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Angela - épisode 11 : Repas sur la terrasse Dimanche 31 juillet 12:54 Chose peut-être étrange, pour le repas, ma pudeur m'interdit de rester nue et, avant d'aller préparer le repas, je monte à la chambre passer une culotte, un soutien-gorge et un tee-shirt léger. Quand Luc vient enfin me rejoindre dans la cuisine, je viens de terminer de préparer une grosse salade niçoise pour le déjeuner. Il s'étonne de ma tenue : - Qu'est-ce qui se passe ? Tu as froid ? - Non. Juste que je ne me voyais ni cuisiner, ni déjeuner à poil. - C'est dommage... - J'ai quand même pris de la lingerie sexy. Tu aimes ? Je soulève mon tee-shirt pour lui montrer ma culotte dont la dentelle permet d'apercevoir ma minette. ![]() Luc ne semble pas emballé : - Oui, pas mal, mais j'aurais préféré sans. - Tu vas devoir te contenter de ça jusqu'à la fin du repas. Je n'ai jamais dit que je terminais la semaine à poil. - Non, tu as raison. Il faut faire des pauses. Tu veux que je passe un short ? - Tu fais comme tu veux. Moi ça me va si tu restes à poil. Cela me permet de voir ton... émotion. ![]() - Alors toi, tu t'habilles et moi je dois rester à poil ? - Ah non. Tu fais ce que tu veux. Mais te connaissant, je suppose que tu vas chercher à m'exhiber ta queue le plus possible pour me mettre en appétit. Luc sourit : - Tu commences à bien me connaître... Mais tu es tellement habillée que ma queue ne va pas se montrer sous son meilleur jour... - Même avec mon tee-shirt transparent ? - On voit que tu as un soutif en dessous... - Oui, mais regarde : c'est aussi de la dentelle transparente... Je soulève mon haut pour lui dévoiler ma lingerie. ![]() Là encore, Luc ne montre pas un grand enthousiasme : - Oui, c'est joli. - Juste joli ? Même pas excitant. - Bah, vois par toi-même. Il me désigne son sexe légèrement gonflé, mais pas du tout dressé. - Effectivement, tu ne sembles pas sensible à ma lingerie... ![]() Luc semble presque embêté : - Désolé, ma Juju... Cela étant, je suis d'accord qu'avec toute l'excitation que l'on a subit depuis notre arrivée ici, une pause ne fera pas de mal. - Je suis quand même un peu vexée que ma lingerie te fasse si peu d'effet. - Ce n'est pas ta lingerie, je pense que c'est moi. Je suis certain que si on demande à Joann, il la trouvera très excitante. Il veut que je demande à Joann son avis sur ma lingerie ? Cette remarque m'a tellement surprise que je veux qu'il prenne conscience de ce qu'il vient de proposer. - OK. - Quoi "OK" ? Je sors donc sur la terrasse et pars retrouver Joann qui est en train de passer le râteau sur la pelouse, totalement nu. ![]() J'en profite pour admirer son charmant fessier avant de l'interrompre : - Joann ? On voulait vous demander quelque chose avec Luc. Il pose son râteau et se tourne vers moi - Oui ? - Qu'est-ce que vous pensez de ma tenue ? ![]() Ma question ne semble pas le gêner et il semble même ravi d'avoir un prétexte pour me détailler. Curieusement, Luc reste en retrait et écoute passivement. Joann finit par me dire : - C'est une tenue très sexy. Le jeu de transparence est très bien choisi. - Pourtant, ça ne vous fait pas bander tellement... - Votre tenue est sexy, mais elle n'est pas coordonnée au contexte. ![]() Celle-là, je ne la comprends pas : - Coordonnée au contexte ? - Oui. C'est une tenue qui, à mon sens, est beaucoup trop déshabillée si vous comptez la mettre en public, et à la fois trop habillée pour vos vacances dans cette villa. Je me retourne et vois le sourire de Luc, satisfait de la réponse du jardinier. - Je vois, vous vous liguez contre moi. J'accepte de faire un effort. Sans retirer mon tee-shirt, je passe mes mains en dessous pour dégrafer et retirer le soutien-gorge. Je le présente aux garçons, sachant qu'ils regardent davantage ma poitrine qu'ils devinent par transparence sous le tissu de mon haut. ![]() Luc hoche la tête : - C'est effectivement déjà mieux. - Et tu n'obtiendras rien de plus ! - Je suis têtu. - Je sais. Et moi j'ai faim. Allons manger. ![]() À la fin de repas, je constate que Luc bande un peu : - Alors ? Il y a aussi des tenues qui peuvent être excitantes, non ? - Oui, j'aime bien deviner tes seins par transparence, surtout quand ils bougent sous ton tee-shirt. Et toi, ça t'excite de me voir bander ? - Regarde. J'écarte les cuisses pour qu'il puisse voir ma culotte un peu humide. ![]() Il fait la moue : - Charmant, mais on ne voit pas grand-chose avec cette culotte... - Quoi ? - J'imagine que tu veux me montrer que tu mouilles ? - Oui... ça ne se voit pas ? ![]() - Tu veux que j'aille chercher Joann pour lui demander son avis ? Je le sens très sarcastique... - N'exagère pas. Quoique tu en penses, je ne la retirerai pas. Tu vas devoir te contenter de ce que tu vois à travers la dentelle. ![]() - Oui, mais c'est toi qui veux me montrer que tu mouilles. Moi je ne vois pas tant que ça à travers la culotte, donc je te le dis. C'est tout. - Ah d'accord. Tu m'informes. Tu n'éprouves aucune frustration à ne pas voir ma minette qui dégouline de mouille ? - Oui, forcément, si tu commences à me parler comme ça, ça ne va pas arranger les choses. - Arranger quoi ? Ta queue que je vois se dresser de plus en plus ? ![]() images similaires - Oui, je crois que ça m'excite davantage de parler sexe avec toi que de te voir en petite tenue. - Ah ? Donc on ne se regarde plus ? On ne se touche plus ? On se contente de discuter ? C'est une conception très platonique de l'épicurisme, non ? - Tu vas trop loin dans ton interprétation. Parler de sexe ne remplace pas le sexe. On pourrait considérer ça comme un préliminaire, comme l'observation, les caresses... - Mmmmmm, moi, j'ai quand même besoin de caresses, Luc. ![]() - Évidemment... Tu les auras, c'est promis. - Et tu hiérarchises, ces préliminaires ? - Je dirais d'abord la discussion, ça fait monter la tension. Puis les jeux de regards et enfin les caresses. - Et là, on peut passer aux regards ? Je tire sur mon décolleté pour extraire un sein et lui exposer, comme si je lui présente le dessert. ![]() Nous sommes tirés de notre analyse érotique par la voix de Joann, dans mon dos : - Excusez-moi. Vous avez terminé votre repas ? Luc lui répond : - Heu, oui. - L'un de vous peut me donner un coup de main pour l'arrosage ? Je tourne la tête et vois que Joann présente une érection presque aussi fière que celle de Luc ![]() images similaires A-t-il entendu notre conversation sur les préliminaires pour être excité ainsi ? Avant que Luc ne réponde, je me lève : - Est-ce que ça nécessite de la force ? - Pas particulièrement. - Alors, j'arrive. Luc va en profiter pour ranger la table. Je suis Joann dans le jardin sous le regard amusé de Luc. Il a vu que mon décolleté bâille sur un sein. Joann ne semble pas l'avoir remarqué. ![]() Il me présente un tuyau d'arrosage qui passe sous la haie : - Voilà, je suis en train d'arroser derrière, mais au passage de la haie, le tuyau se plie et bloque l'eau. - Ok, vous voulez que je le soulève pour que ça coule mieux ? Je prends le tuyau et le monte en l'air. Je vois que Joann apprécie ma pose et que son regard s'intéresse plus à mes fesses qu'à la position du tuyau. ![]() Il finit par dire : - Heu non, pardon, ce n'est pas comme ça. Vous voyez, ça plie encore davantage le tuyau, au contraire, il faut prendre de part et d'autre du pli pour le forcer à rester droit. Ce n'est pas difficile, mais ça me permettra de terminer l'arrosage de cette partie. - Ah d'accord. Et vous, vous êtes donc de l'autre côté de la haie avec votre tuyau. En prononçant le dernier mot, je ne peux m'empêcher de laisser tomber mon regard sur son membre toujours en érection. Joann voit mon regard et semble un peu gêné. Il tente de forcer son sexe vers le bas, mais sa belle tige est bien trop tendue. - Excusez-moi, Juliette. ![]() images similaires - Oh ne vous excusez. Il me semble que c'est une réaction bien naturelle, non ? - Oui. Je ne suis pas insensible à votre charme. Il passe de l'autre côté de la haie. - Tant mieux, j'ai cru plutôt que je ne vous motivais pas beaucoup, même en culotte. ![]() - Disons que j'arrive parfois à me contrôler vu que ça m'arrive fréquemment de travailler nu. Mais là, c'est quand même difficile. - Mais dites-moi, j'ai une question, peut-être un peu personnelle... À être nu avec des locataires, il n'y a jamais eu de dérapage ? Vous n'avez jamais rien fait avec des locataires ? - Oh, habituellement, ce sont des couples nudistes beaucoup plus âgés. Personnellement, les femmes de soixante ans, même bien conservées, ce n'est pas mon truc. En revanche, j'en ai vu certaine qui se masturbait en me regardant travailler, sans doute attirées par ma jeunesse. - Je peux le comprendre... Je me penche en avant pour maintenir le tuyau d'arrosage droit et l'empêcher de se plier. Dans cette position, je sais que j'offre à Joann une formidable vue sur mes seins nus dans mon décolleté. ![]() - Comme ça, c'est bon ? - Oui, parfait ! Le débit est normal. Il pense sans doute que le bas de son corps est bien caché derrière la haie, mais je parviens à voir pas mal de choses. Tandis que je sens son regard qui explore mon décolleté, je vois son sexe se gonfler et se tendre significativement. ![]() Tout cela commence à m'exciter passablement. C'est un jeu de voyeurisme particulièrement chaud puisque Joann regarde mes seins en pensant que je ne le vois pas et moi je regarde son érection se former peu à peu. Sait-il que je le regarde ? J'entends alors du bruit derrière moi. Luc, toujours nu lui aussi, a fait une approche discrète par le côté de façon à ce que Joann ne puisse pas le voir. Mon homme est maintenant accroupi derrière moi. Ses chuchotements sont couverts par le bruit de l'arrosage. - Mmmm... Voilà une culotte de dentelle qui semble plus mouillée que tout à l'heure. ![]() Tout bas, je lui explique : - Notre jardinier a les yeux perdus dans mon décolleté, et il bande joliment. - Vous êtes donc tous les deux bien occupés. Je ne m'y attends pas du tout : Luc attrape ma culotte et me l'abaisse jusqu'aux chevilles. Maintenant, il est évident que ma fente trempée de cyprine exprime mieux que des mots mon excitation. ![]() images similaires Luc pose une main sur ma hanche. Je pense qu'il veut me caresser, mais en réalité, il imprime une légère pression pour me déséquilibrer. - Voilà qui est mieux... Je comprends d'où il tire sa satisfaction : pour me rééquilibrer, j'ai dû écarter les jambes, quittant ainsi définitivement ma culotte et exhibant ma vulve au regard de Luc. ![]() Toujours murmurant, il commente ce qu'il voit : - Oh, mais c'est que tu mouilles encore plus que je le pensais. Je veux lui dire d'arrêter, mais j'ai peur que Joann ne finisse pas détecter la présence de Luc. Il s'approche derrière ma croupe et je peux sentir son souffle sur ma moule. ![]() Luc ne résiste pas longtemps, pour mon plus grand plaisir : - Mmmmm, tu mouilles tant qu'on crève d'envie d'y glisser quelque chose. En l'entendant murmurer cela, je n'ai qu'une envie. Qu'il se relève, se dévoile à Joann, et me prenne en levrette devant le jardinier. Il en a certainement envie lui aussi. Pourtant, à ma grande surprise, Luc reste accroupi derrière moi, et il se contente de glisser son index dans ma fente pour me masturber lentement. ![]() L'érection de Joann semble être à son maximum. Je suis très fière que mes seins puissent le stimuler autant. Cependant, je prends soudain conscience que vu la profondeur de mon décolleté, il doit certainement voir bien plus que mes seins. Probablement voit-il mon ventre, peut-être mon sexe et sans doute Luc, entre mes cuisses qui est en train de me câliner les fesses et le sexe. Finalement, c'est un jeu de dupe. Joann sait que Luc est là. Il sait probablement que je regarde sa prodigieuse érection. Chacun offre à l'autre ce qu'il veut voir et fait semblant que ce soit accidentel. J'adore m'exhiber ainsi. ![]() Et le jeu commence à prendre des proportions incontrôlables. Sans doute que les mouvements de mon bassin trahissent mon plaisir d'accueillir le doigt inquisiteur de Luc. Je ne le vois pas, mais je suis certaine qu'il bande lui aussi autant que Joann. Je sais que je commence à avoir le souffle court. Joann doit probablement voir mes mamelons s'ériger. Moi-même, je les sens se tendre. Tout cela doit être trop excitant pour le jardinier. Il pose le tuyau d'arrosage au sol, coincé entre deux troncs d'arbustes de la haie, et porte la main à son sexe pour se masturber lentement. ![]() images similaires Il a les yeux toujours rivés dans mon décolleté. Sans doute voit-il le doigt de Luc quitter ma moule. Sans doute voit-il son menton s'approcher. Sans doute a-t-il perçu mon tressautement quand la langue de Luc s'est insinuée dans ma fente humide. Sans doute a-t-il entendu mon frémissement de plaisir : - Tout va bien, Juliette ? - Oui... J'ai du mal à formuler ma réponse avec la langue de Luc qui me fouille la vulve. ![]() images similaires - Je... Il faut encore arroser beaucoup ? - Oui, c'est très sec. Tout est bu au fur et à mesure. Et là, nouvelle surprise. La langue de Luc remonte plus haut et s'attarde sur mon petit trou. Il tourne autour et tente parfois de tendre sa langue comme une lance pour se glisser dans l'étroit canal. ![]() Là, ce n'est plus un frémissement, mais un terrible gémissement incontrôlable : - Ooooooh ! Joann sait très bien de quoi il s'agit, car il voit tout d'où il est. Toutefois, il continue à jouer le jeu de l'innocence : - Ne vous en faites pas Juliette, c'est bientôt terminé et je n'aurai plus besoin de vous. Est-ce une phrase à double sens ? Parle-t-il d'une prochaine éjaculation suscitée par décolleté ? ![]() - Je... Cela ne me dérange pas de vous aider... De l'autre côté de la haie. Joann semble avoir définitivement abandonné le tuyau d'arrosage et s'occupe d'un manche plus court, mais autrement plus large. Je suis fascinée de voir sa main astiquer son membre avec un rythme de plus en plus soutenu. Je soupçonne qu'il soit effectivement sur le point d'éjaculer. ![]() images similaires Difficile pour moi de me concentrer sur ce spectacle pourtant magique. Luc n'en finit pas de me câliner. Je ne sais plus ce que je veux. Ne pas jouir devant le jardinier ? Me laisser aller et montrer à Joann comment je suis pendant un orgasme ? Finalement, qu'importe ce que je veux : Luc a décidé pour moi. Comment pourrais-je l'arrêter maintenant ? Le voudrais-je seulement ? La honte serait de jouir alors que Joann ne prévoit pas d'éjaculer. Ne pas jouir sera difficile pour moi puisque Luc me prend d'assaut par plusieurs fronts. Sa langue semble toujours chercher à forcer mon passage secret tandis que ses doigts tentent de s'insinuer par la porte principale déjà entrebâillée. ![]() Je me laisse aller au plaisir de ces douces intrusions. Mais l'assaut final est soudain donné : la langue insiste sur mon anus ; je sens le majeur me pénétrer profondément, puis me pistonner avec une cadence soutenue. J'y suis. - Hhhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! C'est un orgasme. Joann ne peut s'y tromper. Mon corps est pris de spasme. Je perds presque l'équilibre, mais Luc me tient fermement et continue son invasion sans faillir. ![]() Je perds presque conscience. Pourtant, j'entends très nettement un râle profond, retenu : - Onhhhhhhhhhhhhhhhhhhh... C'est Joann qui éjacule, presque synchronisé avec mon orgasme. Je me force à rouvrir les yeux pour voir les longues giclées de sperme venir souiller l'herbe trempée au pied de la haie. ![]() Dès que je reprends un peu mon souffle et mes esprits, je me retourne pour voir mon bienfaiteur. Luc s'est arrêté. - Quand un jardinier te demande d'arroser, tu paies de ta personne. Il est à genoux et sourit bêtement. Je sens un long filet de cyprine s'échapper de ma fente et comprends sa remarque. ![]() images similaires Luc se penche sous ma fontaine et tend la langue et me disant : - Merci, ma Juju... Il recueille le fruit de mon plaisir et remonte pour finalement faire terminer la course de sa bouche sur ma moule et me la sucer doucement, m'arrachant encore quelques soubresauts de plaisir. ![]() Je me redresse enfin. Luc s'éloigne déjà, repartant d'où il est venu, comme un voleur. Pourtant, il m'a plus donné que volé. Je regarde au sol derrière moi et ne vois aucune trace. Il ne semble pas avoir éjaculé. Cela m'aurait pourtant amusée. Je le vois réapparaître au niveau de la villa. Son profil ne laisse pas de doute : il est encore en érection. J'entends la voix de Joann et, encore sous le coup de mon orgasme, je me retourne vers lui : - Je crois que ça ira. - Oui, c'est assez mouillé ? ![]() - Oh oui, tant qu'assez. Mais, dites-moi, Juliette, vous n'aviez pas une culotte tout à l'heure ? Je prends alors conscience de ma tenue débraillée : mon tee-shirt a glissé de mes épaules et dévoilent mes seins, tandis qu'il est retroussé sur mon ventre, laissant visible mon sexe, heureusement bien nettoyé de sa cyprine par la langue savante de Luc. ![]() - Oups, excusez-moi... - Oh ne vous excusez pas. Cette petite séance d'arrosage a été plaisante pour tout le monde, n'est-ce pas ? - Oui, plutôt ! Joann me fait un grand sourire et je peux constater que, malgré son éjaculation, il affiche encore une fière érection. ![]() Il voit mon regard fasciné. - Héhé, désolé. Là, je n'ai pas contrôlé... - Tout le plaisir est pour moi... Mais pourquoi je fais cette vanne-là au jardinier qui est à poil devant moi et qui vient d'éjaculer sous mes yeux ? Je me redresse vivement, ne sachant pas trop que penser de ce qui vient de se passer. ![]() Un mec presque inconnu s'est masturbé en regardant mes seins et a fini par éjaculer. Mon mec m'a arraché ma culotte et m'a donné un orgasme devant ce presque inconnu. D'où a pu lui venir une telle idée ? Était-ce le genre de jeux auxquels il jouait avec Lionel quand ils étaient avec Angela ? Tiens, je repense à elle, mais après, cette fois-ci. Il y a du mieux. Et si c'est Angela qui a appris tout cela à Luc, il faudra que je la remercie si je la croise. Ces petits jeux ont été du grand n'importe quoi, mais, avec du recul, cela m'a beaucoup excitée et je crois que j'aimerai beaucoup recommencer. Je vais aller aider Luc à débarrasser et à ranger, puis je lui proposerai qu'on retourne à la plage. |