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Boris
1er juin 2024
Angela - épisode 22 : Tentative

Mardi 2 août 9:11


La nuit a été bonne. Nous étions Luc et moi si exténués par notre journée précédente et par cette incroyable douche hier soir que nous nous sommes endormis aussitôt couchés. C'est la lumière du jour qui m'a réveillée. Il est déjà plus de neuf heures. Je me lève et entendant du bruit dehors, je vais à la fenêtre ouverte, sans me soucier de ma nudité.



Joann est déjà au travail. Il est donc revenu. Comme l'avait prédit Luc, il semble trouver plus de choses à faire ici que dans les autres jardins dont il a la charge. Il faut dire qu'ici, il a l'opportunité de travailler nu et il peut aussi profiter de ma nudité à l'occasion. Ce qui me surprend, c'est qu'il semble en pleine érection alors qu'il se maîtrise habituellement plutôt bien.



- Mmmm... Bien dormi, ma chérie ?
- Oui. Comme un bébé. Et toi aussi apparemment...
- Oui, ça a été plutôt intense hier.
- Tu regrettes ?



- Bien sûr que non ! C'était génial. Je n'ai jamais vécu de journée aussi intense.
Je souris. C'est un beau compliment puisqu'il m'indique ainsi que ses expériences sexuelles les plus mémorables ont été passées avec moi et non avec Angela. Il me voit rêveuse et me demande :
- Tu prends le frais ?
- Non, je me rince l'œil. Joann bosse à poil.



- Ah. Et tu admires ses fesses musclées ?
- Oui, mais aussi sa bite. Il bande bien le bougre !
- Il te voit ?
- Non. Mais il a une érection d'enfer.
- C'est donc qu'il pense à toi.
- Tu crois ?



- Évidemment ! Pourquoi est-ce qu'on le voit tous les jours alors qu'il est censé ne venir qu'un jour par semaine ?
- Peut-être juste parce qu'il aime jardiner à poil et il n'y a qu'ici qu'il peut le faire.
- Ou parce qu'ici il a la possibilité d'admirer une des plus jolies filles du monde.
- Petit flatteur !



Luc réfléchit quelques secondes puis me dit :
- Tu veux faire une expérience ? Va t'étendre au bord de la piscine et caresse-toi comme si tu te croyais seule. Soit il va se masturber en te regardant, soit il va se manifester pour tenter d'aller un peu plus loin que du voyeurisme. Et comme il fait l'effort de revenir aujourd'hui, j'ai dans l'idée que c'est davantage cette seconde option qui l'intéresse.
L'idée de Luc est très excitante. Mettre Joann à l'épreuve me fait très envie. Sans tergiverser, je traverse le salon et vais m'installer sur une chaise longue, visible aussi depuis la chambre.


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J'aperçois Joann plus loin derrière la haie, mais je fais comme si je ne l'avais pas vu. Sans surprise, les bruits d'outils que j'entendais tout à l'heure dans la chambre disparaissent totalement. Je n'entends plus que le vent et le ressac des vagues sur les rochers. Donc pour le moment, le jeune jardinier veut profiter du spectacle sans être vu. À moi de jouer. J'écarte les jambes et commence à me caresser, les cuisses, le ventre, les seins.


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Que c'est agréable de se cajoler ainsi sous les rayons du soleil matinal. Et quand en plus de me faire du bien, je sais que j'ai deux mecs qui me matent, c'est encore plus excitant, je prends conscience que je suis déjà dans un état d'excitation avancée et que je suis tout à fait en mesure de me donner un orgasme de cette manière. Mes doigts insistent sur ma fente déjà humide et sur mon clitoris tout tendu.


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Luc se masturbe certainement dans la chambre. Impossible de voir ce que fait Joann, mais vu qu'il bandait déjà avant que je ne commence, il n'y a pas de raison à ce qu'il soit au moins dans le même état. Peut-être même a-t-il déjà éjaculé ? Je l'imagine répandre sa semence dans la petite haie de buis devant lui. Mince ! J'y suis aussi ! Cette idée déclenche mon orgasme. Mon corps se tend, mon sexe brûle et fond, plusieurs petites décharges semblent émaner de mon intimité et vrillent mon ventre et mes cuisses. Et tout cela sous les yeux de Luc et de Joann, sous les rayons du soleil, sans avoir à simuler. Quel délice !



Une voix se fait entendre :
- Tout va bien, Juliette ?
C'est bien sûr Joann. Je feins la surprise :
- Oh, Joann ! Vous êtes là aujourd'hui ?
- Oui, des trucs importants à terminer.
Les trucs importants semblent lui donner une érection phénoménale.



- Je vous ai entendu gémir, je me suis demandé si vous ne faisiez pas une insolation.
Je suis assez émue par ce sexe tendu et je joue la comédie de la jeune fille prude en dissimulant maladroitement mes seins. Je parviens à lui répondre en balbutiant :
- Non, tout va bien. Très très bien...



- Tant mieux, je me suis inquiété.
Je me redresse sur ma chaise :
- C'est gentil, Joann. Et c'est l'inquiétude qui vous donne des érections ?



- Ah ? Heu... non. Héhé... C'est le soleil matinal. J'adore être à poil comme ça à cette heure, et ça me fait bander un peu...
- Un peu ? Non. Vous avez une sérieuse gaule.
- Oui... Vous n'arrangez rien, non plus !
Enfin, il avoue que je suis la cause de son état magnifique.



Je suis en train de chercher la manière dont je pourrais lui proposer de l'aider à se soulager quand je le vois saisir sur la murette son jeans et commencer à l'enfiler.
- Heu... Vous vous rhabillez ?
- Oui, je dois faire une course en ville. Je ne peux pas sortir de la propriété à poil...



L'idée me séduirait, pourtant. Je me lève.
- C'est dommage que l'on ne puisse pas vivre nus et qu'il y ait tous ces tabous sur la nudité.
- Je ne suis pas d'accord avec vous. Je connais les hommes, peu sont capables de résister à leurs pulsions et les filles seraient harcelées, dans le meilleur des cas...
- Mais vous ne semblez pas faire partie de ces hommes.



- Oui. J'arrive à me contrôler. Mais vraiment, Juliette, vous ne m'aidez pas !
Le pauvre semble ne pas parvenir à faire rentrer son érection dans son jeans. Joueuse, je me retourne pour saisir la serviette par terre, mais, au lieu de m'accroupir, je me penche en avant pour lui présenter, pas du tout innocemment, ma croupe.
- Ah oui ? Pourquoi dites-vous cela ?



- Ne faites pas l'innocente ! Vous savez à quel point vous êtes jolie. Vous avez un corps parfait.
- C'est gentil, Joann.
- Ce n'est pas de la flatterie, Juliette. Vous avez bien vu hier que j'ai éjaculé deux fois seulement en vous passant de la crème.
- Vous m'avez un peu masturbée quand même...



- Je sais que vous jouez avec moi. Et je suspecte même que c'est avec la complicité de votre copain, qui peut-être nous épie depuis la villa. Vous vous rendez certainement compte que vous voir est une souffrance.
- Une souffrance ? À ce point ?
- Oui, j'éprouve un désir irrépressible pour vous...
- Je... je suis désolée.
J'avais presque honte de m'être amusée à ses dépens, mais je n'avais pas imaginé que nos petits jeux sexy puissent être mal vécus par Joann.



Il a réussi à fermer son jeans, mais à quel prix ? Je vois à quel point sa queue est compressée sous le tissu tendu :
- Joann, ne sortez pas dans cet état. Laissez-moi vous soulager.
Il semble réfléchir avant de répondre :
- OK, mais on le fait à ma manière.
Va-t-il me demander de lui faire l'amour ? Je crois que je ne lui opposerais aucune résistance. Non. Il s'agenouille devant moi et plonge son visage entre mes cuisses pour entamer un délicieux cunnilingus.



J'aimerais qu'il me fasse jouir ainsi, mais il se redresse et me demande :
- Je peux vous embrasser ?
Pour toute réponse, je tends mes lèvres vers les siennes et l'embrasse à pleine bouche.



Nos langues se mélangent avec délice. Curieusement, j'ai un sentiment de culpabilité vis-à-vis de Luc. Quelle curieuse façon de réagir ! Alors qu'une minute avant, j'espérais et étais prête à ce que Joann me pénètre et me fasse l'amour, là j'ai un cas de conscience parce que nous échangeons un baiser ? Parce que ma bouche serait plus intime que mon sexe ? Elle serait réservée à mon homme ? Ma chatte s'offre pour le plaisir, à qui veut ? Alors que ma bouche serait réservée à mon seul amour ? Tandis que nous échangeons ce long baiser, qui commence à ressembler à un baiser passionné, la main que Joann avait posée sur ma taille remonte et empoigne un sein.



Je sais que ça excite Luc que je puisse aguicher d'autres hommes, qu'ils me voient, qu'ils me touchent. Mais jusqu'où cela va ? Il a laissé Lionel me pénétrer, Bernard aussi, donc j'imagine que ça ne lui poserait pas de problème si Joann me pénétrait. J'écarte sa main et la redescends. Je pose la mienne sur son entrejambe, certaine de ce que je vais y trouver : une bosse dure et palpitante, pleine de promesses.



Nos lèvres se séparent.
- Vous devez vous sentir bien à l'étroit...
- Oui, c'est un peu douloureux. Il faut que vous la libériez.
Je commence à rouvrir son jeans.



Son sexe est toujours énorme. Je suis fascinée. Il semble ravi de voir ma réaction :
- Elle vous plaît ?
- Oui. Et elle est si chaude.
- Elle brûle de désir.



Je le masturbe doucement.
- Comment puis-je vous soulager ?
- Là, vous êtes sur la bonne voie.



- Mais que désirez-vous ?
- Ce que je désire ? Tous vos trésors...
Il pose une main entre mes cuisses et ses doigts s'activent sur ma fente, puis il se penche à nouveau pour m'embrasser.



Quand nos bouches se détachent, je lui demande :
- Ma bouche ?
- Oui, j'aime beaucoup votre bouche.
Je pense avoir compris. Je m'accroupis lentement tout en le regardant dans les yeux pour m'assurer de son approbation.



Joann termine de retirer son jeans et me sourit quand je commence à lui lécher la hampe :
- Mmmmm, votre copain doit être ravi...
Oui, Luc doit certainement avoir une magnifique érection et il se masturbe sans doute en me voyant commencer une fellation au jardinier.



Puis ma langue s'enroule autour du gland énorme. Le souffle de Joann semble plus court. Je me demande si c'est son cœur que j'entends palpiter ou si ce sont les pulsations de son sexe. Mes lèvres enserrent le gland comme s'il s'agissait d'une boule de glace que je voulais détacher de son cornet. Puis ma bouche descend, plongeant son sexe au fond de ma gorge.



Je regarde en direction de la chambre. Je vois bouger légèrement derrière la fenêtre et crois distinguer un pouce levé de Luc. Joann l'a vu aussi :
- Je crois que nous avons l'approbation de Luc.
Je n'avais pas cherché à avoir une permission plus explicite, mais le fait que Joann soit, lui, rassuré à ce sujet m'encourage quand même à poursuivre ma fellation.



Je m'interromps un instant pour lever la tête :
- Vous voulez vous contenter de ma bouche ?
J'espère en réalité qu'il va me faire l'amour. Mon sexe le réclame...
- Votre bouche, c'est du velours, Juliette.
Bon, je reprends donc ma fellation et porte sa queue aussi loin que possible dans ma bouche.



Je vois que cela fait son effet et Joann semble vraiment apprécier.
- Ooooh... Juliette...
Il pose ses mains sur ma tête semblant ne pas souhaiter que je m'arrête.



Mais il se met soudain à râler :
- Raaaaahhhhhh !
Je sens une puissance giclée de sperme au fond de ma bouche. Comme il ne me tient plus la tête, je me dégage et le laisse terminer d'éjaculer sur mes seins.



Quand enfin il a terminé, il étend les bras et dit :
- Merci, mon Dieu !
- Sauf preuve du contraire, il me semble que c'est plus une déesse qu'un dieu qui vient de vous sucer, non ?
Je suis passablement frustrée qu'il se soit contenté d'une fellation., mais, malgré les reflets sur la fenêtre de la chambre, je crois distinguer le pouce levé de Luc, montrant sa satisfaction.



- Ah Juliette, c'était magique !
À son enthousiasme, un doute m'envahit :
- Heu... Joann, ce n'est quand même pas la première fois qu'on vous taille une pipe ?



Il rigole :
- Ne vous moquez pas... Je n'ai pas eu beaucoup de petites copines et aucune ne m'a jamais proposé ça...
- C'est votre jour de chance, alors.
- Oui, je vous dois beaucoup.
- Mais vous avez été déjà très généreux.
Il rigole en voyant tout le sperme qui macule ma poitrine.



- Vous... vous voulez une serviette pour vous essuyer ?
Je me relève à son niveau :
- Joann, vous savez qu'on peut juste l'étaler, ça suffira.



Il pose les mains sur mes seins et commence à étaler la semence sur mon buste, mes épaules, mes bras.
- Il y en a beaucoup... Vous n'aviez pas éjaculé depuis longtemps ?
- Juliette, vous le savez : j'ai joui deux fois hier. Déjà sur vous...
Il passe derrière moi et continue d'étaler sur mon ventre, mon dos. C'est très agréable. Il semble avoir un goût plus prononcé pour mes seins auxquels il revient très régulièrement.



Quand il a terminé de m'oindre, je constate qu'il bande toujours :
- Joann, vous ne débandez pas ?
- Non... mais c'est toujours de votre faute.
- Alors, je me dois de faire en sorte que vous puissiez être en mesure de remettre votre pantalon.
Je saisis son sexe avec, cette fois, l'idée de le convaincre de me baiser. Pourtant, il ne semble pas complètement acquis à ma proposition :
- Juliette, c'est gentil, mais je dois quand même aller chez mon autre client.



Tandis qu'il enfile son jeans sans parvenir à y rentrer son sexe toujours bandé, je lui fais remarquer qu'il s'en va un peu vite :
- Dites-donc, ce n'est pas très charitable...
- Pardon ?
Il ne comprend pas ma remarque.
- Et moi ? Je n'ai pas joui...



Il pourrait objecter que je me suis donné un orgasme avant son intervention, mais il semble confus :
- Oh pardon, Juliette. C'est vrai que c'est très égoïste...
- En même temps, ce n'est pas en vous taillant une pipe que je peux avoir un orgasme.
- Vous souhaitez que je m'occupe de vous avant d'y aller ?
Je vois son sexe toujours en parfaite érection et me dis que je vais avoir ce que je veux.



- On va pouvoir faire d'une pierre deux coups...
- C'est-à-dire ?
- Je vais tenter de calmer cette érection qui vous empêche de vous rhabiller et vous aller éteindre le brasier que j'ai entre les cuisses.
J'écarte les jambes pour lui montrer ce que j'attends de lui.



Il s'approche de moi, mais ne semble pas savoir que faire. Lui qui semblait plus sûr de lui tout à l'heure, ressemble maintenant à un petit garçon timide. Mais un petit garçon timide avec une splendide queue tendue à quelques centimètres de mon visage.
- Vous avez une queue magnifique Joann...
Malgré mon envie qu'il me baise, je ne résiste pas à reprendre son sexe en bouche avant.



Je sais que Luc regarde toujours. Je sens son regard sur nous. Joann se met à balbutier :
- Je... attention Juliette... vous...
Tout en continuant à lui sucer le gland, je relève les yeux vers lui, sans prendre conscience de ce qui se passe.



Joann se tend soudain. Je comprends trop tard qu'il va à nouveau éjaculer. Je le sors de ma bouche dans l'espoir que cela arrête ou au moins ralentisse le processus, mais c'est trop tard : le sperme se met à gicler et je prends une première salve au menton, les suivantes sur la poitrine.
- Oh non, Joann...



- Je... je suis désolé Juliette.
- Mais je voulais que vous me preniez...
- Vous m'avez pris de court... C'est arrivé si vite... incontrôlable... Vous voulez que je vous l'étale encore ?
- Non, je voulais que vous me baisiez...



Je suis vraiment frustrée. Je lui en veux, mais en même temps j'ai conscience que c'est en grande partie de ma faute. Alors que je fais contre mauvaise fortune bon cœur et me dis que ce n'est que partie remise. Là, pour le moment, je le vois débander. Donc il ne sera plus opérationnel dans l'immédiat. D'ailleurs, il voit qu'il va pouvoir enfin remettre son jeans.
- Juliette, je suis désolé.



Il se redresse, jeans remonté, matériel rangé. Il semble en total désarroi. Je le rassure :
- Je ne vous ai pas facilité la tâche... Mais filez, je vous ai déjà assez mis en retard.
- Merci... Je me rachèterai. Promis !
Il file, me laissant avec ma frustration et du sperme sur les seins. Je passe rapidement sous la douche pour quitter cette liqueur qui commence à sécher sur ma peau.



La douche me fait un bien fou. En plus de me laver, elle me rafraîchit et me délasse. J'en veux moins à Joann. Il s'agissait d'une expérience, nous en connaissons les résultats. C'est la deuxième fois que je me rends compte que Joann ne maîtrise pas si bien que ça ses érections et son éjaculation. Je retourne m'allonger sur ma chaise longue et m'installe pour laisser le soleil me sécher. J'écarte largement les cuisses dans l'espoir que cela donne à Luc l'envie de venir me rejoindre.



Cela fonctionne. J'entends la baie vitrée s'ouvrir et Luc apparaître :
- Te voilà spécialisée dans les pipes, ma chérie ?
- J'espérais autre chose, mais Joann est trop... émotif.



- J'ai vu ça...
- Comme hier, il a éjaculé deux fois sur moi.
- Mais hier, il t'avait juste caressée. Il y a du mieux.
- Tu as aimé ?
- Très beau spectacle.
Je vois qu'il affiche encore une érection très honorable.



- Moi, j'espérais plus...
- J'imagine bien. Mais quelle idée de l'avoir sucé une seconde fois ! Il semblait d'accord pour te faire l'amour, non ?
- Oui, mais je voulais juste le sucer un peu avant...



- Tu dois être bien frustrée, non ?
- Eh bien oui, mais je suis aussi assez contente d'avoir pu jouer ainsi avec Joann. D'ailleurs, il était tout à fait conscient de notre manège.
- "Notre" manège ?
- Oui, il savait que tu te paluchais en nous regardant. D'ailleurs, tu as joui ?



- Non, je n'ai pas éjaculé.
- Tu te fous de moi ?
- Crois-le ou non, je me suis masturbé, mais je n'ai pas été au bout. Je me réservais.
- Dans ce cas, tu es dans le même état que moi et on peut sûrement s'entraider, non ?
J'écarte largement les cuisses pour lui offre ma fente humide.



- Arf ! Dur... Je viens d'avoir un message de Lionel qui demandait s'il pouvait passer.
- Là, maintenant ?
- Oui.
- Et en quoi ça te gêne qu'il nous surprenne à faire l'amour ? Cela ne t'a pas dérangé hier soir dans le salon, ni dimanche après-midi près de la piscine.



- Justement, j'imagine autre chose.
- Ah ? Nous voilà donc arrivés au ménage à trois, comme avec Angela ?
- Ne dis pas de bêtise. Cela n'a rien à voir.
- On verra bien.



Luc n'aime apparemment pas que je fasse référence à Angela, mais moi ça commence à m'amuser de tenter de comprendre qui elle était à partir de mes expériences sexuelles avec Luc.

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