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Angela - épisode 1 : Cap au Sud ! Pour mes 22 ans, mes parents m'ont offert des vacances dans le Sud. Comme j'étais avec Luc depuis maintenant plus de trois ans, ils nous considéraient comme un couple à part entière et nous faisaient confiance. Luc s'amusait même à les appeler "beau-papa" et "belle-maman". Le budget alloué était conséquent et cela permettait de m'offrir une prestation luxueuse, loin des campings ou des chambres chez l'habitant que nous avions l'habitude de partager quand nous partions en vacances avec mes parents. Très excitée à l'idée de m'offrir des vacances de nantis, j'avais aussitôt mené des recherches sur un site d'annonces en ligne et avait trouvé mon bonheur : grande villa de 200m² avec piscine, donnant directement sur la mer avec l'accès à une petite plage. Les photos étaient somptueuses et, sans trop y croire, j'avais aussitôt envoyé un mail pour faire la réservation en espérant que la location serait disponible pour l'une des deux semaines de vacances de Luc, puisqu'il travaillait presque tout l'été pour pouvoir financer une partie de ses études (ses parents étant moins à l'aise financièrement que les miens). La réponse, positive, était tombée dès le lendemain et, avec toute la retenue qui le caractérise, Luc avait exprimé sa satisfaction. Son manque d'enthousiasme était frustrant, mais pas surprenant. Au moins, il n'était pas contre ! Et de toute façon, c'était mon cadeau d'anniversaire, il n'avait donc pas son mot à dire. Il avait néanmoins accepté de prendre le volant et avait tenu à être le seul à conduire, ponctuant les longues heures de trajet vers le soleil par plusieurs haltes sur des aires d'autoroute, afin de ne pas jouer avec la fatigue. J'ai l'air d'être agacée par le comportement de Luc, mais ce n'est pas réellement le cas. Je suis éperdument amoureuse de lui et je pense qu'il m'aime lui aussi profondément. Je lui cède toutes ces petites manies comme il cède sur les miennes. Nous avons une totale confiance l'un envers l'autre. Samedi 30 juillet 15h58 Nous nous sommes levés tôt ce matin pour être sûrs d'arriver en fin d'après-midi. Nous sommes donc sur la route pour aller vers Biarritz, la route des vacances, de nos vacances. D'après le GPS, il nous reste un peu moins d'une heure de route avant de parvenir à notre lieu de villégiature. Il fait beau, très beau même ! Le soleil cogne dur et l'absence de climatisation dans la voiture nous oblige à conduire avec les fenêtres ouvertes. Le paysage est magnifique. Je commence à vraiment me sentir en vacances. J'ai l'impression que Luc aussi. Je tourne la tête vers lui. ![]() images similaires Il me sourit. - Tout va bien mon amour ? Tu as besoin de faire une pause ? - Oui, une dernière pourrait être utile... J'en profiterai pour boire. On cuit dans cette boîte de conserve ! C'est vrai qu'il transpire un peu et qu'il doit sûrement être fatigué d'avoir conduit toute la journée. - Tu te rends compte. Des vraies vacances de riche, rien que nous deux ! ![]() - Oui, j'espère juste qu'on trouvera à s'occuper. - L'annonce disait qu'il y avait une plage juste à côté et même une piscine. On va en profiter pour ne surtout rien faire ! - Le programme me convient. Tiens ! "Aire de l'Océan Ouest" dans deux kilomètres. Voilà un nom qui sent bon les vacances et ça sent surtout la pause rafraîchissement. - Super ! J'étouffe, moi aussi ! - Faut dire que tu aurais peut-être pu te passer de soutif, tu aurais eu moins chaud... Luc tire sur le décolleté de mon débardeur pour jeter un œil à mon soutien-gorge qu'il trouve superflu. ![]() Cela n'est pas la première fois que Luc me fait part de son fantasme de me voir déambuler sans soutien-gorge. Il a déjà l'occasion d'en profiter quand je suis en pyjama ou en nuisette, mais je n'ai jamais osé m'en passer en journée, mes seins étant un peu gros et j'ai peur que cela fasse vulgaire. - Tu sais que c'est important que je porte un soutien-gorge si tu ne veux pas que mes seins s'affaissent avec le temps. ![]() Luc sourit. Il semble content qu'on aborde le sujet (la plupart du temps, je lui oppose un silence farouche) et qu'il puisse avancer ses arguments : - Je te l'ai déjà dit : les seins en gants de toilette, c'est si tu ne t'entretiens pas et que tu ne les muscles pas. Mais si tu les libères, compte sur moi pour les solliciter afin qu'ils gardent toute leur fermeté. Le soutif qui empêche les nichons de s'affaisser, c'est une légende pour faire acheter de la lingerie. - N'empêche que ça me gêne. J'aurais l'impression d'être à poil. - Si tu savais comme j'aimerais pourtant... - Tu en vois déjà pas mal avec ce débardeur, non ? Je tire un peu le décolleté pour qu'il profite du sillon de mes seins. ![]() - Mmmm, oui. C'est vrai qu'il est sympa ce débardeur. Mais il serait encore plus sympa sans soutif dessous. Je m'amuse à serrer mes bras pour faire saillir davantage ma poitrine dans le décolleté. - Sans le soutien-gorge, je n'aurai pas un aussi joli décolleté. ![]() - Détrompe-toi ! Les seins libres offrent des vues magnifiques ! - Dis-donc ! Où as-tu eu l'occasion de te faire cette opinion puisque je mets toujours un soutien-gorge ? - ... Ma question semble le gêner et je pense en déceler la raison : - Ah oui... Angela, c'est ça ? Je tente de sourire, mais parler de son ex est toujours difficile pour moi, même s'il n'est resté que moins d'un an avec elle alors que nous sommes ensemble depuis 3 ans. ![]() images similaires À ce que j'ai pu comprendre du peu qu'il a bien voulu m'en dire, ils sont sortis ensemble durant sa dernière année de Lycée. Luc en avait été très amoureux et ils se sont quittés après la rentrée suivante, quand les études les avaient conduits à prendre des chemins séparés. Pour moi, ça a été la chance de rencontrer Luc à l'université ! Mais il semble toujours parler d'Angela avec un souvenir ému, comme s'il en était toujours amoureux. Il est vrai qu'elle était apparemment moins coincée que moi. C'était une fille que j'aurais facilement qualifiée de salope. Mais peut-être que Luc aimerait justement que je me montre un peu plus salope. Il n'a pas répondu et je vois comme une certaine nostalgie dans son regard fixé sur l'asphalte de l'A63. J'en déduis qu'Angela ne mettait pas toujours de soutien-gorge, elle... Pour ne pas lui montrer mon trouble, je pianote sur mon téléphone tandis que Luc met son clignotant pour prendre la bretelle de sortie vers l'aire de repos. ![]() Quand nous sommes garés, j'ouvre ma portière en grand, histoire de faire entrer un peu de fraîcheur et je me tourne vers Luc : - Tu bois un coup et tu vas te dégourdir les jambes ? - Oui, et je vais passer aux toilettes. - Ok, je donne un coup de fil au proprio pour lui dire qu'on arrive dans environ une heure. Je lui passe une main dans les cheveux alors qu'il se rince apparemment l'œil sur mes cuisses et dans mon décolleté. Au moins là, il ne pense pas à Angela... ![]() images similaires Pendant qu'il récupère la gourde d'eau à l'arrière de la voiture, je passe mon coup de fil : - Allo ? M. Le Tarin ? - Ah vous êtes la demoiselle pour la villa ? - Oui, c'est ça. - Vous y êtes ? - Non, pas encore. Mais d'ici une heure environ. - Très bien. La maison est ouverte et il y aura le jardinier pour vous accueillir. C'est mon fils qui passera pour l'état des lieux, nous on est trop loin. C'est lui qui gère ça. - Ok, c'est parfait. ![]() - Bonne fin de route mademoiselle. Au revoir. Il raccroche. Je range mon téléphone. Je vois Luc refermer la porte arrière. - Pardon, Juliette, tu voulais sûrement boire aussi... - Oui, mais va aux toilettes. Je sais boire toute seule à mon âge. J'ouvre la portière et je me penche pour ramasser la gourde qu'il avait posée à l'ombre au sol devant la banquette. Je l'entends alors dire : - Oh putain, magnifique ! ![]() images similaires Je me redresse vivement, regardant tout autour de nous, mais, ne voyant rien de particulier, je me tourne vers Luc pour savoir dans quelle direction il regardait et je constate qu'il me regarde avec un sourire stupide : - Eh bien, quoi ? - Quand tu t'es penchée pour récupérer la gourde ! Si tu savais comme ton short met bien en valeur tes fesses. J'avoue que j'ai mis ce short uniquement parce que je savais qu'il allait faire très chaud, mais je ne m'étais pas vraiment rendu compte, avant cet instant, à quel point il était à la limite de la décence. - Idiot ! Tu n'es qu'un pervers. Pour toi, je ne suis donc qu'une paire de seins et une paire de fesses ? ![]() Avec un sourire ravi, Luc me répond : - S'il te plaît, ne m'oblige pas à te dire ce que je pense de cette synthèse... - Pfff, espèce de pervers. - Excuse-moi. Et excuse-moi aussi pour tout à l'heure au sujet de ton soutif. Tu es magnifique et je n'ai aucun droit sur ton corps et ce que tu veux en montrer. Il me sert contre lui, les mains sur mes fesses. Je me love dans ses bras malgré la chaleur moite qui nous fait transpirer et je l'embrasse. ![]() images similaires - Allez, va aux toilettes pendant que je bois. - À vos ordres... Dès qu'il s'éloigne, je m'enferme dans la voiture et, sans retirer mon débardeur, je me contorsionne pour me débarrasser de mon soutien-gorge. Après tout, si Angela le faisait, je peux bien le faire. Ici, personne ne nous connaît et puis il faut bien que j'essaye si je ne veux pas mourir idiote. L'opération "Comme Angela" effectuée, je cache mon soutif sous mon siège. Puis, je me glisse sur son siège pour m'y étendre, mettant mes pieds sur le volant et ouvrant la portière en attendant son retour. Quelques minutes plus tard, il revient, ravi : - Voilà des jambes admirables que je te remercie d'accepter d'exhiber. ![]() images similaires Apparemment, il n'a pas encore remarqué l'essentiel... - Tu aimes mes jambes ? - Comment ne pas les aimer ? Mais en attendant, ne va pas les fatiguer. Laisse-moi la place, je finis le trajet. Un peu vexée qu'il n'ait rien remarqué, je prends mon temps pour sortir, espérant qu'il remarque. - Juliette ! ![]() images similaires Enfin, je comprends au ton incrédule de sa voix qu'il a enfin constaté la particularité de ma tenue. - Oui, Luc ? - Tu... Ah mince, tu es magnifique ! - Tu semblais si concentré sur mes jambes que j'ai cru que tu ne le remarquerais jamais... Je tire sur le débardeur pour ne laisser à Luc aucun doute sur la liberté de mes seins. ![]() Il semble encore plus ravi que la première fois où je l'ai laissé me regarder me doucher. - Merci ! Franchement, ça te va hyper bien... - Oui, je t'avoue que je me sens un peu gênée et ça va parce qu'il n'y a personne dans le coin. - C'est terriblement excitant... Je regarde son short et je constate effectivement une proéminence : - Merde ! Tu... Tu... ? ![]() images similaires Je ne parviens pas à prononcer le mot en public, mais Luc a bien compris ma question. - Oui, Juliette, je bande... - Mince, juste parce que j'ai viré mon soutif ? - Oui, c'est un fantasme que tu réalises. - Et c'est mes seins ou mes fesses qui t'excitent le plus ? Je me tourne et remonte mon short pour dévoiler mes fesses. ![]() images similaires Il ouvre grand les yeux : - Quoi ? Tu... tu as aussi viré ta... Je comprends son soudain émoi et interrompts rapidement son rêve éveillé : - Non non non, ça tu peux toujours courir avant que je me passe de culotte. Elle est toujours là sous le short... Discrète, mais présente. Je me cambre sur la voiture. ![]() Mais même si je lui ai brisé son second rêve, le premier semble être suffisamment puissant pour lui laisser ce visage béat et cet air stupide. - Allez, hop, en voiture ! Sinon, le jardinier va nous attendre. On remonte en voiture : - Le jardinier ? - Oui, c'est le jardinier qui nous accueillera. Dis-donc, puisqu'on est là, ce ne serait pas pertinent d'en profiter pour refaire le plein ici ? Luc hoche la tête. Il va se garer devant une pompe. Je lui dis : - Je paie, c'est moi qui ai tous les sous. Toi, tu te fais bichonner. Je prépare ma carte et je sors faire le plein. ![]() images similaires Les pistolets des pompes à essence sont toujours mal foutus. C'est courbé au bout et ça ne s'enfile jamais bien dans l'orifice du réservoir. Je galère à trouver le sens dans lequel bien l'insérer, mais je finis par y parvenir. Luc m'observe depuis sa place : - Tu y arrives, ma belle ? "Ma belle" ? D'habitude, c'est plutôt "ma chérie". Mais j'aime bien aussi "ma belle". Penchée au-dessus du réservoir, je poursuis le remplissage avec les effluves immondes d'essence. ![]() Je réponds à Luc : - Oui, c'est bon. Pas toujours facile à enfiler ces machins-là... Luc rigole et je comprends que l'excitation que j'ai éveillée en lui le branche en mode "graveleux" et que je dois faire attention à ce que je dis. Alors que le plein touche à sa fin, je remarque un homme au volant de sa Mercedes qui semble ravi de patienter derrière nous. Au moins un qui n'est pas stressé et qui se sent déjà en vacances. Mais un bref coup de vent qui s'immisce dans mon décolleté me fait prendre conscience que je suis sans soutien-gorge et que le décolleté généreux de mon débardeur révèle à cet homme l'objet de son ravissement. ![]() Je me redresse vivement, repositionnant le pistolet dans son fourreau et je retourne m'asseoir. Luc rigole : - Qu'est-ce qui se passe ? Tu es rouge comme une pivoine ? Tu as pris un coup de soleil en restant à l'ombre ? - Non, j'étais un peu penchée pour faire le plein et le type derrière en a profité pour se rincer l'œil. - Haha ! Il aurait eu tort de se priver ! - Quoi ? Tu n'es même pas jaloux ? - Non, pourquoi ? Tu n'es pas allée l'aguicher, que je sache. - Quand même. - Et moi, j'en profite beaucoup plus que lui... Il tend la main et fait glisser de mon épaule la bretelle de mon débardeur. ![]() Luc redémarre et, avant de sortir de l'aire de repos, il se gare sur la toute dernière place de parking. Je m'en étonne : - Tu as oublié un truc ? - Non... Mais, mais tu as raison. Je suis jaloux : je trouve que le gars derrière en a plus profité que moi quand même et ce n'est pas juste. Je sens le gros cinéma de sa part et, assez excitée moi aussi par tout cela, je décide de rentrer dans son jeu. Je soulève mon débardeur et lui dévoile mes seins : - Là, tu penses que c'est plus juste ? ![]() - Il a vu pendant combien de temps ? - Je ne sais pas... sans doute tout le temps du remplissage. Trois ou quatre minutes... - Pffff, quel chanceux. - Mais lui, il n'a pu que regarder... Luc a bien compris le message et tend une main pour me caresser les seins. ![]() Je vois à son regard trouble à quel point il adore cela. Et ce n'est pas le seul indice : un véritable chapiteau s'est formé dans son short ! Je n'avais jamais vu cela ! - Mince, vu ton état, tu penses être en mesure de conduire ? - Non, c'est certain... - Ben, on fait quoi alors ? Il pousse un profond soupir, comme si la réponse était évidente. J'ai bien compris qu'il va me falloir le soulager. Mais je ne me vois pas jouer l'équilibriste et la contorsionniste dans la voiture pour lui faire l'amour, ni lui faire une fellation. Faire ma première fellation sur une aire d'autoroute ! Cela manquerait singulièrement de romantisme. Je me résous à lui administrer une petite masturbation que j'imagine bien suffisante pour venir à bout de cette suprême excitation. Pendant qu'il continue à jouer avec ma poitrine, je lui déboutonne son short et extrait de son boxer son sexe déjà parfaitement raide. ![]() Quand je commence à le masturber, il abandonne mes seins et semble porter toute sa concentration sur ma main qui monte et descend avec une rigueur métronomique sur sa tige tendue. - Je suis folle... - Non ma chérie, c'est hyper agréable et personne ne peut nous voir ici... - Quand même... ![]() images similaires - Mmmmmh, je t'aime... - Tu peux, oui. Je ne suis pas sûre qu'il y ait beaucoup de filles qui soulagent leur mec de cette manière dans des lieux publics. Il ne répond pas. Je fais la connerie de le regarder et, là, je lui trouve le même air que quand j'imagine qu'il pense à Angela. Et j'imagine alors Angela en train de masturber Luc dans un parking sous-terrain, dans un cinéma et pourquoi pas même au restaurant sous la table ? Mais pourquoi je m'inflige ça ? Pourquoi faut-il que je me compare à cette fille qui appartient au passé. Je me concentre sur ce que je fais : une branlette à mon copain. ![]() Soudain, je le sens se tendre. Il va venir. Quelle conne, je n'ai même pas prévu un mouchoir pour accueillir sa semence... Déjà, il gémit d'aise, sa queue se contracte dans ma main et il se met à décharger son jus épais et blanchâtre sur mes doigts. En moi-même, je me dis "Pourvu qu'il n'ait pas éjaculé en pensant à Angela". De ma main propre, je rabaisse mon débardeur sur les seins. Luc reprend son souffle peu à peu. Le sperme semble s'être tari. ![]() De lui-même, il me dit : - Tu es exceptionnelle, merci, Juliette ! Sa réponse est tellement sincère que je me rassure. C'est bien moi qui viens de le faire éjaculer dans la voiture. Pas Angela. - Je t'aime, mon chéri. Je sors un paquet de mouchoirs de la boîte à gant et commence à essuyer. Il rigole : - Ce ne serait pas plus simple si tu nettoyais avec ta langue ? - Tu plaisantes ? C'est trop dégueu... - Moi, je ne trouve pas dégueu ta mouille quand je te fais un cunni... - Dis donc. Tu as déjà eu le droit à une branlette et une belle vue sur mes nichons, tu ne crois pas que ça suffit pour aujourd'hui ? - Oui, tu as raison. Merci ma chérie. Et je le vois regarder mes seins qui ballottent dans le débardeur pendant que j'essuie mes doigts englués. ![]() images similaires Je m'affale dans mon siège, moi aussi épuisée comme s'il venait de me donner un orgasme. - On y va ? On va être en retard... Luc redémarre et reprend la direction de l'A63 direction Biarritz. En souriant, il me dit : - C'est mieux qu'on ait fait ça là plutôt que devant le jardinier, non ? - Tu me laisserais te masturber devant un autre gars ? ![]() images similaires En émettant cette hypothèse, je sens un petit fourmillement dans mon ventre. L'idée est, je trouve, assez excitante... Luc ne réfléchit pas longtemps avant de répondre : - Je crois que oui, tant que c'est moi que tu masturbes. - Mais il verrait aussi mes seins, non ? Je soulève mon débardeur pour exhiber ma poitrine à Luc, avant qu'on ne rejoigne la circulation. ![]() images similaires Luc stoppe alors soudain la voiture et un poids-lourd klaxonne en passant devant nous. Manifestement, le conducteur est ravi du spectacle que je viens de lui offrir de manière involontaire. Je rabaisse mon débardeur, honteuse de mon exhibition : - Quelle conne ! - Désolé, ma chérie... Il y avait ce céder-le-passage et je ne pouvais pas l'ignorer sous prétexte que tu avais les nichons à l'air... - Oh, la honte... ![]() images similaires - Allons, ce n'est pas très grave. C'est juste le deuxième type qui profite de la vue de tes seins aujourd'hui. Je sens à son ton amusé qu'on ne va pas en rester là. Et la suite arrive effectivement. - Du coup, tu comprendras que je suis un peu jaloux que tu te sois exhibée devant ce camionneur... - Et bien, pour l'heure, tu roules et tu ravales ta jalousie parce qu'on est attendu. - OK, j'en reste là. J'avoue être déjà comblé. - Attention, cet écart ne constitue pas un acquis. - Dommage, je trouvais que c'était une excellente entrée en matière pour des vacances qui commencent tout juste. - J'avoue que tout ça m'a bien amusée aussi, mais ne va pas croire que tu auras le droit à une branlette quotidienne. Je ne lui parle pas du soutien-gorge. J'hésite. Je ne suis pas à l'aise sans, mais j'ai beaucoup aimé l'effet que cela a eu sur Luc. ![]() images similaires Je crois bien qu'il avait perdu tous ses neurones et qu'il aurait fait tout ce que je lui demandais. Pour la première fois, je me rends vraiment compte du pouvoir que mon corps peut avoir sur les hommes. Je n'en dis rien à Luc, mais j'espère pousser cette petite expérimentation un peu plus loin, et il sera mon cobaye. Pour le moment, inutile que Luc se fasse des films, je ne sais pas encore jusqu'où je suis prête à aller, ni ce que Luc est prêt à accepter non plus. |