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Boris
2 octobre 2023
Angela - épisode 6 : Délicieuse ascension


Samedi 30 juillet 18:33

Luc semble traîner la patte et passe son temps à me regarder. Je pense savoir ce qu'il se passe :
- Tu ne veux pas remonter ?
- Si si, bien sûr.
- Alors pourquoi tu sembles si peu motivé ?
- Hum, disons que je veux en profiter au maximum.
- De la vue ?
- Oui, c'est cela, de la vue.
Bien sûr, la vue dont il parle, c'est celle sur ma poitrine qui semble capter toute son attention. Il faut dire que le débardeur humide ne dissimule pas grand-chose.



- N'empêche que ce n'est pas très agréable d'avoir le tissu qui colle à la peau, d'autant que ça refroidit vite.
- Attends...
Comme je l'attends avec un air amusé, Luc s'approche de moi en souriant :
- Pour que ça sèche plus vite, le mieux c'est de le relever comme ça.
Je rigole et le laisse relever mon débardeur par-dessus mes seins. Il admire et commente :
- Et tes tétons ont réagi très positivement à cette fraîcheur. J'adore quand ils sont dressés comme ça.
- Ah oui ? Moi, à voir ton caleçon, j'ai bien l'impression que c'est contagieux...



Il rigole en regardant son érection qui déforme outrageusement le tissu du short au niveau de son bas-ventre.
- Héhé, oui. Très contagieux...
- Et tu crois que ça va sécher plus vite en bouchon comme ça ?
- Évidemment ! Au moins tes seins vont sécher et tu auras moins froid.
- Sauf que le débardeur sera encore mouillé en arrivant là-haut et qu'il sera encore transparent et froid !
Il lève les bras au ciel en signe de victoire et crie :
- OUIII !
- Chut, idiot ! Joann est peut-être encore là-haut.



- Cela te gêne qu'il te voie nue ?
Je n'ose pas dire à Luc que je soupçonne Joann d'avoir déjà joué les voyeurs pendant que je m'essayais au naturisme. Par un esprit un peu mesquin, je me dis que je serai aussi gênée d'avoir les seins visibles sous mon débardeur que lui d'avoir une érection nettement visible dans son short. Je décide donc, aussi pour lui faire plaisir, de commencer l'ascension en gardant les seins à l'air. En avançant vers l'escalier à flanc de falaise, je constate que le tissu de mon mini-short en jeans, trempé lui aussi, se colle et se tend sur mes fesses. Cela n'est pas particulièrement agréable pour marcher et monter les marches.
- Pour mon short, je ne peux pas le remonter pour qu'il sèche lui...
Luc réagit aussitôt et abaisse mon short en commentant :
- Tu n'as pas le sens pratique ma chérie. Voilà la solution !
Cela me fait rire, mais je le remonte :
- Pourquoi ne suis-je pas surprise ?



- Parce que tu commences à me connaître.
- Parce que j'ai pris conscience que tu es un gros pervers.
- Pas du tout. Juste que j'ai le sens pratique. D'ailleurs, tu as raison pour le débardeur, il ne faut le laisser en boule au-dessus de tes seins. Retire-le, je vais le prendre, il séchera mieux.
- Oh oui ! Comme tu as le sens pratique et je sens bien à quel point tu es désintéressé. Sauf qu'il est hors de question que je me pointe en haut avec les nichons à l'air.
- Promis, juré, je te le rends avant qu'on soit en haut.
- Mouais...
Pourquoi est-ce que je me laisse convaincre aussi facilement ? Je lui donne mon débardeur en espérant pouvoir lui faire confiance.



Comme j'avance vers l'escalier, il vient me rejoindre. Je sais déjà ce qu'il veut : empoigner mes seins et jouer avec mes tétons. Je lui écarte les mains avant qu'elles ne s'abattent sur mes globes mammaires et lui rabats contre les cuisses :
- Bas les pattes !
- Quoi ? Je ne fais rien de mal.
- À ce rythme, on n'est pas près d'atteindre le haut de cet escalier.
- Et alors ? C'est les vacances. On a le temps. Tu es belle, je veux en profiter.
- Oui...
Il se penche pour m'embrasser dans le cou.



Je soupire, plus furieuse contre moi-même de céder à tous ses caprices que contre ces petits jeux érotiques qui, finalement, me plaisent beaucoup à moi aussi. Je me retourne contre lui :
- Tu es un incorrigible pervers.
- Je préfère "épicurien"...
Je me penche vers mon Épicure et nous nous embrassons passionnément.



Quand nos bouches se séparent, je sens que je suis en train de mouiller. Ce coquin a réussi à m'exciter à nouveau. Et il ne s'arrête évidemment pas en si bon chemin :
- Quel dilemme !
- Quoi ?
- Quand je vois tes fesses magnifiques dans ce petit short serré, je suis partagé entre l'envie de le remonter encore un peu pour faire saillir le bas de tes fesses ou de l'abaisser pour en voir davantage.
- Il n'est pas question que tu me l'abaisses.



- Bien sûr que si. Le débat est ouvert.
Il saisit alors mon short à deux mains et me l'abaisse vivement sur les cuisses, exhibant mes fesses nues et probablement un peu davantage.
- Hey ! Tu es insupportable !
- Non, épicurien. Souviens-toi.



Je remonte le short :
- Et jusqu'où va un épicurien ?
- Tant qu'il y a du plaisir à prendre, l'épicurien ne recule devant rien.
- Oh, tu as l'air de bien t'y connaître.



- C'est un peu ta faute. Ta seule beauté est un hommage aux plaisirs de la vie et je me refuse de ne pas en profiter.
- Parce que ce n'est pas négociable ?
- Bien sûr que non ! Si tu ne retires pas toi-même ce short, je te l'abaisserai à chaque marche.
- Mais tu me le rendras en haut avec mon débardeur ?
- Évidemment, pour qui me prends-tu ?
Encore une fois, je soupire. Encore une fois, surtout dépitée par ma propre faiblesse. Et je retire donc mon short.



Je lui tends le short en jeans trempé :
- Garde-les bien étendus pour qu'ils commencent à sécher.
Je n'ai bien sûr aucun doute sur le fait que les deux minutes d'ascension, en prenant beaucoup de temps pour admirer le paysage, ne seront pas suffisantes pour que tout cela sèche, malgré une chaleur particulièrement étouffante et le vent tiède qui l'accompagne. Je constate à quel point Luc est ravi de me voir commencer à monter, totalement nue.



Il reste derrière moi, pas trop près, sans doute pour avoir le meilleur point de vue sur ma croupe. Je prends mon temps :
- J'espère que je ne monte pas trop vite ?
- C'est parfait !
- Pervers !



- Épicurien !
- Cela sonne moins comme une insulte...
- Comme tu y vas. Comme si ce que je te demande est répréhensible.
- Parce que ça te semble naturel que je sois nue pendant les vacances ?
- Déjà ce n'est pas un lieu public, donc on fait ce qu'on veut. Ensuite, oui, quand je te vois nue ainsi, je trouve cela tout à fait naturel.
- Ouais... en fait, tu aimes me voir au naturel...



- Exactement. Et ne me dis pas que ça ne te plaît pas, à toi aussi.
- Je le fais pour toi.
- Pas seulement.
- Qu'est-ce que tu veux dire ?
Je me mets à inspecter le haut de l'escalier et la plage en bas, croyant comprendre dans son allusion qu'il n'est pas seul à profiter du spectacle. Mais il me précise sa réponse :
- Tu le fais aussi parce que ça t'excite. Et ça, tu ne peux pas me dire que ce n'est pas le cas.
Je comprends qu'il a une vue privilégiée pour constater que je mouille et je ne peux effectivement pas cacher cet état de fait.



- Oui... C'est vrai.
- Héhé, tu ne peux rien me cacher. Alors arrête de dire que je suis pervers. Toi aussi tu aimes ça. Je me trompe ?
- Non... C'est bon de savoir que je t'excite.
- Si tu savais à quel point ! Je n'ai qu'une envie, c'est de te dévorer la moule que tu exhibes sous mes yeux.
- Et qu'est-ce qui empêche mon épicurien de résister ?
Qu'ai-je dit ? Évidemment, Luc ne résiste pas une seconde de plus et m'attrape à la taille pour lécher mon abricot juteux.


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Je lâche un feulement de plaisir en sentant sa langue s'immiscer entre mes lèvres gorgées de désir. Ses doigts s'en mêlent, se glissent en moi, explorent mon intimité. Et sa langue remonte, explore mon petit trou.
- Que ? Qu'est-ce que tu fais ?


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Il ne répond pas et continue à me lécher l'anus. C'est bon, ça me donne chaud. Mon cœur palpite. Mon ventre dégouline. Je sens que je perds contrôle. Et si quelqu'un apparaît en haut de l'escalier ?
- Luc... C'est bon... mais arrête s'il te plaît...
Sans doute ne suis-je pas assez péremptoire. Il semble au contraire vouloir accentuer l'intromission de sa langue dans ce canal inexploré à ce jour.



J'ai le sentiment que je vais bientôt jouir, mais je ne veux pas que cela s'entende si quelqu'un est à la villa. Mais il est trop tard pour dire à Luc d'arrêter. Il n'en a pas envie et moi non plus. Il interrompt son exploration linguale et ses doigts reviennent explorer ma vulve. Il me masturbe, doucement d'abord, puis de plus en plus vite. Je suis sur le point de succomber. Il introduit deux doigts. Je ne tiens plus. Impossible de ne pas crier. Mon orgasme est impossible à retenir. De multiples décharges électriques envahissent mon bassin, se diffusent à tout mon corps, tandis que ma gorge laisse échapper l'expression de mon extase. Plusieurs muscles se tétanisent : mes cuisses, mon ventre, mes fesses... alors que Luc continue à faire aller et venir sans relâche ses doigts en moi.


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Luc attend quelques secondes que les spasmes se calment avant de retirer ses doigts. Quand il me libère, je sens un léger flot de cyprine qui s'échappe et s'écoule le long de ma cuisse. Il s'empresse de recueillir mon nectar avec ses doigts et de les porter à sa bouche.
- Mmmmh, tu es toujours aussi délicieuse, ma chérie.
- Et toi tu trouves toujours à me surprendre pour me faire jouir.



- J'essaye d'être imaginatif et je suis ravi que cela te plaise.
- Par contre, je n'ai pas été très discrète. Si quelqu'un a entendu là-haut, il risque de venir, donc je veux bien tu me passes mes fringues.
Il me tend mon short que j'enfile rapidement, surprise qu'il ne soit pas trempé :
- Il est presque sec. On a mis tant de temps que ça à monter ?



- Héhé, non. Mais il y a le soleil, le vent et surtout ton corps qui dégage en permanence une chaleur torride.
- Idiot !
Il me rend mon débardeur qui est lui aussi seulement très légèrement humide. Alors que je l'ajuste, je m'amuse de voir la réaction de Luc :
- Tu en fais une tête ! Tu en as bien profité non ?
- Oui, mais j'espérais que ton haut soit encore un peu humide pour continuer à admirer ta poitrine par transparence.
- Désolée. Tout à une fin. Et comme ça tu en profites mieux quand ça arrive.



Encore à bout de souffle je reprends l'ascension, suivi de près par mon homme, et je me rends compte à quel point il est difficile, juste après un orgasme, de fournir cet effort pourtant moindre. Alors que nous atteignons les dernières marches de l'escalier, je tombe nez à nez avec Joann, torse nu et en jeans, qui me regarde en souriant.
- J'ai entendu des cris, je me suis inquiété.
Nous a-t-il vus juste avant ? Est-ce lui que je pense avoir aperçu plus tôt en haut de la falaise quand nous étions nus sur la plage ? Au petit sourire qu'il affiche, je me le demande.



Essoufflée, je m'appuie les mains sur la dernière marche, juste à ses pieds :
- Tout va bien... On a fait les fous en remontant... je... je dois reprendre mon souffle.
- Courir dans les escaliers, à flanc de falaise, ce n'est pas très prudent.
En relevant la tête vers lui pour lui répondre qu'on a fait attention, je me rends compte qu'il a le regard perdu dans mon décolleté et il semble se délecter de la vue de mes seins nus sous le débardeur.



Je devrais me redresser pour soustraire mes seins nus à ce voyeur, mais, comme plus tôt avec Lionel, j'apprécie de sentir ce pouvoir que j'exerce sur Joann. Voyant que la conversation est au point mort, Luc s'impatiente derrière moi :
- Et tu comptes terminer de monter ces cinq dernières marches ou on passe la soirée ici ?
- Je t'ai dit que je suis essoufflée. L'ascension m'a donné chaud.
- Je sais ce qu'il te faut pour te rafraîchir.
Je n'ai pas le temps de réagir que, déjà, Luc abaisse à nouveau mon short, exposant mes fesses. Je le rajuste aussitôt en le grondant gentiment :
- Dis donc, tu oublies que je n'ai pas de culotte.



Il rigole et répond :
- ça, non. Je ne risque pas d'oublier et c'est justement pour en profiter.
- Idiot.
Heureusement, d'où il se trouve, Joann n'a pas vraiment pu voir les manigances de Luc derrière moi. Il est de toute façon en extase dans mon décolleté.
- Excusez Luc, il est souvent un peu puéril.
- Oh, ça ne me choque pas.



Peut-être que ça ne le choque pas, mais à force de regarder mes seins ballotter dans le décolleté, cela lui a déclenché une formidable érection. Son jeans est outrageusement déformé et je suis certaine qu'il n'existe pas au fond de sa poche un manche de tournevis aussi gros que la proéminence que j'ai sous les yeux. Un peu espiègle, je demande à Joann :
- Je vois que vous portez un jeans serré. Ce n'est pas un peu étroit pour travailler ?
- Si, j'avoue. Surtout dans certaines circonstances.
Je ne sais pas si je dois apprécier ou non d'être une "circonstance", mais la forme que je devine, suscitée par la "circonstance", est plutôt agréable.



Je décide de terminer de monter avant que Luc n'abaisse à nouveau mon short. En passant devant Joann, je ne résiste pas à lui rappeler sa proposition.
- Dites-moi Joann, si vous êtes plus à l'aise à travailler nu, il ne faut pas que ça vous gêne. C'est vrai que le lieu s'y prête bien.
- Je vous remercie. Mais il faut encore que votre copain soit d'accord.
Pleine d'espoir, je me tourne vers Luc :
- Mon chéri, tu ne vois pas d'inconvénient à ce que le jardinier travail nu s'il est plus à l'aie sans vêtement ?



Luc répond aussitôt avec beaucoup de calme :
- Aucun souci, Joann. Mettez-vous à l'aise. Peut-être que nous y viendrons aussi.
Luc me fait un clin d'œil et, quand je me retourne vers le jardinier, j'ai la surprise de découvrir qu'il a déjà retiré son jeans et qu'il affiche une érection qui correspond bien aux mensurations suspectées à travers le tissu.
- Désolé pour l'état...



C'est Luc qui répond :
- Ce serait faire injure à Juliette de ne pas bander en sa présence. Je vous avoue que moi, aussi, je bande.
Merde ! Il a vraiment dit ça ? Il accepte qu'un autre homme soit en érection devant moi ? Probablement à cause de moi ? Moi qui croyais connaître Luc... En tout cas, le corps nu de Joann exposé ainsi devant moi ne me laisse pas indifférente.
- Vous voilà plus à l'aise pour vos occupations, non ?



- C'est indéniable. Mais je vous rassure, je me rhabille pour les tâches avec des outils dangereux.
- C'est sage. Et pour rentrer chez vous.
- Bien sûr. D'ailleurs, je vais bientôt rentrer. Je vous laisse, je vais ranger mes outils.
Mon Dieu, heureusement qu'il ne range pas l'outil que j'ai sous les yeux ! Quand il se retourne et s'éloigne, je ne peux m'empêcher d'admirer sa carrure et surtout ses fesses musclées.



Je veux partager mon exaltation avec Luc :
- Waouh, Luc ! C'est vraiment le paradis ici ! C'est la première fois qu'un mec se met à poil quand je lui demande !
- Ah parce que tu demandes souvent à des mecs de se mettre à poil ?
- Bah non, idiot. Mais c'est hyper excitant d'avoir l'impression d'avoir le contrôle sur un mec.
- Tu crois qu'il se soumettra au moindre de tes désirs ?
- Si je lui demande gentiment, j'en suis certaine.



- En tout cas, moi tu ne m'as jamais demandé de me mettre à poil...
- Là, j'ai envie que tu te mettes à poil, que tu le sois en permanence et que tu passes devant moi pour que j'admire ton cul.
- Héhé, ça t'a bien chauffée de voir le jardinier en naturiste, hein ?
- Luc, rentrons. Ou je ne réponds plus de rien.





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