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Boris
1er juillet 2024
Angela - épisode 24 : Mise à l'épreuve

Mardi 2 août 11:37


Un bruit de moteur se fait entendre de l'autre côté. Quelqu'un vient d'arriver en voiture.
- Merde... Je vais me passer autre chose...
Luc me désigne ma robe :
- Pourquoi ne pas remettre celle-là ?
- En soirée, c'est bien, mais le noir me tient un peu chaud. Je vais chercher quelque chose de plus clair.



Quand j'entre dans la chambre, j'entends les pas de Luc qui monte l'escalier. Sans doute veut-il m'aider à choisir ma tenue, mais je sais déjà quelle robe je souhaite mettre. J'enfile rapidement un string et trouve sans chercher la robe que je souhaitais passer. Je termine de l'enfiler juste au moment où Luc arrive :
- Déjà habillée ? Tu es rapide comme l'éclair !
- Eh oui. Est-ce que ça te convient ?


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- Pas mal, mais elle est un peu transparente et on voit que tu as une culotte en dessous.
Il s'allonge par terre dans l'embrasure de la porte. Je ne comprends pas trop la manœuvre :
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Vas-y, sors. Je vais m'occuper d'arranger ça...
J'ai compris : quand je suis au-dessus de lui, il passe ses mains sous ma robe et attrape mon string pour me le retirer.
- Voilà qui me semble beaucoup mieux.
- Je te reconnais bien là.



- Pas un petit merci pour l'aide apportée ?
- Je crois que tu profites suffisamment du spectacle et ça compense amplement le service rendu.
- C'est exact. Amplement...
J'avance et je le laisse allongé au sol à se rincer l'œil sur mes fesses.



Quand je descends, Lionel se moque de moi :
- Comme tu peux le voir, tu es montée pour rien... Il ne s'agissait que de Joann.
Joann est là effectivement, souriant, vêtu d'un tee-shirt et d'un short en jeans blanc.
- En voiture ? Vous n'êtes pas en vélo habituellement ?



- Si, mais mon pneu a crevé. Je ne voulais pas perdre de temps.
- Oh, je vois. Impatient de travailler.
- Heu oui... Ici, le cadre est exceptionnel.
- Et puis aussi parce que vous préférez jardiner à poil, non ?



- Heu oui, bien sûr.
Lionel a compris où je voulais en venir et prend le relais :
- Dans ce cas, Joann, si c'est ce qui te motive pour venir ici, tu peux te mettre à l'aise.
Joann semble hésiter. Il me regarde et je pense que mon sourire exprime suffisamment mon attente pour le convaincre.



Il se décide donc à quitter ces vêtements, commençant par son tee-shirt. Je l'encourage avec des arguments imparables :
- De toute façon, un short blanc pour jardiner, vous auriez risqué de le tacher.
Il sourit et déboutonnant son short :
- Et vous ne pensez bien sûr qu'à mon confort, Juliette...
- Bien sûr...
Il commence à abaisser le vêtement, sous lequel il ne porte rien, libérant son sexe déjà gonflé bien que pas en parfaite érection.



- Il ne faut pas hésiter ainsi, Joann. Il me semble que je vous ai déjà vu nu à plusieurs reprises.
- Je serais plus à l'aise si vous n'étiez pas vous-même habillée, Juliette.
- Oh... mais c'est que je crains que cela ne vous mette en érection.
Je fais glisser une bretelle de ma robe.



Lionel réplique :
- Et ce serait un problème, Juliette ?
- Oh non. Mais peut-être qu'il sera moins efficace.
Lionel défend son employé :
- Je suis certain qu'il travaille tout aussi bien avec une érection.
- Vous croyez ?
Je prends cela pour un défi et je me penche, comme pour me masser le mollet, face à Joann pour qu'il puisse profiter de mon décolleté.


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Lionel sourit et regarde son jardinier qui semble garder son contrôle :
- Juliette, est-ce que tu chercherais à le faire bander ?
- Oui, puisque tu m'as mise au défi.


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- Ah, parce qu'en lui montrant tes seins, tu crois qu'il va perdre le contrôle ?
J'étais étonnée du contrôle de Joann le premier jour, mais mes dernières expériences m'ont prouvées qu'il était faillible.
- Je crois que c'est un homme normal, comme toi et Luc.
Malgré l'entraînement, que j'imagine intense, qu'Angela a pu faire vivre à Lionel et Luc, je sais qu'ils sont tous les deux sensibles à quelques atouts féminins. Je libère mes seins sous les regards avides des trois garçons.



Joann rigole :
- C'est très gentil de nous offrir ce spectacle, Juliette. Mais j'ai déjà pu voir votre superbe poitrine à plusieurs reprises.
- Alors, c'est qu'il vous en faut un peu plus ?
Je soulève le bas de ma robe, dévoilant mon entrejambe nu.



- En tout cas, vous me mettez plus à l'aise en restant moins habillée, Juliette.
- Mais mon objectif est que vous soyez dans le même état que Luc et Lionel. Eux ne contrôlent déjà plus leur érection.
- Et pourtant, vous voyez ? Je suis excité, mais je ne bande pas.



Une question me vient à l'esprit que je pose au jardinier :
- Mais ne trouvez-vous pas plus excitant que je m'effeuille ainsi petit à petit, plutôt que si vous m'aviez trouvée nue en arrivant ?
- Oh si, bien sûr !
Je me tourne vers Luc et Lionel :
- Vous voyez que j'ai bien fait de mettre cette robe !



Luc hoche la tête :
- Moi, j'étais déjà convaincu. Mais le string aurait été de trop, n'est-ce pas ?
Je me retourne vers Joann :
- Luc m'a retiré le string que j'avais enfilé.
Je me retourne en relevant ma robe pour exposer ma croupe, espérant obtenir une réaction conséquente de Joann.



Mais quand je me retourne, je constate avec déception que le jardinier garde plutôt bien le contrôle de son sexe, alors que Luc et Lionel ont les queues parfaitement dressées. Luc semble percevoir ma contrariété :
- Ne t'en fais pas Juju, Joann a l'habitude d'être à poil, c'est normal qu'il maîtrise.
- Pourtant Lionel a aussi l'habitude et il ne semble pas maîtriser grand-chose.



Luc affiche un sourire radieux :
- Dans ce cas, il faut monter d'un cran.
Et quoi ? J'ai déjà tout montré. Il ne veut quand même pas que je taille une pipe à Joann devant lui et son pote ? Je me débarrasse de ma robe pour être dans la même tenue que les trois garçons :
- Je ne garde pas longtemps mes vêtements, ici.



Lionel et Luc sont ravis. Joann a le sexe gonflé, mais sans être dressé. Lionel dit :
- C'est la magie du lieu. Le retour aux sources. On peut vivre nus comme Adam et Ève au temps de l'Eden.
- Je n'ai pas souvenir qu'Adam et Ève forniquaient toute la journée...
Luc rigole :
- C'est donc que c'est encore mieux que le Paradis !



Joann intervient et s'adresse à Lionel :
- Cela fait plaisir de les voir plus à l'aise. Ils étaient un peu timides avec le naturisme samedi, mais après quelques jours, ça semble aller mieux.
- Et toi ? Il n'y a jamais eu des locataires aussi... jeunes. Tu arrives à travailler ?
Je m'assoie, intéressée par la réponse du jardinier.



- J'avoue que c'est difficile de travailler, car la demoiselle est vraiment très belle et que ça nuit à ma concentration. Du coup, j'ai pris du retard et suis obligé de revenir régulièrement.
- Oui, ça on a vu...
J'interviens :
- Joann se montre très serviable. Hier, il m'a étalé de la crème solaire sur tout le corps...
J'écarte les cuisses pour bien expliciter ce que j'entends par "partout".



Lionel hoche la tête :
- Joann est plus qu'un jardinier. Il a le cœur sur la main.
- Oui et les doigts très habiles...
Je ferme les yeux en me souvenant avec plaisir de ses doigts s'activant sur ma minette.



Lionel sourit :
- Et pourtant il reste un vrai gentleman, gardant le contrôle en toute circonstance.
- Ah là, non. Je t'arrête Lionel. Joann m'a généreusement étalé de la crème, il m'a caressé la moule, mais cela a semblé lui faire perdre son soi-disant contrôle : ton plus-que-jardinier a même éjaculé deux fois. Je crois que c'est mon entrejambe qui l'a perdu...
Sans la moindre pudeur, j'expose aux garçons mon coquillage humide.



Luc rigole :
- Ah ! Juliette... Tu es insatiable. Comment veux-tu que ça se termine, maintenant. Tu as vu dans quel état tu nous as mis ?
Enfin ! Joann bande. Son sexe se dresse fièrement comme pour Lionel et Luc. Sans se concerter, mais sans doute tous motivés par le spectacle que je leur offre, ils empoignent leurs tiges et se l'astiquent.



- Hihi, je crois que j'ai réussi.
Luc secoue la tête d'un air blasé :
- Je n'en doutais pas ma chérie. Tu ferais bander un eunuque.
- Joann n'a absolument rien à voir avec un eunuque.



J'ai l'impression que son sexe est plus imposant que celui de Lionel ou celui de Luc. Lionel semble vouloir résoudre l'énigme du contrôle de son jardinier :
- Juliette, si ce que tu dis est vrai, Joann ne résistera pas à venir s'occuper de ton bel abricot ?
- Je crois effectivement qu'il faut tenter l'expérience.



Joann sourit, de ce genre de sourire qui montre une profonde satisfaction. Il s'approche de moi, sûr de lui.
- Juliette, voulez-vous que je câline cet appétissant fruit que vous offrez à nos regards ?
- Je l'offre à plus que votre regard, plus-que-jardinier.
Il s'accroupit entre mes cuisses. D'une main, ses doigts écartent les lèvres, de l'autre, son majeur glisse sur ma fente, montant et descendant. Je feule de plaisir. Puis son doigt s'enfonce doucement entre les deux bourrelets de chair et trouve son chemin pour me masturber doucement.



J'observe Joann qui, bien qu'en érection, semble garder la maîtrise de son sexe. Lionel montre le même intérêt que moi pour faire perdre le contrôle à Joann :
- Peut-être qu'il faut varier, non ? Un cunnilingus ?
Joann ne discute pas la proposition de son employeur. Il retire son doigt et se penche sur ma fente. Une puissante décharge électrique se déclenche quand sa langue se pose sur mes lèvres et qu'il vient taquiner mon clitoris.



Luc s'amuse de me voir réagir aussi vite :
- Pour le moment, ma Juju, j'ai l'impression que c'est toi qui perds le contrôle...
- Oooooh oui... Il est doué... Oooooh...
Sa langue plonge dans ma fente, fouille délicieusement mon intimité, aspire ma liqueur qui semble couler comme une fontaine.



Je vibre, comme un téléphone indiquant une notification. Ma notification, c'est un subtil orgasme que m'offre Joann. Je maintiens fermement sa tête contre mon entrejambe pour qu'il continue, qu'il ne s'arrête jamais. Et il poursuit sans cesse, gonflant mon plaisir, accentuant mon orgasme. Je gémis de plus en plus. Je sens mes seins durs, mes mamelons tendus, ma chatte dégoulinante.



Je vibre trop, je ne peux plus le maintenir contre mon ventre. Je dois m'appuyer à la table pour ne pas tomber. Joann sent qu'il m'a eue. Il m'a bien eue. Il se relève, satisfait pendant que je reprends doucement mon souffle :
- Alors, Juliette, qui perd le contrôle ?
- J'adore quand vous me faites m'abandonner...



Luc fait le bilan :
- Bon, Joann n'a pas éjaculé, mais, ceci dit, je n'éjacule pas non plus quand je te fais un cunnilingus, ma Juju...
Je suis effectivement un peu vexée de ne pas l'avoir fait craquer. Je me lève et me tourne vers le jardinier :
- Joann, vous avez bien été vous-même surpris par vos deux éjaculations, hier, non ?



Joann semble gêné de l'avouer, mais il le fait :
- Oui. C'était étrange. La fatigue peut-être ?
- Moi, j'aurais dit l'excitation. En tout cas, vous semblez bien en forme aujourd'hui...
Je vois presque les vaisseaux palpiter sur sa hampe tendue.



Lionel ajoute :
- Nous le sommes tous les trois jolie Juliette.
- Mais Luc et toi êtes prévisibles. J'essaie de comprendre ce qui s'est passé hier pour Joann. À moins qu'il soit gêné par votre présence ?
Joann rigole en prenant à la taille Luc :
- Je vous donne vraiment l'impression d'être gêné, là ?



- Non, effectivement...
Luc intervient :
- Peut-être qu'il faut pousser l'expérience plus loin. Est-ce que tu accepterais qu'il te prenne en levrette pour voir combien de temps il tient ?
- Une levrette ? Pourquoi pas ?
Je me retourne face à la table.



Joann a les yeux exorbités. J'ai l'impression que j'ai touché juste. Il ne m'a encore jamais pénétrée alors qu'il en crève d'envie. L'idée de me prendre va sûrement l'exciter au plus haut point. Je me penche en avant sur la table en lui souriant :
- Allez, Joann, faites-nous encore la démonstration de ce beau contrôle.



Je m'attends presque à ce qu'il éjacule avant d'arriver jusqu'à moi. Il semble beaucoup moins fier en s'approchant. Pourtant, il arrive à mon niveau, sexe dressé, sans avoir laissé les vannes s'ouvrir. Il reste quelques secondes en admiration devant ma croupe, sans doute que mon sexe dégoulinant de cyprine lui indique à quel point j'ai envie qu'il me pénètre.


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Lentement, je sens sa queue s'introduire dans ma fente, sans la moindre difficulté. Il s'enfonce en moi doucement.
- Mmmmm, Joann...
- Oui, Juliette ?
- Je... j'ai peur de perdre encore le contrôle...
Il me saisit fermement à la taille et commence à aller et venir tranquillement. Luc et Lionel me regardent. Ils semblent aimer tous les deux.



Luc s'assoit. Je ne vois aucune pointe de jalousie dans ses yeux, dans son expression. Il semble aussi concentré que s'il était en train de mener une expérience scientifique avec une méthode rigoureuse :
- Alors, ma Juju ? J'ai l'impression que Joann résiste, non ?


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Mais le délice de cette pénétration m'empêche de lui répondre. Penchée sur la table, je gémis et ne trouve qu'à encourager mon partenaire :
- Oooooh... Oui... Joann... Continue... C'est bon... Ooooooh...
Et Joann n'a pas besoin de mon exhortation. Il est vigoureux et se maîtrise parfaitement, ce qui est loin d'être mon cas.



J'ai un instant de doute sur ce qui est arrivé la veille. Était-ce le même homme ? Je suis partagée maintenant entre le désir de le faire succomber pour satisfaire ma fierté et le désir impérieux d'accueillir un nouvel orgasme. Le regard amoureux de Luc m'aide à prendre une décision. Je dois le faire éjaculer. Je me redresse et je me concentre pour faire fonctionner les muscles de mon vagin autour de sa queue palpitante.



C'est incroyable, mon espèce de massage interne semble fonctionner, car je le sens comme grossir et palpiter en moi. Mais c'est aussi à mes dépens car je sens l'orgasme monter, incontrôlable. Les soubresauts de mon plaisir semblent déclencher enfin son éjaculation. Emmanchée en moi, son énorme queue semble expulser une quantité de sperme incroyable, telle une lance à incendie.



Il reste fiché en moi. Je sens son cœur battre contre mon dos. Joann semble aussi essoufflé que moi. Luc et Lionel rigolent et m'applaudissent. J'ai l'impression qu'il éjacule encore, qu'à chaque contraction de son sexe il expulse encore et encore du sperme en moi. Quand cela semble se calmer, il se retire lentement. Luc et Lionel retiennent leur souffle. À peine sa queue sortie, je sens ma fente commencer à libérer une partie de sa semence.



Et puis j'entends Luc prononcer :
- Oh putain !
Et alors qu'il prononce cela, sous les yeux exorbités de Lionel, je sens un flot de semence incroyable s'échapper. Joann place son sexe contre ma fente pour tenter d'arrête la fuite, mais en vain, le sperme coule et coule encore.



Lionel regarde Luc :
- C'est plutôt lui, la corne d'abondance ! Je ne savais pas que Joann avait cette capacité !
- De loin, hier, ça ne m'avait pas semblé aussi abondant...
- En tout cas, je vois que ça t'excite au plus haut point.
Luc a effectivement la queue parfaitement bandée, prête à exploser.



Joann, toujours en érection, revient de la salle de bain et me tend une serviette, l'air embarrassé :
- Désolé Juliette... Je pensais pouvoir me contrôler.
- Hey, c'est moi qui ai tenu à vous faire jouir. J'en assume la responsabilité.
Je m'essuie les cuisses et l'entrejambe poisseux du sperme du plus-que-jardinier.



J'ajoute en souriant à Joann :
- En tout cas, ça doit aller mieux maintenant que vous avez les couilles vides, non ?
- Vides ? Pas si sûr...
- Oh ! Tu me mets au défi de te faire jouir une seconde fois ?
Joann sourit. Je prends position, à quatre pattes sur le banc, croupe offerte.



Lionel me regarde :
- Quoi ? Je ne suis pas sûr d'avoir compris, ce qui vient de se dire, là...
Luc lui répond :
- Je crois que ma Juju est affamée et qu'elle veut encore profiter du contrôle de Joann.
Lionel semble incrédule :
- Si elle est affamée, je peux aussi m'occuper d'elle.
- Je crois que Joann dispose de meilleurs arguments...
- Pfff...


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J'ai entendu leur conversation. Cela m'amuse de voir Lionel réagir comme cela, mais je tente de le rassurer quand même :
- Lionel, je dois encore évaluer la résistance de ton jardinier.
- Tu parles, tu veux qu'il te redonne cet orgasme magistral qu'il vient de te donner.
Je n'ose pas lui dire qu'il a raison...



Quand Joann arrive sur moi, il pose ses mains sur mes fesses et reste en admiration de ma moule qui doit encore être dilatée par son passage récent. Il se penche sur moi, mais il me surprend en me léchant l'anus. Je gémis aussitôt en sentant sa langue tenter de se faire un passage dans cet étroit canal. Alors, Lionel et Luc se transforment en commentateurs sportifs et prennent des voix stupides :
- Eh bien mon cher Lionel, je crois que Joann vient de prendre conscience qu'une autre voie était possible.



- Oui, il se redresse. Il pointe son javelot vers la cible, mais...
- Ah non ! Il semble s'engager dans une voie connue.
- Oui, sans doute qu'il n'est pas prêt, mon cher Luc.
- Pourtant, il semble être au top.



- Mais regardez ! Sa monture semble vouloir lui dire quelque chose.
- Oui, mon cher Lionel, elle doit lui signifier qu'il ne prend pas de risque à prendre un passage aussi large.
- Effectivement et elle se caresse le clitoris en même temps. Qu'est-ce que cela signifie ?
- Que Joann ne serait pas en mesure de la faire jouir ?



- Ou du moins, pas par ce passage, mon cher Luc.
- Oh ! Lui aurait-elle suggéré elle-même l'autre voie ?
- Peut-être, mais... Oui, regardez mon cher Luc, Joann explore l'autre voie de son pouce.



- Incroyable ! Elle gémit si fort. Elle semble adorer cela.
- Mais sans doute que ce serait meilleur avec quelque chose de plus conséquent.
- Cela va sans dire. Oh, mais il semblerait que Joann se retire justement pour... Oh non, il a déjà éjaculé !
- Attention, mon cher Luc, je crois qu'il s'agit en fait du sperme issu du premier assaut.



- Ah oui, je crois que vous avez raison.
- Alors, quelle voie va-t-il emprunter désormais.
- Ah, il remet ça, mon cher Lionel, avec le pouce dans le fondement.



- Ah quel dommage ! Sa monture semblait pourtant prête à subir un assaut plus conséquent.
Entre deux gémissements, je m'autorise à m'adresser à eux :
- Aaaaaah... Vous êtes... Aaaaaah... vraiment trop cons... Ooooooh...
Et les commentaires de ces deux abrutis ont fini par décider Joann. Je ne suis pas vraiment convaincue de vouloir qu'il me mette son énorme pieu dans le cul. Et c'est pourtant ce qu'il fait, avec une facilité presque déconcertante.



J'ai l'impression qu'il me déchire, mais pourtant, c'est si bon. Luc et Lionel semblent avoir arrêté de jouer aux commentateurs débiles et semblent subjugués par ce qu'ils voient : l'énorme bite de Joann qui disparait millimètre par millimètre dans mon petit trou. Mon pauvre Luc ne semble pas tenir cette vision bouleversante et se met à éjaculer.



Luc est out. Lionel semble vouloir reprendre du service :
- Mon cher Luc, je vois toute l'émotion que cette pénétration suscite chez vous et je vous en excuse bien volontiers. Je vous avoue être moi-même subjugué par les capacités sexuelles de ce jeune Joann.



Le jardinier semble ignorer les commentaires de Lionel, mais me pilonne de plus en plus vite. Je sens un nouvel orgasme monter. Mon bassin est pris de convulsions. Est-ce ce qui déclenche la deuxième éjaculation de Joann ? Toujours est-il qu'il se plante soudain aussi loin que possible dans mon cul alors que celui-ci subit de violents soubresauts de plaisir.



À nouveau, je sens ce déluge envahir mes entrailles. Joann avait donc raison : il n'avait pas les couilles complètement vides. Ni Luc ni Lionel ne commentent la scène. Quand il se retire, son sexe, libéré de la pression de l'étroit canal, expulse une ultime giclée de sperme sur mon anus et sur mon coquillage.



Luc me sourit :
- Alors, ma chérie ? Après cette mise à l'épreuve, es-tu en mesure de nous dire s'il contrôle ou pas ?
- Je dirais... qu'il a un certain contrôle. Ce qui est sûr, c'est qu'il baise divinement bien.



Lionel fanfaronne :
- Je choisis mon personnel en fonction de ses prouesses sexuelles...
- Tu déconnes ?
- Évidemment.
Je me rends compte que Lionel a aussi du sperme sur le ventre. Il a donc lui aussi éjaculé et n'a pas réussi à garder la maîtrise de son engin.



Je m'assois et je félicite Joann :
- Bravo, moi qui vous ai pris hier pour un éjaculateur précoce, j'ai eu ma leçon. Vous savez garder le contrôle, c'est indéniable.
- Et pourtant ce n'était pas facile. J'ai rarement connu une créature aussi excitante.
Je pense à Angela. Serais-je plus excitante qu'elle ? Joann ne l'ayant pas connue, j'aurais préféré que ce compliment vienne de Luc ou Lionel, mais c'est déjà très gratifiant.
- Joann, je crois que vous méritez amplement le titre de plus-que-jardinier.



Luc sourit :
- Ma chérie, dans ce cas, pourquoi ne pas lui accorder le titre de "laboureur" ?
Tout le monde rit aux éclats et Lionel est le premier à mettre fin à cette étonnante séance :
- Je dois partir organiser ma petite fête de ce soir, je vous laisse.
- Et en tant que laboureur, j'ai moi aussi quelques labeurs.
Je me tourne vers Luc :
- On mange et après on descend profiter de la plage ?




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