|
Angela - épisode 14 : Mise au point Dimanche 31 juillet 20:13 La fin d'après-midi a été très calme. Après une douche indispensable, je suis venue rejoindre Luc et Lionel qui lézardaient à côté de la piscine. Bien que ce côté soit bien ombragé, il faisait très chaud et seul le bruit des vagues un peu plus bas nous apportait un semblant de sentiment de fraîcheur. J'ai imité les garçons et je me suis laissée aller à une petite sieste. En réalité, je me suis franchement endormie. ![]() Quand je me réveille, le soleil est déjà bas. Luc sort de la piscine et me regarde en souriant. - On s'est tous endormis comme des larves ! Lionel et moi, on a rouvert les yeux il y a une heure seulement. Il est reparti il y a une demi-heure et j'en ai profité pour faire quelques longueurs. - Mince, j'ai dormi presque trois heures ? - Oui. On t'a laissé dormir, mais je t'avoue qu'on a tous les deux eu très envie de nous occuper encore de toi, vu la position dans laquelle tu dormais. - Vous auriez dû... ![]() Luc sourit et commence à avoir une érection. Comme il s'approche de moi, je regarde l'heure sur mon portable. - Mince, huit heure et quart. Tu veux manger quelque chose ? - J'ai préparé une salade pendant que tu dormais. Lionel m'a donné un coup de main. - Oh ! J'ai manqué ça ? - Quoi donc ? - Deux mecs à poil qui font la cuisine, j'aurais trop voulu voir ça ! ![]() Luc file dans la maison : - Installe-toi sur la terrasse, je vais chercher le repas. Quel gentleman ! Je suis même surprise qu'il ne me saute pas dessus. Toutefois, je ne tiens pas à manger nue, je retourne donc chercher de quoi me vêtir dans la villa. Quand je passe devant la cuisine, Luc est en train de charger un plateau avec la vaisselle et un grand saladier apparemment bien garni. Quand je redescends, vêtue d'une courte tunique flamboyante, mon chéri a dressé la table sur la terrasse et m'attend. En m'asseyant face à lui, je constate qu'il est resté nu. Il me demande : - Tu as eu peur d'avoir froid ? - Non, un soupçon de pudeur pour me mettre à table. ![]() - J'avoue que ça me fait bizarre aussi. - Et Lionel ne voulait pas rester manger avec nous ? - Non, il avait un rendez-vous en ville. - Dommage... - Plains-toi ! Je crois que tu as été particulièrement bien servie pour cette première journée, non ? - Oui, mais j'ai quand même trouvé curieux que tu m'aies laissée aux mains de deux inconnus sur la plage ce matin. ![]() - Je voulais voir comment tu réagirais. - Tu voulais savoir si je te tromperais ? - Non, je ne le vois pas comme ça. Je voulais voir si tu étais capable de profiter de la situation pour ton propre plaisir. - C'est quand même une drôle d'idée... Tu ne trouves pas ? ![]() - Tu m'as semblé en avoir plutôt bien profité, non ? - Oui, ça m'a beaucoup excitée... Et toi aussi. D'ailleurs, j'ai beaucoup aimé te tailler une pipe dans la piscine. - Héhé ! Moi aussi... - Par contre, je t'ai trouvé gonflé de me donner un orgasme pendant que j'aidais Joann à arroser le jardin, et qu'il se rinçait l'œil dans mon décolleté. ![]() - Ah oui ? Tu regrettes ? - Non, c'était délicieux, mais dangereux... - C'est ce qui fait tout le sel de la chose. Et puis tu t'es rincé l'œil sur l'érection de Joann, non ? - Tu parles, il se masturbait carrément. Il devait croire que je ne le voyais pas. ![]() - Et tu as aimé passer un peu de temps avec Lionel sur la plage ? - Disons que ça m'a permis de faire connaissance avec lui. - C'est bien que vous ayez pu vous présenter l'un à l'autre. - Il m'a aussi parlé un peu de toi... - Il m'a dit que c'était surtout toi qui t'étais intéressée à Angela. - J'avoue que je suis assez gênée de me retrouver ici avec toi et Lionel en sachant ce que vous aviez vécu tous les deux avec Angela. ![]() - Tu ne crois quand même pas que je puisse envisager de reproduire cette situation avec toi ? - J'avoue avoir des doutes. Je suis certaine que cette idée t'excite. - Oui, ça m'excite, mais ne doute pas que notre amour soit la priorité. - Là, rien qu'à en parler, je suis sûre que tu bandes. Il sourit et se lève pour que je puisse contrôler son état. Son sexe n'est malheureusement pas en érection, mais il est quand même bien gonflé. ![]() - Tu vois, je ne bande pas. - Tu es quand même un peu excité, ne le nies pas. - Oui, ta petite tunique dévoile tes cuisses très haut et je fantasme déjà à l'idée de te retirer ta culotte. - Et tu ne le feras pas ! - Tu n'aimerais pas ? Pour lui faire comprendre qu'il ne pourra pas me la retirer puisque je n'en ai pas mise, j'écarte les cuisses. ![]() Je vois Luc rayonner : ses yeux pétillent, sa bouche s'élargit en un large sourire, son sexe se gonfle et se tend. - Oh, la coquine ! - Ah, je préfère voir cette réaction... Mais je pense que tu banderais déjà comme un âne si Lionel était là pour plonger son regard entre mes cuisses. - Tu es dure avec moi. - Mais toi, tu es encore un peu mou... ![]() - La journée n'a pas été de tout repos. - Oh, tu ne serais pas prêt à t'occuper de moi ? - Bien sûr que si ! - Alors, je vais te donner un peu de matière... Il sourit en me voyant commencer à délacer le décolleté de ma tunique. ![]() Il m'interroge : - Et maintenant que tu connais un peu Lionel, tu t'exposerais ainsi devant lui ? - Sur demande, certainement pas ! Mais tout dépend du contexte. - Par exemple s'il fait trop chaud ? Ou s'il te convainc que les traces de bronzage sont disgracieuses ? - Un contexte, une situation, ça se met en place, ça ne peut pas se résumer en une phrase. - Un peu comme des préliminaires ? - Exactement. J'écarte les pans de ma tunique pour exposer ma poitrine. ![]() Luc ouvre grand les yeux. C'est dingue comme mes seins peuvent agir comme des aimants sur ses yeux. Son sexe se redresse enfin. - Voilà ! Tu commences à être sensible à mes charmes. - Je suis toujours sensible à tes charmes, ma Juju. ![]() J'ai les cuisses écartées. Il me détaille. Je vois son regard faire la navette entre mon sexe, mes seins et mon visage. Il attend. J'attends. Il attend que je lui propose de venir me prendre ? Mais on vient de parler de préliminaires, cela ne collera pas. Il réfléchit. J'attends. C'est excitant de sentir ce pouvoir : il ne veut pas me décevoir. Il n'agit pas selon son instinct. Il veut arriver à ses fins, mais pas par la force. Il veut que ce soit moi qui l'invite. ![]() - Ce que tu vois te plaît ? - Beaucoup. Et toi ? - Oui, j'adore voir ta queue tendue ainsi. C'est un message fort sur le désir que je t'inspire. - Mais je ne sais pas si je vais me contrôler longtemps... - Approche. ![]() Luc semble presque intimidé. Il vient me rejoindre et semble attendre mes instructions. - Moi, je vois que tu me désires. Toi, tu veux voir si je te désire ? - Oui... Je prends sa main et la pose sur mon ventre. Je laisse ses doigts explorer ma fente et se rendre compte à quel point je mouille. ![]() Mais là, je sens que je perds le contrôle. Ses doigts sont doux et trouvent vite mon clitoris. C'est un interrupteur sensible qui me fait perdre tout discernement. Il a pu se rendre compte de mon état et il sent sans doute déjà que je ne lui refuserai rien. Je veux qu'il me prenne, mais je ne lui demanderai pas. Il doit le sentir, me comprendre, me connaître. Après m'avoir caressée longuement, quand il vient se mettre entre mes cuisses, le sexe dressé haut, je crois qu'il va me pénétrer et je n'attends que ça. Pourtant, il semble vouloir accorder plus d'importance à mon plaisir qu'au sien et j'ai l'agréable surprise de le voir s'agenouiller et plonger sa bouche sur mon sexe pour le lécher délicatement. ![]() Merde ! Il va me faire jouir trop vite s'il continue comme ça. Je ne veux pourtant pas lui dire qu'il doit prendre garde à faire des pauses s'il ne veut pas que j'explose. A-t-il deviné mes pensées ? Il redresse la tête : - Une vraie fontaine, ma Juju ! Sans doute attend-il que je le supplie de me prendre. À défaut, sa langue repart à l'assaut de mon clitoris. ![]() Et devinez quoi ? La question qui me brûle les lèvres à ce moment-là, c'est : est-ce que Angela lui disait ce qu'elle désirait ou bien est-ce qu'il la connaissait assez pour connaître ses attentes ? Pourquoi faut-il toujours que je pense à Angela dans ces moments-là ? Pourquoi faut-il que je me sente obligée de me comparer à elle ? Luc me fait heureusement redescendre au présent, à lui, à nous : tout en laissant sa langue poursuivre son manège sur mon joystick, je le sens introduire son majeur dans ma fente. ![]() Bon sang ! Quel délice... J'attendais une pénétration, mais, par manque de souplesse, il n'aurait pas pu me gratifier d'un cunnilingus en même temps. Les yeux fermés, je profite donc de cette délicieuse attention. Il me masturbe doucement, comme si ma minette était fragile. Il veut faire durer le plaisir, et j'adore ça. Pourtant, après une trop courte minute, il retire son doigt et se redresse : - Que tu es belle ainsi offerte ! Je me sens dégoulinante de mouille, mon coquillage probablement grand ouvert en attente d'être comblé. ![]() images similaires Je redresse la tête. Il s'est assis face à moi. Il affiche une érection magistrale et me dit : - Qu'est-ce que tu m'excites, ma Juju... - Alors, pourquoi tu ne viens pas me prendre ? - Justement parce que je suis trop excité ! Regarde comment je bande ! ![]() Force est de constater que le bougre a une trique plus conséquente qu'à son habitude. - Moi aussi, je suis super excitée. Je suis sûre que ça ira. Je me redresse pour quitter ma tunique. ![]() Luc semble hésiter : - Je vais attendre que ça retombe un peu... - Tu déconnes ? J'ai envie d'essayer ton format XL, moi ! ![]() - Mais je vais te faire mal, non ? J'écarte grand les cuisses : - Regarde ma minette. Est-ce qu'elle ne te semble pas être toute disposée à être comblée ? ![]() - Arrête ! Tu m'excites encore plus... - Alors, viens et mets-la-moi ! J'en peux plus d'attendre... Je me mets un doigt dans la fente pour qu'il se rende compte à quel point j'ai envie de sa queue. ![]() Il vient me rejoindre, la trique dirigée vers mon ventre, telle une lance pointée pour mener l'assaut. Je ne compte pas me défendre, mais au contraire accueillir à jambes ouvertes ce vigoureux assaillant. Il appuie son gland contre mon coquillage humide. Un petit coup de reins le fait s'engager. Il poursuit par une lente intromission. Je le sens bien passer, c'est vrai qu'il est particulièrement gros. J'adore. ![]() Il s'interrompt presque, se contentant de très lents aller-retours : - Tout va bien ? - Oui... Pourquoi ? - Ton expression... Tu ne sembles pas apaisée, tu sembles même souffrir... - Je souffre de me dire que je regrette maintenant de n'avoir... mmmmh... pas découvert avant que tu puisses... haaaaan... être aussi gros... mmmmh... Et je serai apaisée quand on aura terminé... Ma réponse semble le rassurer et il prend un rythme plus soutenu. ![]() C'est comme si je suis pénétré par un sexe nouveau, plus vigoureux, plus gros. - Oh ouiii... C'est génial ! - Han... Oui... Je n'ai jamais été excité comme ça... - Mmmmmh... je note la recette... ![]() J'ai même l'impression qu'il grossit encore en moi. C'est une sensation fabuleuse. Sans doute apprécie-t-il que je le complimente sur cette partie particulière de son anatomie : - Oh Luc ! Tu es si gros... C'est si bon... Il ralentit la cadence. J'imagine qu'il se contrôle pour ne pas éjaculer trop vite. ![]() Je lui souris. Il me répond : - Je veux faire durer le plaisir... - J'avais compris... Mais moi, je crois que je ne vais pas pouvoir. Hannnn... Et je sens alors monter un terrible orgasme, irrépressible. Je me laisse aller... Il m'envahit. ![]() Luc ne bouge plus. Je l'imagine lutter pour ne pas jouir, ne pas succomber à toutes ces décharges électriques qui envahissent mon ventre et mes cuisses. Pourtant, il se retient. Quand mon orgasme s'atténue et que je commence à refaire surface, je sens mon amant se retirer lentement, abandonnant ma vulve encore vibrante. Nos souffles se mêlent à nos gémissements de plaisir. ![]() Je redresse la tête. Je me sens comme saoule. Il me sourit assis à nouveau face à moi, face à mon ventre pourtant encore offert à ses désirs. Comme fait-il ? Sa lance est toujours victorieusement tendue. Je vois les veines palpiter. - Tu tiens le choc ? - Oui... difficilement. Quelques secondes de plus et j'explosais. - Il ne faut pas que j'y touche, alors ? - On va attendre un peu, c'est plus sage. ![]() Je garde les cuisses écartées. J'attends qu'il soit prêt. Il m'accuse de ne pas l'aider : - Il faut que mon excitation retombe... Tu ne me facilites pas les choses. - Désolée, c'est plus fort que moi. Quand je vois une magnifique queue comme celle-là, j'écarte les cuisses pour qu'elle me prenne. - N'importe quelle queue ? - Mmmmh ? Oui. Je suis faible. Si Joann ou Lionel, ou même un illustre inconnu se présente en érection maintenant, je m'offrirai à lui sans réfléchir, comme une grosse salope... ![]() J'observe sa réaction. Il sait que je fantasme, que je ne ferai jamais un truc pareil, que je me donne un rôle. Celui d'Angela ? Mais je vois surtout que son sexe, qui avait commencé à se détendre, reprend une rigidité phénoménale. - Mince ! Apparemment, ça t'excite d'imaginer que je puisse m'offrir au premier venu ? - L'idée de te voir jouir par un autre ne me rebute pas... - En attendant, il n'y a que toi. Je vais m'en contenter. Je me positionne à quatre pattes sur mon siège, lui présentant ma croupe. ![]() - Rhaaa, tu es terrible ! J'ai besoin de me calmer et toi tu remets de l'huile sur les braises. - Oui, j'ai le feu au cul ! Et regarde, je crois que question huile, il y a ce qu'il faut... J'écarte mes fesses pour lui exposer ma moule que j'imagine luisante de cyprine. ![]() Luc se lève enfin, convaincu : - Tu es une sorcière ! Je ne peux échapper à ton sortilège. - Tant mieux. Il présente son sexe contre ma moule. Je n'ai qu'à donner un petit coup de reins en arrière pour que son gland s'engage en moi. - Mmmmh... c'est bon ! - Pourtant, je ne suis pas le premier venu... - Je vais faire avec... Aaaaah... ![]() Alors qu'il commence à doucement aller et venir en moi, je me penche sur la table, regardant vers le jardin, dans l'espoir d'y découvrir Joann ou même Lionel en train de nous épier. Luc surprend mon regard : - Mmmmh, tu t'assures que nous sommes seuls, ou bien tu aimerais justement que quelqu'un nous surprenne ? - Je... oooooh... je crois que... oooooh... j'aimerais qu'on nous regarde... aaaaah... ![]() - Tu as aimé t'exhiber dans la piscine devant Joann ? - Oui... - Tu as aimé le voir éjaculer dans le jardin ? - Oui... Je sens Luc grossir en moi. Il accélère aussi légèrement. J'écarte un peu les cuisses. Il va plus loin. ![]() - Tu as aimé masturber Lionel et le faire jouir ? - Oh oui... - Et qu'il explore tes orifices pendant que tu me suçais ? - Oh oui, c'était bon... - Il t'a mis un doigt dans le cul, non ? - Oui... c'était si bon... Oooooh... Luc fait glisser son doigt dans mon petit trou. Je suis au bord de l'orgasme... ![]() - Tu... han ! Tu as aimé qu'il te pénètre ? - Oh oui... Aaaaaaah... Aaaaaaah... ouiiiiiii... Un terrible orgasme me terrasse et je sens que Luc ne cherche pas à opposer la moindre résistance à son éjaculation : alors que j'ai l'impression que tout mon corps subi de violents spasmes de plaisir, plusieurs giclées de sperme brûlant viennent envahir mon ventre. ![]() Nous restons immobiles, imbriqués l'un à l'autre. Mon orgasme met un peu de temps à s'atténuer. Luc ne perd pas en vigueur, mais les palpitations de son sexe s'estompent elles aussi peu à peu. Je lui demande : - J'ai eu l'impression que ce sont mes écarts qui t'excitent le plus. - Tes écarts ? - Oui, quand je vois Joann éjaculer dans le jardin, quand je masturbe Lionel sur la plage ou quand il me prend en levrette. J'ai eu l'impression que ces évocations t'avaient particulièrement excité. - Pas toi ? - Si, un peu. Luc se retire et je sens une longue coulée de sa semence qui s'échappe de ma fente et s'écoule le long de ma cuisse. ![]() Je me retourne et le regarde. Il semble ravi. Je ne sais pas quoi penser. Est-ce normal que ça excite mon mec que je me tape d'autres mecs ? Il semble ne pas débander et du sperme s'échappe encore. - Tu es atteint de priapisme ? - Tu aimerais ? - Une belle queue comme ça, prête 24h/24, quelle fille n'aimerait pas ? ![]() - C'est que l'excitation est encore très présente... - Et tu dégoulines encore. - Tu n'as pas vraiment de leçon à me donner à ce sujet. Je sens effectivement toujours son sperme qui ruisselle de mon sexe. ![]() Puisqu'il bande encore, une idée me vient : - Tu sais ce que j'ai découvert aujourd'hui ? - Non... mais je sens que tu as envie de m'en parler. J'ai un souvenir ému de l'orgasme donné par Cédric ce matin sur la plage, puis de Luc me léchant le cul pendant l'arrosage de Joann, et enfin les doigts de Lionel dans mon petit trou quand nous étions à côté de la piscine. J'en fais l'aveu à Luc : - Le plaisir anal ! ![]() Il rigole. - Oui, j'ai vu à quel point ça t'avait excitée quand Lionel a exploré ta rondelle. - Et tu n'es pas fâché de passer après Cédric et Lionel ? - Ils ne t'ont mis que des doigts, non ? Il s'approche et me lèche le petit trou. ![]() C'est déjà tellement bon. Et je sais qu'après, même s'il me gratifie d'un ou deux doigts, il ne s'arrêtera pas là. - Tu te sens capable de remettre ça tout de suite ? - Évidemment. J'ai bien vu qu'il n'a pas débandé et, en plus, l'évocation de ma découverte du plaisir anal semble l'avoir encore plus excité. Il me montre que ma question est stupide et engage déjà son gland dans mon petit trou qui ne demande pas mieux. ![]() C'est divin. Sentir le sexe de Luc palpiter dans cette partie de mon corps est incroyable. Je mouille comme jamais et ma cyprine doit dégouliner, mélanger à son sperme. Peu à peu, il s'enfonce en moi. Et plus il va loin, plus c'est bon. Je prends conscience à quel point il est long, à quel point il est gros. Il ressort lentement. Il prépare la place. ![]() Et il s'y met enfin et commence à me limer sans précipitation : - Alors, c'est mieux que deux doigts, non ? - Oui... Et il va et vient en moi, de plus en plus vite. Je sens ma moule s'ouvrir à chaque assaut comme si elle réclame elle aussi son dû. ![]() Je ne peux pas dire combien de temps cela dure, car un orgasme formidable m'envahit. C'est, je crois, le troisième, depuis notre repas sur la terrasse. Sont-ce les agitations frénétiques de mon orgasme qui ont propulsé le sexe de Luc hors de son fourreau, ou bien est-ce un choix de sa part ? Toujours est-il que je le sens s'épancher sur mes fesses et dans mon dos, en plusieurs giclées, chacune accompagnée d'un râle conséquent. ![]() Après avoir recouvré mes esprits et retrouvé mon souffle, je tourne la tête et constate avec stupéfaction à quel point Luc a été généreux. - Mince, mais tu as déjà beaucoup éjaculé tout à l'heure, non ? - Oui... - C'est incroyable ! ![]() - Héhé, ce n'est pas pour rien qu'on parlait de ma corne d'abondance. - Qui ça "on" ? Je sens Luc gêné et j'ai déjà la réponse à ma question. Mais j'insiste : - Qui a dit que ta queue était une corne d'abondance ? ![]() Il doit savoir que j'ai déjà deviné, donc il me répond sans trop hésiter : - Angela. - Bien sûr. Une autre question me brûle les lèvres : a-t-il aussi sodomisé Angela ? Mais j'ai déjà la réponse là aussi. Comment pourrait-il en être autrement puisqu'ils faisaient ménage à trois. Elle a sûrement dû essayer d'être prise en sandwich. Mais je ne dois pas ressasser ça et arrêter de me comparer à cette fille. C'est le passé. Le présent, ça a été de magnifiques orgasmes et une journée qui est allée de découvertes en découvertes. Je mets Luc à l'aise : - Maintenant, cette corne est à moi ! ![]() Ma réponse rassure Luc : - Ma chérie, la sodomie te rend rayonnante ! - Sans doute, mais ça ne veut pas dire que cet accès est autorisé n'importe quand, ni par n'importe qui. - Bien sûr. Tu décides. - Et je décide qu'il est temps d'aller se doucher puis de se coucher. Et il fait si chaud que, après la douche, nous restons nus pour aller dormir. Malgré ma longue sieste de la fin d'après-midi, les nombreux événements et toutes les découvertes de la journée m'ont épuisée et je n'ai aucune peine à trouver le sommeil dans les bras de mon homme. ![]() |