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Boris
1er août 2023
Angela - épisode 2 : Villa de rêve


Samedi 30 juillet 16h53

- C'est là !
Je reconnais la villa avant même que le GPS ne nous indique que nous sommes arrivés. Nous sommes subjugués par la beauté du lieu. La villa est exactement comme sur les photos, mais je prends conscience, en la voyant au milieu de toute cette verdure, à quel point elle se trouve isolée. Il ne semble pas y avoir la moindre autre habitation dans les kilomètres alentour.
- Mince, c'est gigantesque !
- Ouais, ça va être génial. Ce sera rien que pour nous !!!


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- Tu crois qu'on peut se garer dans la cour ? Ou je reste dehors ?
- Peut-être laisser la voiture là pour le moment. On va demander. Normalement, il doit y avoir un jardinier pour nous accueillir.
- Un jardinier ?
- Oui. Moi aussi ça m'a surprise, mais quand je vois la taille de la propriété, on dirait presque un parc ! Je comprends mieux pourquoi la présence d'un jardinier se justifie. On n'est pas habitués à autant d'espace et c'est sûr que ça doit demander un peu d'entretien.
Luc reste garé le long de la haie sans rentrer dans la propriété. Avant de descendre, il me sourit et regarde mes mamelons qui pointent à travers mon débardeur.
- Elles sont bien chouettes, ces vacances.
Je me dis qu'effectivement, je suis un peu indécente et je décide de remettre mon soutien-gorge.
- Tiens. Rince-toi l'œil une dernière fois. Après, je remballe.


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- Bah pourquoi ? Il ne fait pas moins chaud ici.
- Oui, mais je trouve ça un peu indécent.
- Tu rigoles ? Je le remarque parce que je te connais, mais personne ne s'arrête à ce genre de détail.
- Ah oui ? Tu crois sincèrement être le seul mec obsédé par les nichons ?
- Mmmm... oui. Tu marques un point.
Luc me regarde remettre mon soutien-gorge avec une petite pointe de nostalgie, comme s'il n'allait plus jamais revoir mes seins.


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Je le soupçonne de surjouer un peu pour me faire culpabiliser. Je remarque qu'il a à nouveau un début d'érection, mais je détourne le regard et évite surtout d'aborder le sujet. Ce n'est vraiment pas le moment que je songe à le soulager encore, car le jardinier nous a peut-être entendus et peut venir pour nous accueillir. Je termine donc de remettre mon débardeur.
- Allons voir cette villa de rêve d'un peu plus près.



Nous sortons de la voiture. Luc prend une profonde inspiration :
- Ouf ! La route était longue et ça fait du bien d'être enfin là.
- Merci d'avoir conduit toute la route mon chéri. Tu dois être bien fatigué. J'ai trouvé effectivement que tu semblais moins attentif sur la fin...
- Il y avait d'autres raisons à ma perte d'attention...
Il sourit en regardant en direction de ma poitrine, maintenant protégée de ses yeux-lasers par le soutien-gorge. J'en profite pour m'étirer.



Nous passons le portail et remontons l'allée vers la villa, entourée d'un vaste parc arboré. La fraîcheur apportée par l'ombre des arbres est un vrai plaisir. Un petit bruit métallique sur notre droite nous fait tourner la tête. Armé d'une cisaille à longs bras, le jardinier nous sourit. Il nous a certainement vus ou entendus et son coup de cisaille avait pour seul objectif de nous faire connaître sa présence :
- Bonjour les jeunes. Vous avez fait bonne route.
- Très bonne, merci ! Surtout la fin.
Luc me fait un clin d'œil et je vois bien à quelle partie du trajet il fait référence.


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- Luc et ma copine, Juliette.
- Enchanté Juliette, moi c'est Joann.
- Bonjour. M. Le Tarin m'avait dit que vous seriez là pour nous accueillir.
J'observe Joann. L'homme doit avoir une dizaine d'années de plus que nous, mais sans doute moins de quarante ans. Il est grand, costaud et plutôt bel homme. Je sens à sa façon de me regarder que je ne le laisse pas indifférent.


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Il me tend sa main puissante pour serrer la mienne, finalement avec beaucoup de douceur :
- Oui, leur fils passera tout à l'heure pour vous expliquer deux trois choses pour votre séjour. Moi, je ne m'occupe que du jardin.
- C'est plus qu'un jardin, c'est un parc.
- C'est vrai qu'il y a de quoi faire, mais je n'interviens ici qu'un ou deux jours par semaine. Si vous voulez, vous pouvez entrer la voiture dans la cour et descendre les bagages. Je peux vous donner un coup de main, comme ça, vous pourrez faire le tour de la villa avant de vous installer.
Luc, toujours courtois et prévenant :
- Merci, c'est très gentil. Juliette, je m'occupe de la voiture et des bagages. Va donc jeter un coup d'œil à la vue derrière, j'ai l'impression qu'on est juste à côté de la mer.
Effectivement, on entend le bruit caractéristique du ressac.


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Joann précise :
- C'est tellement prêt que c'est juste au pied. Pour ainsi dire, il y a un bout d'océan rien que pour vous.
- Comment ça ?
- Là-bas, vous verrez un petit escalier qui descend le long de la falaise. En bas, il y a une crique qui, de fait, est privée puisque c'est le seul accès. Sauf bien sûr par la mer. Parfois, des gens viennent à la nage ou en bateau pour profiter de l'isolement de cette plage. Il ne faudra pas hésiter à leur signifier que c'est privé.
Luc est ébahi :
- Mince, je ne m'attendais pas à ça !
Il se penche sur moi et m'embrasse, apparemment ravi du choix que j'ai fait.



Pendant que Luc retourne chercher la voiture, je m'avance dans le parc en contournant la villa pour aller en direction du bruit des vagues. En passant le coin de la maison, j'aperçois la piscine dont j'avais vu les photos sur l'annonce. Je ne m'en souvenais même plus ! Piscine et plage privée... Les riches ne se refusent rien ! En tout cas, ce petit paradis est à nous pendant une semaine. Alors que je suis près du bord de la falaise, sans avoir encore pu identifier où se trouve l'escalier qui permet d'y descendre, j'entends le moteur de notre voiture. Je vois Luc se garer dans la cour et décharger les bagages.



Tout heureuse d'avoir pour nous un lieu aussi spectaculaire, j'atteins enfin le bord de la falaise et découvre la fameuse petite plage privative. La vue sur la mer est splendide. La propriété se trouve au haut d'une falaise surplombant une petite crique complètement isolée, où les vagues venaient doucement mourir sur une plage de sable fin. Mais j'aperçois sur cette plage également un autre détail que Joann a suggéré : un couple est installé sur notre plage ! Et à y regarder de plus près, il me semble bien qu'ils soient nus... Ils sont nus et font l'amour. Sur notre plage ! Je suis un peu perdue. Je ne peux quand même pas interrompre les ébats d'un couple amoureux. Je décide de ne pas intervenir. Mais de quand même rester à observer discrètement. Madame chevauche monsieur et le mouvement de son bassin laisse suggérer que c'est elle qui mène la danse.


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J'ai déjà vu des scènes crues à la télé et je suis même tombé par hasard sur des pornos, mais je n'ai jamais ressenti le besoin d'observer d'autres personnes faire l'amour. Pourtant, il me semble cette fois-ci que je ne peux pas faire autrement. Je veux voir ce qu'ils font. Madame se redresse et continue à monter et descendre sur la verge de monsieur. Il la saisit à la taille pour accompagner sa lente chevauchée.


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Je sens que je commence à avoir encore plus chaud. Surtout à mon ventre. Pas de doute, je suis en train de mouiller ma culotte. J'admire les jolis seins de Madame qui s'agitent au rythme de ses mouvements. Monsieur tend les mains et semble jouer avec les mamelons. Madame rejette la tête en arrière. J'écoute. J'entends à peine un petit gémissement, mais le bruit des vagues couvre probablement ses gémissements de plaisir.


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Monsieur semble moins discret, car ses râles de plaisir me parviennent malgré le tumulte des vagues. Je l'imagine en train de se vider dans le ventre de Madame. Le soleil sur son corps dessine une musculature conséquente et je me dis qu'il ne doit pas être désagréable d'être dans les bras d'un type de cette stature. Je vois sa main sur le ventre de Madame, sans doute son pouce continue d'exciter le clitoris.


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Madame se baisse et l'embrasse, puis elle roule sur le côté et reste allongée sur le sable juste à côté de lui alors que les vagues de la marée montante viennent leur lécher les pieds. La cuisse légèrement relevée de monsieur m'empêche de distinguer bien son sexe, que j'aurais bien voulu admirer. Le peu que j'en vois semble être une belle saucisse déjà ramollie.


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J'ai un peu honte d'avoir espionné ce couple et je préfère retourner voir Luc qui continue de décharger la voiture. Joann m'intercepte et me demande :
- Belle vue n'est-ce pas ?
- Magnifique. Mais dites-moi, vous êtes sûr que la plage est privative ?
- Oui, mais quand la villa est inoccupée, des nudistes viennent quelque fois profiter de la discrétion de la crique. J'en surprends de temps en temps. Je ne les chasse que quand je sais que la villa est louée.
- Les propriétaires ne viennent jamais ?
- Non. De temps en temps, Lionel, leur fils, pour être tranquille. Il pratique le naturisme quand il est seul ici. Et la plupart des locataires le font également. C'est vrai que c'est idéal comme situation. Je crois que tous les locataires se sont essayés au naturisme durant leur séjour.
- Même quand vous êtes là ?



Joann rigole :
- Oh, moi je ne suis que le jardinier et je ne suis que de passage quelques heures, pas tous les jours. Si je vous dis qu'ils s'y sont tous essayés, c'est que j'ai eu l'occasion de les voir. Mais ça ne me gêne pas et eux non plus. Apparemment, la pudeur est un concept qui s'oublie dans un tel paradis. L'isolement de la villa, l'absence de voisinage, la petite crique, il faut avouer que ça s'y prête bien.
Joann reprend son travail, ramassant les branches mortes au pied d'un grand bouleau. Je rejoins Luc et veux qu'il vienne voir ce que j'ai vu :
- Luc, viens voir.
- J'ai rentré tous les bagages. C'est immense là-dedans.
On longe la piscine et on s'approche de la falaise, distinguant vite la plage. Ils sont partis ! Le couple n'est plus là... Je suis déçue et je ne sais pas si ça mérite que j'en parle à Luc. Je me contente donc d'une banalité pour justifier notre visite au bord de la falaise :
- C'est le paradis, tu ne trouves pas ?
- Oui... Dis-moi, comment tu as dit que c'est le nom du proprio ?
- Le Tarin. Mais je ne te l'avais pas dit puisque tu ne m'as pas beaucoup aidée pour gérer la réservation...


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- Je sais, je suis désolé... tu sais... le boulot...
Il se penche et m'embrasse dans le cou :
- En fait, je te demande ça, parce qu'au Lycée, j'avais un bon copain qui s'appelait comme ça aussi... C'est étonnant. Et dans l'entrée, il y a un portrait d'un homme qui m'a fait penser à lui en plus vieux. Ça pourrait être son père. Et avec le nom, ce serait une drôle de coïncidence.
- À l'autre bout de la France, je ne pense pas que ça puisse être le même.
- Il m'avait parlé que ses parents avaient une villa dans la Sud, mais j'imagine que c'était sur la Côte d'Azur.
- Le Sud, on y est aussi...
- Oui, ça pourrait. C'est vrai qu'il n'a jamais été plus précis. Quand même, Le Tarin, ce n'est pas un nom commun.
- Et vous n'avez pas gardé le contact ?


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- Il est parti en école d'ingénieur, il était brillant... Moi, je suis allé à la Fac. Ce serait dingue que ce soit mon pote...
- Mais vous vous connaissiez si bien que ça ?
- Plutôt oui. Durant l'année de terminale, Lionel et moi, on a beaucoup partagé...
Luc a un petit sourire à l'évocation de ce souvenir. Je me montre curieuse :
- C'est à dire ?
- Eh bien... Tu sais, je t'ai parlé un peu d'Angela, mon amourette de Lycée.
Jalouse, je n'hésite pas à lui manifester mon agacement à l'évocation de ce nom :
- Oui, Angela à laquelle tu as offert ton pucelage, merci de me le rappeler.


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- Et bien, mon pote aussi...
- Ton pote aussi, quoi ?
- Mon pote aussi, c'est elle qui l'a dépucelé.
- Ah ? Il est aussi sorti avec ? Et c'est toi qui lui as piqué, ou l'inverse ?
- Écoute, je n'aime pas trop évoquer ce souvenir... Je vais demander à Joann si je peux laisser la voiture dans la cour.
Luc repart de l'autre côté de la maison, me laissant avec un sentiment de jalousie assez marqué. Encore cette Angela. Angela la salope qui ne met pas de soutif. Angela la salope qui est sortie avec mon mec et ensuite avec son pote. Ou l'inverse, je n'ai pas réussi à savoir. Et moi ? Je suis qu'une pauvre conne qui pense qu'un soutif est indispensable à ma garde-robe. Faire sans est inenvisageable.



Et puis me reviennent en mémoire les remarques de Joann sur les locataires qui ont tous pratiqué le naturisme ici. Me mettre à poil est inenvisageable, mais c'est vrai que le soutien-gorge, ce n'est pas grand-chose et ça fera plaisir à Luc. Allez, je me lance. Joann et Luc sont de l'autre côté de la maison, l'immensité de l'océan sans personne devant moi et un peu de végétation autour pour me cacher. Je fais un contrôle à 360 degrés et je retire mon débardeur.



Bien sûr, je refais un contrôle visuel attentif tout autour avant de quitter aussi mon soutien-gorge. À peine l'ai-je retiré que j'entends une voix dans mon dos :
- Ah, vous ne perdez pas de temps... Ceci dit, vous auriez tort de vous priver, le naturisme est une expérience très agréable.
C'est Joann qui vient de surgir, avec un gros sac de branchages coupés à la main. Je cache ma poitrine et ne tourne que la tête :
- Heu, je ne me mets pas à poil. Je retire juste mon soutif parce que j'ai très chaud.



- Vous faites ce que vous voulez. Vous êtes ici chez vous pendant toute la durée de votre séjour. Vous avez pris combien de temps ?
- Une semaine...
Tout en lui tournant le dos, je remets mon débardeur rapidement.
- C'est court, mais ça vous laissera sans doute le temps d'expérimenter quelques pratiques qui ne vous sont pas familières.
Curieuse remarque... Joann fait-il uniquement référence au naturisme ? Je repense à la branlette que j'ai faite plus tôt à Luc sur l'aire d'autoroute. Non... impossible qu'il fasse référence à cela. Sans doute cherche-t-il à me convertir au naturisme pour se rincer un peu l'œil. Mais dans ce cas, moi aussi j'aimerais bien me rincer l'œil. Je prends un air faussement détaché en rajustant les bretelles de mon débardeur et je lui demande :
- Et vous, vous ne pratiquez pas ?


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Le jardinier me sourit, sentant sans doute l'indiscrétion de ma question, mais il me répond :
- Ah moi, je fais partie du décor. C'est l'occupant qui décide. Si vous voulez que je reste habillé, je reste habillé, même si vous décidez d'être nu. Et si vous voulez que je bosse à poil, ça ne me pose aucun problème. Même si vous restez habillés.
Cette proposition me donne presqu'envie de lui demander tout de suite de quitter ses vêtements pour admirer son corps que je devine athlétique, mais je me dis que c'est inapproprié et que cela doit rester un fantasme. Pour nos tenus, il faut d'abord que j'en parle à Luc, ne sachant pas vraiment s'il serait adepte du naturisme.



Il sourit en me voyant le dévorer des yeux, se doutant sans doute des fantasmes que sa proposition a suscités.
- Je voulais vous dire que le fils du propriétaire vient de me laisser un message. Il ne sera là que d'ici une demi-heure et vous propose de visiter la maison et de vous installer en l'attendant.
Le jardinier repart. Je ne sais pas si c'est l'excitation, mais malgré l'absence de soutien-gorge, j'ai bien chaud... Je m'attache donc les cheveux dans l'espoir qu'un peu d'air sur la nuque me rafraîchisse. Puis, je retourne voir Luc pour si l'absence de soutien-gorge l'émeut toujours autant. Atteignant le coin de la maison, je vois qu'il a laissé la portière arrière de la voiture ouverte. Je fais donc un crochet par la voiture pour refermer la portière. Rapidement, je jette mon soutien-gorge sur la banquette arrière, puis je referme la porte.



J'entends la voix de Luc alors qu'il sort de la maison :
- Mmmm, quand tu portes ce mini-short, c'est un plaisir que tu me tournes le dos...
Lentement, je me retourne et le laisse découvrir la surprise. Cette fois-ci, je vois son visage s'illuminer, ses yeux pétiller et j'imagine même ce qui se passe dans son short.
- Oh, tu as retiré ton...
- Oui, j'avais trop chaud.
Je remonte un peu le débardeur pour dégager mon ventre, comme si cela venait confirmer mon argument.


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Je lui souris :
- En fait, tu t'en fiches sûrement de la raison pour laquelle je l'ai retiré ?
- Oui, complètement. L'important est de deviner sous le tissu la masse de tes seins qui bougent quand tu marches, et tes mamelons qui pointent légèrement.
Mince, son regard et ses mots m'excitent et je sens que mes tétons passent d'un pointage léger à franchement tendus.
- Dis donc, plus bas. Le jardinier pourrait nous entendre...
- Et alors ?
N'ayant pas gagné en fraîcheur, je détache mes cheveux.
- Tu me fais visiter l'intérieur ?


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Quand il est à mon niveau, Luc s'arrête :
- Passe devant. C'est mieux.
- C'est mieux pourquoi ?
Je devine bien son manège :
- Bah, pour découvrir la maison.
- Ah, je pensais bêtement que tu voulais en profiter pour me reluquer les fesses...


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- Rhaaaa, oui, tu as raison. Je suis un sale pervers et tu m'as démasqué.
Nous rigolons. Avant de rentrer, je jette un regard en arrière et vois que Joann rigole. Il a sans doute profité de notre conversation. L'entrée par un petit vestibule donne directement sur une immense pièce de vie avec cuisine ouverte. La pièce est garnie de canapés et de fauteuils qui semblent nous attendre. Luc se laisse tomber sur le canapé :
- Alors, tu en penses quoi ?
- La vue, la plage en bas, la piscine, j'avoue que c'est vraiment top ! Et beaucoup plus grand que ce que j'avais vu en photo. Ça va être génial !


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- Bon, dès que le proprio est passé, on file en ville à l'office du tourisme pour trouver quelques musées sympas à visiter.
- Tu déconnes ?
- Évidemment ! On va surtout profiter de ce petit paradis.
Il se lève et vient se serrer contre moi :
- Juliette, je t'avoue que cet endroit me donne beaucoup, beaucoup d'idées très chaudes te concernant...


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Je tourne vers lui et me colle pour l'embrasser, mais il s'écarte un peu. Il baisse les yeux et se perd quelques secondes dans mon décolleté.
- Dis donc, qu'est-ce que tu fais, petit cochon ?
- Pour l'instant, je profite de l'instant, de la situation, de ta beauté. Et il vaut mieux que tu ne saches pas toutes idées qui me viennent en tête en ce moment...
Je rigole et, écrasant ma poitrine contre son torse, je me recolle à lui pour l'embrasser.


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Nos langues se cherchent et s'enroulent. J'ai chaud. C'est bon. Petite pause pour reprendre mon souffle, j'en profite pour demander :
- Raconte-moi...
- Quoi ?
- Raconte-moi tes idées.
- Je ne suis pas certaine que tu sois prête à entendre certains de mes fantasmes.
Sa remarque me vexe un peu. Et quoi ? Je ne suis pas assez ouverte d'esprit pour comprendre ce qu'il désire ? J'insiste :
- Je prends le risque.
- Cela t'exciterait que je te raconte mes fantasmes ?
- Oui, Luc...
Il se penche et m'embrasse à nouveau. Sa main glisse entre mes cuisses et caresse mon entrejambe à travers le short. Il doit certainement y sentir la chaleur, mais j'espère qu'il ne sent pas déjà que ça s'humidifie de ce côté...


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Nouvelle pause pour reprendre notre respiration. Je réattaque pour lui arracher le récit de ses fantasmes :
- Toi aussi, je suis sûre que ça t'exciterait de me raconter tes fantasmes...
Je lui masse l'entrejambe à mon tour, mais moi j'y découvre plus qu'une chaleur significative : une proéminence conséquente déforme son short. Très excitée, je prends l'initiative de le libérer. Il est bouche bée et ses yeux semblent sortir de leurs orbites tellement il est subjugué :
- Qu'est-ce que tu fais, Juliette ?
- Ne t'inquiète pas, le proprio a dit qu'il sera là seulement dans une demi-heure.
Il affiche déjà une érection dont je suis très fière (après tout, c'est grâce à moi), et je commence à le masturber doucement.


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Il semble quand même hésiter :
- Heu, mais si Joann vient ?
- Il est dans le jardin. Aucune raison qu'il vienne.
- Oui mais... tu vas me faire éjaculer sur le tapis ?
Il n'a pas tort, ce serait un peu crado... J'improvise. Je le repousse dans le canapé d'où il venait de se lever et je m'agenouille entre ses cuisses :
- Comme ça, ça coulera sur ton ventre et tes cuisses et on pourra essayer.
- Pragmatique. Pas très romantique, mais pragmatique.
Il a vu où, lui, que masturber une queue c'est romantique ? J'évite de lui en faire la remarque. Peut-être qu'il croit réellement qu'une fille qui branle son mec c'est glamour. Je le masturbe lentement, en le regardant avec un regard que je tente de faire le plus coquin possible.


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Bon sang ! Qu'est-ce que je suis en train de faire ? Qu'est-ce qui m'arrive ? Est-ce que je deviens cette salope de Angela ? En tout cas, l'intensité du baiser que Luc m'a donné m'incite à penser qu'il adore tout ça. Pour le motiver, je me redresse et relève mon débardeur sur mes seins. Il ouvre de grands yeux, ravi :
- Oh la vache ! Il faut vraiment qu'on parte en vacances plus souvent !
- Ne t'emballe pas. Ce n'est pas parce que je te masturbe aujourd'hui que tu y auras le droit tous les jours.


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- Je ne m'emballe pas. Je profite de ce que tu m'offres. C'est déjà énorme.
C'est vrai qu'elle est énorme sa queue ! Je me demande même si elle a déjà été aussi grosse. Si on avait le temps, je lui aurais demandé de me faire l'amour, mais le propriétaire va bientôt débouler et pourrait nous surprendre. Je dois même accélérer la cadence. Je ne sais pas ce qui me prend, mais je me penche et lui lèche la base du gland. Il gémit de plaisir sous cette nouvelle caresse.


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Il se trémousse. Mince, je suis peut-être allée trop loin ? En même temps, s'il éjacule déjà, ce sera fait. Sans prendre sa queue en bouche, je continue à lécher le gland, comme s'il s'agissait d'une glace que je déguste. D'ailleurs, le goût de son précum sur ma langue me surprend. Je m'attendais à quelque chose de fort et je trouve ça finalement assez délicat, bien qu'assez salé. Je reprends ma masturbation et je le sens se contracter. On y est. Quand il se détend, son sperme se met à jaillir. Incroyable ! J'adore voir son sperme sortir, preuve de son plaisir, résultat de notre amour. Le liquide blanchâtre s'écoule lentement sur mes doigts puis son ventre tandis qu'il tente d'étouffer ses gémissements de plaisir.


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De ma main non souillée, je rabaisse mon débardeur sur mes seins et je regarde mon homme amoureusement. Je m'étonne d'être ainsi fascinée par le sperme. Plus tôt dans la voiture, je n'avais pas eu le temps de prendre conscience de ça. Et là, c'est aussi la première fois que je touche son sexe avec ma langue. Est-ce qu'Angela l'avait sucé ? Je le regarde reprendre son souffle. Il me sourit :
- Merci, c'était bon... très bon.
C'est tout ? Mince, j'espérais un peu plus d'éloges ! Il sort de sa poche de short un paquet de mouchoirs en papier et m'en tend un pour que je m'essuie les doigts, pendant qu'il s'occupe de sa queue et de son ventre. Soudain, un bruit de conversation se fait entendre dehors.
- Ah, on a eu chaud... Je crois que le proprio est en avance. Termine vite, je sors à sa rencontre, ça te laissera un peu de temps pour te rajuster.



Je me fais la réflexion qu'il est trop tard pour remettre mon soutien-gorge et j'abandonne Luc pour aller voir si c'est le propriétaire qui arrive.



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