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Boris
15 juin 2024
Angela - épisode 23 : Apéritif

Mardi 2 août 10:42


Quand je redescends au salon, Luc exprime sa surprise :
- Une robe ?
- Oui. On a beau vivre à poil ici, quand je sais qu'un invité vient, je préfère être vêtue.
- Mais ce n'est pas un invité ! C'est Lionel.
- Et Lionel mérite une jolie petite robe.



- Oui, elle est sexy, c'est sûr. Mais Lionel t'a déjà vue nue donc il préférera sûrement pouvoir voir ton corps.
- Et il le verra. Mais il faut aussi ménager un effet de surprise.
- Ah oui ? C'est un genre de papier cadeau ?
- Voilà. Ce sera l'occasion de lui faire redécouvrir mon anatomie petit à petit.
Quand je passe devant lui, Luc soulève le bas de ma robe :
- Oh non ! Là, c'est abusé de mettre une culotte.



- Cela fait partie du cadeau à déballer, ça peut l'exciter.
- Je reconnais que la robe, c'est une bonne idée. Moi aussi, je trouve ça excitant, mais la culotte, franchement, c'est d'un autre âge !
- Oui, tu as sans doute raison. Mais ne va pas t'imaginer que cette excentricité durera au-delà de nos vacances ici.
Je me penche pour faire glisser ma culotte jusqu'à mes chevilles.



En voyant mes fesses et ma moule, Luc prend conscience que ma robe est vraiment très courte :
- Wahou, je valide définitivement l'idée de la robe.
- Je crois comprendre pourquoi. Donc tu admets que ça peut être excitant de cacher et de dévoiler peu à peu ?
- Oui, vas-y dévoile-moi ton trésor peu à peu.
Je me cambre et relève doucement la robe. Vu la tête qu'il fait, je crois que ce qu'il voit est la huitième merveille du monde.


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- Tu crois que ma robe va plaire à Lionel ?
- Aucun doute ! Moi en tout cas, tu viens de me redonner une trique qui ne va pas s'apaiser tout de suite...
- Mon pauvre chéri, tu aurais besoin de te soulager, mais tu veux te réserver pour quand Lionel sera là ?
- Oui... Je vais prendre une douche. Froide, ça va me calmer un peu.
Amusée, je le regarde monter à la salle de bain.



J'entends l'eau de la douche commencer à couler en haut quand Lionel arrive :
- Bonjour Juliette.
- Bonjour Lionel, ça va ?
- Oui, c'est une matinée magnifique et ta robe te va à ravir.



- Luc est sous la douche, il ne va pas tarder.
- Oh, quand on était au lycée, il était capable de passer des heures dans la salle de bain.
- Hihi, oui, c'est vrai. C'est toujours un peu le cas.
Je sors lui faire la bise et je vois qu'il lorgne avec intérêt le décolleté de ma robe quand je me penche.



Je n'ai aucun doute, ma robe lui plaît. Il examine la piscine :
- Vous vous baignez un peu ?
- Oui, c'est agréable. On alterne entre la plage et la piscine. On n'est pas habitué à tout ce luxe.
Je vois une feuille de platane qui flotte près du bord de la piscine. Je me penche pour la ramasser :
- Tes parents ont hérité de cette maison ou c'est une acquisition ?



L'absence de réponse de Lionel me surprend d'abord, puis je me souviens de la réaction de Luc quand je me suis penchée. La robe est courte et Lionel voit nécessairement ma moule. Il faut dire que la feuille est coquine et que les vaguelettes de la piscine la font danser, rendant sa capture moins évidente que je ne l'ai envisagé. Ce qui est évident, c'est que le cerveau de Lionel n'a pas enregistré ma question et que le garçon se rince l'œil pendant ce temps.


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Je me redresse brandissant la feuille enfin soumise :
- La chipie se dérobait. Elle est sauvage.
Lionel est béat et a les yeux rivés à mon ventre. La courte robe est un peu remontée et dévoile sans doute presque mon sexe nu. Je m'empresse de me rajuster :
- Oups, désolée...



Lionel semble reprendre pied avec la réalité et rigole.
- Il n'y a pas de mal. C'est vraiment une très jolie robe.
Je rentre dans le salon et l'invite à me suivre :
- Luc apprécie ma robe, car elle est très courte, mais il craint qu'on ne voie ma culotte.
Lionel rigole :
- Je te rassure, on ne voit pas ta culotte.
Lionel a bien sûr noté qu'il est impossible de la voir puisque je n'en porte pas. Je m'assieds en tirant pudiquement le tissu sur mes cuisses.


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- Donc tu la trouves trop longue ?
- Je n'ai pas dit ça. Je la trouve parfaite au niveau longueur.
- Et le décolleté n'est pas trop marqué ?
Je serre un peu les bras pour faire saillir mes seins dans le décolleté.



Il avale péniblement sa salive avant de me répondre :
- Non, il est très bien aussi ce décolleté. Je trouve cette petite robe légère à la fois décontractée et distinguée.
- Ah oui ? Distinguée ? Tu me trouves distinguée ?
Est-ce que Lionel trouvait aussi qu'Angela était une fille distinguée ?


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- Disons que cette tenue, même si elle est sexy, n'a rien de vulgaire.
- Ah oui ? Eh bien moi, je trouve que ton débardeur te donne un look de bad-boy.
- Je ne veux pas que tu puisses croire que je suis un mauvais garçon.
Et sans demande de ma part, il retire son tee-shirt. J'en profite pour admirer aussi la belle bosse qui déforme son entrejambe.



- Mais les filles peuvent aussi fantasmer sur des mauvais garçons. Surtout quand ceux-ci affichent une érection conséquente.
- Oh ! Excuse-moi... Ta robe, tu vois, elle me fait de l'effet... D'ailleurs, il est heureux que tu gardes les cuisses serrées, sinon...
- Sinon ?
Je me penche en avant en écartant les cuisses. Toutefois, je pose mes mains sur ma robe pour l'empêcher de révéler ma minette, mais cette position offre déjà à Lionel une vue très dégagée dans mon décolleté.



- Ce n'est pas sympa, Juliette ! Ce jeans est très serré et ça me fait un mal de chien de bander comme ça...
- Tu n'as qu'à le retirer.
Il semble hésiter puis, voyant mon sourire, il se décide à le déboutonner.



- Oh ! Je ne pensais pas que tu oserais...
- Et pourquoi ? Il me semble que tu l'as déjà vue... Il me semble même qu'elle s'est déjà glissée entre tes cuisses, non ?
- Hihi, oui, je crois que je me souviens. Mais tu étais derrière moi et je ne l'ai pas bien vue...



- Pas vue, mais tu l'as sentie ?
- Oh oui ! Mais je suis quand même surprise.
Il affiche en effet un sexe conséquent, pas bandé, mais déjà bien gonflé d'excitation.
- Surprise ?



- Peut-être devrais-je dire "excitée par la vue de cette belle bête" ?
- Tu es excitée ?
- Oui...
- Montre-moi.
Son regard désigne mon entrecuisse. J'écarte les jambes pour lui montrer que je mouille.



- Oh Juliette, tu as une moule magnifique.
Il est interrompu dans sa contemplation par une notification de message. Le goujat le consulte et me dit :
- Héhé, Joann ne peut plus se passer de toi. Il me demande s'il peut revenir travailler ici, car il a fini plus tôt que prévu chez le client de ce matin.
- Oui, lui aussi semble apprécier mon coquillage...



- Ah oui ?
- Hier après-midi il a éjaculé en me regardant me masturber derrière la baie vitrée. Après ça, il est gentiment venu me passer de la crème solaire et il a éjaculé deux fois sans que je le touche.
- Deux fois ?
- Oui, il a des couilles intarissables. Et ce matin, il a éjaculé encore deux fois. Bon, j'avoue que cette fois-ci, je l'ai sucé.
- Juliette, je ne t'aurais pas cru aussi coquine. Du coup, je bande maintenant...



Luc, totalement nu, redescend et rigole en nous voyant :
- Lionel, tu exagères, tu es déjà à poil et en érection.
Je me lève et ajoute :
- Alors que, tu as vu mon chéri, j'ai toujours ma robe...
Luc rigole :
- C'est vrai ça : c'est ta robe qui le fait bander ?
- Elle est sexy ma robe, non ?


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- Oui, mais c'est aussi parce que Juliette m'a raconté pour Joann...
Lionel hésite à poursuivre, sans doute se demandant si Luc est bien au courant de tout.
Luc le rassure :
- Oui, il nous semblait maîtriser parfaitement ses érections, mais on a pu voir à quel point il éjaculait facilement.
- Il faudra le mettre à l'épreuve...



Je suis surprise que ce soit Lionel qui ait fait cette proposition. Je mouille encore à l'idée que je serai certainement l'objet de cette mise à l'épreuve. Est-ce qu'Angela participait aussi à ce genre d'épreuve ? Luc nous propose d'aller sur la terrasse. Il y a une feuille de platane de l'autre côté de la table. Je me penche pour l'attraper, sans vraiment prendre conscience du spectacle que j'offre aux garçons. C'est Luc qui me dit :
- Wahou ! Ma chérie, toi aussi ça t'excite d'évoquer les éjaculations de Joann...



Il est vrai que je sens que je dégouline littéralement.
- Oups ! Oui, ça m'a un peu frustrée de le voir éjaculer ainsi tout à l'heure.
Lionel fait une grimace :
- Et moi qui pensais que c'était mon corps d'athlète qui t'excitait...
- Ton corps aussi. Et surtout ta queue...



Luc est surpris que je me permette de dire ça :
- Bah merde ! On déborde un peu du flirt, là, non ?
- Et quoi ? Vous êtes tous les deux à poil en train de bander et tu crois que je vais me contenter de flirter alors qu'un feu embrase mon ventre ?
Lionel prend ma défense :
- Elle a raison, Luc. Je crois qu'on a dépassé le stade du flirt il y a déjà un moment...



Luc semble quand même un peu désorienté :
- Je... OK. Et donc ? Il se passe quoi maintenant ? On attend Joann ?
Il n'est pas question que ça se transforme en gang bang. Je dois continuer à faire monter leur excitation. Je m'assois au milieu de la table et dis en souriant :
- Non, on prend l'apéro...



Lionel est surpris :
- Il est à peine onze heures...
Luc fait la moue :
- Et vu ta position, c'est Lionel et moi qui nous chargeons d'apporter les verres et les bouteilles ?
Je m'allonge sur la table et, robe retroussée sur mon ventre, j'écarte un peu les cuisses :
- Les verres ne seront pas utiles...



Luc sait sans doute où je veux en venir, mais il continue à faire celui qui n'a pas compris :
- Tu veux qu'on boive au goulot ?
J'écarte explicitement les cuisses :
- Pas au goulot. À la moule. Directement.



Luc s'approche en premier :
- Alors, tant pis pour l'heure. Voilà une offre bien sympathique...
Il se penche entre les cuisses écartées et fait glisser son index le long de la fente humide. Un filet de cyprine se colle à son doigt.
- Mmmmm, juteux à souhait...


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- Oui, les garçons, dégustez-moi...
- Je vais m'assurer qu'il y en aura assez pour deux.
Luc pose son pouce sur le clitoris dardé et joue avec en tournant doucement autour.



Je feule de plaisir telle une chatte en chaleur.
- Oooh Luc... Bois-moi s'il te plaît.
- Avec plaisir, ma chérie.
Il plonge enfin son visage sur mon entrejambe et le bout de sa langue navigue sur mon abricot depuis la base qui coule comme une fontaine jusqu'à mon bouton d'amour qui me déclenche de petites décharges de plaisir à chaque contact.



Après quelques délectables secondes, Luc se redresse et s'adresse à son copain :
- Tu vas voir, c'est un nectar onctueux.
- Je n'attends que d'avoir enfin la place...
- Attends encore un peu, je vais la faire remouiller un peu.
Mon copain plonge son majeur, caressant de son extrémité, des parties très sensibles de mon intimité.



Je fonds, je dégouline. Avait-il réellement besoin de faire ça pour Lionel ou cherche-t-il à me donner un orgasme avant de laisser la place à son copain ? Aurait-il peur que je jouisse dans sa bouche sans avoir joui dans la sienne ? Quel que soit son projet, le délice de cette pénétration m'empêche de me plaindre de l'iniquité de cet accès à l'apéritif, surtout quand il joint un second doigt au premier.


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Lionel semble accepter de patienter. Il sait où est sa place. Il n'a pas de droit sur moi. Luc a la priorité et sans doute est-ce à moi de dire à Luc que c'est le tour de son copain. Mais là, c'est compliqué de lui demander d'arrêter. Tout en continuant de me masturber de deux doigts, il mobilise son autre main pour câliner mon clitoris.


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Je sens monter, inéluctablement...
- Haaaaaaaa...
L'orgasme. Intense et doux. Quel bonheur de jouir ainsi sous les yeux de deux amants. Luc s'est reculé. Tous les deux ont les yeux plongés entre mes cuisses. Ils bandent. Ils admirent les secousses qui font vibrer mes cuisses et mon bassin. Je mets quelques minutes à me calmer. Je me redresse :
- Merci Luc, c'était délicieux. Je crois que c'est au tour de Lionel...



Lionel s'approche, un large sourire illumine son visage. Je lui demande :
- Cela te convient-il pour l'apéritif ?
- Oh que oui ! Ce joli coquillage est très appétissant.
J'écarte largement les cuisses pour m'exposer le mieux possible.


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Il pose une main sur ma cuisse et remonte doucement vers ma moule. Ses doigts effleurent ma peau, mais convergent vers le point le plus sensible. Il pose son index et son majeur sur ma fente et commence à la masser doucement, sans entrer directement en contact avec mon clitoris. C'est un délice et je mouille encore. Puis ses doigts se font explorateurs et s'immiscent dans ma fente. Une charmante masturbation s'ensuit, alors que Lionel plonge ses yeux dans les miens.



Il procède par lentes intromissions et caresse délicatement mes muqueuses internes. Je suffoque presque de plaisir. Quand il ressort ses doigts, ils sont trempés de mon jus. Lionel semble en béatitude devant mon sexe luisant :
- Je crois que c'est le plus beau minou du monde...



Je me moque de lui :
- Si tu te permets de dire ça, c'est que tu as dû en voir un paquet !
- Je ne le cache pas. Mais c'est surtout un véritable point de vue d'esthète. Même si c'était la première que je voyais, je saurais y reconnaître la perfection.
- Ah oui ? Et tu préfères ma chatte à mes seins ?
Je me redresse pour retirer ma robe.



- Je ne tiens pas à décomposer ton corps, car c'est son harmonie globale qui en fait sa perfection.
Je me sens fondre sous ces compliments. Je tente de cacher mon trouble par de l'humour :
- En gros, tu me trouves bandante.



- Je pense que ça va au-delà. Tout mon corps réclame ton corps et...
- Oh ! Assez de palabres. Pour l'heure, ma moule réclame ta bouche.
- Mille excuses...
Il vient s'installer entre mes cuisses et commence à me lécher la fente.



Je sens que je dégouline encore. Sa langue me balaye la fente, parfois à plat pour embrasser mes lèvres, parfois dardée pour s'introduire entre et faire sortir le nectar. Je pose ma main sur sa tête et le maintiens. Je veux qu'il me fasse jouir ainsi, avec sa langue.



Lionel relève la tête et me regarde :
- Tu aimes ?
- Oui... Et toi ? Cet apéritif te convient-il ?
- Parfaitement suave !
Lionel se concentre alors sur mon bouton d'amour et insère doucement deux doigts dans ma fente.


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C'est terriblement bon. Je sens que je vais défaillir, mais je m'accroche pour ne pas me laisser submerger par l'orgasme. Et puis Lionel me donne le coup de grâce. Implacable ! Il ressort presque entièrement ses deux doigts et je sens qu'il positionne son annulaire contre ma rosette. Quand son majeur et son index replongent en moi, ils sont accompagnés par l'annulaire qui s'engage lentement dans l'étroit canal.


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Ceci doublé d'une langue qui me torture délicieusement le clitoris, et je comprends qu'il ne sert à rien de lutter. Mon corps vibre. Je ne contrôle plus rien. Je crie de plaisir. Je suis secouée de décharges électriques. Chaque partie de ma peau semble être en fusion. C'est un orgasme puissant. Je me tords tant de plaisir que je bascule sur le côté, obligeant mon amant à abandonner une partie de ses conquêtes.



Il ne laisse qu'un doigt dans mon anus alors que les convulsions secouent encore mes cuisses et mon ventre. Quand enfin l'orgasme se calme, je rouvre les yeux. Les deux garçons m'observent, ravis. Les deux sexes sont magnifiquement bandés. Je retrouve mon souffle :
- Merci, les garçons, c'était formidable.



- Lionel t'a donné un bel orgasme, ma chérie. Tu étais magnifique.
- Mais ce n'était que l'apéritif, tu sais ?
- Ah oui, tu te sens prête pour continuer sur le plat principal ?
- Plus que jamais...
Toujours allongée sur le dos, j'écarte les cuisses pour exposer ma moule béante.



Lionel s'écarte pour laisser la place à Luc :
- Je crois que c'est ton tour.
- Juju me connaît bien. Je pense qu'elle appréciera un peu de nouveauté.
- Si tu le dis.
Lionel vient donc me rejoindre, mais au lieu de me pénétrer, il s'agenouille entre mes cuisses et reprend le cunnilingus.



C'est bien sûr délicieux, mais ce n'est pas ce que je veux :
- Mmmmm... je crois que... Ooooh... Je n'ai pas été assez claire...
Luc rigole :
- Si, ma chérie, mais Lionel a l'habitude de toujours bien préparer avant...
Lionel se relève et admire son travail : ma fente est béante et dégouline de cyprine.



Il s'avance alors, présentant son sexe tendu contre ma minette en feu :
- Tu as été très claire Juliette. Voici ce que tu désirais.
Son gland s'appuie doucement sur ma fente.



Il me regarde dans les yeux avec le même air doux que prend Luc quand il va me donner du plaisir. Il semble attendre mon assentiment. Je pose ma main sur mon coquillage et écarte les lèvres :
- Vas-y.



Lentement, il me pénètre. Mon ventre en feu l'attendait depuis si longtemps ! Quel délice. Je ferme les yeux pour me concentrer sur le plaisir de cette colonne de chair dure qui commence à aller et venir en moi.
- Mmmmm... Oui... C'est bon...
- Meilleur qu'un cunnilingus ?



Bonne question. Mais difficile de comparer. Le cunnilingus se concentre sur les lèvres et le clitoris alors que la pénétration satisfait le vagin. Je ne saurais même pas dire si je suis clitoridienne ou vaginale. Le résultat est le même : un orgasme à la clé. Mon absence de réponse n'empêche pas Lionel de continuer à me faire l'amour avec une douce et lente régularité, comme s'il ne voulait surtout rien précipiter. Et je l'en remercie.



L'orgasme n'est plus très loin, mais le coquin sort soudain sa lame de mon fourreau. Je m'apprête à protester quand je l'entends râler de plaisir :
- Rhaaaaa...
Le gland posé sur mon ventre, Lionel se met à éjaculer. Plusieurs longues giclées jaillissent et zèbrent mon ventre.



Je ne dis rien de ma frustration puisque les garçons m'ont déjà donné chacun un orgasme. Lionel cherche mon regard. Veut-il que j'approuve sa sortie ? Ou au contraire que je lui exprime mes regrets de ne pas avoir reçu sa semence en moi ?
- Ça va ?
- Oui... C'était trop bon. J'aurais voulu me retenir plus longtemps pour te faire jouir... mais impossible...



- Ce n'est pas grave... J'avais déjà joui avant. Et ça me fascine de voir tout ce que tu as balancé.
- Heu... tu veux que j'essuie ?
- Non, je pense que ça ne va pas déranger Luc quand il va me prendre.



Luc penche la tête en souriant :
- Ah ? J'en déduis que c'est mon tour...
- Pourquoi ? Tu ne veux pas essayer de me donner un orgasme avant d'éjaculer ?
- Oh si ! Je vais essayer de relever le défi.
À son tour, il vient entre mes cuisses et n'a aucune peine à me pénétrer.



Luc va et vient en moi. J'ai l'impression qu'il essaye de prendre la même cadence qu'avait prise Lionel. À moins qu'il ne s'agisse de la cadence qui permet de tenir le plus longtemps possible ? Luc regarde avec amusement les filets de sperme sur mon ventre. Je lui souris :
- Tu as vu ? Ooooh... Il a été généreux...
- Oui... Tu l'as bien mérité.



- Aaahhh... Tu vas aussi jouir sur mon ventre ?
- Hannn... Il y a d'autres options ?
- Sois un peu imaginatif...
Je le laisse décider de la suite. Il semble réfléchir, hésiter. Même si moi, j'aimerais que Luc vienne en moi, j'étale la semence de Lionel sur mon ventre au cas où il déciderait de faire comme son copain.



Et comme Lionel, il s'échappe, laissant ma moule béante. Je m'attends alors à recevoir l'explosion de son plaisir. Mais au lieu de ça, mon copain positionne son gland contre ma rosette. J'ouvre les yeux, surprise :
- Ah oui ?
- Oui. J'ai l'impression que ça te plaît par là...



Je n'ai plus la force de répondre. Seuls mes gémissements s'échappent de ma bouche. Et puis Luc me donne le coup de grâce : alors qu'il me ramone le canal, il plonge deux doigts dans ma moule et me masturbe délicieusement. Fatal. L'orgasme est déjà là.
- Aaaaaaaaaaaah...
Je perds toute notion de la réalité. Je ne suis plus que plaisir, des ondes de plaisir irradiées par mon sexe en fusion.



Comment Luc fait-il pour ne pas éjaculer ? Sans doute qu'il a été bien entraîné par Angela... Plongée dans mon orgasme, il me faut un certain temps avant de me rendre compte qu'il a quitté mon anus et qu'il va et vient doucement dans ma fente en feu. Puis, il s'immobilise. Je sens son sexe en moi se contracter, se gonfler, se tendre. Il hurle mon nom, tandis que je sens plusieurs explosions. Luc se répand généreusement en moi.



Je mets un temps fou à émerger. Toujours allongée sur le dos sur la table, je me rends compte que je garde les cuisses encore écartées, comme si ce n'était pas fini. Luc est assis entre mes cuisses et caresse ma moule gluante de son sperme :
- Alors, ma Juju ? Tu as préféré laquelle de ces deux pénétrations ?
Ses doigts investissent mes deux orifices.



- Difficile à dire. Quand tu étais dans mon cul avec deux doigts dans ma chatte, je crois que c'est ce qui m'a fait chavirer.
- Oh, te voilà devenue poète, ma Juju ?
Luc se moque, mais j'ai de quoi le calmer. Je lui désigne mon sexe d'où je sens son sperme s'écouler.:
- Ah ? Parce que ce que tu viens de me mettre, tu dirais que c'est de la poésie ?



Luc rigole :
- Non, tu as raison, ma Juju. L'amour c'est plus un feu d'artifice que de la poésie.
Lionel se manifeste :
- Ah tiens, ça me fait penser à ce pour quoi je suis venu vous voir.
- Ah oui, c'est vrai ça. Tu es venu pour quoi ? Ce n'était pas pour me baiser ?



- Héhé, non, ce n'était pas l'intention première. C'est que j'organise une petite fête chez moi ce soir. Il y aura de la musique, de la danse et un peu d'alcool.
- De l'alcool ?
- Oui, mais rassure-toi, Juliette. Seulement ce qu'il faut pour se désinhiber.
Je me redresse et m'assois au bord de la table :
- Tu crois vraiment que j'ai besoin d'être désinhibée ?



- On ne sera pas que tous les trois. J'invite aussi d'autres amis.
- Ah oui, je vois. Donc il faudra prévoir des vêtements...
- Pour sortir en société, oui, c'est préférable. Mais la petite robe que tu avais là fera très bien l'affaire.
- Super ! Merci pour l'invitation, Lionel.





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