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Simon
1er décembre 2024
Téléphone 3. Mercredi : bar

Le réveil de ce mercredi matin n'a rien à envier à celui d'hier : Sophie a entrepris de m'offrir sa bouche pour me tirer du sommeil. Elle redresse la tête et me sourit :
- Tu aimes ce genre de réveil ?
- J'adore ! Je t'adore...
Elle replonge sur mon dard.



Je me rends compte que j'étais en train de faire un rêve similaire à celui de la veille, à la différence que cette fois-ci, Sophie répondait aux caresses de mes collègues en les masturbant à tour de rôle. Rêve un peu déstabilisant, mais apparemment efficace vu mon état d'excitation. Sauf que ce sont sans doute plus les lèvres de ma chérie qui sont responsables de mon état actuel.



Il faut dire que la fellation ne semble pas être une pratique qu'elle apprécie particulièrement puisque celle-ci est sans doute seulement la troisième qu'elle m'offre. Et je dois dire que c'est bien meilleur que les deux premières, peut-être parce que c'est elle qui l'a décidée et qu'elle y met beaucoup de cœur.



Je finis par sentir le point de non-retour arriver. Je la préviens :
- Attention, je viens...
Mais elle garde la bouche vissée sur mon dard. Cela m'excite encore plus. Avec un râle incontrôlable, je me déverse généreusement dans sa bouche. À ses déglutitions, je vois qu'elle avale toute ma semence au fur et à mesure que je l'expulse. C'est la première fois qu'elle fait ça ainsi.


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Quel incroyable réveil ! Comment Alain, David et Hugo, en se faisant passer pour moi, ont-ils réussi à transformer ma sage petite femme en la délicieuse petite salope que je fantasmais qu'elle soit ? N'est-il pas trop tard maintenant pour lui avouer que je ne suis pas l'auteur des messages qui l'ont tant excitée ?


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Je pars au travail avec cette question. Est-ce que je pousse encore l'expérience pour voir jusqu'où l'usurpateur ira, jusqu'où Sophie ira ? Ou j'en reste là et j'éteins mon portable pour qu'il ne soit plus l'objet d'échanges entre ma femme et mes collaborateurs ? Je m'apprête à m'orienter vers la seconde décision quand je prends conscience que je ne sais ni comment étreindre mon portable ni comment le rallumer ensuite... L'idéal serait de changer le code PIN, mais là aussi, je ne sais pas. Et je crains que de demander à Sophie ou à mes voisins de bureau n'éveille leurs soupçons. En fait, le destin me pousse probablement à poursuivre ce petit jeu érotique avec Sophie. Je laisse donc à nouveau mon téléphone sur mon bureau, à la merci de l'un ou plusieurs de mes collègues.



Je reviens de ma réunion en fin de matinée et découvre le bureau vide : ils sont déjà partis déjeuner. Avec une certaine fébrilité, je regarde mon téléphone posé sur le bureau, apparemment à l'endroit exact où je l'avais laissé. Quand je l'active, je ne vois aucune notification de messages non lus. Mais lorsque je consulte la messagerie, je découvre à nouveau une foule de messages de Sophie accompagnés de photos. Et s'ils sont lus, c'est qu'ils ont été consultés par David, Hugo et Alain.

Le premier message est une photo de Sophie, dans une cabine d'essayage.



S (10:07) : J'ai décidé de faire quelques essayages ce matin... Tu en penses quoi ?
G (10:08) : Joliment moulant, mais ce n'est pas vraiment de saison...
S (10:09) : C'est clair ! Mais tu as noté l'effort : pas de soutif ;)
G (10:10) : Ah oui ! Bien ! Mais du coup, trop épais ce pull.
S (10:14) : Et ça ?



G (10:15) : Ah oui ! Là, ça commence à se deviner. C'est sympa.
S (10:16) : Arrête, on voit tout !
G (10:17) : N'exagère pas. C'est suggestif, mais il y a sûrement des tissus plus fins et plus de saison, non ?
S (10:22) : Trouvé ! J'ai ça.



G (10:23) : Pas mal, mais ça reste épais, non ?
L'usurpateur sait comment faire progresser la situation en sa faveur.
S (10:24) : Je me doutais que tu voudrais en voir plus...
Et Sophie semble y être très réactive.
S (10:25) : Là, ça devrait te convenir. Selon la lumière, la transparence est plus ou moins marquée.



G (10:26) : Hyper bien pour un pull ! Je ne savais pas que ça se faisait avec des tissus aussi fins.
S (10:27) : Et là tu es dans quel état ?
G (10:28) : Je commence à avoir un peu la trique...
S (10:30) : Seulement un peu ? Je suis déçue. Et avec ça ?



G (10:31) : Ce n'est pas le même ?
S (10:32) : Bah non ! Tu vois bien qu'il est plus transparent.
G (10:33) : Ah oui, peut-être. Question de lumière ?
S (10:35) : Bon, et là ? C'est assez transparent pour te faire bander ?



G (10:36) : Hola, oui ! C'est magnifique. On pourrait même se dire de loin que tu ne portes rien...
S (10:37) : Tu y as le droit dans une cabine, mais il est hors de question que je porte ça en public.
G (10:38) : Et à la maison ?
S (10:40) : Pour la maison, j'ai mieux ! Que dis-tu de ça ?



Là, mes collègues ont pu admirer en détail les seins parfaits de Sophie.
G (10:41) : Superbe, ça donne envie de s'approcher pour compter les pétales des fleurs.
S (10:43) : Là, tu bandes ?
G (10:44) : Carrément.
S (10:45) : Tu me montres ?
G (10:46) : Vu que je ne suis pas seul dans le bureau, ça va être compliqué...
S (10:47) : Tu ne peux pas aller aux toilettes ?
G (10:48) : Difficile de me lever dans l'état où tu m'as mis.
S (10:50) : Dommage... J'ai aussi avec moins de fleurs...



G (10:51) : Très excitant aussi ! Et le motif étant plus petit, ça oblige à s'approcher encore plus pour voir de quoi il s'agit.
S (10:52) : Un motif encore plus petit te ferait mettre le nez entre mes seins.
G (10:53) : Fais voir ?
S (10:55) : Tadam !



G (10:56) : Waouh, superbe !
S (10:57) : Tu peux m'envoyer une photo de ton chapiteau ?
G (10:58) : Heu, comment je fais ?
S (10:59) : Ah t'es chiant ! T'as déjà oublié ? Pourtant hier soir, tu avais l'air d'avoir trouvé comment ça marchait, non ?
G (11:00) : Désolé, je ne sais plus...
S (11:02) : Moi, je suis tranquille, je peux essayer ce que je veux... en toute indécence ;)



G (11:03) : Là, tu portes quelque chose ???
S (11:04) : Oui, idiot. Mais c'est très fin. Attends, j'ai aussi sélectionné un autre truc, différent.
S (11:06) : De la maille...



G (11:07) : Tu es divine ! Tu devrais porter ça quand on rencontre mes collègues !
S (11:08) : Idiot ! Tu les imagines, tous les trois en train d'avoir une érection pour ta petite femme ?
G (11:09) : J'imagine assez bien, oui... Tu as de la chance d'être isolée dans cette cabine.
S (11:10) : Je vais t'empêcher de te lever de ton bureau !



Je n'en reviens pas, elle m'a envoyé une photo d'elle totalement nue, et quand je vois ses mamelons tendus, elle doit être très excitée. Autant que moi en regardant ces photos et sans doute autant que les trois lascars quand ils les ont découvertes.

S (11:11) : Là, tu dois bander comme un taureau !
G (11:12) : Oui !!!



Et les photos se succèdent terriblement érotiques. Sophie tient l'appareil plus bas, en contre-plongée et le tourne peu à peu jusqu'à dévoiler son entrejambe. Je bande effectivement comme un taureau et j'imagine que Hugo, Alain et David ont été dans le même état.



S (11:13) : Est-ce que ça te plaît ?
G (11:14) : OUI !!!
S (11:15) : Alors je vais te laisser, je t'ai assez fait souffrir ;)
G (11:16) : Non ! Encore !



Et ma Sophie qui répond à leur requête en envoyant une photo de ses fesses, puis se cambrant pour leur exposer sa croupe ! Non... c'est à moi qu'elle croit envoyer ces photos sublimes. Elle ne peut pas savoir à quel jeu pervers jouent mes collègues... et moi, je l'avoue !



S (11:17) : Allez, j'arrête. Sinon tu vas éjaculer dans ton pantalon...
G (11:18) : Tu es divine, Sophie !
S (11:19) : Désolée que tu n'aies pas pu prendre toi-même ces photos comme hier soir, même si celles-ci sont nettement plus sages... Allez une dernière en espérant qu'elle ne t'achèvera pas ;)


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Je suis sidéré ! Mon érection me fait mal tellement je bande. Pour me calmer, je fixe mon attention sur la fenêtre. Faut-il que je mette fin à ce petit jeu qui devient de plus en plus pervers ? En reprenant mes esprits, je prends conscience que le dernier message de Sophie évoque ces fameuses photos prises la veille au soir, et que les usurpateurs les ont probablement visualisées dans le répertoire de mon téléphone. Je me maudis de ne pas y avoir pensé. Je vais vérifier sur l'ordinateur de Hugo et constate que le dossier "Sophie" est devenu un raccourci.



Je regarde vers où pointe ce dernier et vois qu'il s'agit d'un dossier sur le serveur, ironiquement nommé "Documentation_juillet2024". Depuis mon poste, j'ai accès au fameux dossier. En l'ouvrant, je constate qu'il s'est effectivement enrichi des photos qu'elle m'a envoyées par SMS dans la matinée et aussi celles, très osées, que j'ai prises la veille au soir. Ils sont gonflés, ils se partagent donc les photos de ma femme sur le serveur de la boîte, mais, heureusement, dans une partie réservée à notre seul service.



Quand je pars pour déjeuner, je croise les trois gars qui en reviennent et retournent au bureau, mais cette fois j'ai gardé mon téléphone avec moi. Une demi-heure plus tard, en revenant au travail avec un café à la main, je découvre David, Hugo et Alain en plein travail, chacun sur son écran.
- Bravo les gars, vous êtes studieux !
Hugo rigole :
- Même pas Gilles ! En fait, on se fait un petit poker en ligne entre nous trois...
Je vais derrière David et découvre le jeu à l'écran :
- Vous jouez de l'argent ?
- Non, celui qui perd doit payer un coup aux autres.



Je me mets au travail. Après quelques minutes, Hugo me fait sursauter en pestant :
- Ah ! Quelle poisse !
Alain éructe :
- Hey, c'est toi qui paies ton coup ce soir !
- Je m'incline. C'est la règle. Gilles, tu te joindras à nous ?
- Ça aurait été avec plaisir, mais je ne veux pas faire attendre ma femme.
- Propose-lui de venir nous rejoindre au bar, on grignotera sur place.
- Effectivement, c'est une bonne idée. Je lui soumets l'idée.
Je dégaine fièrement mon téléphone pour leur montrer que je suis à la pointe de moyens de communication, mais personne ne manifeste la moindre admiration. J'envoie un SMS bref.



Sophie accepte dans la minute.
- C'est bon, on viendra se joindre à vous.
Ils acquiescent timidement, mais je sens derrière ce détachement apparent une grande satisfaction. Pour la suite de l'après-midi, nous sommes ensemble en réunion, tous les quatre. Personne ne peut jouer avec mon téléphone. Et effectivement, quand je le consulte à la sortie de la réunion, il n'y a que trois messages successifs de Sophie (pour lesquels il y a des notifications) :

S (15:17) : Du coup, je m'habille comment ce soir ?
S (15:23) : Si tu ne me donnes pas d'indication, tu prends le risque que j'ose quelque chose de peu discret...
S (15:44) : Tu ne réponds pas ? Tant pis pour toi...

Nous nous sommes retrouvés à quelques rues du bar, dans un parking en contrebas où Sophie a trouvé à se garer. Quand je la rejoins, je la découvre dans une robe orange effectivement peu discrète, mais très sexy.



- Wahou ! Tu es magnifique !
- Tu aimes ?
- Évidemment !
- Par contre, j'ai mis des chaussures à talons, mais je ne suis pas certaine de les garder toute la soirée car elles ne sont pas très confortables.



Comme elle se penche en avant pour se masser le pied, je me délecte d'une vue magnifique dans son décolleté où l'absence de soutien-gorge permet à sa poitrine de se mouvoir en toute liberté. Elle passe tant de temps à se masser la cheville que je me demande même si elle ne le fait pas exprès. J'en profite pour passer derrière elle avec l'envie de voir si elle a mis une culotte ou non.



Mais avant que je ne puisse répondre à ce mystère, elle se redresse en riant :
- Bon, je ne vais pas me plaindre : avec cette robe, je ne pouvais pas mettre d'escarpins de toute façon.
Elle passe devant moi pour monter l'escalier permettant de regagner la rue et je ne peux m'empêcher de me pencher pour voir si elle porte ou non une culotte (avec le secret espoir que ce ne soit pas le cas). Elle voit mon manège :
- Qu'est-ce que tu fais ?



- Oh rien, j'admirais tes jolies jambes.
Cela semble l'amuser :
- Ah oui ? Seulement les jambes ? J'ai l'impression d'avoir surpris ton regard un peu plus haut.
- Disons que je me pose des questions...
- Il suffit de demander...



- Tu as mis une culotte ?
- Tu crois que je n'aurais pas mis de culotte alors qu'on va passer la soirée avec tes collègues ?
- Ces derniers jours, je sais plus vraiment ce que je dois croire.
- C'est à cause de nos échanges par SMS...
Elle file alors en courant dans l'escalier, faisant voler le bas de sa robe, ce qui lui évite de répondre à ma question.


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Arrivés au bar, mes collaborateurs sont déjà là et se lèvent pour accueillir Sophie. Hugo, qui devait payer sa tournée, passe commande pour tout le monde et, étant pour le moment les seuls clients dans cette partie du bar, nous sommes servis presque aussitôt. Chacun leur tour, les gars posent pleins de questions à Sophie, sur son travail, ses loisirs, ses goûts, et je soupçonne que c'est surtout une bonne raison pour ne pas la quitter des yeux.



Sophie semble beaucoup apprécier cet intérêt marqué pour elle. À la voir ainsi, belle, épanouie, je sens un début d'érection. Je me demande si les trois autres bandent aussi. Quand la première tournée est passée, Alain propose de payer la suivante. Hugo en profite pour commander des assiettes d'amuse-gueules à grignoter. C'est très sympathique et, dans cette chaude ambiance très décontractée, Sophie et moi nous laissons aller à boire un peu plus que nous en avons l'habitude.



Alors que Alain et Hugo sont sortis fumer une cigarette, David nous fait remarquer qu'il y a une arrière salle avec un billard.
- Est-ce que ça vous tenterait quand les gars reviendront de leur pause clope ?
- On n'y connaît rien, mais ce serait sympa d'essayer.
- Vendu ! On va vous initier. Avec Alain et Hugo, on vient souvent jouer ici et on commence à se débrouiller.
Sophie semble enthousiaste :
- C'est chouette !



David se lève et va voir le patron :
- Je vais demander si elle est réservée ce soir et s'il y a un créneau.
Il va voir le gars au bar et celui-ci l'accompagne dans l'arrière-salle. Ils semblent bien se connaître et partent dans une longue discussion, nous laissant Sophie et moi, seuls dans la salle. J'en profite pour lui demander :
- Est-ce que ça t'excite d'être sans culotte ?
- Oh oui, si tu savais. Et surtout que tu sois le seul à le savoir...



- Je t'avoue que moi aussi, ça me fait de l'effet...
Elle rigole et pianote rapidement sur son téléphone et me montre la dernière photo envoyée en fin de matinée :
- J'étais déjà dans cet état ce matin... Tu te souviens ?



- Oh ma petite cochonne, il va falloir faire attention.
- La robe est assez longue, je ne crains rien tant que personne ne demande à voir mon papillon.
À ma stupéfaction, elle pose son pied droit sur le siège et soulève sa robe pour m'exhiber son tatouage, mais aussi et surtout son délicieux minou.



Dans un réflexe de pudibonderie, je regarde vers l'arrière-salle où David et le barman poursuivent une conversation intense, puis dans la rue pour constater que Hugo et Alain fument toujours. Sophie rigole en me voyant presque paniqué :
- Allez, on est que tous les deux. Viens me la lécher.
- Ici ?
- Si tu ne le fais pas, je demande au premier de tes collègues qui reviendra.
Elle est folle ! Je suis fou. Je m'agenouille entre ses cuisses écartées et y plonge mon visage pour agiter ma langue sur sa fente déjà humide.



J'organise la défense :
- Surveille l'extérieur, j'ai David en visuel grâce au miroir derrière le bar.
Elle ne répond pas, mais sa respiration se fait haletante tandis que la pointe de ma langue tourne autour de son clitoris. Je ne résiste pas à l'envie de glisser un doigt dans sa fente dégoulinante.



Je suis en train de me demander si je ne vais pas la faire jouir quand elle repousse ma tête :
- Merde, rassieds-toi. Les fumeurs reviennent.
Je m'exécute, à la fois frustré de cette interruption, mais également amusé par cette situation totalement improbable. Je suis stupéfait du naturel qu'elle arbore quand Hugo et Alain nous rejoignent à la table :
- David est parti ?
- Non, il voit avec le patron si on peut accéder au billard.



- Ah oui. Super idée ! Vous pratiquez ?
- Non, mais David proposait justement que vous nous y initiez.
- Avec plaisir !
Les gars partent rejoindre David. Sophie me fait un clin d'œil et se lève pour rajuster sa robe avant de les suivre.



Pour ma part, je suis contraint de patienter un peu, sirotant mon verre, histoire de débander avant de retrouver la troupe. Il me faut tout de même une dizaine de minutes avant que mon entrejambe reprenne un aspect décent. En me levant, je prends conscience que la succession des tournées m'a joué un sale tour et que l'alcool embrouille mes sens et mon déplacement. Quand je rejoins enfin les autres dans l'arrière-salle, ils terminent d'expliquer les règles du billard à Sophie qui semble enthousiaste :
- Gilles ! Ils m'apprennent le billard.



- C'est bien ma chérie. Tu as eu l'explication des règles ?
- Oui. D'abord le vocabulaire : déjà on ne dit pas boule, mais bille ! Et en France, on joue à un billard qui s'appelle la carambole où la table ne comporte pas de trou et où on n'utilise que trois billes. Mais là, c'est un billard américain et ils m'expliquaient les règles du snooker. Au snooker, il faut frapper seulement la bille blanche avec la queue.



- La queue ?
- Oui, la canne. Mais on dit la queue.
- Te voilà une professionnelle en quelques minutes.
- Je connais le vocabulaire, mais ça ne suffit pas pour faire de moi une professionnelle du billard.



David s'approche d'elle :
- Elle a raison. Maintenant, il faut aussi apprendre les gestes et les positions. Prends position Sophie, on va voir ce que tu fais instinctivement et on t'aidera à corriger si nécessaire.
Sophie prend place et se penche sur la table. Sa manière de tenir la queue me semble correcte, mais j'attends l'avis des professionnels.



Je vois que David, derrière elle, se mord les lèvres en regardant ses fesses. Nul doute qu'ainsi cambrée, sa croupe moulée dans la petite robe orange puisse faire de l'effet. À côté de moi Hugo et Alain ne disent rien, mais semblent subjugués. Je comprends en voyant le généreux décolleté qu'offre Sophie quand elle se penche au-dessus du tapis.



David commente :
- Bon, ce n'est pas mal, mais on va corriger quelques points. D'abord, il faut que tu te penches davantage. Pour bien viser, il faut vraiment être bas pour s'assurer de la trajectoire que l'on donnera à la bille de choc.
- Comme ça ?
Sophie se cambre encore un peu plus, élargissant encore la vue que l'on peut avoir dans son décolleté quand on se trouve face à elle.



Redressant la tête, elle nous voit tous les trois en extase devant ses seins. Par réflexe de pudeur, elle resserre un peu les bras pour que le décolleté ne s'écarte pas trop, mais nous ne tient pas rigueur de ce voyeurisme éhonté.
- Ne restez pas en face, les garçons. Je suis si maladroite que vous pourriez prendre une bille dans l'œil.


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Amusés qu'elle le prenne ainsi, on se décale sur les côtés. David poursuit :
- Bien, pour être plus à l'aise et assurer ta position, il ne faut pas hésiter à écarter les jambes, tout en restant souple.
- Comme ça ?



Sophie écarte les jambes et, voyant les yeux exorbités de David derrière elle, je prends conscience de la situation, puisqu'elle m'a montré quelques minutes plus tôt qu'elle n'avait pas de culotte. Il lui suffirait sans doute de s'accroupir pour découvrir le pot aux roses. Ce que moi je m'autorise en refaisant mon lacet.



Alain me fait un clin d'œil. Il a compris ce que je faisais. Plus subtile que moi, je le vois innocemment décrocher un miroir du mur et passer derrière Sophie. Le reflet que nous renvoie le miroir est absolument incroyable : c'est comme si nous étions sous la robe de Sophie et qu'on pouvait se délecter du spectacle de son splendide abricot.



Mes collègues observent ma réaction. Voyant que je souris, cela doit les conforter dans ce petit jeu. Sophie semble ne se rendre compte de rien et continue à manier sa queue pour préparer le coup qu'elle va donner.
- Je tire ?
- Oui, vas-y.
Elle tire, mais la bille ne suit pas exactement la direction qu'elle avait prévue et passe à côté du groupe de billes de couleur.
- Ah zut !



Elle me tend sa queue :
- Tiens ! Essaye au lieu de te moquer.
- Je ne me moque pas. Et je pense que David préférera que tu insistes un peu. Je jouerai après.
Hugo lui replace la bille blanche et elle reprend position. David la rejoint et, lui mettant une main sur le ventre (un peu bas, d'ailleurs), il la fait se reculer :
- Pas trop près de la table, Sophie.



Sophie rigole. Je constate qu'elle est sans doute aussi saoule que moi pour accepter que David la manipule aussi directement. Elle me regarde en souriant. Elle semble heureuse et, comme ces petits jeux m'excitent moi aussi, je ne vois pas de raison d'interrompre cette leçon. Se collant à elle, David lui demande :
- Tu permets que je t'aide à prendre position.
- Oui... Je ne vais pas refuser les conseils d'un pro.



- Tu acceptes que je te guide ?
- Que tu me mettes dans la bonne position ?
- Oui, par exemple, l'orientation des épaules.
J'écarquille les yeux. Si sa main était juste avant sur l'épaule de Sophie, il ne fait aucun doute qu'elle empoigne désormais un sein, sous prétexte de faire pivoter le buste.



Sophie glousse. David me regarde, sans doute vérifiant que je ne m'offense pas de son tripotage éhonté sur ma femme. Je ne m'offusque pas. Il prend une profonde inspiration et poursuit la leçon :
- Bien, alors on reprend. Jambes écartées, bien penchée sur la table.
- Comme ça ?
Hugo et Alain sont encore en face et profitent sans doute de la merveilleuse vue dans le décolleté de la petite robe. D'où je suis, le spectacle n'est pas mal non plus. David guide les bras de Sophie, mais je le trouve trop penché sur elle. S'il bande, nul doute qu'elle doit le sentir contre ses fesses. Et puis une main du professeur me semble monter haut sur la cuisse.



- Écarte encore un peu plus les cuisses. Il faut que tu assures une parfaite stabilité.
D'où je suis, j'ai l'impression que David veut surtout s'assurer un passage sous sa robe. En voyant le regard vitreux de Sophie et son souffle court, je me demande même si les doigts de David n'ont pas atteint son puits d'amour. Je la vois tressauter, sans doute sous l'effet de doigts inquisiteurs. Cela a pour effet de faire sortir peu à peu sa poitrine de son décolleté.



Ce spectacle me donne une terrible érection. Un de mes collègues est en train de tripoter ma femme et, moi, je regarde et je bande. Je me surprends moi-même à ne pas exprimer de jalousie face à cette situation. À côté de moi, Alain et Hugo ne disent rien. Ils ont les yeux exorbités et, s'ils avaient été dans le noir, ils se seraient certainement paluchés en admirant le spectacle. Moi-même, j'ai une érection de tous les diables. Là, il est difficile de croire que David prodigue encore des conseils efficaces pour que Sophie réussisse sa frappe. Elle me regarde, bouche entrouverte, les seins ballottant hors du décolleté de la robe. Serait-elle en train d'avoir un orgasme ?



Et puis, dans un sursaut un peu plus violent que les autres, Sophie se retrouve à frapper la bille blanche. Elle a joué. En a-t-elle eu conscience ? La bille percute de plein fouet le groupe de billes rouges. Alain et Hugo applaudissent. Sophie laisse sa queue tomber par terre. Je me rapproche pour la lui ramasser. Cela semble marquer la fin de cette leçon de position, car David se redresse et s'écarte. Accroupi derrière Sophie pour ramasser sa canne, je découvre alors le fabuleux spectacle de sa moule trempée de cyprine, sans doute visitée par un ou plusieurs doigts de David, juste avant.



De l'autre côté de la table, Hugo et Alain lancent les billes de couleur vers Sophie :
- Mets-les dans le triangle, devant toi.
Ils font ça pour l'obliger à se pencher et profiter encore de son décolleté. Mais étant derrière elle, je profite d'un tout autre spectacle : sa délicieuse croupe encore dévoilée par la robe qu'avait peu à peu retroussée David.



Les garçons prennent tout leur temps et se moquent même d'elle :
- Ah non, tu ne dois pas mettre de couleur dans le triangle. Que les rouges !
- Bah, rouge, c'est aussi une couleur non ?
- Oui, mais elles ne valent qu'un seul point. Les autres ont des points croissants.
Sophie est si concentrée sur les explications d'Alain qu'elle nous laisse, David et moi, profiter encore un peu de la vue sur sa croupe dénudée.



Une fois les billes installées, elle se redresse souriante et prend la queue que je lui tends :
- Bon, c'est beaucoup plus compliqué que ce que j'imaginais.
- Pas d'inquiétude, ils vont nous apprendre. Tu préfères arrêter ?
- Ah non ! Je trouve ça très excitant.



Elle ne me ment pas si j'en crois l'état de son entrejambe. Elle pose sa queue et rajuste son décolleté et le bas de sa robe. Les mains sur les hanches, elle me dit :
- Allez, Gilles ! Montre-nous comment tu te débrouilles.



Il semble que David ne souhaite pas me montrer le même intérêt pédagogique qu'avec Sophie. Il reste à distance et semble d'ailleurs regarder davantage ma femme que moi. Alors que je m'apprête à frapper la bille, le patron du bar surgit dans la salle :
- Messieurs, je suis désolé. Vous allez devoir libérer la salle, car le club de billard doit faire son cours.
David hoche la tête et dit à Sophie :
- Ce n'était même pas une initiation. Il va falloir se reprogrammer une autre soirée.
- Ce sera avec plaisir.



Je décèle une profonde déception dans le regard de Sophie. Tandis que David, Hugo et Alain saluent les nouveaux arrivants qui investissent l'arrière-salle, Sophie et moi retournons dans la salle principale. Avant que l'on se rassoie, je la vois chercher quelque chose du regard autour de la pièce, puis me dire :
- Il faut que je me remaquille. Tu m'accompagnes ?
Elle semble avoir chaud et, surtout, je n'ai pas l'impression que sa question en soit une.



Une fois dans les toilettes, elle referme la porte :
- Pas de verrou. Tant pis. Ils sont tous occupés.
Je me doute de ce qu'elle attend de moi et j'en ai la confirmation quand elle commence à faire glisser de son épaule une bretelle de sa robe, dénudant un adorable sein.



Sophie veut que je lui fasse l'amour, ici, dans les toilettes du bar. C'est la première fois qu'on fait cela dans un lieu public. Je suis déjà subjugué de cette transformation de Sophie. En plus, nous prenons le risque d'être surpris, mais peu importe. Je suis si excité que je crois que je lui ferai l'amour même si quelqu'un nous surprenait. Et je vois que Sophie ne semble pas hésiter non plus.



Une fois la petite robe orange tombée au sol, Sophie se présente nue devant moi, adossée au lavabo. Mon regard alterne entre cette délicieuse exhibition et la porte qui m'inquiète. Cela amuse Sophie :
- Ne t'inquiète pas. Ils sont occupés, on est tranquilles.
- Quand même...
- C'est moi qui suis à poil, et c'est toi qui es en stress ?


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- Désolé...
- Je ne comprends pas. Tu as bien laissé David me tripoter pendant la leçon et ça ne t'a pas gêné que Hugo et Alain soient présents pour regarder.
- Oui, mais c'était un peu différent. David ne t'a pas mise à poil...
- Heu, je pense que tu as tout vu : mes seins étaient sortis de ma robe et ton collègue avait deux doigts dans ma chatte...


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- Oui, je sais... Je ne m'explique pas cette pudeur. Ou plutôt je ne m'explique pas pourquoi, toi, tu es passée d'une pudeur extrême à cette délicieuse indécence.
- C'est de ta faute, ça... Depuis qu'on échange par téléphone, j'ai l'impression que je suis excitée en permanence. J'ai envie que tu me fasses l'amour tout le temps...


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- C'est ce que je vois... Mais, dis-moi, si les gens du club de billard n'étaient pas arrivés, tu aurais laissé David aller plus loin ?
- Bien sûr que non ! Je l'ai juste laissé me caresser, et parce que tu avais l'air d'accord. J'ai eu tort ?
- Non, j'ai adoré te voir prendre du plaisir.
Elle se retourne contre le lavabo.
- Et tu veux bien m'en redonner ?



- Je crois que je vais essayer...
- Si tu ne t'occupes pas de moi, j'appelle un de tes collègues. Je suis certaine de trouver un candidat.
- Au moins un, c'est sûr. Mais je souhaite rester le seul, pour le moment.
Elle relève une jambe et pose son genou sur le bord du lavabo, m'exposant sa sublime croupe.
- Tant mieux ! Mets-toi en tenue.


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Je contrôle la bonne fermeture de la porte avant de quitter mes vêtements. Une fois la décision prise, il ne me faut que quelques secondes pour me retrouver nu. Me suis-je déjà mis nu aussi rapidement ? Sophie semble apprécier mon état d'érection.
- Super, tu es en forme !
Elle mène sa main à son entrecuisse et écarte les lèvres de son sexe.



Difficile d'être plus explicite. Maintenant que je suis moi aussi à poil, même si demeure le risque que quelqu'un nous surprenne, l'idée de la prendre en levrette dans les toilettes de ce bar me semble indiscutable. Je m'approche et guide mon sexe dans le sien. Je m'introduis sans la moindre difficulté et me dis que David a bien préparé le terrain.



Sophie feule de plaisir tandis que je m'enfonce en elle :
- Ahhhhh... Tu... Tu es plus gros que d'habitude...
- Tu aimes ?
- Oui... Je t'aime...



Je commence à aller et venir en elle. Elle retient ses gémissements et cela me semble raisonnable pour limiter le risque d'être découvert. Dans le miroir, je regarde ses jolis seins s'agiter à la cadence de mes intromissions. Je vois Sophie tourner la tête vers la porte. Craindrait-elle, elle aussi, d'être surprise ? Regardant la porte dans le reflet du miroir, je constate que celle-ci est entrouverte et je crois reconnaître Hugo en train de nous observer. Sophie l'a donc vu et cela ne lui pose pas de problème.



Au contraire, elle semble se déchaîner ! Essayerait-elle de se donner en spectacle ? Toujours est-il qu'elle semble surexcitée et que je n'avais jamais eu l'occasion de la voir comme ça. Bien sûr, cela m'excite aussi et je profite finalement pleinement de cette situation. Sans que je m'attende à ce que cela arrive si vite, je la sens soudain se tendre et se mettre à vibrer. Elle a un magnifique orgasme.



Je m'immobilise. Je tente de me contrôler. Je me serre contre elle. Dieu que c'est bon de la sentir vibrer ainsi dans mes bras et tout autour de ma queue. Elle reprend son souffle et me murmure :
- Ah, Gilles, c'était si bon...
Je ne réponds pas. Je suis sur le point de jouir.



Elle rigole :
- Hihi, tu essayes de ne pas venir ? Attends...
Elle se met à onduler sur ma queue, à contracter ses muscles internes. Qu'est-ce que je croyais ? Que j'allais rester ainsi emmanché en elle toute la nuit sans éjaculer ? Impossible de résister plus longtemps. Elle donne un coup de reins, s'échappant de ma pénétration, juste au moment où mon sperme commence à jaillir. Dans un râle de plaisir, je laisse ma semence éclabousser généreusement le dos et les fesses de ma femme.



Je jette un coup d'œil à la porte. Elle est refermée. Hugo va sans doute raconter aux autres ce qu'il a vu. Tant pis... Au point où j'en suis avec mes collègues, cela ne va pas changer grand-chose à nos relations. Sophie me tend des essuie-mains en papier pour que je lui nettoie les fesses :
- Aller, on se remet décents pour retourner dans la salle.


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Une fois grossièrement nettoyés et rhabillés, nous rejoignons les autres qui sont en train de se passer un téléphone portable. Hugo aurait-il pris des photos de nos ébats ? Le téléphone est effectivement rendu à Hugo et il l'éteint quand on arrive à la table. Sophie leur dit :
- C'était vraiment sympa cette initiation, j'espère qu'on aura l'occasion de réessayer.



David sourit :
- Bien sûr, Sophie. On peut se reprogrammer ça et trouver un soir où il n'y a pas de réservation de la salle par des membres du club.
- C'est une bonne idée. Vous verrez ça avec Gilles. Par contre, je suis un peu fatiguée, donc on va se rentrer. Bonne fin de soirée à tous les trois.
Je leur fais un petit signe de main, et les laisse se rincer l'œil dans le décolleté de Sophie quand elle se relève. Je suis presque déçu qu'elle ne se penche pas sur chacun d'eux pour leur faire la bise. Sophie se retourne et se dirige vers la porte.



Une fois dehors, je l'interroge sur ce retour précipité.
- Tu es réellement fatiguée ?
- Non, mais quans on est revenus en salle tout à l'heure, je me suis rendu compte que j'avais encore envie...
- Envie de quoi ?
- Il faut vraiment que je te fasse un dessin ?



- Waouh ! C'est si impérieux ?
- Tu n'imagines pas.... Et si on s'était rassis avec eux, il y aurait eu une ou plusieurs autres tournées et je ne sais pas dans quel état j'aurais fini, ni ce que la combinaison alcool-libido m'aurait fait faire...
Je hoche la tête, comprenant qu'il est effectivement plus sage de rentrer, surtout si l'objectif est de satisfaire à nouveau Sophie.
- On rentre ?



- Évidemment !
Il ne nous faut pas longtemps pour rentrer chez nous. Le temps que je referme la porte de la maison et que je retire mes chaussures, Sophie est déjà à quatre pattes sur le canapé, la robe retroussée sur les hanches :
- Ne me fais pas attendre...



De la voir ainsi, je me demande s'il s'agit bien de ma femme. Je rigole :
- Du calme, ma chérie. Il ne faut rien précipiter. Ce sera meilleur si on fait durer le plaisir.
- Pitié ! J'ai envie.
- Retire déjà tes chaussures et ta robe.
Elle soupire, mais s'assoit sur le canapé pour retirer ses chaussures.



Je me déshabille en même temps qu'elle termine de retirer sa robe. Elle se remet à quatre pattes sur le canapé et m'observe avec attention, surtout quand j'en arrive à retirer le bas :
- Ah, tu vois que toi aussi tu en as envie !
- Évidemment que j'ai envie !
- Alors, pourquoi me faire attendre ?



- Déjà, parce que c'est très inattendu pour moi et, te voir ainsi, c'est magique. Je veux en profiter et ne pas gâcher cet instant en précipitant les choses.
- D'accord, tu l'auras voulu. Je vais tout mettre en œuvre pour te faire craquer.
Elle me présente sa croupe et se cambre de façon parfaitement indécente.


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Je bande déjà, mais j'avoue que la voir ainsi intensifie mon érection. Je tente de me contrôler en essayant de la raisonner :
- Allons, Sophie. Je n'ai aucune envie de brusquer les choses.
- Tu résistes à ça ?
La position qu'elle prend est incroyable. Je m'étonne moi-même de ne pas succomber à la rejoindre pour la prendre sur-le-champ.


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- Oui, je résiste. Parce que je veux en profiter et je veux que toi aussi.
- Oh pitié ! Prends-moi !
Je devrais m'inquiéter de cet appétit sexuel que je ne lui connaissais pas, mais le désir est plus fort et je viens la rejoindre. Toutefois, au lieu de la prendre en levrette, je me penche sur sa croupe et lui lèche la moule.



Elle dégouline déjà tellement que je peux presque boire sa cyprine. Elle miaule de plaisir, mais me réprimande :
- Ahhhhh... Salaud ! Tu vas me faire jouir sans me pénétrer.
Je ne réponds pas, occupé à glisser ma langue dans sa délicieuse fente. C'est elle qui s'avance pour m'obliger à interrompre le cunnilingus :
- Allez, ça suffit.
Agenouillé à côté d'elle, j'investis son puits d'amour avec mes doigts, explorant sa fente, excitant son clitoris et tournant autour de son anus.
- Aaaaah, salaud !


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Je dois bien avouer que j'ai du mal à me contrôler. Je sens mon érection palpiter tant j'ai envie de la pénétrer. Quand je retire mes doigts, elle feule :
- Mmmmm, je vais enfin avoir mon dû !
Me redressant, je guide mon membre turgescent dans sa fente trempée de mouille. Cela me semble plus étroit que d'habitude, mais aussi plus lubrifié.



- Oh, Gilles ! Tu es si gros ! Aaaaah, ça valait effectivement le coup d'attendre !
Je n'en reviens pas ! J'ai effectivement l'impression d'avoir une bite mutante, plus grosse qu'à l'accoutumée. Me voilà transformé en acteur porno et à réaliser ma position préférée : prendre Sophie en levrette !



Une fois bien engagé en elle, je commence à la limer.
- Oooooh, Gilles ! C'est si bon !
Quel pied ! J'ai pourtant un sentiment de culpabilité, comme si je trompais Sophie avec une autre.



Elle se redresse. Dans le reflet du miroir de l'armoire, je vois ses seins aux tétons incroyablement tendus.
- Oh, Sophie... Hannn... Tu es si belle...
Elle tend la tête vers moi et je l'embrasse sur le front.



Elle semble déchaînée :
- Oh ouiii ! Baise-moi, Gilles ! Baise ta salope de femme qui s'est laissée doigter la chatte par ton collègue.
Je n'en reviens pas qu'elle dise ça. Mais cela m'excite ! Je lui attrape les cheveux et accélère la cadence.



Elle continue :
- Oooooh putain ! Tu me défonces... C'est si bon ! Aaaaaaah...
Baissant les yeux, je suis stupéfait de voir les proportions de ma queue. Jamais je n'avais bandé autant !



Sophie crie comme une folle. L'ai-je déjà entendu prendre autant de plaisir ? Elle retombe à quatre pattes. Son orgasme est là.
- Aaaaaaaah ! Aaaaaaaaah ! Ouiiiiiii ! Ooooooooh !
Tout son corps frémit du tumulte de son plaisir.



Je suis moi-même à deux doigts d'éjaculer et Sophie parvient à me surprendre :
- Viens... Toi aussi... Vas-y...
Elle a glissé une main entre ses cuisses et a saisi mes testicules pour les malaxer alors que je voulais tenter de gagner un peu de temps.


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Peine perdue. Il est trop tard. Je me mets à éjaculer en elle. Je crois défaillir tant le plaisir est énorme. J'inonde son ventre de ma semence.
- Haaaaaaan... Sophie... Haaaaan... Je t'aime... Haaaaa...
Quand je pense avoir terminé, je m'extrais de l'exquis fourreau, mais, une fois libéré, trois petites giclées de sperme s'échappent encore et viennent s'écraser sur les charmantes fesses de Sophie.



Elle s'effondre sur le lit, exténuée. Je m'étends tout contre elle, épuisé. Le sommeil nous cueille tous les deux dans la minute.


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