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Angela - épisode 3 : Visite de la Villa Samedi 30 juillet 17:22 Quand je m'approche de la porte restée entrouverte, j'entends la conversation de deux hommes. Curieuse, je patiente un peu pour savoir si on parle de nous. C'est la voix de Joann que je reconnais quand j'intercepte les échanges : - ... et la demoiselle est vraiment très jolie. - Ah oui ? La demoiselle ? Elle est jeune ? - Oui, pour une fois, c'est vrai qu'elle ne doit pas avoir plus de 22 ou 23 ans. Comme vous. - Intéressant. C'est vrai que ça change des femmes plutôt matures qui viennent habituellement. Le compliment n'est pas désagréable, mais je trouve curieux que le propriétaire évoque ses hôtes en ces termes avec son jardinier. ![]() La conversation se poursuit. Je patiente encore. - Et tu sais s'ils sont pratiquants ? - Je n'ai pas eu l'impression. Mais ils se convertiront vite. Votre villa à un pouvoir magique sur les gens. Je ne comprends pas de quoi ils parlent. Il veut savoir si on pratique une religion ? C'est quoi cette histoire de magie ? Je décide de me manifester et je sors, découvrant un charmant jeune homme discutant avec le jardinier : - Bonjour, excusez-moi, je vous entends parler de magie... J'espère que votre maison n'est pas hantée. ![]() - Ah bonjour ! Non, on parlait de la magie des lieux, le paysage, le jardin... J'espère que ça vous plaît. - Énormément, c'est splendide ! - Et vous irez parfaitement dans ce cadre magnifique. - Pardon ? ![]() Il me fait un sourire charmeur et m'explique : - Parce que vous êtes magnifique vous-même. Je rigole à ce compliment un peu grossier, mais malgré tout charmant. Je m'avance et lui tends la main : - Juliette. ![]() - Enchanté. Je suis Lionel. Je sors en repoussant la porte, pour être certaine que Luc ait le temps de reprendre une allure décente. Joann retourne à l'entretien des haies et nous laisse. Je sens un regard intéressé de Lionel sur moi, en particulier pour mon buste. En attendant le retour de Luc, j'essaie de satisfaire ma curiosité : - Par hasard, vous n'étiez pas au lycée en région parisienne avant de venir dans la région. - Heu, si, pourquoi ? - Mon copain s'appelle, Luc. Luc Léonty. Vous le connaîtriez ? ![]() Il écarquille les yeux : - Mais oui ! Incroyable !!! Luc est là ? C'est votre copain ? - Oui, il se passe un coup d'eau sur le visage et il arrive. Quand je lui ai dit que le propriétaire s'appelait Le Tarin, il s'est demandé si ce n'était pas vous. - Il vous a donc parlé de moi ? - Pas vraiment. Juste que vous étiez bons amis et que vous lui aviez piqué sa copine. Mais quelle conne ! Pourquoi je dis ça moi ? En plus, Luc ne m'a jamais dit ça, c'est une interprétation que j'ai faite... ![]() Lionel fronce les sourcils, semblant ne pas comprendre. Merde, je me suis trompée... - Angela ? Je ne lui ai pas piqué. - Ah pardon, j'ai mal compris ce qu'il m'a dit... Elle est donc sortie avec lui après vous ? Lionel sourit. Je me dis que je vais en savoir enfin un peu plus sur Luc. J'attends sa réponse. ![]() - Bah, en fait non plus... Mais ce n'est pas à moi de vous raconter cette histoire. Je ne comprends pas. Avec qui Angela est sortie en premier ? Pourquoi tant de mystère et surtout ce sourire étrange qu'a eu Lionel, le même sourire que Luc quand il semble penser à elle. Je ne sais plus quoi dire et je me sens stupide de m'être montrée curieuse. Heureusement, j'entends le bruit de la porte derrière moi. ![]() Luc apparaît enfin et, dès qu'il pose le regard sur Lionel, son visage rayonne : - Lionel ? Merde ! C'est donc bien toi Le Tarin, propriétaire de cette splendeur ? - Luc, ça fait une paye ! Oui, mais ce n'est pas vraiment moi le proprio. La villa est à mes parents. C'est la fameuse maison de vacances dans le Sud dont je te parlais. Mais question splendeur, je vois que tu as toujours aussi bon goût en matière de fille. Juliette est superbe. - Oui, c'est la femme de ma vie. Je ronronne et me serre contre mon amoureux. ![]() Un silence gênant s'installe entre les deux garçons. Lionel me détaille avec un sourire gourmand et Luc le regarde. Ils semblent échanger beaucoup par le regard, mais je ne comprends pas vraiment. Je pense qu'ils ont été très complices au lycée. Lionel demande : - Vous avez eu le temps de faire le tour et de voir la piscine ? Je réponds avant Luc : - Oui, et j'ai aperçu la plage. D'ailleurs... Lionel sourit à mon air gêné et termine ma phrase : - Il y avait des nudistes ? - Oui... - Il ne faut pas que ça vous choque. Le lieu s'y prête bien et peut-être que vous aurez envie d'essayer vous aussi. On fait un tour à l'intérieur pour l'état des lieux ? Luc lui répond : - On te suit. ![]() Comme on commence par la cuisine, Lionel fait remarquer le robinet particulier de l'évier : un embout souple très sobre. - Ce robinet n'est pas commun. Il faut que je vous explique. La manette ne sert qu'à régler la température de l'eau. C'est en tirant sur le manche que vous l'ouvrez et, plus vous tirez, plus ça gicle. Je ne peux m'empêcher de pouffer de rire imaginant que Lionel parle d'autre chose que d'un robinet. Luc rigole aussi et il saisit alors l'embout et le dirige vers moi en tirant dessus. L'eau asperge mon débardeur ! ![]() - Hé ! T'es con ! Je suis trempée et l'eau froide, malgré la chaleur étouffante, n'est pas particulièrement agréable. Luc semble gêné, il ne s'attendait sans doute pas à ce que ce soit aussi simple, ni à ce que le jet soit si puissant. - Mince, désolé Juliette... Je ne pensais pas que ça sortirait autant... - Quel abruti ! Je suis trempée maintenant... ![]() Luc dirige à nouveau l'embout du robinet vers moi : - Si tu me traites à nouveau d'abruti, tu y auras encore droit ! - Pfff, t'es maladroit, mais tu n'es pas assez débile pour recommencer exprès. - Ah oui, débile ? Et il tire à nouveau sur le manche et l'eau jaillit dans ma direction, inondant mon débardeur. ![]() - Non, mais merde ! Tu joues à quoi ? Elle est glacée en plus ! - Tu préfères que je la mette plus chaude ? - Je préfère que tu lâches ce robinet ! ![]() - T'énerve pas, ma chérie. Ce n'est que de l'eau... - Oui, mais là devant ton copain, alors qu'on visite, ce n'était pas vraiment le moment. Je me tourne vers Lionel : - Il était déjà si immature au lycée ? ![]() Lionel semble hésiter à répondre : - Heu non... Enfin, si peut-être. - En tout cas, il n'a pas gagné en maturité. Je vois alors à ses yeux exorbités qu'il y a un problème. Je me souviens alors que je n'ai plus de soutien-gorge et je prends conscience que j'exhibe aux garçons mes seins nettement visibles par transparence sous mon débardeur détrempé. Je me retourne pour cacher ma poitrine à la vue de Lionel. - Oups ! Pardon... je n'avais pas fait attention que j'étais... indécente. ![]() images similaires Lionel sourit : - Ce n'est pas indécent. Moi je trouve ça charmant. - Moi aussi, renchérit Luc. - Toi, ça ne m'étonne pas. Espèce de pervers. - Bon, je monte te chercher du change dans la chambre pour me faire pardonner. Je veux lui dire que ce serait plus simple que je monte me changer moi-même, mais cette andouille est déjà partie. Un peu par vengeance, je décide de ne pas cacher mes seins à son copain et je me tourne vers lui. - Vous devez nous trouver un peu puérils par rapport aux locataires que vous avez habituellement. ![]() Lionel ne se gêne pas pour regarder ma poitrine qui semble être à son goût : - Vous savez, je parlais de magie des lieux tout à l'heure. Je crois qu'il y a un peu de ça, même dans le comportement de Luc. - Je ne vois pas ce qu'il y a de magique à jouer avec l'eau et à se comporter comme un gamin. - Ce n'est pas ça. Juste, il se sent suffisamment en confiance ici pour considérer que la décence n'est pas une contrainte. - La décence ? En posant la question, je comprends : Lionel semble s'adresser directement à mes seins. Son regard sur moi m'excite et je sens mes mamelons se tendre à travers le tissu. ![]() Lionel complète son argumentaire : - Vous savez, les locataires qui louent ici habituellement pratiquent le naturisme et ils choisissent cette villa par sa situation parfaite pour pratiquer en toute tranquillité. - Oui, votre jardinier l'a évoqué, effectivement. Il rigole. - Ah, je vois que Joann sait aller à l'essentiel. J'entends Luc redescendre enfin. ![]() - Tiens, ma chérie. Je t'ai pris un autre short et un autre débardeur. - Tu as aussi pris une culotte ? - Bah non, pourquoi ? J'entrouvre mon short pour lui montrer : - Parce que tu me l'as aussi trempée, idiot. ![]() Luc sourit, apparemment ravi que j'exhibe ma culotte ainsi devant Lionel. Moi qui pensais que cela le rendrait jaloux, je me rends compte que je ne le connais pas aussi bien que je le crois. Lionel ressort : - Je vais chercher les papiers de l'état des lieux dans ma voiture, ça vous laisse le temps de vous changer. Dès qu'il est sorti, Luc se rue sur moi et soulève mon débardeur pour me caresser les seins. - Mmmmm, tu m'excites. J'aimerais bien que tu restes comme ça... J'écarte Luc pour pouvoir me changer. - Avec mon débardeur transparent devant ton copain ? ![]() images similaires - Je pense que ça ne lui déplait pas. - Ça, j'en suis certaine. Mais toi, tu acceptes qu'il voie mes nichons ? Luc semble réfléchir : - Je ne sais pas. Bien sûr, j'aime avoir l'exclusivité de ton corps de rêve, mais d'un autre côté je trouverai égoïste d'être le seul à en profiter. - Ah oui ? Tu me partagerais avec ton copain ? ![]() Il s'insurge : - Non ! Je n'ai pas dit ça. Je dis que je suis fier d'être avec toi et que je suis encore plus fier de savoir que d'autres hommes te désirent. Tellement prévisible. Luc n'est finalement pas si différent de la plupart des hommes. - D'accord, une fierté machiste. Je suis la jolie copine que tu exhibes pour montrer à quel point tu es vrai homme ? Je regarde les vêtements qu'il m'a descendus : - Tu n'as pas pris de soutif ? ![]() - Ha bah non, tu n'en avais pas, là. Déjà que je trouve dommage que tu ne restes pas en tee-shirt mouillé, je n'allais pas te ramener un soutien-gorge. Tes seins sont si jolis. Le bruit de la porte derrière lui interrompt notre conversation. Lionel revient avec un porte document et un stylo. Je cache mes seins avec mes mains avant qu'il n'atteigne la cuisine. - Oups, je crois que j'arrive un peu trop tôt. Luc rigole et répond : - Oui, une minute plus tard et elle aurait aussi retiré le bas. ![]() Je me demande s'il s'agit d'une blague ou si Luc aurait réellement souhaité que Lionel me surprenne complètement à poil. Lionel tend les documents à Luc. Il les prend et me les tend : - Tiens, c'est toi qui as fait la réservation. Il vaut mieux que ce soit toi qui signes. Il sourit. Il voit bien que si je prends ce qu'il me tend, je vais devoir révéler un sein à Lionel. D'ailleurs, ce petit cochon attend lui aussi, les yeux rivés sur moi. Je joue le jeu. Je fais glisser ma main gauche jusqu'à mon sein droit et je libère ainsi mon autre main pour saisir les documents. ![]() Luc sourit : - Bien joué. - Je peux terminer de me changer maintenant ? Lionel comprend et retourne dehors. Luc semble déçu. - Tu sais, il a déjà eu un petit aperçu de tes seins et ça ne l'aurait pas choqué de te voir en culotte. - Sauf que ma culotte, je vais devoir la retirer. Elle est trempée. ![]() Luc vient se coller à moi et me serre contre lui. - Mmmmm, tu m'excites comme ça... Et je ne suis pas certain que ce soit uniquement l'eau qui mouille ta culotte. Il glisse sa main dans mon short et caresse ma minette à travers le tissu humide. C'est bon. ![]() Je suis presque déçue quand il remonte sa main, mais c'est pour la faire redescendre directement dans la culotte cette fois. Et je dois bien lui donner raison : ces petits jeux d'exhibition depuis l'aire de repos sur l'autoroute et là, avec son copain, sans compter les deux masturbations que je lui ai offertes, tout cela m'a énormément excitée. Quand ses doigts s'immiscent dans ma fente, ils découvrent une fontaine de mouille. Je suis à deux doigts de le laisser continuer pour qu'il me donne un orgasme. ![]() images similaires Toutefois, je pense à Lionel qui attend dehors. À contrecœur, je retire sa main et me retourne : - Désolée, mais je dois terminer de me changer. - Un petit orgasme, rapidement, avant, non ? - C'est gentil, mais Lionel attend pour finir l'état des lieux. Je l'embrasse en l'écartant doucement. ![]() Tandis que je retire mon short, je tente d'engager la conversation sur le sujet mystérieux qui aiguise ma curiosité en profitant de l'état d'excitation de Luc pour lui soutirer quelques informations : - Je n'ai pas bien compris lequel de vous deux est sorti en premier avec Angela ? - Les deux. - Comment ça, les deux ? ![]() images similaires Je retire mon short. Luc semble gêné. Je le mène sur un terrain qu'il a réussi à contourner jusqu'à présent. - Et bien... Angela est sortie avec nous deux... en même temps... - Tu déconnes ? Quelle salope ! Et vous vous en êtes rendu compte au bout de combien de temps ? - Tu ne comprends pas. On le savait dès le début. C'était convenu comme ça. J'interromps le retrait de ma culotte en entendant ça. - Toi ? Tu... tu as fait ça ? ![]() Luc poursuit, apparemment plutôt content que je sois plus surprise qu'en colère : - C'était bizarre, c'est vrai. Mais c'était chouette. - Merde ! Tu es en train de me dire que vous avez fait un ménage à trois pendant ton année de terminale ? - Bah oui. Mais ce n'était pas vraiment un ménage à trois puisqu'on habitait chez nos parents. Mais c'est vrai que les parents de Lionel n'étaient pas souvent là, donc on squattait beaucoup chez eux. Je suis subjuguée par cette révélation et je comprends mieux les réticences qu'il avait quand j'évoquais le sujet. - Je n'en reviens pas que tu m'avoues ça maintenant. ![]() Je continue machinalement à retirer ma culotte pour me changer. Luc continue : - Il n'y a rien à avouer. Ce n'était pas une relation cachée, ni malsaine. - La pauvre... - Quoi la pauvre ? Je me moque un peu de lui : - Se retrouver avec deux mecs boutonneux sur le dos... ![]() - Alors là, je t'arrête. C'est elle qui menait la danse. C'était une délurée. Rien à voir avec toi. - Rien à voir avec moi ? Développe. - Je veux dire. Elle était à l'aise avec son corps et, par exemple, elle ne mettait jamais de soutif et se fichait complètement que l'on puisse deviner ses seins sous ses fringues. L'enfoiré ! Me comparer avec elle... alors que je suis à poil devant lui. Je cache ma colère et je m'appuie à la table, tendant ma croupe vers lui dans une pose volontairement vulgaire : - Et si je te laisse me baiser ici, je serai aussi délurée qu'elle ? ![]() - Oh Juliette, ne sois pas jalouse ! Il comprend qu'il est allé trop loin. Il s'approche de moi et me saisit à la taille. Va-t-il me prendre au mot et me faire l'amour alors que Lionel est dehors, juste à côté ? Il s'agenouille derrière moi et plonge sa bouche entre mes cuisses. Je ne m'y attendais pas ! Sa langue me lèche la moule et remonte même vers mon anus. C'est divin ! Il ne m'avait jamais fait ça. ![]() Le nez entre mes fesses, Luc me fait minette. Sa langue s'insinue entre les lèvres de ma chatte. Je sais que je dégouline de mouille. Je retiens mes gémissements. Lionel peut-il m'entendre ? Luc me soulève une cuisse et me fait poser le genou sur la table, se donnant un accès privilégié à mon temple. En cet instant unique, je pense pourtant à Angela. Lui a-t-il fait la même chose ? Mon Dieu ! Deux gars ? Elle avait deux gars pour elle ? Je m'imagine toutes les combinaisons possibles. Quelle salope ! Et comment Luc a-t-il pu accepter de partager avec Lionel ? Ooooh ! Malgré ma position, la langue de ce salopard a trouvé mon petit clitoris... ![]() - Oui... Je suis proche de l'orgasme. Et maintenant, non seulement j'imagine Luc en train de sucer Angela dans la même position, mais j'imagine aussi Lionel devant elle. Elle le suce. Quelle salope ! Mais ça m'excite tant... Et si Lionel entrait ? Est-ce que... Je... Je ne parviens même plus à penser... Je ne peux plus retenir cet orgasme que mon corps réclame depuis l'aire d'autoroute. - Aaaaaah ! Oui... ![]() Je succombe. Mon corps vibre, pris de terribles tremblements incontrôlables. Luc me maintient fermement pour que mon clitoris n'échappe pas au bout de sa langue qui continue à exciter mon interrupteur. Je perds contrôle. Je tombe. Je lui échappe. Est-ce que j'ai crié ? Pourvu que Lionel n'ait rien entendu. Il me faut plusieurs secondes avant de reprendre mes esprits. Luc me regarde avec un regard à la fois tendre et fier. Le conquérant a domestiqué la sauvageonne. Je me redresse au-dessus de lui. Une goutte de cyprine lui tombe sur le nez. - Oups, excuse-moi... ![]() images similaires - C'est un plaisir... Je veux lui dire que je l'aime, que j'ai adoré ce qu'il m'a fait. Mais la porte s'ouvre à ce moment-là et on entend la voix de Lionel : - c'est bon Juliette ? Vous êtes décente ? Je n'ai pas le temps de répondre qu'il est déjà dans l'embrasure de la porte de la cuisine. Je dissimule ma nudité comme je peux. - Heu... pas tout à fait. ![]() - Zut désolé. Je repars. Mais Luc l'arrête : - Dis-moi, Lionel, on se tutoie tous les deux. Peut-être que Juliette et toi pouvez aussi vous tutoyer ? Lionel se retourne et me regarde en souriant : - Oui, je crois qu'on peut se tutoyer. Un peu embarrassée par la situation et surtout ma tenue, je réponds bêtement : - Si vous voulez... ![]() images similaires Lionel tourne à nouveau les talons. Cette fois-ci Luc lui dit : - On viendra te chercher. Encore désolé... Je repense à nouveau à Angela. Est-ce que Luc pourrait envisager de me partager moi aussi avec son copain ? Je n'ose pas lui demander ouvertement. Je continue à le questionner sur ce ménage à trois : - Vous vous tapiez Angela tous les deux ? - T'es encore là-dessus... Bah... oui. - En même temps ? ![]() Bon sang ! Pourvu que Luc ne sente pas à quel point tout cela m'excite. Je ne veux pas qu'il puisse penser que je suis une salope comme Angela. D'ailleurs, je regrette presque ce que je viens de faire, lui proposer de me baiser. Au lieu de cela, il a été si... généreux. Il me répond : - La plupart du temps, oui. Je suis jalouse. Cette fille se tapait deux mecs en même temps. Dont mon Luc ! J'attrape mon short pour l'enfiler. Je souris pour ne pas montrer à Luc que cela me met en colère : - Et toi, tu n'étais pas jaloux que Lionel lui fasse l'amour et qu'il la fasse jouir. ![]() - Curieusement, non. On s'entendait super bien avec Lionel et Angela ne nous mettait jamais en concurrence. Je fulmine. Luc semble se souvenir avec beaucoup d'émotions de cette période. Il poursuit avec cet air agaçant de délicieuse nostalgie que je lui connais déjà : - C'était quand même une chaude... Je me demande si durant cette année de Lycée, je n'ai pas plus baisé que toutes les années suivantes réunies... Je devrais me révolter contre une telle remarque, un tel manque de tact, mais je dois avouer que le sexe m'a toujours intimidé et que nos rapports sexuels avec Luc étaient conventionnels. J'attends toujours que ce soit lui qui me sollicite, toujours pour ne pas passer pour une salope. Je garde le sourire et tente de positiver, surtout avec le souvenir de l'épique cunnilingus qu'il vient de m'offrir : - Tu veux dire qu'on a du temps à rattraper ? ![]() Il soupire, apparemment rassuré que je prenne ça avec humour. - Pardon, ma chérie, c'était grossier. Ce n'est pas une critique, juste qu'elle était très demandeuse. Donc il trouve que je ne suis pas assez demandeuse à son goût. Je ne peux pas dire le contraire. Je suis une timide du sexe. Je termine d'ajuster mon short et attrape mon débardeur. Luc va à la porte : - J'appelle Lionel. |