, certes avec une scène de ménage en plein milieu. Mais baiser, lécher, embrasser et se faire sucer ainsi par deux déesses finissait par mettre à mal mes capacités d'endurance. Je me mis même à penser à mes dossiers pour éviter de cracher la purée trop tôt, alors que mes couilles étaient aspirées dans la bouche de Julie.

L'orgasme d'Emilie m'offrit heureusement une pause. Elle se leva de moi tout en gémissant et se plaint que sa chatte était en feu ! Mais, sans pitié pour moi, elle invita aussitôt Julie à prendre sa place sur ma queue. Cette dernière s'exécuta évidemment avec plaisir et, bientôt, ce fut au tour d'Emilie de la masturber et de la faire jouir de ses doigts experts.



Je n'en pouvais plus et l'orgasme de ma deuxième collègue m'offrit enfin le droit de jouir, à mon tour ! Epuisé, je laissai mes deux maîtresses s'occuper de moi pour me finir. Elles me sucèrent encore langoureusement, ralentissant la cadence dès que je leur demandais de continuer, histoire d'user de moi jusqu'au bout !



Énervé autant qu'amusé par ce comportement, je jouai le jeu du patron macho en plaquant les deux filles de part et d'autre de ma bite et en me branlant avec leurs lèvres. La sensation était divine et, cette fois-ci, m'acheva pour de bon.



Je jouis dans les deux bouches ouvertes de Julie et d'Emilie qui m'accueillirent évidement avec plaisir.



Puis elles s'embrassèrent pour partager mon sperme et continuèrent au point de ne plus faire attention à moi.



Épuisé, je m'avachis dans le fauteuil en les observant. Mes deux collègues, magnifiques physiquement et humainement, amoureuses ou accro à moi autant que je l'étais d'elles, s'embrassaient pour profiter de ma semence. Et le tout sur mon lieu de travail, devenu un paradis sur terre après avoir été un véritable enfer.

J'avais devant moi le plus beau, le plus efficace anti-stress que l'on pouvait rêver et, pourtant, j'avais le sentiment que je n'en aurais plus besoin. J'étais le plus heureux des hommes avec Emilie et Julie.

Fin

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