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Simon 1er janvier 2025

Téléphone 5a. Vendredi : au bureau 6:58. Le réveil n'a pas encore sonné. Je ne suis pas le premier à me réveiller. Quand j'ouvre les yeux, je constate que David n'est plus là. Sophie dort encore. Je m'autorise à tirer un peu la couverture pour dévoiler son dos et ses fesses. Qu'elle est belle ! images similaires Je sors prendre une douche. En passant devant la chambre d'ami, je vois que David y est retourné et qu'il dort encore. Il est resté nu, ce qui ne me surprend pas vraiment. La douche me réveille et me fait un bien fou. Le simple fait de repenser à la soirée de la veille et de cette improbable partie de menteur, une érection me gagne. images similaires J'ai très envie de me masturber, mais je me dis qu'il est préférable de conserver cette belle excitation pour profiter de la journée qui commence. Quand je sors de la salle de bain, je constate que Sophie est dans le couloir, nue, et qu'elle observe David par l'entrebâillement de la porte restée entrouverte. images similaires Je viens la rejoindre et murmure à son oreille : - Tu te rinces l'œil ? - Chut... Regarde, il se branle... images similaires Effectivement, David est en train d'astiquer son impressionnante colonne de chair, probablement en pensant à ma Sophie. Nous chuchotons toujours et je lui demande : - Tu aimes ? - Oui, c'est excitant... - Tu veux le rejoindre ? Elle hésite. images similaires - Non. Je veux juste le regarder. - Profites-en au moins pour te caresser... Elle me sourit, surprise de ma proposition. Je m'écarte de la porte et je l'observe en train de se caresser l'entrejambe. images similaires Je n'aurais pas imaginé qu'elle accepte de se caresser ainsi devant moi. Mais sans doute qu'elle n'aurait pas imaginé non plus que je lui propose de le faire. Dans la chambre, David semble accélérer sa masturbation. Un râle étouffé se fait entendre et l'instant d'après nous constatons que mon collègue est en train d'éjaculer, propulsant plusieurs jets de sperme sur son ventre. images similaires Cela semble exciter Sophie au plus haut point quand je vois comme elle accélère la cadence de sa masturbation. Je m'interroge : va-t-elle réussir à jouir sans que David ne l'entende ? La réponse arrive assez vite. La bouche grande ouverte, les yeux fermés, elle rejette la tête en arrière. Seul un souffle profond expire pour accompagner les tremblements de plaisir qui secouent ses cuisses et son ventre. images similaires Incroyable ! Elle a réussi à jouir, presque en silence. Je ne lui connaissais pas ce don. J'ai très envie de lui faire l'amour, mais elle vient d'avoir un orgasme, donc il me semble judicieux de lui laisser un peu de temps. Et vu l'heure qui avance, il est temps d'aller prendre notre petit-déjeuner. Je repasse devant la porte de la chambre de David pour constater qu'il s'est apparemment rendormi. images similaires Je laisse Sophie rejoindre la salle de bain et je retourne dans la chambre pour m'habiller. Quand je ressors dans le couloir, j'entends la porte de la chambre de David s'ouvrir. Curieux, je me cache à l'angle et observe d'un œil. David sort. Nu. Il se dirige vers la salle de bain. Sophie a-t-elle fermé la porte à clé ? Apparemment pas... images similaires Et Sophie ne semble pas s'être rendue compte de l'ouverture de la porte et continue à se doucher. Le spectacle de ma tendre épouse occupée à ses ablutions semble faire de l'effet à David. Malgré son éjaculation récente, son sexe reprend une vigueur incroyable. Il porte une main à sa tige tendue et entame une lente masturbation. Dois-je me manifester pour lui signifier qu'il est inconvenant qu'il se touche en regardant ma femme se doucher ? Ce serait mal venu alors que Sophie s'est masturbée juste avant en le regardant. Je reste malgré tout vigilant à la situation : je ne tiens pas à ce qu'il aille la rejoindre sous la douche, même si je me demande comment il peut résister... images similaires Et puis, je vois soudain David dresser l'autre main. Un téléphone ! Il tient son téléphone devant lui et il ne fait aucun doute que ce petit salopard est en train de photographier ma femme sous la douche. Et il semble bien maîtriser, car cela ne l'empêche même pas de se palucher de l'autre main en même temps. J'imagine que cette photo sera partagée dans la matinée avec le reste de mon équipe. Je devrais être furieux. Mais une fois encore, tout cela m'excite terriblement et je laisse faire. Sophie sort de la douche. David regagne discrètement sa chambre et referme la porte sans un bruit. J'abandonne mon poste de voyeur et repasse devant la salle de bain. Sophie se sèche, inconsciente qu'elle vient d'être prise en photo, nue, à son insu. images similaires Un peu honteux d'avoir laissé faire David, je rejoins la cuisine et prépare le petit déjeuner. Sophie me rejoint quelques minutes plus tard, vêtue d'un pyjama d'été rose, plutôt sexy. - Je crois que David m'a regardée pendant que je me douchais... - Et alors ? Tu t'es bien donné un orgasme en le regardant se masturber. - C'est vrai... - Et il est probable qu'il ait pris des photos avec son téléphone... - Oh ? Tu crois ? Des photos de mes seins ? - Sans doute. Et de tes fesses... - Tu penses qu'il va se masturber en revoyant ces photos ? J'hésite à lui dire qu'il va surtout les partager avec Hugo et Alain, mais David arrive et coupe court à notre conversation. Ses cheveux humides indiquent qu'il sort de la douche. Sophie se montre chaleureuse avec notre invité, même si je la vois glisser un regard discret vers son entrejambe : - Bien dormi, David ? - Très bien merci. Sophie lui tend une tasse de café. C'est étonnant que l'on puisse prendre ainsi le petit déjeuner, sans que personne n'évoque les événements de la nuit précédente. Sophie a sucé l'énorme queue de David et l'a fait éjaculer deux fois, sous mes yeux. Et moi, je les regarde ce matin dans la cuisine, ma femme et mon collègue, comme si rien d'extraordinaire ne s'était produit il y a quelques heures. Sophie se lève et va se positionner dans le couloir, elle se tourne vers moi. Là où elle se trouve, David ne peut pas la voir. Elle me sourit et fait glisser une bretelle de son pyjama : - Vous allez être en retard, non ? La coquine a raison. On est en retard et elle s'amuse avec moi en s'exhibant discrètement. Je regarde David qui boit son café : - David, bientôt prêt ? - Je finis mon café. Je rassemble mes affaires et on y va. Je peux laisser David partir devant. Je vais trouver un prétexte pour rester un peu avec Sophie et profiter des charmes qu'elle semble vouloir m'offrir. Toujours cachée de David, Sophie demande : - Vous pourriez covoiturer, non ? David relève le nez de son café et pose sa tasse. - Bah oui, bonne idée. Je t'emmène Gilles, ça économisera un trajet. - C'est sympa, mais si je suis sans voiture ce soir, je rentre comment ? - Ah oui, t'as raison... David se lève de table pour retourner chercher ses affaires dans la chambre, mais Sophie intervient à nouveau depuis son recoin : - J'ai une visite pas loin de vos bureaux vers 16h. Je passerais te récupérer en rentrant. Je suis un peu frustré et vais la rejoindre. Je relève son pyjama pour dégager ses seins, mais elle se retourne. Dans le creux de l'oreille, je lui murmure : - Tu es une peste, toi. Tu fais l'aguicheuse et tu m'envoies travailler avec David. Je vais penser à toi toute la journée. - C'est bien l'objectif, mon chéri. Et comme ça, je sais que tu seras réceptif à mes messages. David revient à ce moment. Sophie rajuste son pyjama et se tourne pour m'embrasser : - Bonne journée, les garçons. Ma main caresse discrètement un sein au téton tendu à travers le tissu du pyjama. Cela ne la choque pas, même s'il est probable que David ait pu voir mon geste. Sur la route, aucun de nous deux n'évoque la partie de cartes, ni ce qui s'est passé cette nuit. En revanche, David me demande : - J'ai l'impression que Sophie a bien apprécié la petite initiation au billard, l'autre soir. - Oui, ça nous a bien plu à tous les deux. - Si vous voulez, on remet ça ce soir. J'ai un billard à la maison, ce sera plus simple que de réserver la salle du club. J'imagine que David a évidemment envie de profiter de nouvelles exhibitions de Sophie. J'avoue que l'idée de revoir Sophie autour d'un billard m'excite beaucoup. Je sors mon téléphone : - Je lui demande si elle est d'accord. G (7:51) : David propose une soirée billard chez lui ce soir. S (7:52) : Il veut déjà me revoir à poil ? Je m'assure d'un coup d'œil que David est concentré sur la route et ne peut pas lire ma conversation. G (7:53) : J'imagine... ou que tu le suces. S (7:54) : Et toi, tu en penses quoi ? G (7:55) : Moi, ça me botte. Le billard t'avait bien plu, non ? S (7:56) : Oui... J'ai hâte. - Sophie est partante. - Cool, on proposera aussi à Alain et Hugo. Ah, on arrive. L'invitation de David est évidemment acceptée par Alain et Hugo, surtout qu'il a bien insisté sur le fait que Sophie sera présente. J'ai la chance ce matin de ne pas avoir de réunion et je peux rester dans le bureau avec les collègues. Je reçois quelques minutes après un message de Sophie, accompagné d'une photo très explicite : S (8:23) : Tu veux que je mette quoi ce soir ? G (8:24) : Comme ça, ce sera parfait :) S (8:25) : Tu rigoles ? C'est une partie de billard, pas une partouze. Je veux être sexy, désirable, mais pas que ça fasse pute. G (8:26) : Montre-moi ce que tu as, je te dirais si c'est trop osé. J'espère bien sûr avoir quelques autres photos où elle s'exhibe, en sachant que j'ai une réunion l'après-midi qui m'obligera à abandonner aux mains de mes collègues mon désormais précieux portable. S (8:31) : J'ai cette robe en maille, mais il faudra autre chose en dessous... G (8:32) : Avec autre chose, ça peut passer. Elle est assez longue. S (8:33) : Sauf qu'elle est plus courte derrière... G (8:34) : Tant que ça ? S (8:35) : Plutôt, oui... G (8:36) : Aïe... Et si tu te penches ? S (8:37) : On verra ma culotte... G (8:38) : Tu crois ? S (8:39) : Certaine ! Je n'en reviens pas ! Qu'elle ose m'envoyer une telle photo alors que je suis au bureau avec mes collègues. J'ai une érection d'enfer et je suis ravi : c'est exactement les photos que j'attendais pour rendre fous mes collègues, surtout si en plus ils savent qu'ils vont voir Sophie en vrai le soir-même. S (8:44) : Plus opaque, plus sage... G (8:45) : Sans rien dessous ? S (8:46) : Elle est trop chaude pour la saison... G (8:47) : Vraiment ? S (8:48) : Oui... G (8:49) : Elle est un peu courte quand même. Il faudrait mettre une culotte. S (8:50) : Pas plus courte que celle chez Alain l'autre soir... G (8:51) : Et si tu te penches ? S (8:52) : On verra ma culotte... Encore ! G (8:53) : Trop risqué. S (8:54) : Alors je ne me pencherai pas. G (8:55) : Pour jouer au billard, ça va être compliqué... S (8:56) : Ah oui, zut. Ce n'est pas adapté du tout ! Mon cœur bat la chamade. Sophie doit forcément être aussi excitée que moi et elle doit bien penser à ce qui pourra arriver ce soir. Mais moi je le suis encore plus en imaginant la réaction de mes collègues quand ils verront ces photos. G (8:58) : De toute façon, je la trouve trop opaque. S (9:02) : Et ça, ce serait assez transparent pour toi ? G (9:03) : Parfait : On devine juste un peu. S (9:04) : Gros malin ! On voit presque tout. G (9:05) : Moi, ça me va. Sauf le short. S (9:06) : Comme ça, tu penses que ce serait mieux ? images similaires G (9:07) : Ne me pose pas la question : tu connais ma réponse ! S (9:08) : Tant pis si ça couvre à peine mes fesses, mais il faudra que je sois attentive à ce que ça ne remonte pas trop... ;) G (9:09) : Parce que ça peut remonter un peu ? S (9:10) : Beaucoup ! :P images similaires G (9:11) : Miam, je vais avoir du mal à me concentrer sur le billard si tu joues dans cette tenue ! S (9:12) : Et tes collègues ? G (9:13) : Même s'ils sont pros, je redoute leur réaction quand tu te pencheras sur la table... S (9:14) : Et toi, ce serait quoi ta réaction ? G (9:15) : Gloups ! Je vais te laisser. Il faut que je bosse et si je continue à te lire, je vais finir par me répandre dans mon pantalon ! S (9:16) : Ok. Je continue mes explorations et je te refais des propositions cet après-midi. Bon courage pour le travail et bisou. Le reste de la matinée est compliqué, car j'ai évidemment du mal à me concentrer. Je vois aussi David échanger pas mal de textos, probablement avec Alain et Hugo. Serait-il en train de leur raconter que Sophie l'a sucé hier soir ? Leur a-t-il envoyé la photo de Sophie sous la douche ? Je décide de vérifier en regardant sur le fameux dossier partagé sur le serveur. Il y a une nouvelle photo datant de ce matin, et c'est effectivement Sophie, nue sous la douche, superbe. images similaires Tout cela n'aide pas à ma concentration. Le repas du midi est aussi difficile. Ils échangent sur des stratégies de billard auquel je ne comprends rien. Ma réunion de l'après-midi me force à me concentrer sur le travail et je parviens à faire baisser un peu mon excitation. En fin d'après-midi, je repasse à mon bureau récupérer mon portable. Les gars sont déjà partis. Comme de coutume depuis le début de la semaine, je consulte mon téléphone, un peu fébrile de lire les échanges qu'il y a eu en mon absence. Je fais défiler le fil des messages jusqu'à ceux que je ne connais pas. En début d'après-midi, a été envoyé à Sophie depuis mon téléphone un message avec la photo de la bite de David (celle prise à mon insu durant la partir de cartes - pourquoi n'ai-je pas supprimé cette photo ?), accompagnée de : G (14:07) : Elle est plus grosse que la mienne, non ? images similaires S (14:09) : Y'a pas photo ! Mais la tienne est parfaite et me satisfait pleinement. G (14:10) : Tu as aimé le sucer ? S (14:11) : Bah oui, mais je crois qu'on n'aurait pas dû... G (14:12) : Ne culpabilise pas. Si tu as apprécié, c'est le principal. S (14:13) : Oui, c'était très excitant... G (14:14) : Et tu aurais voulu qu'il aille plus loin ? S (14:15) : C'est ton collègue, il ne faut pas exagérer. G (14:16) : Quand même... si tu avais l'opportunité... S (14:17) : Si c'est avec ton accord, évidemment, je ne cracherais pas dans la soupe. G (14:18) : Gourmande ! S (14:19) : Parce que tu penses que ce soir... ? G (14:20) : Je pense que tu plais beaucoup à mes collègues, David compris. Bon sang, ces salauds savent préparer le terrain. Puis, il y a un message de Sophie : S (14:23) : Dans mes explorations de la penderie pour trouver comment m'habiller ce soir, je suis tombée sur des nuisettes que je n'ai jamais osées mettre à la maison... Tu veux voir ? images similaires Une photo de Sophie nue devant un choix de nuisettes colorées... Terriblement sexy. J'aurais répondu comme mes collègues : G (14:24) : Évidemment ! S (14:25) : La jaune ou la rose ? G (14:26) : Commençons par la jaune. S (14:27) : Tu en dis quoi ? Effectivement, je ne la connais pas cette nuisette, un peu transparente, surtout au niveau de la poitrine. Et sur la photo, Sophie a glissé sa main dans sa culotte. Mes collègues lui ont demandé ce que j'aurais moi-même demandé : G (14:28) : Superbe ! Apparemment ça t'excite de porter quelque chose qui te dévoile ? S (14:29) : Oui... Et surtout de te l'envoyer ! Sur la photo suivante, une bretelle a glissé et un sein délicieux est dévoilé. G (14:30) : Tu me rends fou ! S (14:31) : Tant mieux :) J'adore faire des essayages pour toi. La jaune, c'est fait. Tu veux voir la rose ? Nouvelle photo de Sophie nue devant son choix de nuisettes... images similaires G (14:32) : Évidemment ! S (14:33) : Tu vas aimer, elle est encore plus transparente que l'autre... Mais pourquoi avait-elle acheté ces nuisettes sans oser les mettre pour moi ? G (14:34) : Presque parfait ! S (14:35) : Ah oui ? Qu'est-ce qui ne te convient pas ? G (14:36) : La culotte est évidemment de trop... S (14:37) : Attends... Mince ! C'est donc si simple pour lui faire retirer sa culotte ? Il suffisait que je lui demande ? G (14:38) : Alors ? Fais voir ce que ça donne ! S (14:39) : Qu'est-ce que tu en dis ? La photo le montre de dos, mais est presque plus explicite que si elle était de face. G (14:40) : Terrible ! Viens comme ça chez David ! S (14:42) : Dans tes rêves. J'ai décidé de mettre quelque chose où je suis plus à l'aise. Il faut qu'on puisse jouer au billard, non ? G (14:43) : Évidemment. S (14:45) : Alors ce sera jupe et débardeur. J'ai pu constater que ça avait bien plu à tes collègues quand je suis passée à ton bureau. images similaires G (14:46) : Très bon choix ! Et dessous ? S (14:47) : Tu as déjà pu constater que je ne mettais pas de soutif, non ? G (14:48) : Oui, mais en bas ? La réponse de Sophie est sans texte : juste une photo. Et quelle photo ! Cuisses écartées, le bonbon à l'air, elle exhibe sa sublime moule dont elle écarte les lèvres de façon totalement impudique. S (14:49) : G (14:50) : Waouh ! Elle va être terriblement excitante cette soirée billard ! S (14:51) : Oui... j'en mouille d'avance... G (14:52) : Touche-toi ! Quoi ? Ils osent lui demander ça ? Je ne l'aurais jamais fait, elle a dû se rendre compte de la supercherie ! Mais, non. La photo qu'elle envoie ensuite montre qu'elle pense que j'aurais pu le lui demander. Mais, surtout, je suis subjugué de voir qu'elle accepte de le faire. S (14:53) : images similaires G (14:54) : Retire tout ça ! J'imagine que mes collègues ne parlaient pas du doigt dans sa fente, mais du peu de vêtements qu'elle portait. Et c'est bien ce que Sophie a compris au message. S (14:55) : images similaires G (14:56) : Tu es divine ! S (14:57) : Tu aimes quand je suis coquine et que j'obéis à tes ordres ? G (14:58) : Évidemment ! S (14:59) : Tu ne résistes pas à mes seins, pas vrai ? G (15:00) : Ni à ta chatte... "Chatte", je ne pense pas que j'aurai employé ce terme avec Sophie. Mais qu'importe, il semble que ce soit efficace : S (14:61) : La voici en gros plan... G (15:02) : Mmmm. Divine ! S (15:03) : Tu as vu comme je mouille ? G (15:04) : Oui, profites-en pour te caresser. S (15:05) : Tu veux voir des photos pendant que je me caresse ? images similaires G (15:06) : Oui ! Donne-toi un orgasme. S (15:07) : Je vais programmer le déclencheur toutes les 20 secondes. Je t'enverrai les meilleurs. G (15:08) : OK ! G (15:11) : Alors ? G (15:15) : Tu es toujours là ? S (15:21) : Hihi, quel impatient tu fais ! Voici ce que ça donne : images similaires images similaires images similaires Incroyable ! Je bande comme un âne ! Jamais je n'aurais imaginé que Sophie puisse faire ça ! Mes collègues la connaîtraient-ils mieux que moi ? G (15:22) : Waouh ! Merci :D S (15:23) : Regarde, ça dégouline encore... G (15:24) : Bravo ! C'est mieux que tu te sois calmée un peu. Sinon, tu aurais été si excitée ce soir que tu aurais pu sauter sur un de mes collègues. S (15:25) : Oh, je suis certaine que ça ne t'aurait pas déplu. G (15:26) : Évidemment... S (15:27) : Une dernière pour la route. Après, il faut que je me prépare pour mon rendez-vous. Je passe te chercher vers 18h. images similaires Fin de la conversation. Bon sang. Mais qu'est-ce que va bien pouvoir donner cette soirée chez David ? Ne suis-je pas en train de faire une énorme connerie ? Ne suis-je pas en train de manipuler Sophie pour satisfaire mes fantasmes pervers ? Non. Ce sont mes collègues qui la manipulent. Oui, mais je ne vaux guère mieux, puisque je les laisse faire. Je suis complice de ce forfait. J'en suis à ces réflexions, ces doutes, quand je reçois un nouveau SMS de Sophie : S (18:07) : Je suis en bas ? Tu descends ou je monte ? L'idée qu'elle monte et qu'on fasse l'amour dans le bureau me traverse l'esprit. Au diable, les scrupules. Les événements me permettent peut-être s'assouvir un autre fantasme : faire l'amour à Sophie dans mon bureau ! G (18:08) : Monte. L'instant d'après, elle est là, dans mon bureau. Superbe. J'en suis presque intimidé, comme si j'étais à un mon premier rendez-vous amoureux. - Eh bien, mon chéri ? Tu as l'air tout chose. - Tout va bien. Tu es magnifique. - Oh, c'est juste une jupe et un débardeur. - ... Et c'est tout ? Elle me sourit et se penche un peu en avant pour me montrer ses seins nus dans le décolleté du débardeur. - Tu es diabolique ! - Tu n'aimes pas ? - J'adore ! Et les autres aussi vont apprécier quand tu te pencheras pour jouer... - C'est pour ça que j'ai trouvé comment détourner leur attention. Je crains de savoir à quoi elle fait référence et, me tournant le dos, elle me confirme en soulevant un peu sa mini-jupe qu'elle ne porte rien dessous. images similaires - Waouh ! Tu ne crains pas pour la longueur de ta jupe si tu te penches ? - Ah, je ne sais pas... Dis-moi... Elle se penche sur le bureau de David et je peux parfaitement voir sa moule. images similaires - La taille est parfaite ! - Ah ? Tu ne vois pas mon bonbon ? - Si, justement. Et j'ai même l'impression que ton bonbon est un peu humide. - Oui, j'ai trop chaud... Ma douce Sophie commence à abaisser sa mini-jupe en observant ma réaction. - Je vois que tu acceptes que je me déshabille dans ton bureau. - Il n'y a plus personne à cette heure. On est tranquille. Sophie se retourne pour dégager ses fesses de la jupe. Le spectacle est ravissant et laisse surtout envisager une suite des plus agréables. images similaires Abandonnant sa jupe à mi-cuisse, elle se cambre et me demande : - Gilles, regarde dans quel état me mettent nos échanges de SMS ! Elle écarte ses fesses à deux mains pour parfaitement dégager son délicieux coquillage. images similaires Si elle se doutait qu'il s'agit d'une responsabilité partagée avec mes collègues... - Ma chérie, justement, nos échanges... - Oui, moi aussi, ça m'a donné envie de te faire l'amour toute la journée. Approche. Sa position me laisse espérer qu'elle souhaite que je la prenne en levrette, mais je culpabilise à ne pas lui dire la vérité sur nos échanges et cela me fait hésiter. Sophie sent mon doute : - Eh bien, quoi ? Tu n'as pas envie ? - Oh que si ! - Je sais : tu as peur que ton patron arrive et nous découvre ! Il m'attrapera par les cheveux et me flanquera dehors avec le cul à l'air. - Héhé, non ce n'est pas ça. Ce sont les échanges sur le téléphone... - Oh, tu n'as pas à avoir honte de te masturber devant des photos, mon chéri. Tu as bien vu que je me suis donné un orgasme tout à l'heure... - Oui, c'était incroyable. J'ai bandé comme un âne. - Tant mieux. Et là, tu bandes ? Je lui souris et je satisfais sa curiosité en déboutonnant mon pantalon pour en extraire mon sexe déjà bandé. images similaires Sophie semble ravie : - Oh Gilles, si tu savais depuis combien de temps j'ai envie qu'on fasse l'amour dans ce bureau. Je trouve ça si excitant. Je me sens faible. J'étais presque parvenu à me convaincre que je devais lui dire la vérité. Mais, là, comment ne pas succomber ? Ma femme me rejoint. Elle prend mon érection et me masturbe doucement alors que sa bouche cherche la mienne pour échanger un baiser passionné. - Moi aussi ! - Tu y as pensé quand je suis venu l'autre jour ? - Bah, non, il y avait les collègues... - Mais là, ils ont tous quitté le bureau. Tu es certain que personne ne risque de nous déranger ? Elle a commencé à relever son débardeur. - Je dirais à 80%... Certains soirs, il peut y avoir le personnel de ménage. Elle termine pourtant de retirer le débardeur et m'apparaît totalement nue : - Disons que la prise de risques pimente un peu le jeu... non ? - Je suis d'accord. - Alors viens me prendre et tant pis si des collègues à toi entrent. Appuyée au bureau de David, cuisses écartées et croupe cambrée, Sophie est irrésistible. - Ma Sophie, tu es si belle ! - Ne perds pas ton temps en parlotte. Ma petite minette a été vilaine aujourd'hui et a besoin d'un bon coup de bâton. Passant la main entre ses cuisses, elle écarte les lèvres de sa moule pour me montrer à quel point elle mouille. images similaires Quand je m'approche, le sexe tendu, je me penche sur sa fente et découvre un filet de cyprine qui s'en échappe. - Avant, je veux discuter un peu avec ta minette. - Discuter ? images similaires Comme elle ne semble pas comprendre que je poursuis sa métaphore, j'approche mon visage et donne un coup de langue à sa fontaine. - Ooooh, coquin ! Te voilà avec des arguments pour la calmer, mais ça ne suffira pas. - Oh oui, je ne peux pas la convaincre par mes discours ? - Non, seuls de bons coups de bâton pourront la calmer... images similaires Un peu déçu de devoir passer les préliminaires, je me redresse. - Tu m'as bien dit que tu aimais la levrette ? - Oui ! J'adore ça. Et je plonge doucement ma tige dans son temple accueillant. Sophie pousse un gémissement de plaisir. Je commence à aller et venir en elle quand je constate qu'elle regarde vers la porte : - Qu'y a-t-il ? Tu as entendu du monde dans le couloir ? - Non, mais je me dis qu'il vaut mieux rester discret. - Tu veux que j'aille verrouiller la porte pour être sûr ? - Non... Je veux que tu me baises. Je suis surpris par son vocabulaire. Cela me montre à quel point elle est excitée et que sa masturbation de cet après-midi n'était pas suffisante. Elle se cambre. Je commence à aller et venir en elle, allant au-devant de ses hanches. Cela semble lui convenir. Elle feule, elle miaule comme une chatte en chaleur. Cela m'excite, sans doute s'en rend-elle compte. Puis elle se retourne vers moi : - Gilles... Oooooh... Pourquoi tu n'es pas à poil ? - De quoi ? - Moi, Aaaaaah... Je suis à poil... Ooooh... et dans la merde si... Mmmmmmh... Un de tes collègues déboule. - Han... Ce n'est... Mmmh... même pas une question de... Han... de pudeur... Mmmmh... juste pas eu le temps... Trouvant sa remarque pertinente, je m'extrais du délicieux fourreau et retire tous mes vêtements à la vitesse de l'éclair. images similaires Sophie me sourit : - Et tu n'as rien perdu de ta superbe. - Ma superbe quoi ? - Ta superbe érection, mon chéri. Elle saisit mon sexe et m'embrasse avec passion. images similaires Puis Sophie se remet en position et me présente à nouveau sa croupe. Elle ne semble pas vouloir changer de position et je dois avouer que cela me convient parfaitement. Je glisse à nouveau dans son sexe chaud avec encore plus de plaisir. Elle tourne la tête vers moi : - C'est mieux, non ? - Oui... C'est vrai que si on nous surprend, cela ressemblera moins à un patron baisant sa secrétaire. Je reprends une cadence régulière, mais pas trop rapide. Ses gémissements de plaisir se font de nouveau entendre. Tout cela m'excite tant que j'ai la sensation de bander davantage. Et Sophie garde un œil sur la porte. - Han... Tu es sûre que tu ne veux pas qu'on y mette un petit coup de clé ? - Certaine... Mmmmh... Mets-moi plutôt des gros coups de bite ! Ooooooh... - Si je te fais crier, ça peut attirer des collègues. Han... - Tant pis ! Ils verront... Ooooooh... à quel point tu es un bon baiseur. - Et à quel point tu es belle ! Sophie se redresse et pose une jambe sur le bureau, me permettant d'aller encore plus loin en elle : - Tu es sûr que... Ooooh... David, Alain et Hugo sont repartis ? - Han... Oui... Pourquoi ? Mmmmh... Tu espères qu'ils nous surprennent ? - Pourquoi pas ? Aaaaaaaah... Je n'en reviens pas qu'elle soit aussi coquine, elle si pudique et réservée habituellement. Elle se cambre à nouveau. Je me penche sur elle et mes mains glissent de ses hanches à sa douce poitrine. - Oh ouiiii... Caresse-moi les seins ! Oooooh... Je caresse, malaxe et soupèse les délicieux globes de chaire. À ce rythme, je crois n'être plus très loin d'éjaculer. Je voudrais tenir encore, mais Sophie me donne le signal de départ et m'ôte tout scrupule : je la sens vibrer, se contracter. Et soudain, elle lâche tout. Les cris de plaisir accompagnent les soubresauts de son bassin et de ses cuisses. Je ne vais pas tenir plus longtemps. Je ne veux pas tenir plus longtemps... images similaires J'y suis. Moi aussi, je jouis. J'ai l'impression d'être une pile qui expulse de l'énergie. Je râle. J'éjacule. Je sens avec délice plusieurs giclées de sperme remonter dans ma queue et se perdre dans le temple de Sophie. Quelle extase de pouvoir partager tous les deux cet orgasme ! Je me penche sur elle. Elle sent mon désir et tourne la tête. Nous nous embrassons tendrement. Quand nos lèvres se séparent, Sophie me demande : - Gilles ? - Oui ? - J'ai adoré... - Moi aussi. Nous nous embrassons à nouveau. Je l'aime et je sens à quel point elle m'aime. Pourtant, j'éprouve des scrupules, car la soirée n'est pas terminée et nous sommes attendus chez David et si les photos qu'a envoyées Sophie encore aujourd'hui ont mis mes collègues dans le même état que moi, il y a fort à parier que cette soirée ne se cantonne pas à seulement jouer au billard.

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