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Boris
1er septembre 2023
Angela - épisode 4 : Signature de l'état des lieux


Samedi 30 juillet 17:37


Luc ouvre la porte. Lionel attendait juste derrière. J'ai juste le temps d'enfiler mon débardeur, mais, dans la précipitation, je ne me rends pas compte qu'une partie de mon sein déborde.


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Ce n'est qu'en voyait les regards amusés des garçons vers ma poitrine que je contrôle ma tenue et comprends la raison de leur air stupide. Je me rajuste. Devrais-je être agacée par leurs regards pervers ? En tout cas, ce qui est certain, c'est que cela m'excite. Lionel se place devant l'escalier et retire ses tennis :
- Je vous montre rapidement les chambres à l'étage.
- Il faut retirer les chaussures ?
- C'est mieux, mais faites comme vous voulez.
- Pas de soucis, j'aime bien marcher pied nu.
Je m'assois sur un petit banc à côté de l'escalier pour délacer mes chaussures.



Luc me dit :
- Ma chérie, je veux être présent, à chaque fois que tu retireras tes chaussures pour monter, et quand tu les remettras, une fois en bas, surtout avec ce petit débardeur.
Là, je me doutais bien que mon décolleté aurait son petit effet. Levant la tête, je constate que les deux garçons plongent sans vergogne leurs regards dans le sillon de mes seins nus.
- Tout est prétexte à jouer les voyeurs avec toi...



Lionel lève la main :
- Avec moi aussi. J'apprécie tout autant que Luc le spectacle que tu nous offres.
- Oui... ça m'aurait étonnée... Pas pour rien que vous étiez copains tous les deux.
Je me relève et entends Luc commenter à l'attention de Lionel :
- Et l'envers vaut l'endroit...
Je fais semblant de m'offusquer et tire un peu sur mon short :
- Il ne faut pas vous emmerder les garçons ! Matez mon cul autant que vous voulez, comme si je n'étais qu'une poupée.



Lionel désigne l'escalier :
- Puisque tu es désormais pieds nus, tu es autorisée à visiter l'étage.
Ce cochon me laisse monter d'abord. Nul doute qu'il veut encore se rincer l'œil sur mon popotin. Dès le début de l'ascension, je me retourne et vois les deux garçons sourire bêtement en me reluquant le postérieur.



- Bravo, vous ne manquez pas une occasion...
- Regarde donc devant toi ma chérie, l'escalier est plutôt raide...
J'entends Lionel murmurer à Luc :
- Et il n'y a pas que l'escalier...
Super ! Le même humour. Ils étaient faits pour se rencontrer. Tout en montant, j'ai quand même un doute. N'ayant pas de culotte sous le short, j'espère que l'entrejambe de celui-ci est assez large pour ne pas révéler à mes deux courtisans libidineux davantage que je ne souhaiterais leur révéler.



Et j'ai de plus en plus de doute en voyant leurs mines ravies et empourprées quand je me retourne :
- Qu'est-ce qu'il y a les garçons ? Monter un escalier aussi raide vous donne chaud ?
Lionel hoche la tête en souriant :
- Il fait déjà chaud, mais une telle activité n'arrange rien...
- Voici les chambres, les garçons. Vous allez pouvoir vous reposer cinq minutes.


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Luc rigole :
- D'accord, mais tu t'installes entre nous ?
- Dans tes rêves.
Encore une fois, je me demande s'il plaisante ou si c'est réellement un fantasme. Angela a-t-elle expérimenté le sandwich avec eux ? Je chasse cette vision de ma tête et me penche sur le lit pour en tester la souplesse.



- Le matelas semble ferme.
Lionel me répond.
- On les change tous les cinq ans. Tu veux tester ?
Je le regarde et constate que son offre va peut-être au-delà de simplement m'allonger sur le lit. Je m'abstiens donc de commenter ou de m'allonger et j'allume la lampe de chevet, mais celle-ci reste lamentablement éteinte. Lionel va essayer la seconde qui, elle, s'illumine aussitôt :
- Ah désolé, ce doit être l'ampoule. À moins qu'elle ne soit pas branchée.
Dans un réflexe inconsidéré, je me mets à quatre pattes le long du lit pour regarder si le cordon est bien branché dans la prise murale.


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- C'est pourtant bien branché...
Aucun garçon ne répond. J'ai soudain un frisson qui me parcours l'échine. Ma position avec le cul en l'air, les cuisses écartées et le mini-short leur offre peut-être un spectacle que je ne souhaitais pas nécessairement donner... Je me relève et découvre la mine ravie de Luc et celle subjuguée de Lionel :
- Oups ! Désolée, je n'ai pas nécessairement la tenue adaptée pour ce genre d'acrobatie...



Luc rigole :
- Oh si ma chérie ! Parfaitement adaptée au contraire, c'est juste nous qui ne sommes pas habitués à voir cela et nous nous contentons du silence pour ce vibrant hommage à la beauté.
Lionel semble plus gêné par ce qu'il vient de voir :
- Heu, je vais appeler Bernard pour la lampe.
- Bernard ?
- Oui, un ami de mes parents qui s'occupe de tout le petit bricolage ici : électricité, plomberie... Je redescends lui passer un coup de fil et je vais préparer les papiers pour l'état des lieux. Je vous laisse terminer de faire le tour et regarder attentivement s'il n'y a pas de problème. Je vous attends en bas.
Dès que Lionel a repoussé la porte de la chambre, je décide de m'amuser un peu avec Luc et je me remets à quatre pattes sur le lit, lui exposant ma croupe :
- Lionel a dit de regarder attentivement s'il n'y a pas de problème. À toi de jouer.



- Juliette, tu as conscience que Lionel est juste en bas ?
- Et alors ? Je crois qu'il a déjà admirer mon mini-short, non ?
- Vu comme ça...
Luc attrape mon short et tire dessus.
- Hey ! Je ne t'ai pas dit de me le retirer !



- Ah désolé. J'ai sans doute surinterprété.
- Parce que, du coup, si tu descends mon short, tu en vois davantage que Lionel.
- Bon, du coup, je crois que je vais encore surinterpréter...
Comme je m'y attendais, Luc abaisse davantage mon short.



- Hey ! Dis donc, te voilà bien entreprenant !
- Je suis faible... Je ne peux pas résister à un si joli popotin...
Luc saisit alors mes hanches et je sens son souffle chaud sur mes cuisses. D'avance, je gémis de plaisir. L'instant d'après, sa langue se pose sur ma vulve et remonte lentement... jusqu'à mon anus !



Je tourne la tête :
- Dis donc ! Laisse mon petit trou...
- Tu n'aimes pas ?
- Si... mais c'est mon trou du cul. Pas touche. Tu peux juste regarder.



Je regarde alors en direction de la porte entrouverte et il me semble distinguer derrière une silhouette dans l'ombre du couloir. Finalement, Lionel n'est pas descendu (et c'est vrai que je n'ai pas entendu ses pas dans les escaliers). Je devrais le dire à Luc pour qu'il referme la porte, ou qu'il remonte mon short... Mais je ne fais rien. Je ne veux pas que Lionel se rende compte que j'ai vu qu'il se rinçait l'œil. Luc ne me laisse pas non plus l'opportunité de réagir, car il replonge son menton entre mes cuisses et me suce franchement la moule.



Je gémis de plus belle. Dois-je tenter de refouler l'expression de mon plaisir ? De tout façon, Lionel a déjà bien vu ce qu'il voulait. Mais d'un autre côté, ça risque d'alarmer Luc qui pensera que mes gémissements risquent d'alerter Lionel... Je retiens donc autant que possible mon plaisir et seul un grognement vibrant sort de ma bouche. Cela semble pourtant inquiéter Luc :
- Oups, désolé. On va s'arrêter là, sinon ça va déraper.
- Tu déconnes ! Termine ce que tu as commencé ! Suce-moi.



Je ne me reconnais pas. Je suis le cul à l'air et je demande à mon copain de me lécher la raie alors que je sais que son pote nous observe depuis le couloir. Comme dit précédemment, il est faible et mon injonction lui suffit à revenir à la charge.
- Ok, mais essaye de jouir discrètement...
Comme si j'étais en mesure de me contrôler à ce point... Il commence par me caresser les fesses.


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- Bon sang, je me demande si Lionel n'a pas raison...
Entre deux gémissements, je lui demande d'expliciter :
- Mmmm... De quoi ?
- Il a dit que la villa était magique... Je crois que la magie concerne ta libido...
Je le sens insérer un doigt dans ma fente.
- Huuu... Pas la tienne ?
Il se met à me masturber lentement.



- Si, notre libido... Quel pied !
- Huuuuu... Quel doigt ! Huuuu... Ceci dit...
- Oui ?
- Huuuuu... L'aire d'autoroute était magique aussi ? Mmmmm...
- Tu as raison, c'est seulement parce que ce sont nos vacances.
Il se penche à nouveau et, profitant que je suis déjà complètement abandonnée au plaisir, il recommence à me lécher l'anus.



Je n'ai même pas la force de lui dire d'arrêter. Surtout aussi parce que je n'en ai pas du tout envie. C'est un plaisir nouveau et j'espère qu'il ne va pas s'arrêter. À cet instant, je l'imagine avec cette fameuse Angela, en train de lui bouffer le cul, comme avec moi. Est-ce elle qui lui a appris à jouer si talentueusement de la langue ? Mon cerveau se vrille. Mon corps vibre. L'orgasme est là. Angela n'est plus. C'est mon orgasme et c'est mon Luc. Est-ce que je gémis toujours ou est-ce que ce sont des cris ? Je bascule sur le côté, échappant aux douces et terribles caresses de mon copain.



Luc sourit en me regardant :
- Pfffff, je n'aurais jamais cru commencer cette première journée de vacances comme ça !
Et moi donc !
- C'était génial ! J'adore quand tu me câlines la moule comme ça.
- Et le cul ? Tu as aimé aussi, apparemment ?
Je me relève.
- Tu as abusé de la situation...
- Quand je vois la cyprine qui coule encore, je me dis que ça répond à ma question...



Il a raison. Je ne peux pas cacher ça... Je sens bien que j'ai mouillé plus que d'habitude. J'évite de lui dire que le voyeurisme de Lionel n'est sûrement pas étranger à mon excitation.
- C'est la situation, les vacances.
Je remonte mon short.



Luc est rayonnant :
- Je sens qu'on va passer des vacances géniales !
- Si tu entends par là qu'on va passer notre temps à baiser, je t'arrête tout de suite. Là, c'est pour fêter notre premier jour de vacances, mais ne t'attends pas à ce que ce soit comme ça jusqu'à la fin du séjour.
Luc me sourit. J'ai déjà dit vaguement ça un peu plus tôt et il sent peut-être que je n'y crois pas vraiment moi-même.
- En tout cas, merci Luc. C'était vraiment génial. Le cunni debout et le cunni à quatre pattes, c'était une première et j'ai adoré.
Heu... j'ai vraiment dit ça, moi ?



Je constate que mon pauvre Luc a une érection de tous les diables :
- Tu veux peut-être que je te soulage.
Je m'apprête à caresser son entrejambe, mais il écarte ma main.
- Merci. Tu as déjà été généreuse et Lionel va nous attendre. Comme il ouvre la porte pour sortir, je m'attends à trouver notre hôte dans le couloir, mais notre hôte a de toute évidence profité de mon orgasme pour redescendre discrètement. Quand nous arrivons, Lionel tend à Luc un stylo :
- Aucun autre problème que l'ampoule ? Si tout est OK, tu peux signer l'état des lieux ici.
Luc me tend le stylo :
- Si tu es en état, ce serait mieux que ce soit toi qui signes.
- Pourquoi je ne serais pas en état ?



Je vois que Lionel a aussi saisit le sous-entendu, à son petit sourire et à son regard fixé à mes mamelons que je sens tendre le tissu. Je me demande alors si Luc n'était au courant que Lionel était resté pour nous observer. Je prends le stylo et me penche pour consulter le document avant de le signer. J'aperçois Luc passer derrière moi et le suspecte d'en profiter pour encore mater mon séant. Je m'attends à ce que Lionel l'imite, mais je le vois rester devant moi, sans doute pour contrôler que je signe au bon endroit.



Mmmmm, non. Ce n'est pas ça. Inutile de relever les yeux pour savoir. Je sais pourquoi il est resté devant et ce qu'il regarde. Comme je suis penchée en avant, ma position lui offre sans doute une très jolie vue dans mon décolleté et il doit voir une bonne partie de ma poitrine. Curieusement, mon excitation n'est pas retombée et, au lieu de m'offusquer d'être un objet d'étude pour les garçons, je prends au contraire plus de temps que nécessaire pour consulter le document, laissant à Lionel tout le temps nécessaire pour profiter de mes seins.



Quand je me redresse enfin, j'entends les deux garçons reprendre une respiration profonde, comme s'ils avaient retenu leur souffle durant tout ce temps. Je suis extrêmement fière et j'ai un sentiment de pouvoir sur les garçons, ce que je trouve particulièrement grisant.
- Voilà. C'est fait. Et maintenant ?



Lionel dit :
- Bien, je vais vous laisser vous installer et profiter du lieu. Vous êtes chez vous et vous pouvez même faire ici ce que vous n'oseriez pas faire chez vous...
Encore ce sous-entendu au naturisme ? Ou bien aux ébats sexuels dont il a eu un avant-goût ? Quoi que ce soit, moi, cet endroit me plaît énormément.
- Super ! Moi, j'adore déjà.



Lionel reprend son stylo et ses documents dûment signés et nous laisse :
- Si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous m'appelez.
- Ou on demande au jardinier ?
- Non Joann, n'est là qu'une ou deux fois par semaine et seulement quelques heures car il s'occupe de plusieurs jardins sur la commune. Moi, je serai assez disponible et j'essayerai d'être réactif.
Aussitôt la porte refermée, Luc se rue sur moi et me caresse les seins, faisant glisser une bretelle de mon débardeur.
- Moi, aussi j'adore déjà !



Je me retourne et l'embrasse. Nous nous détachons, souriants. Luc me murmure à l'oreille :
- J'adore te faire jouir. Tu es magnifique quand tu t'abandonnes au plaisir.
- Et moi j'adore tout ce que tu fais avec ta langue... Pourquoi je n'en profite qu'aujourd'hui ?
Mince, en le disant, je fais le rapprochement : les cunnis, j'y ai eu droit à partir du moment où Luc a retrouvé Lionel. Je me fais peut-être un film, mais je suis presque certaine que c'est un truc qu'il faisait à Angela... Merde. Elle fait chier... J'ai l'impression que même en vacances, elle est présente.



- Tout va bien, Juliette ? Tu sembles contrariée tout à coup.
- Je repense à toi et Lionel qui sortiez ensemble avec Angela. Toi, ça ne te posait pas de problème qu'elle se tape aussi Lionel ?
- Bah, c'était curieusement assez simple et naturel et, non, ça ne me posait pas de problème.
- Super. Donc toi, ce que tu veux, c'est une salope chaudasse qui baise à tout va ?



- Ne te fâche. Je n'ai pas dit ça et Angela n'était pas comme ça non plus. Il y a un juste milieu.
- Ah oui ? Un juste milieu ?
- Oui, disons qu'avec son appétit sexuel, c'était bien que nous soyons Lionel et moi pour la satisfaire.
- Oh ! Deux âmes charitables qui se sacrifient pour contenter les désirs d'une nymphomane. Moi je pense surtout que vous étiez deux pervers...
- Écoute, je ne pense pas être très différent des autres mecs et je pense que n'importe qui dans notre situation, à Lionel et moi, en aurait aussi profité. Mais ne te fâche pas, je t'en prie. Si j'accepte de te raconter ça, c'est pour que tout soit clair entre nous. Je t'aime. N'en doute pas un seul instant.
- Tu m'aimes, mais tu m'aimerais d'avantage si j'étais plus "délurée"...



- Je ne vais pas te mentir. Quand tu te montres coquine comme aujourd'hui, j'adore... Mais, je t'aime de toute façon, hier comme aujourd'hui.
Il me fait un clin d'œil et ajoute :
- Mais surtout comme aujourd'hui...
Bon, il m'aime davantage quand je suis une salope... Me voilà bien ! Bon, il faut bien reconnaître que je me suis bien amusée aujourd'hui et que je n'ai pas été en reste avec de magnifiques orgasmes. Finalement, il a raison, mon Luc : il n'est sans doute pas si différent des autres garçons. Et puis ce mystère qu'il entretenait autour d'Angela tombe peu à peu. On va pouvoir crever l'abcès et apprendre à mieux se connaître. Quoiqu'aujourd'hui, c'est moi que j'ai l'impression de découvrir.
- On remonte déballer nos affaires pour s'installer un peu ?





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