Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote    =

Episode précédent <<< Angela - épisode 10 : Gâterie à la piscine >>> Episode suivant

Boris
1er décembre 2023
Angela - épisode 10 : Gâterie à la piscine


Dimanche 31 juillet 11:27


Il fait si chaud que, le temps de remonter à la piscine, mon débardeur est presque sec, au grand regret de Luc.
- Luc, je vais aller chercher un autre soutien-gorge.
Luc s'approche de moi et me retire le débardeur :
- Et pourquoi ma Juju ne pourrait-elle pas laisser ses seins visibles ? Il n'y a que toi et moi.
- Oui, mais si Lionel arrive ?



- Il te suffit de garder ton bikini à portée de main pour le remettre s'il arrive.
- Sauf que je n'ai plus le haut...
- Hum... je n'ai pas été très honnête avec toi.
Il me fait un sourire coupable et ouvre la paume de sa main dans laquelle je découvre mon haut de bikini rouge roulé en boule.
- Je m'en doutais. Pervers et manipulateur.



- Épicurien !
- Il a bon dos Épicure. Rends-moi mon soutif.
Comme il ne semble pas disposé à obtempérer, je tente de lui arracher des mains, mais il esquive mon geste :
- Attends, Juliette. Écoute, j'ai une proposition : tu oublies ton bikini et je me mets moi aussi à poil.
- T'es gonflé ! Je n'avais pas imaginé être la seule à faire du nudisme.
Devançant la négociation, il retire son maillot et exhibe son sexe nu, illustrant parfaitement que Luc est gonflé, au propre comme au figuré.


images similaires


La vision de son sexe en érection me donne aussitôt chaud au ventre. J'ai très envie de l'imiter. Je vais le faire, mais je dois lui laisser croire que je le fais à contrecœur, uniquement pour le satisfaire.
- Ce que tu fais, c'est du chantage.
- Tout de suite les grands mots. Ose dire que ça ne t'excite pas de te baigner nue !
Je préfère ne rien répondre et je lui tourne le dos pour abaisser ma culotte.



Luc rigole :
- Je t'avoue que je ne croyais pas que ce serait si simple !
- Si simple ? Je prends sur moi. J'ai de la pudeur et me mettre à poil n'est pas si simple, même devant toi. Mais je t'avoue de mon côté que c'est de te voir nu qui me stimule.



Une fois ma culotte et mon soutif posés sur le bord de la piscine, prêts à être attrapés en cas de besoin, j'inspecte le portail de la propriété :
- Tu es certain que Lionel ne t'a pas dit qu'il passerait aujourd'hui ?
- Et alors ? Même s'il passe, tu sais ce qu'il pense du naturisme, non ?
- Oui, toi il t'a déjà vu nu, évidemment...



- Oui, on se connaît plutôt bien.
- Vous avez déjà fait des choses... ensemble ? Je veux dire... sans Angela ?
- Ahah, c'est ton fantasme, c'est ça ? Que j'ai une relation homosexuelle ?
- Bah oui, ça m'exciterait de voir deux mecs se câliner...



- Je vais te décevoir : on ne l'a jamais fait et ça ne m'attire pas particulièrement.
Je suis effectivement déçue, mais j'essaye de ne pas trop lui montrer, perdant mon regard dans le parc. Je découvre alors soudain qu'il y a un vélo appuyé contre un arbre non loin du portail.
- Mince ! C'est le vélo de Joann !
- Je croyais qu'il ne venait qu'un jour par semaine ?
- Il a sans doute des trucs à finir...



Je ne le dis pas à Luc, mais je me demande s'il ne fait pas des heures supplémentaires ici, juste pour le plaisir de faire le voyeur.
- Bon, désolée Luc, mais moi je vais remettre mon bikini.
- Allez, c'est bon. Joann aussi nous a dit qu'il avait l'habitude de voir des locataires pratiquer le naturisme.
- Moi je veux bien faire du naturisme, mais pas de l'exhibitionnisme.



Même si je ne vois pas Joann, peut-être de l'autre côté de la maison ou dissimulé par un des massifs d'arbustes, je décide de remettre mon bikini. Quand je rattache mon soutien-gorge, Luc fait une tête d'enterrement :
- Allez, Juliette, t'es pas drôle.
- Pas drôle et pudique. Désolée.



Luc insiste :
- Si tu remets ton bikini, je remets mon maillot.
- Eh bien tant pis, remets ton maillot. Mais si tu le fais pour me punir et pas par pudeur, c'est ridicule.
J'achève de remettre ma culotte.



Je vois Luc hésiter, puis attraper son maillot pour l'enfiler en pestant :
- Quel gâchis...
- J'en déduis que tu as toi aussi un peu de pudeur ?



- Sache que ce qui me désole le plus c'est que tu vas sans doute perdre cette belle érection.
Luc me jette un regard noir :
- Pour ça, pas de risque. Tu restes très bandante, même en bikini...



- C'est étonnant, je trouve, que ça te gêne qu'un inconnu voie ta queue, mais pas de montrer que tu es en érection dans ton maillot.
- Que veux-tu, l'âme humaine est complexe.
- Même pour un épicurien tel que toi ?



Luc rigole :
- Fais gaffe que l'épicurien n'ait pas l'idée d'imiter les deux types de la plage tout à l'heure et qu'il ne vienne pas t'arracher ton bikini.
- Si je suis mise nue sous la contrainte, ce n'est pas de mon fait, donc il est possible que je me sente moins pudique.
- Ah ouais ? J'aurais dit l'inverse. Mieux assumé quand c'est un choix. Tu veux que je te pique ton bikini pour voir ce que tu ressens ?
- Non, je te remercie.
Je préfère descendre dans l'eau pour me rafraîchir avant que Luc ne décide tenter l'expérience sans mon consentement.



Appuyée au bord du bassin, j'interroge Luc en voyant qu'il bande toujours :
- Et selon qui te voit en érection, la pudeur n'est peut-être pas la même, si ?
- Sans doute, tu penses à quoi ?
- Je me dis que si c'est un mec ça te gênera, alors que si c'est une nana tu auras peut-être une certaine fierté à exhiber tes attributs ?



- Je pense que c'est plus complexe que ça. Devant toi par exemple, j'ai clairement envie d'exhiber mes attributs. Devant d'autres filles, je dirais que ça dépend de l'âge.
- Évidemment, majeure, mais pas encore à la retraite...
- Et pour les mecs, j'imagine que je ne ferais pas le malin devant un mec hyper bien gaulé et monté comme un taureau, alors que je serai plus à l'aise devant des types moins bien dotés par la nature que moi.
- Et devant Lionel ?


images similaires


- Lionel, sans s'être tripotés l'un l'autre, on se connaît presque intimement. Angela nous a souvent dit qu'on était "jumeaux de bite" parce qu'on avait des calibres très proches.
L'évocation d'Angela me fait regretter ma question. En même temps, je m'attends à quoi ? J'aime bien qu'on parle sexe avec Luc, donc ce n'est pas étonnant qu'à un moment ou à un autre la conversation touche à son expérience avec Angela. Mais si, depuis hier, j'ai l'impression de mieux connaître Luc, chaque échange faisant référence à Angela me fait prendre conscience que j'ai encore beaucoup à apprendre sur lui. Une idée me vient alors et je me tourne vers Luc pour lui poser ma question :
- Si Lionel propose de faire du nudisme avec nous, ça ne te posera pas de problème que je puisse voir sa queue, voire son érection ?


images similaires


- Non, ça ne me posait pas de problème avec Angela, donc si ça arrive, tu pourras te rincer l'œil autant que tu voudras.
- Mmmm, ça me donne presque envie de me remettre nue dans l'espoir qu'il arrive et qu'il demande à nous rejoindre.
- Tu deviens une petite coquine, Juliette.
- Et je vois à ce fier chapiteau dressé que tu apprécies quand je suis coquine.



- Alors que tu gardes ton bikini. Ce hideux bikini qui va te faire des marques de bronzage.
- Et toi, alors ?
- Moi, c'est différent, je suis un mec et j'assume le chocolat-vanille.
- N'importe quoi. Les filles aiment autant voir un mec avec un bronzage uniforme que les mecs apprécient le bronzage uniforme des nanas. Mais je te rejoins sur le fait que ce n'est pas très beau. Regarde un peu mes fesses toutes blanches.



- Tes fesses, blanches ou bronzées, restent appétissantes quoi qu'il arrive.
- Tu aimes autant chocolat que vanille ?
- J'aime tes fesses.
- Et pas mes seins ?



- Bien sûr que si ! Je les adore !
- Bon, alors pour te faire plaisir, j'accepte de retirer le soutif.
- Malgré Joann qui peut surgir ?
- Cela te gêne qu'il voie mes nichons ?
Je commence à dénouer le nœud de mon soutif.


images similaires


Luc sourit :
- J'espère bien qu'il bandera quand il verra tes seins.
- Il les a déjà aperçus dans mon décolleté hier.
- C'est différent. Hier, c'était une vision volée ; là, c'est généreusement offert.
- Oui, c'est vrai que c'est un peu différent.
Luc a les yeux qui brillent dès qu'il voit mes seins libérés de l'emprise du soutien-gorge.



Une voix derrière moi me fait sursauter :
- Ah ! C'est bien que vous commenciez à vous lâcher un peu.
Je reconnais la voix de Joann et me retourne en dissimulant ma poitrine avec mes mains.
- Bonjour Joann.
- Bonjour Mademoiselle. Bonjour Monsieur.
- Je croyais que vous ne veniez qu'un jour par semaine ?



- Heu... normalement oui, mais là, j'ai vu qu'il y avait pas mal de taille à faire, des branches mortes à cause de la sécheresse.
Il ne semble pas gêné par mes seins nus et ne les quitte pas des yeux, attendant sans doute que je retire mes mains. Il sourit et se tourne vers Luc :
- Si c'est le fait que je sois habillé qui vous met mal à l'aise pour faire du naturisme, je peux moi aussi retirer mes vêtements, comme hier soir. Moi, ça ne me pose pas de problème.
- Heu, oui, si Juliette est d'accord, moi non plus, ça ne me gêne pas.
Joann se tourne vers moi, attendant ma réponse. Je prends un air détaché, mais je réponds avec une toute petite voix :
- Oh... Oui. Si vous voulez.
Le jardinier s'exécute et se débarrasse de ses vêtements en quelques secondes. Son sexe, au repos, est déjà de fort belle facture.



- Voilà, j'espère que ça vous mettra plus à l'aise.
Je repense alors à ce qu'a dit Luc avant l'arrivée de Joann : il serait ravi que Joann bande en voyant mes seins. Sans non plus, m'exhiber comme une salope, je retire mes mains et dévoile mes attributs.
- Merci Joann. Effectivement, ça me met plus à l'aise.



Je le vois porter un regard très accentué sur ma poitrine, comme s'il cherche à imprimer de manière durable cette image dans sa mémoire. Luc a un petit sourire en coin. Je me mets au bord pour m'approcher du jardinier :
- Joann, vous avez beaucoup de jardins à vous occuper ?
- Une petite quinzaine.
- Mais vous prenez plus de temps pour celui-là ?
- Oui, ils ne font pas tous la même taille. La plupart sont faits en moins de deux heures par semaine. Celui de M. et Mme Le Tarin est plus grand. C'est un parc.



- Et peut-être plus agréable ?
- Ah oui ! C'est le seul où il y a des locataires. C'est drôlement plus sympa pour discuter.
Je me redresse un peu sur le bord pour faire ballotter un peu mes seins. Il ne cherche pas à détourner le regard et profite du spectacle.


images similaires


Toutefois, son sexe, quoique long et légèrement gonflé, ne s'est pas redressé du tout malgré l'exhibition de mes appâts. Il finit par me faire un grand sourire, en me regardant, cette fois-ci, dans les yeux :
- Bon, j'ai du travail. Je vous laisse. N'hésitez pas à vous mettre à l'aise.
Il se retourne pour repartir au fond du parc et je profite une nouvelle fois avec plaisir de sa magnifique paire de fesses musclées !


images similaires


- Merde ! Tu as vu ça, Luc ? Il a un joli petit cul !
- Ahah, tu te montres vraiment de plus en plus coquine...
Je ne peux pas m'empêcher d'admirer ces magnifiques fesses musclées.



Luc vient s'asseoir sur le rebord du bassin, les pieds dans l'eau, et se moque de moi :
- Attention, ma chérie, je crois que tu baves...
- Tu parles, je mouille, oui !
Je me hisse sur le bord de la piscine pour profiter du spectacle avant que le splendide séant de Joann disparaisse derrière un bosquet.



Je me retourne vers mon Luc :
- Tu vois, il semble habitué au naturisme, lui. Il ne se met pas à bander dès qu'il voit une paire de nichons.
- Ah là, on peut dire que je manque cruellement d'expérience. Tu m'as donné une gaule terrible à discuter avec lui les seins à l'air.
- Je vois ça. Toi, tu réagis positivement à mes seins.



- Alors qu'est-ce qui fonctionne chez moi qui ne fonctionne pas chez Joann ?
- C'est curieux, car hier, quand il est resté à profiter de mon décolleté, il bandait bien.
- Peut-être la situation ? Il a peut-être l'habitude de voir des nanas topless dans cette piscine.
- Ou bien il se contrôle parfaitement.


images similaires


- Ce serait balaise... Et il aurait délibérément exhibé son érection hier ?
- Oui pour voir ma réaction...
- Moi, je ne contrôle rien... Je crois que c'est toi qui contrôles mon érection, ma Juju.
- Ah oui ? Fais-moi voir un peu ça.
Je lui sors son membre tendu.



Quand j'extrais la bête, Luc a un frémissement :
- Tu n'attendais que ça, pas vrai, petit pervers... oups, pardon : épicurien.
- Je l'espérais, mais c'est tellement meilleur que ce soit de ton initiative.
Je penche la tête pour lui téter le gland.



On pourrait faire cela en silence, mais Luc se sent obligé de m'encourager :
- Mmmmmm, tes lèvres sont du velours...
Je saisis la tige et la masturbe doucement tout en déposant un baiser sur ses bourses. Nouveau frémissement. Je décide de lui lécher les testicules, pour voir. Quand ma langue caresse ses bourses, il frémit encore.



Je crois avoir découvert un point sensible et il me le confirme :
- Oh putain, c'est bon ça !
J'embouche le paquet et aspire en faisant tourner ma langue autour.



- Oooooh, diablesse, tu vas m'avoir.
Dans le mille ! Je viens de découvrir une caresse qu'il semble particulièrement apprécier. Je sens qu'il est sur le point de jouir. Je m'interromps, espérant faire durer encore la séance. Je ralentis ma masturbation pour le maintenir bien raide sans qu'il éjacule.
- On dirait que ça te plaît.
- Putain, oui ! Où as-tu appris ça ?
- Initiative personnelle. Expérimentation.



- Stoooop ! Je... Oh merde...
Je comprends qu'il n'a pas réussi à se retenir. J'enserre la base de son membre alors qu'il est pris de convulsions. La pression semble trop forte et du sperme parvient à s'échapper, s'écoulant doucement le long de sa hampe et sur mes doigts.
- Oh, ça manque cruellement de contrôle, ça, Luc.



Alors que je relâche la pression, pensant que la plus grande partie était déjà sortie, je reçois au menton une puissante giclée de sperme, qui me fait prendre conscience que c'est loin d'être terminé. Il se cambre pour tendre son sexe vers moi, tout en râlant comme un pendu :
- Haaaaaaaan... Haaaaaaaaan...
Je le prends en bouche, presque instinctivement et je serre bien les lèvres autour de la colonne turgescente pour accueillir le reste de sa semence. Il y en a plus que prévu. Beaucoup plus. Je n'ai pas envisagé de l'avaler, mais comme l'éjaculation semble ne pas se tarir, je me vois dans l'obligation de déglutir pour faire de la place. Quand Luc semble enfin vidé, il retombe allongé en arrière sur le bord de la piscine et lâchant un profond soupir. Je me redresse, heureuse :
- J'adore quand tu perds le contrôle, mon chéri.



Il met un peu de temps à reprendre son souffle et finit par me répondre :
- Je n'ai rien pu faire. C'est toi qui m'as fait perdre le contrôle. Je te l'ai dit, tu as un contrôle total sur moi.
- Tu veux dire que tu es mon jouet sexuel pendant le reste des vacances ?



Il rigole, sans répondre. Je pense que l'idée ne lui déplaît pas. Et moi non plus. Je décide de le narguer. Je me redresse et me décale là où le bassin est moins profond pour avoir les fesses hors de l'eau.
- C'est dommage que tu aies éjaculé si vite... J'avais d'autres projets.
J'abaisse alors ma culotte lentement.



Luc se redresse en fronçant les sourcils :
- Oh, non. Ne fais pas ça...
- Pas quoi ? C'est bien toi qui voulais que je me mette nue, non ?



- Oui...
- Tu regrettes que je t'aie sucé ?
- Bah non. Tu es plutôt douée.
Zut, je scotche sur le "plutôt douée" puisque je m'imagine aussitôt qu'il me compare à Angela. Est-ce qu'elle lui a déjà sucé les couilles ? Probablement, une salope comme Angela doit avoir ça dans le sang. Je dois arrêter de penser à elle.
- Luc, tu ne me rejoins pas ?



- Je reprends mon souffle. Je reprends mes esprits... Bref, je reprends un peu tout. Tu m'as vidé !
- Hihi, j'ai vu ça, oui.
- Mais je sais ce que tu veux. Et ne t'inquiète pas, tu auras le droit à un orgasme.
- Un seul ?
Je sors lentement du bassin, exposant volontairement ma croupe à Luc.



- Ah diablesse. Je vais bientôt être en mesure de te donner tous les orgasmes que tu voudras.
- Oh, te voilà bien présomptueux !
- Je ferai de mon mieux.
- Tu as intérêt parce que tu n'imagines pas à quel point je mouille !



- Si, j'imagine assez bien... Mais il va falloir que tu patientes quelques minutes, Juliette.
- Dans ce cas, une douche fraîche me fera le plus grand bien.
Je vais ouvrir le robinet de la douche à côté de la piscine. L'eau est tiède, puis plus fraîche.



Je me mets sous le jet et profite de sentir l'eau couler sur ma peau. Luc me regarde :
- Là, tu vas m'aider à retrouver une forme olympique...
- Une simple douche te fait de l'effet ?
- Ce n'est pas la douche. C'est toi ! L'eau qui coule sur tes courbes...
- Alors, profite...



Toujours pour le narguer, je me cambre et lui expose ma croupe. Dans cette position, je pense qu'il voit ma moule et l'eau qui ruisselle dessus.
- Et puis, Luc, ne t'en fais pas. J'ai déjà eu un orgasme tout à l'heure sur la plage...
- Ah, ne remue pas le couteau dans la plaie !
- Et toi ? Tu ne veux pas venir remuer ton couteau dans ma plaie ?



Nous rigolons.
- Bah, regarde. Je pense que je suis apte au service, non ?
Je me retourne et constate qu'il bande effectivement généreusement à nouveau.


images similaires


- Alors qu'attends-tu pour venir me rejoindre ?
- Sous la douche ?
- Oui. Ou dans la piscine, si tu préfères ?



Mais c'est alors que surgit Joann, toujours totalement nu. On l'avait oublié, celui-là...
- Bien, je vois que vous vous êtes enfin décidés. Alors, pas si difficile ?
Luc, exposant son membre fièrement en érection, lui sourit :
- Non, moi j'aime bien.
- Et vous, Juliette ?
Je me sens un peu gênée de répondre à des questions intimes au jardinier que je ne connais pas vraiment :
- Heu... Oui, c'est agréable.
- Excitant, non ?



Son regard sur mes seins m'indique qu'il a probablement noté que mes mamelons sont érigés.
- Je... non... c'est la douche. Elle est un peu froide.
- Ah non, je sais d'expérience qu'elle plutôt tiède. Votre ami semble l'assumer facilement, il ne faut pas avoir honte d'être excitée. C'est une réaction naturelle de vos tétons.
- Mais arrêter de mater mes tétons !
Je cache mes seins et me penche en avant.



Luc intervient en faveur de Joann qui semble embarrassé par ma réaction :
- Juliette, tu exagères ! Joann a vu tes seins tout à l'heure. Il m'a même semblé que tu lui exposais assez facilement.
- Oui, mais il n'était alors pas question de mon excitation.


images similaires


- Et alors ? Moi aussi je suis excité et je l'assume.
- Toi, je me demande si tu ne serais pas capable de te masturber devant Joann, tant tu es excité.
- Effectivement...
À ma grande surprise, Luc semble considérer cela comme un défi. Il empoigne son érection et fait coulisser sa main dessus en me faisant un grand sourire.



- Tu es vraiment un pervers...
- Tu veux dire épicurien ?
Joann fronce les sourcils :
- Un quoi ?
Luc lui répond :
- Un épicurien. Quelqu'un qui veut jouir de la vie.
Les deux gars me détaillent, considérant sans doute que jouir de la vie passe par moi.
- Eh ! Arrêtez de me mâter comme ça !



Luc se défend :
- Désolé, ma Juju, tu es tellement excitante. Regarde dans quel état tu me mets...
Je saisis la balle au bond :
- Toi, oui. Mais pas pour Joann qui semble assez indifférent à mes charmes.


images similaires


Joann réagit :
- Oh, Juliette, ne vous formalisez pas. Ce n'est qu'une question de contrôle. Je ne voulais pas vous embarrasser avec mon érection. Cela semblait vous avoir choqué hier, en haut de l'escalier.
Et il nous prouve qu'il maîtrise effectivement son érection : je vois son sexe gonfler, se tendre et se dresser. Magnifique.


images similaires


Joann sourit en voyant mon trouble :
- Juliette, ça vous choque ? Ou bien vous êtes à l'aise avec ça.
- Disons que ça ne me choque pas, mais je ne suis pas vraiment à l'aise non plus...



- Et qu'éprouvez-vous de cette situation ?
Je n'en reviens pas. Il est jardinier ou psychologue ? Comme je tarde à répondre, c'est Luc qui le fait à ma place :
- Je crois que ça l'excite, si j'en juge par ses mamelons et son regard sur vous.
- Luc ! Tu exagères !
Je leur tourne le dos pour qu'ils arrêtent de se servir de mes mamelons érigés comme argument pour me faire admettre que je suis excitée par leurs érections.


images similaires


- Oh, ne te fâche pas, ma Juju. C'était pour rire.
J'attrape une serviette et commence à me sécher, mal à l'aise d'être nue entre ces deux hommes en érections. Immanquablement, je ne peux qu'assimiler cette situation à celle d'Angela.
- C'est bon, je vais aller préparer le repas. Il est déjà tard.



Bien sûr, Luc négocie.
- Allons, Juliette. Reste un peu. Je m'en occuperai après du déjeuner.
- Après quoi ?
- Je ne sais pas, on discute. C'est intéressant de partager avec Joann ce qu'on ressent à faire du nudisme, non ?
- Eh bien, discutez-en et tu me feras un résumé pendant le repas.



Je souris en imaginant Joann et Luc parler quéquette tous les deux et s'autocongratuler sur leurs érections respectives. Évidemment que ma présence féminine est indispensable à cette discussion puisque la finalité est de parler de choses excitantes pour faire monter la tension. Me voyant pousser la porte de la villa, Luc exprime sa déception :
- On a l'air de quoi nous ?
- De deux mecs à poil au bord d'une piscine !




Episode précédent <<< Angela - épisode 10 : Gâterie à la piscine >>> Episode suivant

Retour à la liste : par date - par série - par auteur - par vote
http://lisastory.free.fr - site réservé aux adultes, strictement interdit aux moins de 18 ans - dernière mise à jour : 7 juin 2025 - Remonter