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Angela - épisode 15 : Réparation matinale Lundi 1er août 9:09 Dès l'aube, le soleil donne sur la villa et la chauffe rapidement. La fin de la nuit ayant été plus fraîche, j'avais remis un débardeur. Là, il devait déjà faire plus de 25 voire 30 dans la chambre. C'est le portable de Luc qui nous réveille, une notification SMS. Il se lève pour le consulter et me dit : - Un message de Lionel. - Vous vous êtes échangé vos numéros ? ![]() - Oui. Je te lis le message. "Salut Luc. Bernard va passer ce matin pour la lampe. Il a d'autres petites choses à voir ici ou là dans la villa, donc n'hésitez pas à profiter de la piscine ou de la plage pour ne pas être dérangé." - Et Bernard arrive quand ? - Je ne sais pas. Il est peut-être en bas à attendre qu'on ouvre les volets ? - Merde, faut qu'on libère la chambre ? ![]() - Bah, pas forcément. Si tu préfères rester couchée, lui ça ne le dérangera sûrement pas de travailler avec une jolie nana peu vêtue à proximité. - Tu crois qu'il se mettra nu comme Joann ? - J'ai cru comprendre qu'il est beaucoup plus âgé puisque c'est un ami des parents. Pas certain qu'il soit à ton goût... - Qui te dit que je ne fantasme pas sur les hommes plus âgés ? Un homme qui a de l'expérience et qui sait ce qu'attend une femme... ![]() - Ah ? Parce que tu trouves que je ne comprends pas assez tes attentes ? - Je ne sais pas... Tu sais ce que je veux ? - Là, je dirais que tu veux que Bernard monte réparer cette lampe. Ta tenue le mettra mal à l'aise et guettera une bosse proéminente révélatrice d'une érection. - C'est pas mal. ![]() - Donc je descends et, s'il est là, je lui dis de monter ? - Hé attends ! Il s'agit d'un fantasme. Je ne sais même pas quelle gueule il a. Et toi, tu laisserais un type qu'on n'a jamais vu me mater le cul ? - Tu as un si joli séant. Pourquoi serais-je le seul à profiter du spectacle ? - Parce que tu es mon mec, peut-être ? ![]() - Oh, mais moi je profite de beaucoup plus qu'un simple spectacle. Je réfléchis quand même aux conséquences que pourrait avoir ce genre de petit jeu d'exhibition avec un inconnu : - Mais s'il essaye de me toucher ? ![]() Merde, j'espérais une réponse du tac au tac de Luc, me disant qu'il l'en empêcherait, mais ce n'est pas le cas et il semble réfléchir avant de me répondre : - Tout dépend de jusqu'où vont les attouchements... - Quoi ? Tu le laisserais me tripoter ? Et c'est quoi le seuil que tu tolères ? ![]() Nouvelle réflexion. - Écoute, ne t'en fais pas. Je serais de toute façon dans le coin pour veiller que ça ne dérape pas. - Je suis curieuse de savoir à quel moment tu estimeras que ça aura dérapé... Quand il m'aura mis un doigt dans la fente ou quand il me mettra sa queue dans le cul ? - Ne sois pas vulgaire. Il a raison... J'ai un peu honte de m'être laissée aller à ce vocabulaire. - Bon, va le chercher. Cette discussion commence à m'exciter et je n'exclus pas que ce soit moi qui lui saute dessus, au Bernard. ![]() - Vraiment ? - Bah oui. Tu ne m'as pas fait cette proposition en l'air j'espère ? Luc semble surpris de ma réaction. Il sourit. Et il bande. Il enfile un short et descend. J'entends des voix. Bernard est donc là. J'appréhende un peu. Est-ce qu'Angela pratiquait aussi ce genre de jeux d'exhibition ? Après quelques minutes, j'entends que quelqu'un monte les marches. On frappe à la porte. Je me redresse sur le lit : - Oui. ![]() La porte s'entrouvre. Laissant apparaître la tête d'un homme âgé, mais plutôt bien conservé. Mal rasé, cheveux hirsutes, torse puissant, grandes mains : plutôt pas mal, je dirais même sexy. Son regard tombe sur ma poitrine où il doit distinguer mes mamelons qui pointent à travers le tissu du débardeur. - Je... je viens pour la lampe. - Oui, Lionel nous a dit. - Je ne vous dérange pas ? - Non, allez-y. ![]() Il entre, portant une vieille boîte à outils métallique toute rouillée, et s'installe à genoux devant la table de chevet. Il ouvre sa boîte et saisit un tournevis. De l'autre main, il prend la lampe et la retourne. Il semble très concentré. Je veux voir si je peux le distraire un peu. Je me lève et vais à la fenêtre pour ouvrir les volets. Je sais que le débardeur est trop court pour couvrir mes fesses. Quand je referme la fenêtre, je vois dans le reflet de la vitre que le visage de Bernard est tourné vers mon dos et qu'il a les yeux exorbités. - Vous vous en sortez ? ![]() - Heu, oui. En fait, je crois que c'est un des câbles de la prise qui est déconnecté. Je vais ouvrir le boîtier pour voir. Après, il faudra que je m'occupe de la climatisation. Le bloc sur la terrasse semble mal fonctionner. - Oui, il fait si chaud que j'ai du mal à supporter un simple débardeur. Je commence à retirer mon débardeur et je vois qu'il m'observe du coin de l'œil. ![]() - J'espère que ça ne vous gêne pas si je me mets nue ? Il n'ose pas tourner la tête et se concentre sur son tournevis comme s'il cherche à en comprendre le fonctionnement. - Heu non, non... Pas de souci. Je retire donc le débardeur et je me rallonge sur le lit juste à côté de lui. ![]() Je prends mon téléphone sur la table de chevet pour regarder l'heure. Je sens le regard de Bernard sur moi. Sur mon dos, mes fesses, mes cuisses. Il est presque 9h20. J'éteins le téléphone, mais je le garde pour utiliser l'écran comme un miroir. Je l'oriente pour surveiller ce que fait Bernard. Et je découvre que la réparation de la prise n'avance pas beaucoup et qu'il est effectivement en extase sur mon corps. ![]() Je repose mon téléphone et tourne la tête vers lui. Il semble soudainement très concentré sur la prise. - Vous connaissez Lionel depuis longtemps ? Il semble ravi que je lui adresse la parole, lui permettant de ne plus faire semblant de travailler et l'autorisant à me regarder pour me répondre. - Je l'ai vu grandir. Je suis un ami de ses parents et je le voyais à chaque vacances ici, jusqu'à ce qu'il vienne s'installer dans le coin. - Et c'est vrai que tous les locataires pratiquent le nudisme ? ![]() - Oui. La villa est mise en location sur des sites dédiés aux naturistes. Donc la plupart du temps, ce sont des habitués. Mais il arrive parfois qu'il y ait des locataires qui n'aient jamais pratiqué. J'ai l'impression que vous êtes plutôt habitués, vous... - Et vous vous trompez. Je n'avais jamais pratiqué avant. Mais il paraît que c'est la magie du lieu : cela incite les gens à s'essayer au nudisme. ![]() - Ah oui, c'est la première fois ? Je m'amuse de voir que notre conversation semble légitimer son droit à me détailler de pied en cap avec un intérêt, me semble-t-il, plus marqué pour mes seins. - Oui. Nous débutons. Enfin, moi du moins, car je me rends compte que je ne connais pas si bien Luc et il est bien possible qu'il ait déjà pratiqué avant qu'on ne se connaisse. - Et ce n'est pas compliqué de passer de la pudeur à l'exhibition ? Je me surprends à accepter cette conversation comme si nous parlions de météo. - À vrai dire, je trouve ça plutôt agréable d'être nue. ![]() - Mais vous n'éprouvez aucune gêne à ce que je vous regarde ? - Si. Bien sûr. Mais ça me plaît aussi beaucoup de savoir que je vous excite. Car je vous excite, n'est-ce pas ? - Je ne suis pas de marbre. Évidemment que vous m'excitez. Vous êtes magnifique. Et là, il me traverse l'esprit que j'aimerais lui demander à voir son érection. Mais faire cela me ferait franchir un seuil qui risquerait de nous amener trop loin qu'un simple échange verbal. Comme s'il lisait dans mes pensées, il se redresse et je peux voir une bosse impressionnante déformer son pantalon. Il a dû comprendre ce que je regarde et, comme par mimétisme, le regard de Bernard se dirige vers mon entrejambe. J'ai alors un étrange sursaut de pudeur qui me fait mettre la main entre les cuisses pour ne pas lui dévoiler que je mouille. ![]() Un silence gênant s'installe. Il se reconcentre sur la prise électrique. Je me lève. - Je vous laisse travailler. Je vais prendre une douche. - J'en ai pour cinq minutes. - Prenez votre temps, nous sommes en vacances. ![]() Je me demande ce que fait Luc. Écoute-t-il depuis le rez-de-chaussée pour deviner comment la situation évolue ? Est-il monté discrètement et se cache-t-il dans une autre pièce pour surveiller ? Je me dis qu'à part une conversation plutôt franche et désinhibée, la situation n'évolue peut-être pas comme il l'espère. Mais... qu'espère-t-il au juste ? Si c'est juste m'offrir aux regards de Bernard, j'ai fait ma part du contrat puisqu'il ne s'est pas privé de se rincer l'œil. Sans doute qu'Angela aurait été plus loin ? Mais je ne suis pas Angela et je suis déjà fière de ce que je me suis autorisée à faire : j'ai pu obtenir une érection qui m'a semblé très honorable. D'ailleurs, jusqu'à ce que je quitte la chambre, je sens son regard sur mon dos. ![]() Plutôt excitée en ce qui me concerne, j'entre dans la salle de bain avec une furieuse envie de me masturber. Volontairement, je laisse la porte assez ouverte pour que Bernard puisse me voir depuis la chambre en face. J'ouvre le robinet de la douchette et un jet d'eau ni trop froid, ni trop chaud, vient caresser ma peau. Mes mamelons s'érigent aussitôt. ![]() Dans le reflet du miroir de la salle de bain, je vois que Bernard ne fait plus trop d'électricité et qu'il entreprend de se rincer l'œil encore. Il s'approche jusqu'au pas de la porte de la chambre, traverse le couloir à pas de loup et m'observe par la porte entrebâillée. Ce n'est que du voyeurisme et je sais que Luc l'accepte volontiers. Mais, puis-je me donner davantage en spectacle ? Peu importe, je suis si excitée que la question disparaît de mon esprit avant d'avoir trouvé une réponse. Déjà, je dirige le jet d'eau vers mon ventre et mes doigts glissent sur mon entrejambe. ![]() Je me tourne vers la porte. Bernard ne peut pas manquer une miette de cette petite exhibition. C'est la première fois que je me caresse ainsi devant un presque inconnu. En fait, ce lieu n'est pas seulement magique en ce qui concerne le nudisme. Il a un réel pouvoir désinhibant et cela a nécessairement des conséquences sur les limites sexuelles que je m'étais imposées jusqu'alors. J'ai envie de me donner un orgasme sous les yeux de Bernard. ![]() Je me suis tournée un peu et j'ai les yeux fermés pour mettre plus à son aise mon voyeur, mais de temps en temps j'entrouvre un œil et observe Bernard dans le miroir. Le gaillard a aussi pris ses aises : il a sorti de son pantalon une érection conséquente qu'il astique de sa main droite. Cela m'excite moi aussi et je continue à me caresser avec encore plus d'entrain, espérant même qu'il va éjaculer en me regardant. ![]() Les yeux fermés, je me tourne franchement vers la porte et active mes doigts sur mon clitoris pour atteindre la jouissance avant que Luc ne monte et ne gâche tout. Je regrette presque de ne pas pouvoir lui dire de rester en retrait pour que Bernard aille lui aussi jusqu'au bout de sa masturbation. ![]() Je l'imagine entrer discrètement dans la salle de bain, venir juste derrière la paroi de la douche, à quelques centimètres de moi. Nous serions seulement séparés par cette plaque de verre transparente. Au moment de mon orgasme, il éjaculerait sur la vitre, généreusement. Cette image a raison de mon endurance et mon orgasme m'emporte pour de bon. ![]() Je mets un peu de temps à retrouver mes esprits. J'hésite à rouvrir les yeux, de peur d'effaroucher mon voyeur et qu'il ne prenne la poudre d'escampette avant d'avoir terminé son affaire. Je penche la tête pour regarder au sol. Je ne vois pas de trace de sperme sur la vitre, ni ne décèle de présence dans la salle de bain. ![]() Pourtant, une voix me fait rouvrir les yeux : - Petite coquine. Celle de Luc. Il se tient dans l'embrasure de la porte, là où Bernard était une minute auparavant. Je chuchote : - Il est parti ? ![]() Luc me fait signe qu'il est retourné dans la chambre. - Il s'occupe de la lampe. Je lui fais signe de s'approcher pour pouvoir l'interroger sans risquer d'être entendu de Bernard. ![]() - Pas de trace de sperme dans le couloir ou à l'entrée de la salle de bain ? Luc se retourne et scrute le sol. - Apparemment pas. Il se masturbait ? - Oui, juste à l'entrée pendant que je me masturbais également. ![]() - Sauf que toi tu es allée jusqu'au bout. - Oui et j'aurais bien voulu que lui aussi. - Ah oui ? Et c'est moi le pervers ? - Je ne suis pas perverse, juste épicurienne. Rappelle-toi. ![]() - Héhé, je vois que mon argument fait école. - Et j'aurais préféré que tu restes en bas un peu plus longtemps... - Ouais... Je t'avoue que j'étais curieux de voir comment ça évoluait. Il aurait pu avoir envie de te rejoindre sous la douche, non ? ![]() - Et alors ? Ses doigts auraient replacé les miens entre mes cuisses et mes doigts auraient remplacé les siens sur sa queue. J'imagine que ça t'aurait plu ? Luc sourit : - Je ne sais pas... Il me tend une serviette. Je vois une proéminence à son entrejambe : - En tout cas, ne me dis pas que ça ne t'a pas excité. ![]() images similaires - Non, effectivement. J'étais fébrile en bas et j'ai bandé rien qu'à imaginer tout ce qui pouvait se passer. - Tu sais que j'ai retiré mon débardeur devant lui et qu'il m'a vue toute nue pendant qu'on discutait. Il s'est bien rincé l'œil. - Coquine. Et tu t'encombres d'une serviette ? ![]() Je le laisse tirer sur la serviette et elle tombe au pied du lavabo. Ses mains tièdes se posent sur mes hanches. Il me caresse le dos, redescend sur mes fesses. Il remonte jusqu'aux épaules et me force doucement à me courber au-dessus de la vasque. Puis, ses mains redescendent jusqu'à mes cuisses qu'il me fait écarter peu à peu. Il s'accroupit pour admirer ma vulve humide. ![]() - Mmmm, j'ai trop envie de toi ! Luc a dit cela à voix haute... - Chut ! Bernard va nous entendre. - C'est bien l'idée... Il me glisse un doigt dans la fente et commence à me masturber doucement. Puis une langue divine vient explorer mon petit trou, provoquant de petites décharges de plaisir dans mon bassin. ![]() images similaires Cette sensation sur mon anus est magique et j'ai envie de lui demander de me sodomiser, mais je suis si excitée que je ne parviens à dire que : - Luc, prends-moi... Il se redresse et guide sans peine son sexe bandé dans ma fente. Malgré ma légère déception, sa main qui se glisse jusqu'à mon clitoris ne me fait pas trop regretter ce nouveau fantasme. ![]() Dans le reflet du miroir, je vois que Bernard nous observe depuis la chambre et qu'il a à nouveau extrait son membre tendu pour l'astiquer joyeusement. Puisque la discrétion n'est pas de mise, je ne fais pas particulièrement d'efforts pour étouffer mes gémissements de plaisir, d'autant que Luc ne se montre pas particulièrement doux. Il me besogne avec vigueur, presque violemment, comme s'il voulait exposer sa masculinité devant ce voyeur. ![]() Il m'a relevé une jambe sur le meuble, me forçant à avoir les cuisses écartées au maximum. Je le sens aller loin en moi. C'est délicieux et cela offre sans doute un spectacle encore plus excitant à Bernard. L'orgasme arrive. Mon corps tremble. Luc me maintient heureusement, car j'ai l'impression de perdre l'équilibre pendant un instant. Il s'immobilise. Mon orgasme a déclenché le sien. Il se vide abondamment en moi. ![]() images similaires Je ressens chaque salve de sperme qui déforme sa tige turgescente avant de m'inonder les entrailles. Lentement, il se retire. Je veux reposer mon pied droit au sol, mais il me maintient la cuisse sur le lavabo. - Attends un peu. Je pense qu'il veut exposer à Bernard ma croupe qui dégouline de son sperme. ![]() J'ai l'impression que ça me coule beaucoup sur les cuisses. C'est assez inconfortable et j'implore Luc d'en rester là : - S'il te plaît... Il me laisse poser mon pied au sol et ramasse la serviette pour me la tendre. - Je vais peut-être reprendre une douche rapide. - Non, essuie juste, s'il te plaît. - Là, je ne vois plus vraiment ce qui tient de l'épicurisme. ![]() - Juste que je veux que tu gardes mon odeur. - Pas ton odeur, celle de ton sperme. - Oui, si tu veux. - Tu marques ton territoire ? ![]() - Il y a peut-être un peu de ça... Dans la chambre, Bernard est à quatre pattes à côté de la table de chevet, affairé avec la prise électrique. Quand nous entrons, il se redresse : - Voilà, c'était juste un fil qui s'était déconnecté. Je me moque de lui : - Cela vous a pris finalement plus de cinq minutes... - Oui... Il y a toujours des facteurs extérieurs qui n'aident pas à respecter les délais. Luc me tend un tee-shirt blanc. Je l'interroge du regard : - Quoi ? C'est tout ? Pas de culotte ? ![]() - Il se contente de hocher la tête en souriant. Je passe le tee-shirt et nous descendons sur la terrasse pour prendre un petit déjeuner rapide. - Tu sais que Bernard doit intervenir sur le climatiseur qui se trouve juste derrière moi ? - Oui, j'ai entendu ça. Et c'est un peu l'idée de ta tenue. - Ah d'accord. J'expose mon cul... ![]() Luc apporte une petite table haute et l'installe sur la terrasse : - On va prendre le petit déjeuner debout. - Évidemment... Et le stratagème de Luc fonctionne à merveille. Bernard redescend et vient s'accroupir à côté du bloc de climatisation avec sa boîte à outils. Il a une vue dégagée sur ma croupe et je vois au visage satisfait de Luc que Bernard est certainement en train de se rincer l'œil tandis qu'il dévisse lentement le capot métallique du climatiseur. ![]() Après quelques minutes, alors que Bernard commence à analyser l'origine de la panne, Luc me dit : - Tu as de la chance. Toi, tu es au soleil. En lui répondant naturellement, je prends conscience du nouveau subterfuge : - Tu veux qu'on recule un peu la table ? Il opère aussitôt et je me retrouve ainsi à être à moins d'un mètre de Bernard qui aurait pu voir si j'avais un grain de beauté sur les fesses. ![]() Un bruit métallique me fait tourner la tête : Bernard a renversé sa caisse à outils : - Tout va bien, Bernard ? - Heu... oui, oui. Juste une maladresse. Et Luc en remet une couche : - Rhaaa, le soleil tourne. Je suis déjà presque à l'ombre. Il l'aurait été sans doute dans quinze minutes, mais cela justifie d'encore rapprocher notre table de Bernard. Là, j'ai vraiment l'impression que Bernard a le nez entre mes fesses. Mon anatomie intime ne doit plus vraiment avoir de secret pour lui. ![]() Mais ce qui est encore plus impressionnant, c'est l'énorme érection de Luc, à côté de moi et ses yeux qui pétillent de joie. Il semble ravi de m'offrir en spectacle à Bernard. Je pourrais m'en inquiéter si moi-même je n'étais pas passablement excitée à ce petit jeu d'exhibition. Le petit déjeuner terminé, je suis retournée à la cuisine, suivie de près par Luc. J'en profite pour lui demander le résultat de cette lutinerie : - Alors ? Commet a-t-il réagi ? ![]() - Incroyable ! Il ne quittait pas ton cul des yeux. Il était rouge et je me suis même demandé s'il n'avait pas éjaculé dans son pantalon quand tu t'es mise juste au-dessus de lui. - Tu déconnes ? - Je pense qu'il a été à deux doigts... Zut, j'aurais trouvé ça amusant qu'un gars puisse éjaculer, rien qu'en me regardant. - Bon, si on veut que la climatisation fonctionne à nouveau, il va falloir le laisser travailler, sinon il y sera encore demain. On pourrait descendre à la plage, non ? |