Legul
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27 avril 2023
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Durant 2 semaines, en effet, nous nous sommes bien amusés ! Mes deux collègues, en professionnelles rigoureuses, ont organisé leurs journées de manières à pouvoir abuser de moi tout en essayant de respecter une certaine intimité pour l'une et l'autre. Mon propre agenda devenait secondaire et mon travail, s'il entrait en conflit avec les envies d'une de ces dames, devait attendre !
Emilie se mit à s'habiller de manière plus sexy, n'ayant plus de raison d'essayer de rester discrète. Ses robes devinrent toujours plus légères et ses sous-vêtements, de plus en plus rares.

Lorsque c'était à son « tour » de s'occuper de moi, Julie lui laissait en général son bureau et Emilie, professionnelle accomplie, se changeait alors en secrétaire soumise.

Et moi, et bien je me changeais en patron dominateur et pervers qui profitait sans vergogne de cette jalousie qu'Emilie éprouvait envers ma relation avec Julie.
- Alors, elle suce aussi bien que moi, Julie ? me demanda-t-elle un jour.
- Non, tu es bien meilleure qu'elle dans ce domaine ! lui répondis-je sans mentir en faisant entrer et sortir toute ma queue de son gosier.

Mais malgré cette jalousie, les gorges profondes, les cunnilingus, les 69 et les caresses mutuelles, je ne parvenais toujours pas à trouver la faille qui m'aurait permis de baiser Emilie. Jamais alors elle ne me le proposa et je n'osai saisir les rares « fenêtres de tir » qui me furent offertes. Comment aurait-elle réagit en me sentant la pénétrer sans m'être assuré d'abord de son adhésion ? Je me plaisais à croire qu'elle en brulait d'envie, comme moi, mais je ne préférai alors pas courir le risque.
Je me consolais donc sur Julie qui, certes, suçait un peu moins bien qu'Emilie mais acceptait, par contre, à peu près tout ce que je lui proposais et, pour mon plus grand bonheur, adorait ça.
Elle me suçait aussi souvent que j'en avais envie...

... Elle devenait presque aussi accro à la sodomie que moi...

... et acceptait toutes mes excentricités, comme le fait de lui enfoncer un joli mais volumineux plug anal.


Ce plug, commandé discrètement sur internet, devint rapidement le jouet favori de Julie qui accepta évidemment de le porter au bureau lorsque je le lui « ordonnais » mais qui finit par le porter d'elle-même presque tous les jours.

Cependant, le travail de bureau continuait de devoir être fait et les agendas des uns et des autres étaient parfois contraints. Si bien que malgré nos efforts pour garantir l'intimité de chacun, il était courant que l'une se fasse surprendre par l'autre pendant une séance de « déstressage ».
La première à s'être fait surprendre fut Julie alors que son visage et sa poitrine venaient de recevoir ma semence. Elle était bizarrement assez gênée d'avoir été vue dans une telle situation et me demanda, une fois Emilie partie en s'excusant du dérangement, ce qu'elle allait penser.

- Tu parles de la faciale ? lui demandais-je
- Oui... j'ai un peu honte, elle va se dire que je suis une salope.
- Alors rassure-toi, Emilie est coutumière de cette pratique et elle ne va pas te juger.
- Ok, ouf !
- De plus, je précise : tu es une salope, Julie.
- Dis ! Je ne te permets pas...
- Tu portes ton plug ? la coupais-je soudain.
- Oui, toujours !
- Ça ne te gêne pas ?
- Non, je m'y suis fait. Je dirais même que j'aime bien ! Et comme ça mon petit cul est toujours prêt à te recevoir pour....
Julie s'interrompit alors en me voyant sourire et en se rendant compte de ce qu'elle venait de dire.
- Ok, je vois où tu veux en venir... Je suis une salope, c'est clair !
Cette première interruption fût évidemment suivie d'autres à mesure que la discrétion des premiers jours disparaissait. Emilie fût à son tour surprise par Julie qui s'excusa platement mais cela ne dérangea pas le moins du monde ma collègue qui, entièrement nue, continua sa besogne.

Rapidement, toute volonté de discrétion et d'intimité s'évanouit et mes deux collègues se voyaient ainsi régulièrement en action, nues ou en sous-vêtements, et parlaient ouvertement, durant les pauses, de l'organisation pour se répartir les créneaux pour mes pipes anti-stress. Et bientôt, Julie ne sortait même plus de mon bureau quand Emilie venait m'y sucer et me passait même des appels, comme si de rien n'était.

Par ailleurs, ni Emilie ni Julie ne s'embêtaient plus pour se changer avant d'aller sur le terrain. Les vestiaires ne servaient plus à rien et mes collègues se déshabillaient et se promenaient à poil autour de moi presque quotidiennement. Il y avait une sorte de concours à celle qui m'allumait le plus ou se promenait le plus à poil


Et à ce jeu-là, Julie était la plus forte. Sans compagnon à la maison et avec un fils présent une semaine sur deux seulement, Julie avait un avantage certain sur Emilie qui, elle, avait un couple à préserver. En général, je baisais Julie en fin de journée, alors qu'Emilie était rentrée chez elle. Et même si elle ne savait pas spécialement ce qui se passait lorsqu'elle quittait le bureau, le fait de nous laisser seuls lui pesait de plus en plus. Elle ne me parlait qu'à demi-mot de cela, mais sa jalousie se décelait facilement.
Un jour, alors que Julie me suçait au bureau, Emilie entra dans la pièce et dit :
- Désolé de vous déranger mais Julien et moi avons un rendez-vous à l'extérieur bientôt. Il faut un peu te presser, Julie... déclara-t-elle visiblement contrariée de nous voir encore en pleine action.
- Mais on vient de commencer ! Et comme le chef a l'air très stressé, je me vois mal arrêter maintenant et le laisser dans cet état...
- Je suis d'accord, ce serait méchant de me laisser comme ça ! ajoutai-je sans savoir en réalité les conséquences de cette phrase.

Emilie entra alors dans le bureau et, alors que je croyais qu'elle allait m'arracher à Julie, elle s'agenouilla à côté de celle-ci qui se demanda ce qui se passait. Emilie posa sa main sur la tête de Julie pour l'inviter à reprendre la fellation puis déclara :
- Si le chef est très stressé, on peut peut-être s'y mettre à deux, non ?

Puis, tandis que Julie avait recommencé à me sucer, Emilie me regarda et me demanda :
- Ça ne te dérange pas, chef, si j'aide un peu Julie ?
- Pas du tout ! Et tu as raison, on est pressé, alors allez-y !
Emilie commença donc à donner des coups de langues le long de ma queue pendant que Julie s'occupait de mon gland.

Puis elles échangèrent de position, Emilie reprenant ma queue en bouche et Julie s'occupant de mes testicules.

Le plan d'Emilie pour accélérer le mouvement marcha à merveille. C'était la première fois que je me faisais sucer par deux femmes en même temps, deux superbes femmes et expertes en la matière, qui plus est. Je ne pus donc pas résister bien longtemps et je me vidai sans prévenir dans la bouche d'Emilie qui m'accueillit sans broncher et avala ma semence.
- Allez, au boulot maintenant, conclut-elle en se relevant.
- Hey !! Tu aurais pu m'en laisser ! s'exclama Julie, en jouant les outrées.
- Tu voulais y gouter ? Pas de souci...
Emilie attrapa alors Julie par les hanches et lui roula une grosse pèle baveuse. Julie garda d'abord les yeux ouverts, interloquée par ce baiser, puis se laissa aller et répondit même passionnément aux roulages de langue d'Emilie.

- Putain c'est chaud... commentais-je à voix basse pour ne pas briser le charme.
Puis Emilie rompit le contact, déposa un dernier bisou sur les lèvres de Julie, visiblement émue, puis un autre bisou sur mes propres lèvre et remonta ma braguette que je n'avais pas encore fermé.
- C'est bon, on peut y aller maintenant ?
La scène qui venait de se passer sous mes yeux était incroyable. Mes deux collègues venaient de me sucer ensemble et s'étaient embrassées passionnément. Jamais je n'avais osé imaginer que ce genre de chose pouvait m'arriver. Cette action permis à Emilie de reprendre l'ascendant. Elle avait montré à Julie qu'elle aussi pouvait être une chaudasse et lui avait imposer une forme de relation qu'elle maîtrisait (elle avait déjà eu une expérience avec une autre femme) au contraire de Julie. De mon côté, cela me plaisait qu'Emilie reprenne l'initiative et je m'imaginais déjà les séances de fellation et, qui sait, de baise à trois !
De fait, mes deux collègues devinrent bien plus complices après cette première expérience à trois. Mais contrairement à ce que j'avais espéré, elles ne devinrent pas soudainement, par miracle, bisexuelles ! La semaine suivante, j'eu simplement droit à une nouvelle pipe en duo mais les contacts entre Julie et Emilie restèrent sages, se limitant à des baisers et quelques caresses.

La semaine suivante, je crus que nos partie à trois allaient prendre une tournure plus intense encore lorsque je vis Emilie et Julie, nues, se diriger vers le balcon ensoleillé et heureusement discret de nos locaux en m'y invitant pour une pipe en extérieur.

Et alors qu'Emile était en train de s'occuper divinement de moi, Julie, à côté de moi en train de m'embrasser, se leva et m'enjamba le visage et dit en direction d'Emilie :
- Ça ne te dérange pas si je réclame ma dose d'orgasme au chef ?
Emilie fit « non » de la tête sans lâcher mon sexe et Julie approcha alors sa chatte de mon visage pour m'inviter à la lui lécher. Très excité, je m'exécutai sans me rendre compte que la situation allait dégénérer.

En effet, alors qu'il me semblait pourtant lécher Julie de manière efficace, celle-ci affirma qu'elle avait envie de plus. Elle se positionna donc au-dessus de mon sexe, exigea qu'Emilie « le lui prête » et s'empala d'un coup sur ma queue. Et alors que Julie poussa un long gémissement de plaisir, Emilie se recula, choquée et s'exclama :
- Putain, c'est quoi ce délire ?
Moi-même je restai figé devant la « boulette » que Julie venait de faire. Mais celle-ci, ne comprenant pas le problème, ajouta :
- Quoi ? Tu préfères m'enculer ? Pas de souci chef !

- Mais vous êtes sérieux, là ?? cria alors Emilie. Vous baisez ensemble !?!
- Bah, toi aussi, et depuis plus longtemps que moi, ma grande ! répondit Julie.
- Mais... non ! Pas du tout ! Je n'ai jamais baisé avec Julien !
- Quoi ? Mais, attend... Ah mais tu ne rigolais pas, Julien ? Ce ne sont vraiment que des pipes, entre vous ?
- Attend, tu étais au courant pour nous depuis quand ? Et depuis combien de temps vous couchez ensemble, en fait ? Putain, vous vous foutez de ma gueule depuis des mois en fait !! se rendit compte Emilie en se prenant la tête dans ses mains.
Elle se releva alors, en furie, et quitta le balcon. Je dis à Julie, qui semblait très embêtée :
- Je te l'avais dit, putain ! Emilie et moi on ne couche pas ensemble !
- Comment je pouvais le savoir ?? On s'envoie en l'air tout le temps et sans faire attention à Emilie ! Je ne comprends même pas comment elle ne nous a pas déjà vus en train de baiser...
Il était vrai que la situation devait être floue pour Julie. Depuis qu'elle avait découvert ma relation avec Emilie, et que j'avais tout avoué à propos des pipes « anti-stress », nous n'avions guère ré-évoqué cela ensemble. De fait, elle était restée dans sa tête sur une version où je ne lui disais pas toute la vérité. Et il se trouve que les 2 fois où Emilie et Julie s'étaient occupées de moi, nous n'avions pas eu l'occasion d'aller plus loin qu'une simple pipe. Idem pour les fois où Emilie nous avais surpris, il ne s'agissait que de pipes et je réservais évidemment les séances de baise et de sodomie pour les fins de journée, après le départ d'Emilie.
Je ne pouvais donc guère en vouloir à Julie et ne pouvait m'en prendre qu'à moi-même. Il fallait que j'essaie de rattraper le coup.
Il le fallait absolument.
A suivre...
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