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Angela - épisode 7 : Petite pause crapuleuse Samedi 30 juillet 18:59 Une fois à l'intérieur de la villa, Luc me demande : - Alors cette expérience de naturisme ? - C'était assez agréable, j'avoue. Sentir le soleil sur ma peau était effectivement très agréable. Dois-je dire à Luc que j'ai surtout été excitée à l'idée que Joann nous observait peut-être depuis le haut de la falaise ? Luc semble aussi bien échauffé à voir son entrejambe : - J'ai l'impression que tu es dans le même état que ce pauvre Joann tout à l'heure ? ![]() - Que veux-tu, Juliette, c'est naturel. Qui ne banderait pas en te voyant ? - Tu as déjà dit ça à Joann tout à l'heure. Tu radotes. - Du coup, ça confirme ce que je disais : tu es si excitante que mon cerveau n'est plus assez irrigué. - Et pourtant, je me suis rhabillée. Je relève mon débardeur car, même si j'adore avoir ce genre de conversation avec mon mec, de toute façon j'ai bien l'intention que Luc me fasse l'amour. ![]() Luc me regarde amoureusement relever mon débardeur au-dessus de ma poitrine : - Tu aimes que je m'exhibe ? - Oui. Et toi, est-ce que ça t'a mise mal à l'aise que Joann manque de te voir nue ? J'hésite à lui exprimer ce que j'ai ressenti, car j'en ai un peu honte. ![]() Il semble percevoir ma réticence à me livrer : - Si cela t'a excitée, il ne faut pas que cela te perturbe. Je crois que c'est naturel. - Oui... ça m'a fait un peu d'effet. ![]() Luc sourit. Cela semble donc lui convenir. - Et toi, mon chéri, tu n'es pas jaloux que d'autres hommes puissent voir les parties intimes que tu devrais être le seul à contempler ? - On en a déjà parlé. Je t'ai dit que je trouve ça très... émouvant. J'ai confiance en notre amour et je ne pense pas qu'il puisse être entaché de quelque manière que ce soit par nos petits jeux. Il vient vers moi et m'attire à lui de son bras gauche. De son autre main, il s'amuse avec mes seins et nos bouches se retrouvent pour un baiser torride. ![]() Je sens que je mouille. J'ai envie de lui, mais je ne veux pas précipiter les choses. C'est si bon de prendre son temps. Quand nos lèvres se séparent, je lui murmure, comme un secret : - Luc, je t'aime. Il sourit et, sans me répondre, se penche sur mes seins pour les embrasser à tour de rôle. ![]() - Mmmm, ça vous rend dingue, les nichons, hein ? - Oui. - Le jardinier aussi... tout à l'heure. - Quoi ? - En haut de l'escalier... Il voyait tout dans mon décolleté. ![]() Curieux, Luc s'interrompt et m'écoute en souriant. Je poursuis : - J'étais penchée et, comme tu m'as abaissé mon short, j'ai gardé la pose suffisamment longtemps pour qu'il se rince bien l'œil. - À propos de short... Il ne perd pas le Nord... Je fais donc glisser mon short sur mes cuisses. ![]() - Dis donc, je suis à poil, mais toi tu es toujours habillé... Tu vas encore te contenter de regarder ? - Je dois dire que c'est plaisant de te voir t'effeuiller ainsi devant moi. - Mais moi aussi, j'ai envie de te voir nu. Pour l'inciter à se déshabiller, je lui dissimule la vue de mes seins. ![]() - Tu ne verras plus mes seins tant que tu ne seras pas à poil. - Je me contenterai de tes cuisses et de ton ventre. - Oui, de toute façon, quoi que je cache tu trouveras toujours quelque chose à voir. ![]() - Tu es si belle à contempler, et pas seulement tes parties intimes. - Mais moi aussi, je veux pouvoir te contempler. - Alors si tu veux me voir nu, il va falloir que tu interviennes... Je soupire et je le rejoins. Il me revient donc l'honneur de le déshabiller moi-même. J'avoue que ça me plaît bien. ![]() Une fois son tee-shirt retiré, il me saisit à la taille et me contemple : - J'adore quand tu t'occupes de moi. Cela ressemble à des préliminaires. - Oui, je crois que je suis bien tombée. - Ah oui ? - Plusieurs copines me racontaient souvent comment leurs mecs les pénétraient dès qu'ils étaient en érection sans se soucier des préliminaires. - C'est important les préliminaires, ça fait monter la température et ça augmente le désir. - Je t'aime, mon petit épicurien. Nous nous embrassons à nouveau. ![]() Quand nos lèvres se séparent, il me sourit : - Donc ça y est ? Je ne suis plus un pervers ? - Non. J'ai compris ta quête du plaisir. Ton plaisir, mais aussi le mien. - Évidemment. - Et mon plaisir pour le moment, c'est que tu retires ce short. ![]() - Oh Juliette, que j'aime quand tu es comme ça ! - C'est quoi comme ça ? - Quand tu prends des initiatives et que tu sembles assoiffée de sexe. Je baisse son short et extrais son sexe en érection, que je saisis doucement pour le masturber. ![]() Mais soudain, dans le reflet de la baie vitrée, alors que le jour décline dehors, je m'aperçois : nue en train de masturber mon mec. Est-ce bien moi ? Luc a dit "assoiffée de sexe" comme il aurait pu plus simplement dire "salope". Est-ce que c'est ce que je suis en train de devenir ? Est-ce bien moi ? J'abandonne Luc et m'écarte : - Je... Qu'est-ce qu'on est en train de faire ? ![]() Luc n'est pas fâché. Il me sourit, bien qu'il soit certainement surpris de ma réaction. Il se montre rassurant. - De l'épicurisme. On découvre des plaisirs qu'on n'avait osé s'offrir auparavant. - Mais pourquoi ? - Le contexte, je pense. Notre éducation peut-être un peu puritaine est une contrainte et, ici, dans cette villa, tout semble moins contraignant. C'est sans doute ce que Lionel appelait la magie de la villa. ![]() Comment fait-il pour avoir cette faculté d'analyse ? J'ai l'impression d'être immature, de ne pas comprendre le sens profond de l'existence. Nous avons pourtant le même âge. C'est l'expérience. Il a beaucoup plus d'expérience que moi. Il a eu Angela. Lionel et lui ont eu Angela. C'est cette salope qui lui a tout appris. Et moi je suis derrière, à la traine. Au moins, c'est moi maintenant qui profite de ce qu'elle lui a appris. Je réagis. Je m'approche de lui. Il tend la main vers mon entrejambe, je le laisse en prendre possession. ![]() Au contact de ses doigts sur ma vulve, je me rends compte à quel point je mouille en abondance. Je saisi son sexe. Il est chaud et parfaitement raide. Luc est dans le même état d'excitation que moi. Il me demande : - Combien d'orgasme as-tu eu aujourd'hui ? - Je ne sais pas... beaucoup. J'ai effectivement perdu le compte. Il m'empêche de me concentrer sur le décompte de ma journée, en m'embrassant à nouveau. ![]() Je n'en peux plus. Je le repousse sur le canapé et soupire profondément en voyant sa queue dressée. Il rigole : - Je crois qu'on a bien mérité ça ! - Tu parles, j'en rêve depuis ce matin. - Alors, qu'est-ce qui te retient ? ![]() images similaires - Plus rien ! Je m'approche. Je m'assois à côté de lui et saisis son membre turgescent. Il me caresse doucement les seins. Il rigole encore : - Bravo pour ta patience, si tu patientes effectivement depuis ce matin ! - Justement, j'ai trop envie, mais je ne veux pas précipiter les choses. ![]() images similaires Il fait mine de se relever : - Si tu préfères, on peut aller dormir et reprendre ça demain matin ? - Idiot ! Je me relève et escalade Luc pour prendre position. Son dard trouve naturellement son accès tant attendu. Je retiens mon souffle tandis qu'il me pénètre. ![]() Bien que Luc soit particulièrement gros (je pense que c'est encore un effet très positif de notre séjour ici), je mouille tant qu'il me pénètre sans la moindre difficulté. Une fois qu'il est bien emmanché en moi, je reprends mon souffle : - Allons-y. Doucement. ![]() Alors que je commence à monter et descendre sur son délicieux manche, je le sens qui regarde vers la porte d'entrée. Comme je ne le sens pas vraiment à son affaire, je lui demande : - Que... Qu'est-ce que tu regardes ? - Tu es sûre que Joann est parti ? - Je... je crois, oui... ![]() Ma réponse, ou peut-être le fait que cela ne m'inquiète pas, semble le rassurer et il se laisse davantage aller au plaisir. Il me prend alors l'envie de pimenter notre séance par un petit jeu pour voir comment il réagit. - Et... et si Joann ouvrait cette porte ? Que... mmmmmh... que ferais-tu ? À ma grande surprise, il reprend mon idée en retirant l'aspect hypothétique : - Joann est entré. Il nous observe. ![]() Sa réponse fait son effet. J'ai beau savoir que Joann est parti, le ton que prend Luc me fait douter. Je ne peux m'empêcher de regarder en direction de la porte pour m'assurer qu'il s'agit bien d'un scénario hypothétique et que le jardinier n'est pas effectivement entré dans la villa. Curieusement, je sens presque une pointe de déception en constatant que Joann n'est pas là. Je prends conscience que ce petit jeu me plaît particulièrement : envisager qu'un voyeur nous observe. ![]() Luc doit sentir que son petit jeu m'émoustille. Il poursuit : - Il regarde ton cul. Il aime beaucoup. Il est resté nu depuis tout à l'heure et il bande déjà très bien. - Il va... Mmmm... Est-ce que... il va s'approcher ? - Oui, discrètement, il s'approche. ![]() - Oooh... Il... il veut me caresser ? - Évidemment, qui ne le voudrait pas ? - Mais il va le faire ? - Il faut lui demander... Luc le dit avec tant que conviction que je tourne à nouveau la tête pour constater que Joann n'est malheureusement pas là. ![]() Je suis si chaude à l'idée que Joann puisse être là à nous observer que l'orgasme me gagne. Toute l'excitation de la journée semble se concentrer dans cet orgasme et mes cuisses et mes fesses sont prises de spasmes violents tandis que je hurle mon plaisir : - Oooooh ! Ouiiiii ! Aaaaaaaaaah... Cela semble déclencher l'éjaculation de Luc. Il grogne. J'aime l'entendre grogner comme ça au moment où il jouit. Et je sens alors qu'il propulse en moi une quantité considérable de sperme. Peu à peu, Luc termine de se vider en moi, alors que mon orgasme finit par se calmer. Il se retire et je sens un flot de semence s'écouler. Je regarde encore une fois vers la porte. Pas de Joann. ![]() Luc reprend son souffle : - Oh ma chérie, c'était génial. Je crois que je n'ai jamais autant joui. J'ai envie de lui dire que les vacances commencent tout juste et que la suite pourrait être encore mieux, mais je ne veux pas m'avancer sur ses attentes, ni sur mes capacités. Je me relève. Je sens son sperme qui s'écoule sur mes cuisses. Il sourit : - Bon sang ! Je... Il hésite à le dire, je termine sa phrase : - Oui, tu m'as mis tout ça. Tu as été très généreux. - J'aurais pas cru... ![]() Je rigole et me retourne : - À moins que Joann, en mode furtif, soit venu lui aussi se déverser en moi, je crois qu'il va te falloir assumer cette effusion. - Et si Joann avait la possibilité de se rendre invisible ? - Et tu crois que ce serait vos deux semences que j'aurais là ? Je porte la main entre mes cuisses pleines de sperme. ![]() Nous rigolons. Luc me regarde avec étonnement : - J'espère que ça ne te dégoûte pas tout ce sperme. Il est vrai que, si j'ai déjà parfois un peu sucé Luc, je ne l'ai jamais laissé éjaculer dans ma bouche, même si je suis certaine qu'il adorerait ça. Le sperme me dégoûte. Ou du moins le sperme me dégoûtait. J'avais découvert un peu plus tôt dans la journée que son précum n'était pas si mauvais que ça. Luc me regarde, toujours aussi étonné. Peut-il lire en moi les réflexions que je me fais ? Comprend-il mon hésitation en me voyant observer mes doigts pleins de sa semence ? Je me lance. Je porte mes doigts à ma bouche pour les lécher. ![]() images similaires Luc m'observe attentivement. Il bande à nouveau. Il finit par me demander : - Alors ? C'est comment ? - Bah tu dois savoir quel goût ça a, non ? C'est bien ton sperme, que je sache ? - Je n'ai jamais goûté. Curieusement, ça ne m'attire pas vraiment. Toi, as-tu déjà goûté ta cyprine ? - J'avoue effectivement que non... Je termine de me lécher les doigts et je réponds à sa question précédente : - C'est suave. ![]() - Suave ? - Oui, c'est doux, j'aime bien. Un peu salé, mais c'est agréable. - Alors tu peux en profiter car il y a de quoi faire avec ce qu'il y a entre tes cuisses et, si tu as besoin, je peux évidemment remettre ça quand tu veux. - Je n'ai aucun doute là-dessus ! Je consulte l'heure sur son téléphone portable laissé sur la table basse : - Il est déjà bientôt vingt heures... Je vais prendre une petite douche. ![]() Luc se dirige vers la cuisine : - Je nous prépare une petite salade fraîche pour ce soir. En arrivant à la salle de bain, je sens encore le sperme de Luc qui s'écoule le long de mes cuisses. Déjà nue, je n'ai plus qu'à me faufiler dans la douche et à laisser couler l'eau tiède sur moi. ![]() Ce n'est qu'au moment de prendre du savon que je me rends compte que je n'ai rien pris, ni serviette, ni savon. J'appelle Luc à l'aide : - Luc ! Luc ? Tu peux m'amener le savon et une serviette ? Armé d'une grande serviette blanche et d'un savon de Marseille, il entre, toujours nu, mais plus vraiment en érection. Je me moque de lui : - Oh, elle n'avait pas l'air très excitante cette salade ! ![]() - C'est pour ça que je n'ai eu aucun scrupule à l'abandonner quand tu m'as appelé au secours. - Et mon prince charmant a accouru ! Il me rejoint sous la douche et, plutôt que de me donner le savon, il entreprend de me savonner lui-même. Commençant par mes seins et descendant peu à peu sur mon ventre et mon entrecuisse. ![]() Il s'y attarde plus longtemps. - Je crois que ça va être bien propre. - Je te dois bien ça, ma chérie. - Oui... Il commence à bien m'exciter avec ses doigts qui investissent de plus en plus ma moule. ![]() Bien sûr, lui aussi ça l'excite et je vois que son sexe se gonfle et se redresse joliment. Je saisis son manche que je sens déjà palpiter entre mes doigts. - On dirait que toi aussi, tu as besoin d'être savonné, non ? - Mmmmh oui... Je m'accroupis et commence à le masturber lentement, glissant mon autre main entre ses cuisses pour lui masser les testicules. ![]() En fait, j'ai très envie de goûter à nouveau à son sperme. Simple curiosité. J'espère que je ne suis pas déjà addicte ! Je m'apprête à lui proposer d'éjaculer dans ma bouche : - Dis Luc, j'aimerai goûter encore à ton... Mais il se retourne soudain et, avant que je n'aie le temps d'ouvrir la bouche, il se met à gicler à tout va, propulsant plusieurs jets de son sperme épais sur mon visage, sans atteindre ma bouche. ![]() Je reste quelques secondes avec son sexe palpitant en main, encore sous la surprise de cette éjaculation. Il reprend rapidement son souffle : - Je... je suis désolé, ma chérie... C'est parti plus vite que je ne l'aurai cru. Avant que je n'aie le temps de lui dire que c'était presque ce que je voulais, mais que je vais quand même pouvoir goûter à sa semence, il dirige la pomme de douche vers mon visage et, en deux secondes, fait disparaître les giclées blanchâtres. - Non ! - Quoi ? - Je voulais y goûter à nouveau... - Oh, ne t'en fais pas pour ça. Dès qu'il a savonné et rincé un peu son sexe, Luc sort de la douche et va prendre la serviette pour me la tendre. ![]() Mais je ne la saisis finalement pas : - Tu as assumé ton délit en me nettoyant. Tu dois maintenant aller jusqu'au bout en m'essuyant aussi. - Ah oui ? Pourquoi pas. Avec plaisir. Il s'accroupit et commence à me sécher les pieds. Quand il commence à remonter, j'écarte les cuisses et lui expose mon coquillage : - Je crois qu'ici, ça va être dur de sécher. J'ai l'impression que ça mouille en permanence. ![]() - Ne t'inquiète pas. Je suis têtu. J'y passerais le temps qu'il faudra... Bien sûr, il y passe du temps et bien sûr, ses caresses sur les cuisses et les lèvres de mon sexe me font mouiller, encore et encore. Cela semble l'amuser et je n'ose pas lui dire d'arrêter tellement c'est bon. ![]() Mais je ne suis pas certaine qu'il puisse me donner un orgasme ainsi malgré toute la délicatesse qu'il y met. Je le fais se redresser : - Viens allons dans la chambre. Il ne discute pas. Il sourit béatement, manifestement ravi que je prenne les choses en mains. Et quand je dis les choses... ![]() Tout en le masturbant pour entretenir une fière érection, je lui murmure : - Tout à l'heure, tu m'as frustrée en éjaculant si vite et ensuite en nettoyant aussitôt ton sperme. - Désolé, ma chérie. - Maintenant, tu vas devoir te faire pardonner. - Je suis impatient que tu me montres comment... Sans lâcher son sexe, je le fais s'allonger et je continue à masturber tranquillement son mandrin. ![]() - Écarte un peu les cuisses pour me faire une place. Il s'exécute et je viens m'installer entre ses jambes. Je saisis sa hampe turgescente et commence à déposer sur son sexe de petits baisers, d'abord au niveau de ses bourses puis remontant vers son gland. - Mmmmmm, ma chérie... Rappelle-moi de te frustrer régulièrement. ![]() Ma langue tourne autour de son gland. Luc est si gros, sans doute très excité de me voir le sucer à nouveau. J'ignore quand il va venir, s'il va venir. D'ailleurs, je lui pose la question : - Il t'en reste au moins ? - Je pense, oui. On verra bien... Je me concentre. Je le suce, je le lèche, je le masturbe. Jamais je ne me suis montrée aussi salope avec Luc, sans doute est-ce que je me sens encore en compétition avec sa mystérieuse ex-copine Angela. ![]() Je ne dois pas être si mauvaise que ça ou peut-être que la fatigue de Luc lui a annihilé toute résistance. Je l'entends gémir. Il me prévient gentiment : - Ça y est ! Haaaaaaaaaaannnnnnn... Ses bourses se contractent et son sexe est pris de spasmes tandis que sa semence est encore une fois propulsée par ces convulsions. J'en reçois deux giclées au niveau de la bouche et de la joue. Le reste s'écoule lentement de sa hampe et s'accumule au niveau de mon pouce. ![]() Luc rouvre les yeux, me sourit. Il semble être au paradis. Il y a presque de l'incrédulité dans le regard qu'il me porte. Moi-même, je me demande : est-ce vraiment moi ? D'où me vient cette nouvelle soif de sexe, ce besoin de jouir et de faire éjaculer Luc ? Est-ce le fantôme d'Angela qui a pris possession de moi ? Est-ce que je ne suis pas moi-même en train de devenir Angela ? Pourquoi faut-il que je pense si souvent à elle ? N'y pensons plus. Je dois garder à l'esprit mon objectif. Je porte la main à ma bouche. Ma langue recueille la semence de Luc. Même goût que tout à l'heure. Pas désagréable, sans être non plus à la hauteur d'un grand cru, mais tellement excitant. ![]() Et je vois aux regards de Luc que tout cela lui a particulièrement plu. Avant, je nous voyais juste amoureux l'un de l'autre, maintenant, je pense qu'il s'agit d'une folle passion. Je viens m'allonger contre lui. Nous nous enlaçons et, épuisés par cette journée magique, nous nous endormons pour cette première nuit dans la villa. |