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Téléphone 2. Mardi : visites Mon réveil est des plus agréables. Je sens des mains et des doigts manipuler mon érection matinale et la voix de Sophie qui me susurre à l'oreille : - Bonjour, bel Apollon... Tu es déjà très en forme dès le matin... J'ouvre les yeux et souris. Sophie est à quatre pattes entre mes cuisses et masturbe tranquillement mon membre déjà tendu. ![]() Des images me viennent en tête : les essayages envoyés par SMS, notre soirée chez Alain avec la magistrale nuit qui a suivi. D'autres images aussi, sans doute d'un rêve que je faisais et qui expliquait mon état matinal : mes trois collègues, totalement nus et en érection, proposant des vêtements sexy à Sophie pendant que je me masturbe, installé dans un fauteuil, alors qu'ils l'habillent, la déshabillent et lui caressent tout le corps. Je chasse ce rêve étrange et me concentre sur la splendide vision qu'elle me donne : ses jolis seins ballottant alors qu'elle astique doucement mon vit. ![]() images similaires - Tu es devenue insatiable, ma chérie. - La faute à qui ? J'hésite à lui avouer que ce n'est pas vraiment la mienne, puisque quelque part c'est mon désintérêt pour la technologie des téléphones portables qui nous a conduits à cette situation. Ses mains sont douces. Je finis par éjaculer sur ses doigts. ![]() images similaires Quel délice ! Elle semble ravie. Comment quelques photos envoyées par SMS ont pu la changer ainsi ? Sur l'instant, je ne vois vraiment pas pourquoi je gâcherais tout en lui avouant que mes collègues ont vu ses photos d'essayages. Je me redresse et nous nous embrassons. ![]() images similaires S'en suivent une douche et un petit déjeuner. Avant de partir travailler, je rappelle à Sophie qu'on lui a proposé de venir au bureau pour déjeuner avec l'équipe vers midi. Quand j'arrive au travail, je salue Alain, David et Hugo de manière enjouée, ce qui semble les surprendre. Je laisse mon téléphone sur le bord de mon bureau et pars rejoindre le patron pour une nouvelle réunion. À 10h, profitant d'une pause avant la réunion suivante, je repasse au bureau alors que les autres sont descendus prendre un café. Je découvre, comme la veille, les échanges auxquels je n'ai pas participé : S (8:17): C'était bon hier soir. J'ai envie qu'on remette ça ce soir. Les essayages m'ont bien excitée. G (8:20): Moi aussi ! Tu n'as pas d'essayages à faire aujourd'hui ? S (8:21): Si. J'ai 2 visites à partir de 10h. G (8:22): Chemisier et jupe ? S (8:23): Oui. G (8:24): Sans rien dessous. S (8:25) Mmmm ? Certains de mes chemisiers sont suffisamment opaques, ce serait envisageable. Mais s'il pleut, ça peut devenir très gênant, j'en ai fait l'expérience et j'avais pourtant un soutif. G (8:26) Comment ça ? S (8:27) Je te montre. Tu vas aimer... S (8:35) Compliqué à porter au boulot ! Suivent quelques photos incroyables de Sophie en chemisier qui fait un passage sous la douche. Je sens arriver le début d'une érection. ![]() ![]() ![]() G (8:36): Malheureusement, ils n'ont pas prévu de pluie... S (8:37): Coquin ! Mais ceci dit, ce ne serait même pas toi qui en profiterais, mais mes clients. G (8:38): L'idée me plaît malgré tout. S (8:39): ??? G (8:40): Mais de toute façon, pas de pluie prévue et chemisier trop opaque. S (8:41): Trop opaque ? G (8:43): Oui, il faudrait qu'on puisse deviner. S (8:44): Deviner quoi ? Mes seins ? G (8:45): Oui, juste deviner. S (8:47): J'ai bien des chemisiers transparents sous lesquels je mets habituellement un débardeur, mais je crains que mes clients fassent plus que deviner ma poitrine... G (8:36): Fais voir... S (8:47): Je suis toute excitée à te montrer ça... ![]() G (8:48): Très joli. Moulant, mais pas transparent, malheureusement. S (8:53): Monsieur est exigeant ! ![]() G (8:54): Pas mal, mais on voit trop le soutif. Essaye sans. S (8:55): Je m'en doutais... S (8:56): Voilà :) ![]() G (8:57): Dommage que les poches cachent tout ! S (8:58): Tu exagères : on voit mes tétons à travers. G (8:59): Pas tant que ça... S (9:02): Tu en veux toujours plus ! Est-ce que ce petit top serait à ton goût ? ![]() G (9:03): Là, on devine mieux avec la dentelle. S (9:04): Tu rigoles ? On voit tout ! G (9:05): Peut-être parce que tu as le nez dessus, mais moi je trouve ça plutôt sage. S (9:08): Et ça ? C'est sage ? ![]() Je n'en reviens pas ! D'où Sophie sort elle ce top fabuleux ??? Je bande à tout rompre et tant pis si mes collègues connaissent maintenant les seins de ma femme. Apparemment, ça leur plaît autant qu'à moi. G (9:09): Waouh ! C'est parfait ! Tu es magnifique ! S (9:10): Ne rêve pas, je ne vais pas faire ma visite avec ça. G (9:11): Trouve un truc sous le lequel tu peux ne rien mettre. S (9:15): Ce petit pull correspondrait à tes désirs ? ![]() G (9:16): Bingo ! Et en bas ? S (9:17): Une simple jupe. G (9:18): Sans rien dessous ? S (9:19): Qui sait ? ![]() G (9:20): Du coup, tu vas aller bosser comme ça ? S (9:21): Je ne sais pas... ça ne fait pas très habillé, quand même... G (9:22): Essaye avec une petite veste ? S (9:24): Tu trouves que ça me rend plus distinguée ? ![]() G (9:25): Plus distinguée, mais pas moins désirable. S (9:26): Oui, mais pull et veste alors que c'est la canicule, je vais crever de chaud. Mince, je prends seulement conscience de l'appétit que ma femme suscite auprès de mes collègues (ou l'un d'entre eux). Mais je dois bien avouer que, moi aussi, je la trouve terriblement désirable. S (9:32): Bon, j'ai choisi. Ce sera débardeur et jupe. ![]() images similaires G (9:33): Très bien ! S (9:34): J'hésite quand même à mettre un soutien-gorge... G (9:35): Franchement ! N'hésite pas, ça ferait moche. Et autant ne pas mettre de soutif puisque tu ne mets pas de culotte. S (9:36): Pour ça, tu n'en sauras rien ;) S (9:37): Je dois partir. Bises. ![]() images similaires Fin de la conversation de la matinée. Mince, ils ont réussi à convaincre ma femme d'aller bosser sans sous-vêtements. Un de mes plus grands fantasmes se réalise et je n'en suis même pas à l'initiative. Je dois rejoindre le patron, je suis à la bourre. Quand je reviens de réunion, Sophie est déjà là depuis une bonne demi-heure. J'ai une sueur froide : elle est vêtue comme sur les dernières photos envoyées. Elle porte donc un petit débardeur très fin sous lequel on devine très facilement sa poitrine et une mini-jupe vraiment très courte. Quand je pense qu'elle a fait ses deux visites dans cette tenue. Elle me gronde : - Tu m'avais dit midi, mon chéri... ![]() - Oui, désolé. La réunion a été un peu plus longue que prévu. - En t'attendant, on a discuté un peu avec tes collègues. Comme j'étais désœuvrée, ils m'ont demandé un petit coup de main pour ranger quelques dossiers. - Pas très correct de faire faire à ma femme ce que vous ne prenez pas le temps de faire... Hugo se défend : - C'est elle qui a proposé. Sophie ajoute : - Plutôt que de t'attendre en me tournant les pouces, j'ai trouvé que ce n'était pas plus mal de me rendre utile. - J'espère qu'ils t'ont remerciée. - Oui, ils ont été charmants. Ils m'ont offert un café. ![]() - Tant mieux si tu t'es amusée. - Amusée ? Ils ne m'ont pas toujours facilité la vie et j'ai dû parfois me contorsionner pour atteindre les étagères ou les meubles de rangement. - Ah oui ? - Oh ça, m'a fait un peu d'exercices. Tout le monde est gagnant, moi je reste en forme et eux ils ont un bureau bien rangé. ![]() images similaires - Riche idée, aucun des trois n'est un as du rangement. Alain tend à Sophie un petit bout de tissu blanc : - Ah tiens ! À propos de rangement, Gilles. J'ai trouvé cette culotte sous mon canapé ce matin... Vu que Sophie est la seule nana à être passée chez moi depuis quelques semaines, j'imagine que c'est à elle. Sûrement une culotte de secours, au cas où ? - Voilà, c'est ça. Sophie prend une teinte rouge tomate et saisit la culotte. ![]() Alain et Hugo se lèvent : - Bon, on devait manger avec vous ce midi, mais Hugo et moi avons eu une proposition pour un squash que nous ne pouvons pas refuser. Alors que les deux comparses sortent du bureau, David se lève à son tour : - Heu, et moi j'ai une course à faire. Désolé... À tout à l'heure, Gilles. Il sort également. Nul doute qu'il n'avait pas l'intention de tenir la chandelle. - Bon, finalement, ce sera en tête-à-tête. Alors ces visites ? Tout en se penchant pour réajuster sa chaussure, me laissant profiter d'une vue sympathique dans le décolleté de son débardeur, elle m'explique : ![]() images similaires - La première visite était très calme, c'était un couple de retraités et, si monsieur a sans doute passé plus de temps à me regarder qu'à regarder l'appartement, madame l'a régulièrement rappelé à l'ordre gentiment en lui donnant des coups de coude dans les côtes. La seconde visite a été plus amusante... Toujours penchée, Sophie écarte les jambes pour ajuster la lanière de sa chaussure. Je découvre avec plaisir son abricot nu. ![]() images similaires Elle poursuit : - C'était un jeune homme d'une trentaine d'années. J'ai vu que je ne le laissais pas indifférent. Je lui ai donc proposé de télécharger l'application de l'agence qui lui permet d'avoir toutes les infos sur le bien et d'y associer ses photos de visite. Ce que je ne lui ai pas dit, c'est que les photos sont aussi copiées sur le serveur de l'agence et accessibles au responsable de la vente. Je suspecte mon client d'avoir pris plus de photos de moi que de la maison qu'on a visitée. Sophie relève la jambe pour terminer de lacer sa chaussure. ![]() Je n'y tiens plus et lui pose la question : - Tu... Tu n'avais pas culotte ? - Bien sûr, comme tu me l'avais demandé. J'espère que ça t'excite. Elle écarte largement les cuisses en me regardant. ![]() images similaires Je suis éberlué : - Beaucoup... Mais donc, pendant la visite, le gars a pu... - Oui, sans doute. Et il a dû prendre des photos. Je n'ai pas encore vérifié sur le serveur, mais on va regarder ça ensemble, si tu veux. Elle vient s'appuyer à mon bureau. - Mais donc, mes collègues aussi ont pu voir de quoi se rincer l'œil ? - Alors ça, je ne sais pas... ![]() - Quand tu les as aidés à ranger, ça consistait à quoi exactement ? - Bah, pas mal de choses. Chacun m'a donné des dossiers à rendre à d'autres, donc j'ai navigué beaucoup entre leurs trois bureaux, j'ai mis certains dossiers sur les étagères derrière eux... Tous les trois étaient très occupés à travailler, autant avec leur ordinateur qu'avec leurs téléphones d'ailleurs. J'imaginais très bien Sophie se penchant à côté d'eux pour atteindre les étagères, laissant une vue sympathique dans le décolleté et éventuellement aussi une vue dégagée sur ses cuisses pour les deux autres. Et si les téléphones étaient dégainés, il est même possible qu'ils en aient profité pour prendre quelques photos souvenirs. Sophie me voit songeur et me demande : - Tu es fâché ? ![]() images similaires - Pas du tout. Elle se penche alors en me désignant le canapé du bureau : - Tant que j'y pense, David a envoyé une clé USB à Alain, mais elle est tombée sous le canapé. Je l'ai cherchée, mais je n'ai pas réussi à mettre la main dessus. Si toi tu tombes dessus par hasard... ![]() images similaires - OK, je regarderais tout à l'heure. Allons manger et voyons ce que ton client a pris comme photos. Nous partons tous les deux au restaurant administratif qui dépend de ma boîte. Pendant le repas, Sophie sort son téléphone portable et se connecte au serveur de son agence pour voir les fameuses photos prises le matin par le client. Elle pianote quelques secondes puis me tend son téléphone : - Regarde. Tu me diras si la maison te plaît à toi aussi. ![]() À première vue, c'est ironique. Car il n'y a aucune photo de maison, mais uniquement de Sophie. Le gars ne s'est pas gêné pour photographier ma femme pendant toute la visite. Sophie me commente les photos : - Celle-là, je ne m'en étais pas rendu compte. C'est pendant qu'on allait à la maison. ![]() images similaires - Là, je lui faisais une présentation de l'environnement : les commerces, le voisinage, le quartier, les moyens de transport. Bref, très classique. J'ai cru qu'il prenait une photo de la rue, beaucoup plus large que ça. - Sa photo est surtout cadrée sur toi, mais tu es très photogénique, ma chérie. ![]() images similaires - Pour celle-ci, le gars m'a demandé de poser devant la porte avant qu'on entre sous prétexte qu'on se rend mieux compte des proportions. - Il parlait sans doute de tes proportions à toi... - Il faut croire. ![]() images similaires - Bon, de toute évidence, ce sont bien mes proportions qui l'intéressent. - Tu aurais dû lui donner tes mensurations plutôt que les superficies habitables. - Oui, le cadrage montre ce qui l'intéresse vraiment et ça ne semble pas être la porte. ![]() images similaires - Je ne lui jette pas la pierre... - Ah tiens ! Non, il s'intéresse aussi à mon cul apparemment. - Oui et il cadre judicieusement depuis le bas pour pouvoir apercevoir tes fesses. ![]() images similaires - Bon aucune photo de l'intérieur... Là, on était passé sur la terrasse et je lui présentais le petit banc. - C'est un moment judicieux pour avoir une vue dans ton décolleté. - Oui, c'est là où j'ai vraiment pris conscience qu'il s'intéressait plus à moi qu'au bien. ![]() images similaires - Encore une fois, je ne lui jette pas la pierre. Et là ? Tu faisais des tractions sur la table de jardin. - Oh non. Je comprends mieux son manège maintenant. Il m'a demandé si elle était lourde. Je me suis donc appuyée contre pour savoir si elle était mobile ou pas. Il en a encore profité pour photographier mon cul. - Et un peu plus, si ce que je crois apercevoir est bien ton petit abricot. ![]() images similaires - Oui... Merde, je ne pensais pas que ma jupe était si courte. - Ah, si tu écartes les cuisses en plus, ça devient franchement explicite. - Le salaud, il m'a demandé de repousser un peu la table pour la mettre au soleil. Je comprends mieux son manège... ![]() images similaires - Et après l'effort, une petite pose exhibition ? - Là, je t'avoue que je n'avais pas vraiment pris conscience de ma tenue. L'effort a effectivement fait sortir une partie de mes seins du décolleté et laissé ma jupe un peu retroussée. ![]() - Moi, je dirais franchement retroussée. - Le salaud, il s'est permis un gros plan... - C'est un homme de goût. ![]() images similaires - Toi, ça ne te choque pas ? - Non, je trouve excitant de me dire que ma femme est superbe et qu'elle est au goût d'autres hommes. Regarde la dernière. C'est toi qu'il a prise en photo : ta silhouette, ton sourire. ![]() images similaires Sophie fait la moue, pas convaincue que le type ne soit pas un pervers. Je la rassure : - Franchement, si je savais me servir de mon téléphone pour prendre des photos, j'aurais fait comme lui. Surtout si la nana de l'agence immobilière a la bonne idée de venir en tenue légère sans sous-vêtements. - Oui, ça ne m'étonne pas de toi. Et c'est vrai que je ne reverrais sans doute pas ce type. ![]() images similaires - Ce qui n'est pas le cas de mes collègues... - Tu crois qu'ils ont vu aussi des choses ? - Si tu as évolué dans le bureau, te penchant pour ramasser, t'étirant pour mettre sur les étagères, ça m'étonnerait qu'ils soient passés à côté de l'essentiel, vu ta tenue. - Tu crois qu'ils ont vu dans mon décolleté ? ![]() images similaires - Si tu m'as dit qu'ils ont passé leur temps sur leur téléphone, je parierais même qu'ils ont immortalisé certains panoramas. - Tu crois ? - J'en suis convaincu. Et ils n'ont pas que vu tes seins. - Ma minette aussi ? ![]() images similaires - S'ils ont été malins, c'est possible. Sophie semble réfléchir, puis a une illumination : - Merde, la clé USB tombée sous le canapé ! - Tu l'as vu tomber ? - Non, David me l'a dit et m'a demandé de regarder... J'étais à quatre pattes... Je crois que je me suis faite avoir. ![]() Nous terminons le déjeuner en repassant les photos de la visite. Quand je la raccompagne à la sortie, je sens Sophie gênée : - Tout va bien ? - C'est vis-à-vis de tes collègues... - Allons, ce n'est pas grave et moi ça m'excite. - Espèce de pervers... Puis elle m'embrasse avec passion. Je la soupçonne d'être aussi excitée que je le suis. Sortant du bâtiment, elle se retourne et me demande : - C'est pratique un téléphone moderne, non ? ![]() images similaires Je souris : - Oui, ma chérie. Au retour dans le bureau, je constate que les trois comparses sont déjà en salle de visioconférence. Je m'apprête à les rejoindre, mais je me rends compte que j'ai oublié de récupérer ma présentation sur le serveur. À l'allumage, mon PC se lance dans une longue mise à jour... Il m'annonce 20 minutes d'attente. Impossible. Je décide de tenter ma chance sur celui de Hugo qui est allumé et ne s'est curieusement pas mis en veille. Je prends ma clé USB et la connecte. Pendant que mon fichier de présentation se copie, je suis surpris de trouver un dossier au nom de "Sophie" sur le PC de Hugo. Curieux, je l'ouvre : il s'agit de photos de ma femme assise à mon bureau ou alors qu'elle navigue entre les bureaux pour porter des dossiers aux uns et aux autres, le fameux rangement. Ils ont apparemment pu immortaliser l'absence de sous-vêtements sous des angles assez variés. D'abord une simple vue montrant la mini-jupe et le débardeur très léger. ![]() Puis, il y eut une tentative de vue zoomée sur sa poitrine. Pas très bien cadrée, mais l'essentiel est visible, à savoir les mamelons pointant à travers le tissu. ![]() Une autre vue plus proche ou zoomée permet de voir un peu mieux l'échancrure et la masse des seins sous le tissu. ![]() Commence ensuite sans doute les opérations de rangement où Sophie se penche au-dessus des bureaux pour saisir les dossiers, ce qui offre une vue intéressante dans le décolleté de son débardeur. ![]() images similaires Et ce que je craignais arrive ensuite. Sophie a dû se hisser pour atteindre certaines étagères et la minijupe a permis à mes collègues de pouvoir se rendre compte qu'elle n'avait pas de culotte. Deux photos pas très bien cadrées immortalisent ce constat. ![]() ![]() Puis, à nouveau, Sophie penchée sur un bureau, apparemment pour récupérer des dossiers, donnant à son interlocuteur une vue très dégagée sur son buste. Au moins, Sophie était souriante. ![]() La photo suivante est plus osée. Il s'agit d'un gros plan plutôt bien cadré sur les fesses de Sophie quand elle est penchée pour déposer sans doute des dossiers. La mini-jupe est suffisamment courte pour permettre aux spectateurs de parfaitement distinguer son bel abricot. ![]() Puis, je découvre une nouvelle photo de Sophie penchée cette fois au-dessus du bureau de Hugo, il me semble. La vue dans le débardeur me semble à chaque fois plus dégagée ou bien les gars trouvaient à se positionner de manière de plus en plus efficace. ![]() Sans surprise, encore une photo du séant de ma belle. Quand je vois ce magnifique fessier et sa jolie moule dénudée, je prends conscience que mon sexe est si tendu dans mon pantalon que c'en est presque douloureux. Mes collègues bandaient-ils eux aussi en voyant ma Sophie ingénue déambuler ainsi parmi eux ? ![]() Bon sang ! Et ces vues dans son décolleté. Comment ont-ils fait ? Quand je vois ça, je me demande comment ils ont pu résister à l'envie de toucher pour apprécier la douceur et l'élasticité de cette peau, la fermeté de ces fesses et de ces seins, la dureté de ces mamelons, l'humidité et la chaleur de cette moule. Au moins, cela reste pour eux des fantasmes et demeure ma chasse gardée. N'empêche... Quelle magnifique paire de seins elle a ! ![]() Et la suivante ! Merde, ils se sont lâchés. Je n'arrive pas à croire qu'ils aient osé faire cela : l'appareil a été positionné sous la jupe de Sophie et ils se sont offert un gros plan sur l'adorable croupe de ma femme. ![]() Mais comment est-il possible qu'elle ne se soit aperçu de rien ? Surtout que, pour la photo suivante, l'appareil a carrément été placé entre ses cuisses tandis qu'elle devait être à ranger des dossiers sur une étagère haute. ![]() Et encore une photo de sa croupe alors qu'elle est penchée. Bon sang ! Elle savait pourtant que sa jupe était minuscule et qu'elle ne pouvait pas se permettre ce genre de position, non ? N'a-t-elle pas volontairement cherché à les exciter ? ![]() images similaires Ceci dit, quand nous avons visionné les photos durant le déjeuner, Sophie semblait vraiment ne pas s'être rendu compte à quel point sa jupe était courte. Mes collègues eux, s'en sont vite aperçu et les photos osées entre ses cuisses le prouvent. ![]() images similaires Tiens ? Elle est à quatre pattes dans le bureau devant le canapé ? Ah oui. David lui a demandé de regarder sous le canapé... Quel fin stratège ce David. Malheureusement, sous cet angle, il n'a pas vu grand-chose. ![]() images similaires Ah, pas si con, il s'est décalé sur la droite, vers le bureau de Hugo. De ce fait, il a pu voir un peu mieux. ![]() images similaires Forcément, cette photo-ci est de Hugo, l'angle est bien meilleur. Ce qui me fait dire qu'ils se sont échangé les fichiers et que tous les trois ont participé à cette mascarade. Du coup, peu importe qui répond à mes messages, ils opèrent probablement tous les trois quand ils se font passer pour moi. En attendant, cette photo de Sophie prise par Hugo est terriblement bandante. ![]() images similaires Et la suivante est probablement de David, en gros plan sur la croupe de Sophie, que la mini-jupe révèle grâce à la position de ma femme. ![]() images similaires L'avant-dernière photo montre ma femme à nouveau penchée sur le bureau d'Alain, avec bien-sûr une vue encore magnifique dans son décolleté. La photo a sans doute été prise peu de temps avant mon arrivée, car je vois qu'elle tient ma tasse à café. ![]() La dernière photo est presque sage. C'est un gros plan sur le buste de Sophie, alors qu'elle est assise à mon bureau. On voit les mamelons qui pointent fièrement à travers le fin tissu du débardeur. Un délice. ![]() Curieusement, je ne suis ni en colère, ni jaloux ! Je me rends compte que j'ai une érection terrible et que ça m'aurait excité encore plus de les voir voler ces images pendant que Sophie naviguait dans le bureau. La copie du fichier terminée, je reprends ma clé USB, laisse mon portable sur le bureau et part rejoindre mes collègues à la visioconférence. Au moins, ils ne pourront pas répondre aux messages de Sophie puisqu'ils seront en réunion avec moi. Deux heures et demie plus tard, en sortant de réunion, je trouve encore quelques messages de ma chérie qui a profité de l'après-midi pour faire encore des essayages sexy. Cette fois-ci, je suis le seul à en profiter. S (15:13): Et si j'avais mis ça pour mes visites de ce matin ? ![]() ![]() S (15:14): Il suffit de ne pas trop ouvrir la veste... ;) S (15:15): Tu n'aimes pas ? S (15:24): Tu préfères ça ? ![]() ![]() S (15:25): Sur les photos, on a presque l'impression que je suis à poil, mais il y a bien un petit top ;) ![]() S (15:26): Une préférence pour le noir ou le blanc ? S (15:39): Pour ce soir, est-ce que cette petite robe échancrée t'irait ? Bien sûr, trop échancrée pour mettre une culotte... ![]() S (15:44): Non ? Quelque chose de plus décolleté, alors ? ![]() S (15:51): Toi, ton truc, c'est plutôt la transparence, non ? ![]() ![]() ![]() S (16:08): Ou quelque chose de beaucoup plus simple ? ![]() S (16:29): Ne tarde pas trop ce soir... Franchement, je suis à deux doigts (c'est le cas de le dire !) de me masturber pour me soulager tellement j'ai envie que tu me prennes. Je t'attends. Je regarde l'heure. Déjà 16h45. Je devrais rester encore bosser, mais je ne tiens plus. - Alain, je suis claqué et je ne suis plus bon à rien. Je rentre. Si tu peux faire le compte rendu de la réunion, je la relirai demain matin. - Entendu. Bonne soirée. Il me fait un clin d'œil. Qu'est-ce que ça veut dire ? Il se doute sans doute que Sophie a un gros besoin de tendresse ce soir. Je me demande dans quelle tenue elle va m'accueillir. Quand j'entre, je suis à peine surpris de la trouver nue dans le salon. ![]() - Tu n'as répondu à aucun de mes messages ! - Désolé, j'étais en réunion. Mais j'ai vu ce que tu m'as envoyé et toutes les tenues que tu as proposées m'ont beaucoup plu ! - Et j'ai opté pour la plus efficace. J'ai trop envie ! ![]() - Bon sang ! Que tu es belle ! J'aimerais graver ces images à tout jamais dans ma mémoire. - À défaut, tu peux prendre des photos avec ton téléphone... - Quoi ? Elle soupire et se lève pour prendre mon téléphone et me montrer comment l'utiliser comme un appareil photo. ![]() Je la photographie. Je bande comme un étalon tant cela m'excite. Elle se laisse photographier, nue. Et dans une position tellement indécente ! Elle est à quatre pattes sur le canapé, cuisses écartées, cambrée, offerte. - Prends ta photo et viens me prendre ou je ne réponds plus de rien. ![]() images similaires Je prends un cliché. Je vois une vignette s'afficher quelques secondes dans le coin de l'écran. Mince, ça fonctionne ! Et ma pauvre Sophie qui s'impatiente. - Merde, tu fais chier à t'intéresser maintenant à ton téléphone. Ce n'est pas le moment ! Pour me montrer en quoi consiste le moment en question, elle se glisse le majeur dans la moule et commence à se masturber en feulant. ![]() images similaires Je prends une photo et pose le téléphone pour me déshabiller. Moi non plus, je n'en peux plus. Je viens me placer derrière elle. Quand je pose ma main sur sa croupe, elle soupire : - Enfin ! Je présente mon érection devant sa fente juteuse. ![]() images similaires Je m'insère. Ma queue pénètre Sophie avec une facilité déconcertante. L'excitation de la journée a dû la faire mouiller plus que de raison. - Oh putain que c'est bon ! Je suis sidéré de l'entendre jurer ainsi, mais je dois avouer que ça me plaît qu'elle ne se retienne pas. ![]() Elle gémit de plus en plus. Elle miaule. Elle ne cherche apparemment pas à faire durer le plaisir. Elle a trop attendu. Moi au contraire, je fais tout pour me retenir. Elle se contracte soudain et tout son bassin se met à vibrer de manière incontrôlable. Son orgasme est terrible et s'accompagne de cris puissants qui doivent s'entendre dans tout le voisinage. Devant cette explosion de plaisir, j'ai toutes les peines du monde à ne pas éjaculer. ![]() Ainsi emboîtés, on ne bouge plus pendant quelques minutes, reprenant nos esprits et retrouvant notre souffle. Puis, elle se dégage et se lève. Elle prend mon téléphone et me le tend : - Tiens. Prends des photos pendant que je te suce. - Quoi ? - Tu ne veux pas ? - Oh bah si ! Évidemment. Elle s'agenouille devant moi. D'une main, je commence à photographier alors qu'elle ouvre explicitement sa bouche devant mon gland palpitant. ![]() Je suis un peu perdu. Qu'est-ce qu'il se passe ? Comment Sophie est-elle devenue comme ça, assoiffée de sexe ? De simples échanges de SMS et de photos ont-ils pu la transformer en cette nana sexy qui est en train de me pomper le dard ? Je ne dois plus me poser de question pour le moment, juste profiter de cette bouche qui aspire mon gland, de cette langue qui virevolte sur l'extrémité. ![]() Cette coquine regarde mon téléphone, l'objectif. Elle pose. J'ai l'impression que ma queue n'a jamais été aussi grosse dans sa bouche. Elle commence à me pomper réellement, mais ses yeux ne quittent pas un instant l'objectif. Elle ne me regarde pas moi, dans le présent, mais moi dans le futur quand je reverrai ces photos. Et c'est certain que ça me fera bander. ![]() Je sens que j'atteins le point de non-retour. Je vais jouir violemment. Je la préviens. - Sophie, je vais venir... Elle s'en fout. Elle me suce, elle me pompe, elle m'aspire. Et je viens. Je jaillis entre ces douces lèvres. Mon sperme envahit sa jolie bouche. Et encore, et encore. Cela semble intarissable. Elle laisse échapper du sperme qui tombe sur ses seins. ![]() Elle relève la tête : - Mince, toi aussi, tu étais sacrément excité ! Je ne peux lui répondre, encore sous le choc. ![]() images similaires Je dois pourtant lui dire que ce n'est pas fini. Que je vais encore éjaculer. Mais le sperme sort de ma queue avant que le moindre son ne sorte de ma bouche. Sophie est surprise. - Merde ! Elle rouvre aussitôt la bouche alors que deux puissantes giclées de semence ont déjà lézardé son visage. ![]() Elle m'engouffre à nouveau et me pompe. Là, je donne tout. Elle me prend tout. Jusqu'à la dernière goutte. Elle redresse la tête, échevelée, du sperme plein le visage : - Gilles, quel pied ! ![]() images similaires Celle-là, je ne m'y attendais pas. Je m'apprêtais à m'excuser de lui avoir tout balancé dans la bouche et au visage et elle semble me remercier. Moi qui pensais que l'éjaculation faciale ou même la fellation était une marque de domination masculine, je crois qu'ici il s'agit de la marque du contrôle qu'a Sophie sur moi. Elle s'essuie la bouche d'un revers de la main et nous nous embrassons tendrement. Qu'est-ce qu'il nous arrive ? |