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Simon 15 janvier 2025

Téléphone 5b. Vendredi : billard Le trajet en voiture pour aller chez David me paraît long. Sophie et moi gardons le silence, chacun perdu dans ses pensées. Moi, je me demande comment va se passer cette soirée. J'imagine que ça va évidemment être très chaud quand je vois la tenue que Sophie s'est choisie. Sans compter que les photos qu'elle a envoyées sur mon téléphone ont dû sacrément exciter mes collègues. Ces photos étaient bien au-delà du suggestif. Mais est-ce que ça va déraper ? Sophie le souhaite-t-elle ? Attend-elle de moi que j'empêche tout débordement ? Et jusqu'où suis-je prêt à aller ? Jusqu'où est-elle prête à aller ? Je l'observe discrètement et elle semble être aussi en pleine réflexion. Je l'imagine, comme moi, tiraillée entre l'excitation et la crainte que tout cela aille trop loin : - Est-ce que tout va bien, Sophie ? - Oui. Je crois que cette soirée me fait un peu peur, mais je pense qu'on va bien s'amuser. Nous arrivons chez David. L'accueil est chaleureux : - Sophie ! Gilles ! Bienvenue. Vous allez pouvoir nous montrer ce que vous avez retenu de la rapide initiation de l'autre soir. Sophie crâne : - Tenez-vous bien, les garçons, je vais vous en mettre plein la vue. images similaires Dit comme cela, je vois tout de suite un double sens à cette annonce. Et je vois au petit sourire d'Alain et aux échanges de regards de David et Hugo qu'ils ont aussi fait la même analyse que moi. Tous les trois détaillent la tenue de Sophie avec intérêt tandis qu'elle est occupée à admirer les divers meubles et bibelots du salon de David. David nous présente le billard et tend à Sophie une queue : - Voilà, Sophie. Montre-nous. - J'ouvre le bal ? images similaires - Si tu le veux. - On attaque une partie directement ? - Oui, mais ne t'inquiète pas, on ne va pas compter les points pour le moment. Je veux déjà voir ce que tu as retenu des positions et des gestes. Enfin, Gilles aussi, bien sûr. - Bien sûr. Je ne me fais pas vraiment d'illusions. David a proposé cette soirée surtout pour voir ma femme, pas vraiment pour moi. Sophie me demande : - Tu veux commencer, Gilles ? images similaires - Je t'en prie, ma chérie. On te regarde. Mon clin d'œil et mon sourire ne laissent pas trop de doute sur le fait que c'est bien là l'intérêt principal de cette soirée : on la regarde. Quatre paires d'yeux à se poser sur ses charmes, ses courbes, ses gestes. Elle se met en bout de table et se penche : - Comme ça ? images similaires Alain la conseille : - Tu peux te pencher davantage, ton regard sera plus dans l'axe pour viser. Sophie se cambre encore un peu plus. Alain vient derrière elle : - C'est mieux, mais il faut aussi que tu assures ta stabilité en écartant un peu plus les cuisses. Je vois qu'Alain a son téléphone à la main et j'ai l'impression qu'il tente discrètement de photographier sous la jupe de ma femme. Sophie écarte un peu les cuisses. Alain s'éloigne pour venir me rejoindre : - Bien, Sophie. C'est mieux. Je pense que tu peux y aller. Pendant qu'elle ajuste son coup, Alain me montre son téléphone, une vue magnifique sur l'entrecuisse de ma dulcinée. En me montrant cette photo, il fait de moi son complice. Et j'accepte cette situation puisque je ne dénonce pas son forfait. images similaires Alain passe alors montrer la photo à David puis à Hugo qui semblent apprécier ce qu'ils voient. David nous amène une bouteille et des verres et sert un verre à Sophie pour commencer. Elle nous sourit en voyant qu'on s'intéresse davantage au téléphone d'Alain qu'au jeu : - Vous regardez quoi les garçons ? - Oh ! Juste un mail de la direction concernant une subvention qu'on devrait toucher prochainement. C'est une bonne nouvelle. - Tant mieux. Et mon tir ? Vous en pensez quoi ? - Heu... Pas mal du tout. Recommence. C'est en pratiquant que tu vas progresser. Sophie se repenche sur le billard. Cette fois-ci, c'est Hugo qui vient faire profiter Sophie de ses conseils de positionnement : - Attends Sophie, je vais te donner un coup de main. Sous prétexte de l'aider, Hugo vient rejoindre ma femme et place ses mains sur ses hanches. Il en profite pour reluquer tranquillement sa croupe. En voyant le sourire de Sophie, je vois bien qu'elle a compris son manège, mais que cela l'amuse. Et, comme moi, cela doit également l'exciter. Sans oser se coller à elle, Hugo corrige sa position : - Cambre-toi encore. Si ton regard est trop haut, tu vas perdre en précision. Sophie s'exécute, son buste formant maintenant un angle droit avec ses cuisses. - Comme ça, c'est mieux ? Hugo s'écarte pour juger de la position. Enfin, c'est ce qu'il essaye de faire croire, car on sait tous, comme nous, qu'il en profite pour reluquer les courbes de la jolie stagiaire. Il se recule et doit sûrement avoir une chouette vue sur la jupe retroussée sur la croupe. Elle tourne la tête vers moi et me demande : - Et toi, Gilles, tu te penches autant quand tu joues ? - Heu, sans doute pas assez, mais là, de toute façon, tu ne peux pas te pencher davantage... - J'espère juste que ma jupe n'est pas trop courte. Mais je pense que Hugo m'aurait signalé si cela était indécent. - Je vais te dire... Je me décale vers Hugo. La vue est splendide : la jupe courte révèle déjà le bas des fesses et ses seins remplissent joliment le débardeur. Sophie attend que je lui fasse mon diagnostic avant de jouer. Quand je rejoins Hugo, la vue qui s'offre à nous est beaucoup plus indécente que je ne le croyais : la position cambrée fait que la mini-jupe ne dissimule pas le bas des fesses, mais on distingue surtout assez nettement les lèvres de sa jolie moule. - Tout va bien, ma chérie. Ta jupe est parfaite. images similaires Sophie frappe la bille. Malgré les conseils de pros, son coup est manqué. Elle se redresse : - Bon... je suis un boulet. Je n'arrive à rien, malgré vos conseils. Hugo la rassure : - Avant de commencer une partie, je pense qu'il serait sage qu'on continue à te conseiller sur la pratique. - Mais vous n'allez pas jouer, ça va être chiant pour vous, non ? Tous les quatre, nous répondons d'une même voix : - Non ! - Vous êtes sympas. D'accord, j'ai vraiment envie de progresser. David lui dit : - Alain et Hugo ne sont pas les meilleurs pédagogues... - Parce que toi tu penses être plus efficace pour me conseiller ? - Évidemment, j'ai plus d'expérience qu'eux. - Tu penses que l'expérience fait tout ? - Laisse-moi te montrer. David vient la rejoindre et se colle carrément à elle, sans la moindre pudeur. Il me regarde, observant ma réaction. Je lui fais un clin d'œil. Il sourit et enlace Sophie pour l'aider à positionner ses mains sur la queue. - Voilà, comme ça. Sophie relève le regard vers moi. Elle aussi semble vouloir mon approbation. images similaires Je lui souris. David poursuit : - Tu as compris comment tenir la queue. Maintenant, voyons la position. Sophie se cambre, appuyant sa croupe contre l'entrejambe de David. - Comme ça ? - Oui... c'est parfait ! Sophie se retourne vers lui : - Dis donc ! J'ai l'impression de sentir quelque chose de dur, là. Ce n'est pas très professionnel... - Désolé... - Si tes conseils ne portent pas leurs fruits, tu auras un gage. - Ah oui ? - Oui, tu devras retirer un vêtement. images similaires Sophie a vraiment envie de s'amuser. David semble perturbé, mais il hoche la tête : - OK. Il accompagne Sophie dans son tir, mais le coup est encore manqué. Je suspecte évidemment ma femme d'avoir volontairement manqué la frappe de la bille pour contraindre David à se dénuder. Elle se redresse et se retourne vers David : - Alors ? Quel vêtement je te retire ? - Ah ? C'est toi qui me le retires ? Sophie acquiesce. Je m'attends à ce que David demande tout de suite son pantalon et c'est sans doute ce qu'espère aussi Sophie, mais il semble vouloir ménager son effet : - Alors, le tee-shirt. Sophie ne montre pas sa déception, mais je la décèle. Tout en déshabillant David, elle nous regarde : - Et vous, vous êtes soumis à la même punition. Un conseil qui ne fonctionne pas vous coûtera un vêtement. Une fois David torse nu, Sophie semble sous le charme. Retirant le bouton du haut de son pantalon, elle lui dit : - J'aurais préféré que tu me demandes de te retirer le bas. - C'est vrai que j'y suis très à l'étroit et ça aurait été avec plaisir. Mais chaque chose en son temps. - Tu me remontres pour la position ? images similaires Alain semble contrarié que ce ne soit pas son tour, mais ne l'exprime pas, sans doute parce qu'il respecte le choix de Sophie. Elle se replace devant la table de billard et David se colle à nouveau à elle. La prenant aux hanches, il lui dit : - Voilà... tu te cambres... Mais tu restes souple. - Comment je fais pour rester souple. - Tu ondules un peu, comme une danse. - Comme ça ? Sophie se met à faire rouler sa croupe contre le bas-ventre de son professeur. David met quelques secondes à lui répondre : - Oui... C'est bien... Tu es très souple. Cela dure un certain temps et Alain, Hugo et moi observons avec intérêt cette danse sensuelle que nous offre Sophie. Et puis les mains de David descendent sur les cuisses et les fesses de Sophie. Elle pousse soudain un petit cri de surprise. Je ne comprends pas. Étant en face du couple, nous ne voyons pas ce qui se passe derrière la table. Je migre donc vers le côté et je comprends que la danse de Sophie est maintenant un peu différente puisque ses ondulations lui permettent de coulisser sur le sexe de David qu'il a réussi à lui glisser discrètement entre les cuisses. David est donc parvenu à libérer son érection et prend ma femme en levrette devant nous ! Sophie me regarde et me voit sourire. Pourquoi est-ce que je n'interviens pas pour arrêter ce débordement manifeste ? Parce que les yeux de Sophie semblent m'implorer de ne pas réagir ? Parce que je bande moi-même à tout rompre ? Elle doit déceler cependant que je suis surpris que les choses puissent prendre cette tournure aussi vite. Elle se redresse donc et invite David à se rajuster : - David, je crois que ton pantalon glisse un peu... Raisonnable, David s'écarte et se rajuste rapidement. Nous portons tous notre attention sur Sophie pour ne pas le gêner alors qu'il bataille pour remettre sa colonne de chair dans son pantalon. Alain en profite pour prendre son tour de conseiller en position. - Sophie, c'est bien pour les jambes, souples et fermes. Il faut aussi que tu appliques cela aussi au buste. - Ah oui ? Montre-moi. Avec une invitation aussi franche, Alain ne se prive pas de peloter ma femme pour lui montrer la souplesse attendue. - Voilà, tu te penches, mais tu restes souple. Tu peux faire avec tes épaules comme tu faisais pour tes hanches avec David. - Comme ça ? Elle ondule tant et si bien que les bretelles du débardeur finissent par glisser, approfondissant le décolleté. Quand les mains d'Alain se replacent sous les épaules de Sophie pour la guider, elles entrent par inadvertance directement en contact avec les seins nus. images similaires - Je n'ai pas la tenue adaptée. Mes seins s'échappent du décolleté. - Il faut que tu tiennes les bretelles du débardeur. - Ou toi, tu me les tiens, mais ça va me gêner pour jouer. Quand elle se redresse, les seins sont effectivement dégagés et Alain ne résiste pas à les caresser. images similaires Nous autres observons, subjugués. Sophie se dégage d'Alain : - Je parlais des bretelles et pas de mes seins quand je te proposais de me les tenir... Alain devient rouge écarlate et laisse Sophie se rajuster. Elle me dit : - En fait, les petites bretelles, c'est confortable, mais ça a tendance à glisser facilement. images similaires - Ma chérie, le plus simple serait que tu retires ton débardeur. - Que je me mette les nichons à l'air ? - Bah oui, tu seras plus à l'aise. - Oui, mais ça ne va pas vous perturber ? David renchérit : - Nous sommes des professionnels, Sophie. Tu auras ton cours de billard, quelle que soit ta tenue, on s'y engage. Je m'approche d'elle et elle me laisse lui retirer son haut, cachant aussitôt sa poitrine avec ses bras. Elle nous regarde et nous nous concentrons tous pour ne pas montrer trop notre excitation. - Vous êtes sûrs les garçons, ça ne vous dérange pas ? - Moi, je suis déjà torse nu, et ça ne me gêne pas du tout. - Oui, mais toi tu ne vas pas avoir une paire de seins qui pend sur le tapis du billard. Je l'encourage : - Ma chérie, il n'y a pas de raison que ça pende, tes seins sont très fermes. - Ah oui ? Tu trouves ? Elle retire ses bras et révèle sa superbe poitrine. - Toi, Gilles, tu n'es pas vraiment objectif. Alain l'observe en détail et lui dit : - Moi aussi, j'ai l'impression qu'ils se tiennent bien. Je saute sur l'occasion : - Ils sont fermes. Tu n'as qu'à toucher pour t'en rendre compte Alain. Alain me regarde, incrédule. Puis il regarde Sophie qui hausse les épaules, l'air de dire : - Puisqu'il te le propose... Il avance donc sa main et empoigne un sein pour le malaxer. - Mmmmm... Oui, ça me semble parfaitement ferme. Derrière Sophie, je m'amuse à lui caresser le ventre : - Sophie fait beaucoup de sport et fait attention à l'équilibre de son alimentation. Même son ventre est ferme. Une main d'Alain se pose sur son ventre, sous la mienne, et commence à glisser dans la jupe. images similaires David vient nous rejoindre. Sophie nous écarte, Alain et moi. - Sophie, je crois que tout le monde a envie de se rendre compte de la fermeté de tes seins. - C'est de ta faute aussi, d'avoir dit ça... - Et encore, ma chérie, je ne leur ai pas dit à quel point tes mamelons sont réactifs aux jeux de langue... David semble intéressé : - Ah oui ? Sophie rigole et laisse David se pencher sur un sein pour en sucer le téton. images similaires Hugo ne veut pas être en reste et s'approche à son tour. Il pourrait s'attaquer au second sein, mais semble préférer attendre que David ait terminé pour lui aussi venir cajoler le sein de ma femme. Quand David laisse sa place, je vois un mamelon parfaitement érigé, sublime. Hugo plonge à son tour sa bouche sur ce téton tendu et le suce à pleine bouche. Sophie en soupire d'aise. Quand Hugo se redresse, elle me sourit : - Dis donc, tes collègues ont le contact facile. - Tu ne sembles pas t'en plaindre, ma chérie. Hugo empoigne un sein et ajoute : - Et puis, nous, on veut juste se rendre compte de la fermeté de ta poitrine, rien ne plus. images similaires Sophie rigole et le laisse faire : - Dis donc, il t'en faut du temps toi pour te rendre compte que j'ai les seins fermes. J'ajoute : - Et encore, il ne s'est pas encore rendu compte que tu as aussi le ventre et les cuisses d'une sportive. Hugo en profite pour glisser une main entre ses cuisses et remonter sa jupe pour lui caresser l'entrejambe. Sophie se dégage : - Stop ! Je ne suis pas à une visite médicale, mais à un cours de billard, non ? - Tout à fait, ma chérie ! Tu as raison de nous le rappeler. - Les garçons, vous m'avez promis de vous tenir si je restais seins nus. N'oubliez pas. David sourit et dit : - On n'oublie pas, Sophie. C'est toi qui décides. - Donc on s'y remet ? - Est-ce que tu veux te rafraîchir avant ? J'ai préparé un punch... - Ah oui, volontiers. Merci David lui tend un verre et nous en propose également. Le punch est bien chargé. Je me demande si l'objectif n'est pas de faire perdre le contrôle à Sophie ou de me saouler pour me mettre hors course. Précaution inutile, puisque Sophie semble laisser exprimer une libido décomplexée et que je ne constitue pas vraiment un frein à leurs éventuels projets tant que ça se limite à du voyeurisme et des attouchements (même si je garde en mémoire que David a déjà réussi à la prendre en levrette discrètement). Sophie reprend position contre la table du billard. - Bien, les garçons, vous me dites pour la position ? Nous sommes tous les trois derrière elle et profitons d'un magnifique spectacle. Pourtant, Alain en veut plus : - Il faut que tu te cambres. Le visage à hauteur de la bille, souviens-toi. - Comme ça ? Alain renchérit : - Oui, mais il faut que tu assures ta stabilité en écartant un peu les jambes. - Je voudrais bien, mais j'ai peur que ce soit indécent avec ma mini-jupe. Je soutiens : - Pas d'inquiétude à avoir, ma chérie. On ne voit pas tes fesses. Juste tes magnifiques jambes fuselées. Sophie doit quand même se douter qu'on voit tout, mais elle joue le jeu et écarte les jambes. Sophie tire, mais se redresse en pestant : - Encore raté. Nous, on n'a rien vu... trop concentrés sur sa croupe. David décide de reprendre la main : - Sophie, tu sembles trop tendue du haut des cuisses. - Avec quatre garçons qui me matent le cul pendant que je joue, ça me semble normal, non ? - Oui, mais tu gagnerais à te détendre... David saisit et malaxe une fesse dénudée par la mini-jupe retroussée. images similaires Jouant le jeu, Sophie rigole : - Ah oui ? Et tu sembles prêt à m'aider pour me détendre le haut de mes cuisses. - Bien sûr, Sophie ! David s'accroupit alors derrière elle et se met à lui masser les fesses. Et là, en le voyant écarter les globes fessiers de ma femme pour dévoiler et ouvrir son coquillage, je me demande si la situation ne nous a pas déjà échappé. Sophie doit le sentir et tente de se dégager, mais David lui tient fermement les cuisses. - Je crois que je suis assez détendue, là... Elle tente de se retourner et doit lever une jambe pour la passer par-dessus la tête de David, lui exposant sa moule à quelques centimètres de sa bouche. David est surpris et n'a pas le temps d'en profiter avant que Sophie ne lui échappe. Elle se retourne et rigole en nous voyant Alain, Hugo et moi, complètement subjugués par la scène : - On se calme les gars. Je croyais que vous étiez pro... Mais là, David, tu m'as tant débrayée que je crois que tout le monde sait maintenant que je n'ai pas de culotte... images similaires Quelle délicieuse salope ! Comme si l'un d'entre nous avait pu passer à côté de ce constat. Hugo est le premier à réagir : - Sophie, je crois que le problème c'est ta mini-jupe. - Ah, elle est trop courte ? - Non, mais elle te gêne. Tu serais plus à l'aise à jouer sans. - Tu veux que je joue complètement à poil ? - Moi, je dis ça, c'est pour toi. Si tu joues à poil, on saura rester pro. - Si tu penses que ça peut me détendre et que je vais être plus performante pour jouer, allons-y... Sophie se retourne contre le billard et se cambre, attendant manifestement que Hugo s'occupe de lui retirer le dernier vêtement qui la couvre. Le jeune homme ne tarde pas à s'accroupir derrière et commence à abaisser la jupe, non sans en profiter pour lui caresser les fesses au passage. images similaires Hugo interrompt la descente de la jupe au niveau des genoux. Sophie lui demande : - Je crois que ça va être encore moins pratique si tu la laisses ici. Je vais me casser la figure... - Désolé, je suis en admiration devant ton abricot. Je m'amuse à crier : - Bouffe-lui ! Sophie rigole et Hugo plonge alors son visage entre les fesses de ma femme pour lui lécher la moule. Sophie feule, mais finit par lui poser une main sur le front pour le repousser : - L'abricot, c'était une image. Le mien se déguste, mais là on est censé jouer au billard, non ? - Désolé, Sophie... Hugo s'écarte, lui laissant la jupe sous les genoux, je suis sidéré de voir qu'elle nous mène à la baguette et qu'elle semble contrôler la situation. Je viens à mon tour la rejoindre pour l'aider à achever ce qu'Hugo a commencé, à savoir retirer la jupe, pas lui faire minette. Quand mes mains effleurent sa peau pour faire glisser la jupe, elle glousse de plaisir. Quand la jupe est sur ses chevilles, je la laisse et remonte mes mains. Elle me laisse faire. Je me relève. Une main caresse son ventre et ses seins, l'autre s'égare entre ses cuisses pour évaluer le taux d'humidité. Je ne suis pas déçu ! La fontaine qui coule entre mes doigts est plutôt abondante. Quand elle se retourne vers les autres, elle se montre soudainement pudique et dissimule ses parties intimes aux garçons : - Je suis un peu gênée... - Et pourquoi donc ma chérie ? - Je suis nue devant quatre mecs habillés... images similaires - C'est vrai que c'est injuste, mais c'était pour que tu sois plus à l'aise. - Du coup, ça me met un peu mal à l'aise. Surtout que je suis la seule fille. Je trouve charmant cette fausse ingénuité, mais je crains que cela ne l'incite à remettre sa jupe et son débardeur alors que je la trouve si belle ainsi nue. - Si tu veux, Sophie, on se met tous à poil. - Ah oui... L'idée n'est pas mauvaise... Mais attendez... images similaires Nous sommes tous un peu fébriles. David nous ressert à boire. J'avale mon verre presque cul sec. Sophie nous jauge. Nous attendons tous les quatre son ordre de déshabillage. Pourtant, elle nous fait une autre proposition : - Non. J'ai une meilleure idée. Je propose qu'à chaque fois que je parviens à marquer un point, je sois en droit d'exiger de l'un de vous le retrait d'un vêtement. images similaires - C'est injuste, dit David. - Ah, oui ? Et qu'est-ce qui est injuste ? - Moi, je n'ai déjà plus de tee-shirt. - Ne te plains pas. Tu seras plus vite à poil. David sourit en se disant que c'est sans doute effectivement mieux d'être le premier à poil. Sophie reprend position. Alain revient à la charge : - Il faut que tu écartes un peu les jambes pour ta stabilité. - Jusqu'à présent, je n'ai pas eu l'impression que vos conseils m'ont aidé. Je pense pouvoir me débrouiller toute seule et faire à ma sauce. Je vais faire comme si vous n'étiez pas là et je suis certaine de mieux réussir. Je suis dubitatif : - Oui, mais on est là... - Quand bien même vous me tripoteriez, je suis certaine de pouvoir rester concentrée. Hugo s'approche et se positionne derrière elle : - Je relève ce défi ! Je trouve l'idée amusante et, désinhibé par l'alcool, j'ajoute : - Je propose que chacun notre tour, nous venions te caresser pendant que tu joues et, si tu marques, tu piques une fringue au perturbateur. En revanche, si tu échoues, tu devras octroyer une récompense de plus en plus haute au perturbateur efficace. - Quel genre de récompense ? demande Sophie, apparemment excitée par cette idée. images similaires - D'abord un baiser, puis des attouchements plus précis, éventuellement une masturbation et, si tu es d'accord, aller jusqu'à une fellation, voire une pénétration ? - Voilà une proposition généreuse, Gilles. J'accepte. images similaires Je me rends compte que je viens d'ouvrir la porte aux débordements que je pensais devoir contrôler. Mes collègues affichent tous les trois un sourire ravi, car ils vont pouvoir profiter de Sophie avec mon consentement et le sien. Hugo vient se coller à elle. Quand elle se penche pour jouer, il lui empoigne un sein pour le caresser. Sophie semble troublée, mais lui dit pourtant : - Te voilà bien audacieux de croire que cela peut me perturber. images similaires Elle se positionne, semblant ignorer superbement Hugo et son pelotage. Je suis subjugué de voir qu'elle parvient effectivement à faire abstraction de ce que lui fait Hugo. Elle ajuste son tir et frappe la bille de choc. Celle-ci vient percuter une bille rouge qui entre dans le trou ! David et Alain sont stupéfaits : - Bravo, Sophie ! Elle se redresse, fière d'elle, et se tourne vers Hugo : - Hugo, tu me dois un vêtement ! - OK. Je te laisse m'enlever ce que tu veux... - Ce sera ton jeans, alors. - Heu... Attention, je n'ai rien dessous... - Ah oui ? Voyons voir... Sophie se colle à lui et lui ouvre la braguette. Hugo en profite pour lui caresser le bas du dos. Sophie glisse alors une main par l'entrebâillement de la braguette. - Oh ! Mais c'est qu'il dit vrai ! Même si on ne voit pas ce qui se passe exactement dans ce pantalon, je suis certain que ma femme est en train de masturber mon jeune collègue. David s'impatiente : - Bon, du coup, tu lui retires ou pas ? - Oui, tu as raison, c'est mon trophée, hihi ! Sophie s'accroupit devant Hugo et ouvre le jeans. Quand elle abaisse le pantalon, nous retenons tous notre souffle. L'érection de Hugo est là, indécente et insolente, à quelques centimètres du visage de ma femme. Tous, nous imaginons qu'elle va le gober et le sucer. Pourtant, elle relève la tête et regarde Hugo : - Tu es drôlement excité... - La faute à qui ? - Hihi... Sophie se redresse. On est tous un peu déçus, mais, finalement, ce sont bien les règles énoncées. David vient lui tendre un nouveau verre qu'elle accueille volontiers : - Merci. C'est vrai qu'il fait chaud chez toi... Elle reprend sa canne et vient se positionner devant la table : - David, c'est quoi la couleur suivante ? - La jaune, mais elle va être difficile à atteindre. - Laisse-moi essayer avant de me déclarer perdante. Se penchant sur la table, elle appelle Alain : - Tu ne veux pas tenter ta chance et essayer de me faire manquer mon tir ? - Heu... Oui, bien sûr. - Et regarde, je suis ton conseil : j'écarte un peu les jambes pour me stabiliser... Alain va la rejoindre, mais semble ne pas savoir que faire. Je lui donne mon idée : - Je crois qu'il serait dommage de ne pas essayer de la déconcentrer en léchant ce joli coquillage, non ? Se cambrant, c'est Sophie qui répond : - Voilà une excellente suggestion, mon chéri. Alain me fait un clin d'œil : - Merci, Gilles ! Il se penche derrière Sophie et place son visage entre ses fesses pour lui lécher la moule. Ma femme se met à miauler de plaisir aussitôt et je la vois mal en état de se concentrer suffisamment pour faire rentrer la bille jaune à deux points. Et pourtant, je la vois lutter, se concentrer et finalement tirer alors que Alain poursuit un savant cunnilingus. C'est David qui se rend compte du succès de Sophie : - Elle l'a mise ! Avec une bande, elle a réussi à mettre la jaune ! Cela ne semble pas perturber Alain qui poursuit son œuvre avec passion. Le coup est joué, il devrait arrêter. Cependant, personne ne semble vouloir interrompre le couple. Même Sophie semble vouloir qu'il continue et c'est bien en voyant son visage rayonnant de plaisir que je me garde moi-même de faire remarquer à Alain qu'il enfreint les règles et qu'il devrait arrêter pour qu'on passe au coup suivant. Nous voyons les cuisses de Sophie prises de spasmes, signe révélateur d'un orgasme. Pourtant, son visage laisse peu transparaître son état et, soit elle se maîtrise parfaitement, soit il s'agit d'un orgasme discret. Cette seconde option me semble plus crédible. Quand elle se retourne, Alain est déjà debout et fait son mea culpa : - Désolé... j'aurais dû m'arrêter avant. Tu as réussi à rentrer la bille jaune quand même. Bravo. Et il retire son tee-shirt. Mais Sophie le gronde : - Hey, c'est moi qui choisis le vêtement à enlever. - Désolé... Je le remets. - Non. Tu restes torse nu, tant pis pour toi. Mais en plus, tu vas retirer ton pantalon. Je suis toujours abasourdi de voir Sophie être aussi directive avec mes collègues. Avec un grand sourire, Alain abaisse son pantalon et libère une érection conséquente. Sophie est agréablement surprise : - Oh, pas de slip ou de boxer ? - Non, tu vois. Comme toi, tu es venue sans culotte, je suis venu sans slip. Alain termine de retirer son pantalon. images similaires Sophie rigole : - Bien, en voilà déjà un qui est aussi nu que moi. Cette initiation au billard commence à devenir intéressante. - Nous, on la trouve intéressante depuis le début... - Moi, ça me donne chaud, tout à coup... - Ma chérie, dis-je, tu n'as plus rien à enlever... Mais David est plus futé que moi et lui apporte un nouveau verre qu'elle accepte avec plaisir : - Merci, David. Je ne sais déjà plus combien j'en ai bu... Sophie se remet en position : - David, c'est à ton tour de jouer le rôle du perturbateur ? - Oui, et le challenge ne va pas être compliqué puisque tu dois maintenant rentrer une bille rouge. - À toi de me perturber suffisamment... - J'hésite encore à comment le faire... Encore une fois, je profite de bien connaître Sophie pour conseiller mes collègues : - Elle a la chatte en feu. Tu peux réitérer ce qu'a fait Alain. - Merci du conseil, Gilles. Sophie semble d'accord avec cette idée et écarte les cuisses pour lui donner l'accès à sa croupe. Elle se cambre. David s'agenouille derrière elle et lui empoigne les fesses qu'il commence à caresser. Il procède de manière circulaire et, à chaque passage, il appuie un peu davantage, écartant à chaque fois un peu plus les lobes fessiers pour finalement accéder plus facilement aux lèvres humides de son sexe. Sophie gémit de plaisir quand la langue commence à fouiller sa fente, s'y glissant de haut en bas, jusqu'à son clitoris. - Merde... Elle prend conscience qu'elle se laisse aller au plaisir et qu'elle ne va pas réussir sa frappe si elle laisse David continuer ainsi. images similaires Elle se saisit de la queue et commence à viser. Je vois bien que le cunnilingus de David est plus efficace que celui d'Alain. Ou peut-être parce que le petit orgasme donné par Alain l'a rendue plus sensible. Au moment où elle va tirer, David se met à lui sucer les lèvres les aspirants dans sa bouche. Cela semble la déstabiliser complètement. Elle tire, mais la bille blanche manque la rouge et va percuter la noire. C'est Alain qui garde un œil sur la table et fait le point pour nous autres qui avons l'attention captée par la délicieuse croupe de Sophie en train de se faire lécher soigneusement : - Manqué ! Et tu as touché la noire, c'est normalement une pénalité ! Mais Sophie n'écoute pas vraiment. Elle profite de ce que David lui fait. Et il lui fait très bien, semble-t-il, puisqu'il lui donne un second orgasme. Dès qu'elle commence à jouir, David se redresse et me lance un regard plein de fierté, comme si donner un orgasme à Sophie était un fantasme qu'il venait enfin de réaliser. - Elle est vraiment délicieuse. Il faudra que tu essayes, Hugo... Sophie reste encore quelques secondes appuyée contre la table, les cuisses tremblantes. images similaires Puis en moins d'une minute, elle retrouve son souffle et ses esprits et se redresse : - Bon, je crois que j'ai raté. Tu as donc le droit à un baiser. Elle s'approche de lui et lui passe une main derrière la nuque alors qu'il la prend par la taille. Le baiser dure. Hugo intervient : - Ce n'est pas que le spectacle est déplaisant, mais on voudrait jouer nous aussi... Sophie est sur la pointe des pieds pour atteindre la bouche de David et celui-ci en profite pour lui écarter les fesses et nous exposer sa sublime croupe. Sophie se décolle : - Tu as raison, Hugo, la partie est loin d'être terminée. David est pourtant surexcité et ne semble pas vouloir en rester là : il s'abaisse pour embrasser un sein de Sophie, tandis qu'il lui caresse l'entrejambe avec une main. - Non, non, non, dit Hugo. Tu as eu ton compte, David. Elle a raté la bille rouge, tu as eu ton baiser. Il se redresse, comme s'il subissait une erreur judiciaire : - Mais elle a touché la bille noire. Alain a dit lui-même que ça valait une pénalité. - Alors disons qu'elle a eu sa pénalité, dit Alain avec fermeté. Quand je passe derrière Sophie, je constate un petit filet de cyprine qui s'échappe de sa jolie moule. images similaires - Oh, ma pauvre chérie. Ta soirée semble bien difficile. - Comme toute initiation, Gilles. Trouves-tu que je progresse bien ? - Oui, tu progresses à vue d'œil. Je lui passe le pouce le long de sa fente béante pour recueillir un peu de sa liqueur. - Mmmmh, délicieuse ta liqueur... - Tu me donnes soif. David accourt avec un nouveau verre qu'il lui tend avec un grand sourire. Mais comment fait-il pour avoir un verre plein à disposition aussitôt qu'elle lui demande ? Sophie semble ne pas se poser de question et continue à accumuler l'alcool. Moi-même, je ne me rends plus compte que Hugo me remplit mon verre dès que celui-ci est vide. Il est fort possible que j'aie bu, sans m'en rendre compte, davantage que Sophie. Elle m'extirpe de mes questionnements avec un grand sourire : - Je crois que c'est ton tour, mon cher mari, de venir me perturber... Elle prend place contre la table, jambes écartées et croupe dévoilée, magnifique. Je m'approche. Elle m'interroge : - Toi qui as plein d'idées, que me réserves-tu quand il s'agit de ton propre tour ? - Tu ne devines pas ? - Il y a ce que j'espère et il y a ce que tu feras. - Je ne suis pas certain de réaliser maintenant ton fantasme. - Peu m'importe, je sais que tu vas me faire du bien... images similaires - Tu t'égares, ma chérie. N'oublie pas que je suis un perturbateur et non un objet de plaisir. - C'est la même chose. - Sauf que, si tu rates, tu seras à ma merci... Sophie ne me répond pas et saisit la queue pour tirer. Comme elle semble vouloir précipiter le jeu pour pouvoir me mettre nu, je décide de lui doigter le sexe. Curieusement, elle décide de tirer sans avoir pris le temps de se concentrer et, bien évidemment, la bille blanche ne touche aucune autre bille alors qu'elle avait plusieurs opportunités de billes rouges accessibles. Elle tourne la tête vers moi et me dit : - Mmmmh, tu m'as surprise... Je ne m'attendais pas à cela... Je ne pense pas pouvoir la faire jouir ainsi et je décide donc de me montrer plus scrupuleux des règles que mes prédécesseurs. Elle se redresse : - Que veux-tu de moi, beau perturbateur ? - Un baiser. Elle m'enlace et m'embrasse à pleine bouche, avec passion. images similaires Puis elle interrompt le baiser et me dit : - Tu dois demander plus que David. Il a déjà eu un baiser lui aussi. C'est toi qui as édicté que mes pénalités étaient croissantes, non ? - Oui. Dans ce cas, je veux bien que tu frottes tes seins contre mon torse. - C'est tout ? Elle me retire ma chemise et se frotte contre moi. Je sens avec délice ses mamelons tendus contre ma peau. Sophie se tourne vers les autres : - Est-ce que ça vous semble suffisant, les gars ? - Bah, non, dit Alain. L'étape suivante, ce n'était pas un attouchement spécifique ? Elle se retourne vers moi : - Si. Je vais devoir te retirer ton pantalon pour accéder à ta queue... Elle s'agenouille devant moi et ouvre le bouton de mon pantalon. Je l'interroge : - Mais tu te fais avoir, non ? Normalement, c'est quand tu réussis que tu nous mets à poil. - Bah, oui, mais c'est toi qui as décidé des règles et l'étape suivante de mon gage nécessite que j'accède à cela. Elle abaisse mon pantalon et extrait ma virilité en me souriant : - Tu es bien en forme, mon homme. - Tu sais manier les queues, Sophie. C'est indéniable. Elle se redresse et me chuchote : - Ton tour est terminé. Mais j'attends le prochain avec impatience. - Plus que les autres ? - Oui. - Même David ? Elle ne me répond pas. Elle me laisse et va reprendre son verre que David avait bien sûr pris soin de remplir à nouveau : - Allez, les garçons, on recommence un nouveau tour ? Elle avale une gorgée et ajoute : - J'ai raté deux fois de suite. Il faut que je me reconcentre même si je vois bien que vous êtes des perturbateurs de plus en plus efficaces. Ayant presque vidé son nouveau verre, elle retourne au billard en rigolant : - Je suis la seule à jouer... J'espère que vous ne vous ennuyez pas trop ? - Non, ma chérie, lui réponds-je. Nous nous amusons autant que toi. Se penchant sur la table, elle nous offre à nouveau la vue sur sa splendide croupe. Personnellement, je ne m'en lasse pas. Elle tourne la tête vers nous : - Hugo ? Comment vas-tu me perturber ? Hugo s'approche et dit : - Moi, je suis toujours fasciné par tes seins... Je retente ma chance. Il vient se coller à elle et lui caresse les seins. Sophie tourne la tête : - Tu crois m'empêcher de rentrer la bille suivante ? - Peu m'importe tant que je peux caresser tes seins magnifiques. Elle se redresse, voulant manifestement le laisser en profiter un peu. C'est quand elle commence à onduler que je prends conscience d'une chose : Hugo est cul nu et il bande forcément. Aussi, son érection est nécessairement calée entre les fesses de ma dulcinée. Elle s'amuse de toute évidence à l'exciter en bougeant ainsi. Sophie continue à se frotter contre lui et, petit à petit, elle descend, nous laissant voir l'état critique de l'érection de Hugo. Pour garder son sexe entre ses fesses, Hugo doit aussi plier les genoux et descendre, comme elle. Cette danse est presque comique, mais je comprends la stratégie de Sophie quand elle se redresse soudain et se cambre pour redescendre sur Hugo. C'est sûr : elle est maintenant empalée sur lui. Hugo est surpris, mais ne dit rien. Il ne bouge pas. Il laisse Sophie former des cercles avec son bassin, faisant coulisser doucement sa verge tendue dans son temple d'amour. Hugo lui dit : - Je... J'ai plus l'impression que c'est toi la perturbatrice. - Le billard n'est-il pas l'art de savoir se servir d'une queue ? - Si... Mais tu es censée jouer... - En l'état, je ne... Mmmmh... je ne peux pas... Tu me perturbes trop... Ooooh... - Mais... si tu ne joues pas... On va... on va considérer que j'ai gagné ? - Je... Oooooh... je vais essayer... Elle attrape la queue, mais la repose aussitôt devant elle. Le pauvre Hugo ne comprend pas : il ne bouge absolument pas et Sophie va et vient sur son dard avec une incroyable vivacité. - Aaaah... tu me perturbes trop... Aaaah... Quelle délicieuse manipulatrice ! Puis, à la surprise générale, elle stoppe ses mouvements et se retourne : - Quelle bille je dois rentrer déjà ? - Hein ? Heu... Une rouge, je crois... - Tu es sûr ? Hugo n'a pas les idées claires et c'est David qui répond : - On attend une rouge... Sophie le remercie d'un signe de tête et se saisit de la queue. Pour se mettre en position de tir, elle lève une jambe pour et pose son genou sur le bord de la table. Cette fois-ci, ayant été trop chauffé par ma petite salope de femme, Hugo ne résiste pas et commence quelques généreux va-et-vient en elle. Passant une main sous son genou, il lui relève encore plus la jambe. L'ouvrant ainsi davantage, il peut aller plus loin en elle. Nous voyons même ses grosses couilles battre contre l'entrejambe de sa partenaire, qui ne semble d'ailleurs plus vraiment en mesure de jouer. Hugo accélère ses pénétrations. Je devine à son visage crispé qu'il n'est plus très loin de l'éjaculation. Va-t-il oser se laisser aller en elle ? Sophie ne lui en laisse pas l'opportunité : elle s'échappe, libérant l'érection couverte de ses sécrétions. Avec une dextérité insoupçonnable, elle tire. Et parviens à faire rentrer une bille rouge. Elle se retourne et désigne le membre turgescent de Hugo : - C'était bon, mais j'ai marqué malgré tes perturbations. images similaires Elle fait glisser son doigt le long de la colonne prête à entrer en éruption. Et c'est la caresse de trop pour Hugo, qui se met soudain à éjaculer devant nos regards hallucinés : - Oh merde... Non... Sophie se moque de lui : - Oups ! Je suis désolée, Hugo... Elle n'en pense rien, je le sais, et elle rigole même en voyant Hugo retirer son tee-shirt précipitamment pour cacher son sexe dedans, alors que l'éjaculation semble se poursuivre encore et encore. - Mon pauvre Hugo ! Il ne te restait que ton tee-shirt et, de toute façon, je t'aurais demandé de le retirer... Maintenant que Hugo est à poil lui aussi, il ne reste finalement plus que David qui a encore son pantalon, ce que je trouve comique puisque c'est sans doute le sexe de David que Sophie a le plus envie de voir. C'est néanmoins vers Alain qu'elle se tourne : - Je crois que c'est au tour d'Alain d'être perturbateur. Alain s'approche, ravi : - Oui, mais l'objectif c'est aussi de t'aider à bien te positionner. Il la saisit à la taille avec l'intention manifeste de lui faire prendre la bonne position pour tirer. Il la fait pivoter pour qu'elle se retourne face au billard. - Je te le redis, Sophie, l'important est d'être campée fermement sur tes jambes et pour cela il ne faut pas hésiter à les écarter franchement. Il lui met les mains entre les cuisses pour les écarter, mais ma femme s'exécute docilement. - Voilà, c'est parfait... Tu sens que tu es plus stable ? Il en profite pour lui malaxer les fesses ce qui ne me semble avoir aucun rapport avec la stabilité. Dans la position où Alain l'a installée, Sophie nous offre une magnifique vue sur sa moule humide. Alain doit la trouver aussi appétissante que moi, car il s'agenouille derrière et plonge son visage sur sa fente pour la lui lécher. Sophie semble apprécier, mais elle a la présence d'esprit d'interroger notre hôte : - David ? Quelle couleur de bille, ensuite ? - Heu... Ensuite, tu dois empocher la verte et elle vaut trois points. - Empocher ? - C'est le terme pour dire qu'il faut mettre la bille dans le trou. Sophie attrape la queue et se cambre un peu plus pour prendre position. Alain en profite pour se redresser et se met à lui lécher l'anus. images similaires Cela semble efficace. Sophie s'interrompt un instant. La langue d'Alain tourne autour de son petit trou et il la fait de temps à autre pénétrer l'étroit orifice. Sophie ferme les yeux. Je pense d'abord qu'elle se laisse aller au plaisir, mais quand elle les rouvre, j'y décèle une détermination qui indique qu'elle se concentre pour faire son tir. Mais elle s'arrête à nouveau et, cette fois-ci, c'est à cause du majeur qu'Alain vient de lui enfiler dans la moule. Elle ferme les yeux, mais son visage reste tendu. J'en déduis qu'elle se concentre. Alain semble satisfait de réussir à briser sa détermination. Il se redresse et lui murmure à l'oreille : - On dirait que c'est compliqué de se concentrer, non ? Sophie veut profiter de cette interruption pour ajuster son tir, mais Alain lui insère directement trois doigts dans l'anus. images similaires Je n'en reviens pas qu'il ose faire cela ! Mais Sophie le laisse faire. Pourtant, même s'il commence à lui branler tranquillement le cul, elle parvient à se recentrer sur le jeu : elle positionne sa queue tant bien que mal pour viser une bille rouge et tire. Aussitôt après, elle abandonne la queue, prise par un orgasme auquel elle ne s'attendait pas. Alain continue à lui masturber la rondelle, mais garde un œil sur le jeu : - Quel bol ! Elle a empoché la bille verte ! Sophie se redresse et tourne la tête vers lui : - C'est surtout la preuve que vos conseils portent leurs fruits... - Et que tu as su faire abstraction de ce que je te faisais. Alain semble étonné et je le suis également. Sophie se retourne : - Tu n'as plus de vêtement à retirer... Comment fait-on ? David s'avance : - Je veux bien me sacrifier à sa place. - Voyez-vous cela ? David sait se montrer généreux avec ses collègues... Elle lui déboutonne le pantalon et glisse sa main par l'entrebâillement. images similaires - Toi non plus, tu n'as pas de slip ? - J'avais envisagé effectivement que les vêtements seraient superflus ce soir, mais je n'aurais pas imaginé que la partie de billard prenne cette tournure. Puis, se tournant vers Alain, elle demande : - Tu l'autorises à se sacrifier pour toi ? images similaires - J'ai comme l'impression que tu as déjà bien entamé la chose, non ? Sophie ne répond pas, mais se penche sur David pour lui abaisser son pantalon. - Attention les yeux ! images similaires Et force est de constater que le spectacle est impressionnant ! Dès qu'elle tire le pantalon vers le bas, le sexe de David surgit tel un diable de sa boîte, un sexe long et épais, déjà bien gonflé et plutôt raide. Je n'en crois pas mes yeux, Sophie non plus. Elle reste quelques secondes interdite, fascinée par ce gros serpent. Je trouve vraiment injuste que la nature ait aussi bien doté David. Curieusement, je n'ai pas éprouvé de réelle jalousie à voir mes collègues tripoter, voire pénétrer ma femme, mais, là, je suis jaloux de voir le regard que porte Sophie à David. Elle semble être tombée totalement sous le charme de ce sexe colossal et elle ne s'en cache même pas. - Pfiou, David ! Quel morceau ! - Eh oui, Sophie... Tu n'es pas habituée, n'est-ce pas ? - Heu... Gilles est très bien équipé, lui aussi... Le manque d'assurance dans sa voix m'indique qu'il s'agit d'une simple formule de diplomatie. David rigole : - Bien sûr... J'ai quand même l'impression que tu aimerais en voir une comme ça plus souvent, non ? Sophie a alors une réaction étonnante, elle va prendre son téléphone et l'allume : - Tu as raison, je vais immortaliser cette belle bête. Et elle prend en photo David ou peut-être seulement son énorme sexe, je ne sais pas comment elle a cadré. David est surpris lui aussi, mais il réagit : - Tu aurais dû attendre un peu que je sois en érection. - Tu veux me faire croire que tu n'es pas érection, là ? - Viens toucher toi-même. Tu verras qu'elle n'est pas parfaitement dure... Sophie vient le rejoindre et saisit la gigantesque tige. images similaires - Alors ? Dis-je, surpris qu'elle ne donne pas son avis. - Heu... oui. Elle n'est peut-être pas totalement bandée. Pffff... ça me donne chaud, moi tout ça... Cette fois-ci, c'est Alain qui se précipite et lui ramène directement la bouteille. Mais au lieu de s'en servir un verre, elle porte directement le goulot à sa bouche et en boit trois bonnes gorgées. Je tente ma chance et dit à Alain : - Moi aussi, j'ai chaud et j'ai soif... Pour toute réponse, il me sourit et me fait un doigt d'honneur pour m'indiquer que je n'ai pas à espérer le moindre service de sa part. Sophie rigole en nous voyant : - Mon pauvre chéri, tu vas devoir te servir toi-même à boire... - Ouais... Je pensais qu'Alain serait plus serviable. Alain rigole : - Et tu voudrais aussi que je te lèche le cul, Gilles ? - Non merci ! Tout le monde rigole. Puis, Sophie dit : - C'est le tour de David, non ? Je crois déceler une certaine excitation dans sa voix. Je me moque d'elle : - Tout va bien, ma chérie ? - Oui, oui... Comme si elle voulait nous cacher son trouble, elle se met aussitôt en position pour tirer. David admire sa croupe et demande : - J'ai le droit de te perturber comme Hugo l'a fait tout à l'heure ? - En me pelotant les seins ? - Non. Je pensais plus à la partie où tu t'es empalée sur sa bite. Sophie prend un moment de réflexion : - Je crains que ça n'aille au-delà de la simple perturbation... - Je peux te préparer avant. - D'accord, je suis tentée d'essayer... Ai-je bien entendu ? Ma femme ne vient-elle pas de dire à mon collègue qu'elle avait très envie qu'il la prenne en levrette ? Heu, non, elle n'a pas dit, je surinterprète. Je n'ai plus les idées claires avec l'alcool. Sans doute qu'elle non plus... En tout cas, David est déjà en train d'exécuter l'offre qu'il lui a faite : à genoux derrière elle, il lui lèche la moule et elle semble beaucoup aimer. Quand elle commence à feuler de plaisir, David se redresse et présente une érection incroyable. J'ai presque envie de lui dire de faire attention à ne pas lui faire mal. Mais je me tais. Je dois faire confiance à Sophie, faire confiance à David. Quand il présente son sexe contre la fente de Sophie, celle-ci semble se concentrer alors que nous voyons le pieu s'enfoncer, millimètre par millimètre. Sophie écarte bien les cuisses pour faciliter la pénétration. Finalement, David semble pouvoir aller et venir sans trop de résistance. Il faut dire qu'il avait dû la faire bien mouiller à lui sucer la moule avant. Sophie nous regarde et, entre deux gémissements, me demande : - Tu aimes ? images similaires Je la rassure : - Quand je vois le plaisir que tu prends, oui ! Puis elle tourne la tête vers David : - Quelle couleur ? - ... ? - La bille ! - Ah ! Pardon... Han... Tu as empoché la verte. Mmmmm... Il faut d'abord faire une autre... Han... une autre bille rouge avant d'empocher la marron. Mmmmm... Sophie attrape la queue, mais David accélère la cadence de sa pénétration. Hugo rigole : - Tu vas devoir choisir sur quelle queue tu te concentres, Sophie. Sophie nous regarde et rigole entre deux gémissements : - Et ce ne sont pas les queues qui manquent ce soir... Regardant Hugo et Alain, je me rends compte que nous sommes tous les trois en train de nous masturber en la regardant se faire prendre en levrette par David. images similaires David continue à la prendre avec vaillance. Nous sommes fascinés de pouvoir voir un tel spectacle. Je vois aux grimaces discrètes de Sophie qu'elle est sur le point de jouir. David doit le sentir aussi. Les mains agrippées aux hanches de Sophie, il imprime une cadence soutenue qui me laisse penser qu'il doit lui-même être assez proche de la jouissance. Et puis Sophie atteint le point de non-retour. Elle se cambre, bouche ouverte, yeux fermés, perdue dans une autre dimension, une dimension de plaisir. Tout en elle trahit un orgasme extraordinaire : ces cris, seins hyper tendus et surtout les incroyables spasmes de son ventre et de ses cuisses. David est surpris par la violence de jouissance. Il s'immobilise et lâche la croupe de sa partenaire. images similaires Chercherait-il à se maîtriser ? Espère-t-il ne pas jouir lui-même ? Moi, rien qu'à voir le plaisir de Sophie, il ne me faudrait pas grand-chose pour que j'éjacule. David, il lui offre un orgasme hallucinant (et je suis franchement jaloux que ce ne soit pas moi qui aie pu lui donner autant de plaisir). Mais son regard change : de déterminé, il passe à une résignation amusée. Il saisit à nouveau les hanches encore vibrantes et reprend ses va-et-vient, alors que Sophie n'en finit pas de crier. images similaires Et puis, il se tend à son tour et s'immobilise. Sophie semble avoir un instant de surprise et cherche mon regard, l'air de dire : - Oups, mon chéri ! Je crois que ton collègue vient d'éjaculer en moi... Et de ce que je vois, c'est aussi ce que semble exprimer David. Quand il semble avoir terminé, David se retire et nous voyons tous une ultime giclée de sperme s'écouler de son membre encore palpitant. Alain ose un commentaire : - C'était dans les challenges, ça, l'éjaculation ? Sophie se défend maladroitement. - Ce... ce n'est pas du sperme, c'est ma cyprine... Mais quand elle se retourne pour reprendre son verre, nous pouvons tous constater qu'un liquide blanchâtre s'échappe de sa fente. images similaires Je trouve qu'elle exagère : - Non Sophie, on a tous vu que David a éjaculé. Ce n'est pas ta cyprine, ou du moins pas que ta cyprine. - Croyez ce que vous voulez... images similaires Je vois alors David se retourner et constate que, malgré son éjaculation, son sexe a à peine débandé. Il temporise lui aussi : - Au lieu de se chamailler pour savoir si oui ou non j'ai éjaculé, l'un de vous a-t-il vu si Sophie a empoché une rouge ? - Dans la mesure où elle n'a même pas pu se saisir de la queue, je suis certain que non. - Alors j'ai droit à une faveur puisque je l'ai empêchée de jouer ? Hugo se manifeste, trouvant cela injuste : - Tu as déjà eu une faveur, non ? Mais Sophie semble retrouver de l'entrain : - Il a réussi à me perturber. Je n'ai pas rentré de bille rouge. Il a gagné. Il a le droit à sa récompense ! C'est la règle ! Aucune dérogation. Et avant qu'on ait le temps de discuter de la situation, Sophie est déjà penchée pour se saisir de la colonne de chair avec l'intention manifeste de la porter à sa bouche. images similaires Sophie se met à lécher le sexe de David comme s'il s'agissait d'une glace. Je trouve stupéfiant qu'elle puisse faire cela aussi naturellement. Est-ce l'alcool qui la désinhibe ? Est-ce l'alcool qui m'empêche moi-même de freiner cette frénésie sexuelle ? Peut-être, mais c'est surtout l'excitation. Et je ne suis pas le dernier à bander en la voyant lécher la queue de mon collègue. images similaires Hugo me dit : - Elle est incroyable, ta femme, Gilles... - Je t'avoue que je découvre moi aussi une nouvelle Sophie, cette semaine. Sophie nous a entendus et me regarde, alors que ces lèvres atteignent le gland palpitant. Son regard me demande-t-il l'autorisation de prendre complètement en bouche ce pieu gigantesque ? Je lui fais un sourire. Elle répond à mon sourire, puis tourne son regard vers David : - Allons-y... Ses lèvres s'ouvrent en grand pour engloutir l'énorme colosse. images similaires Ma pauvre Sophie n'a pas une bouche assez grande pour sucer très loin cette colonne de chair, mais je vois au visage de David qu'elle doit faire intervenir sa langue. David a les yeux mi-clos, la bouche entrouverte et il ahane bruyamment. Alain se moque de lui : - Attention, David, tu vas commencer à baver... Sophie nous regarde, de toute évidence pas gênée d'avoir des spectateurs. images similaires Et puis David lâche un profond : - Haaaaaaaaaannnn... Et Sophie plonge sur l'énorme queue alors que nous pouvons tous voir la colonne se déformer au passage des montées de sperme. Même si David a sans doute déjà éjaculé il y a moins de cinq minutes, on a pu compter une bonne dizaine de giclées. Sophie semble tout encaisser. images similaires Quand David rouvre les yeux, on se doute qu'il a terminé. Je vois Sophie déglutir plusieurs fois, sans doute que sa bouche était saturée. Quand elle se redresse, du sperme s'écoule d'entre ses lèvres sur son menton. Elle nous sourit : - Vous voyez ? Il n'avait pas éjaculé, tout à l'heure... Nous sommes dubitatifs et Alain l'exprime : - Je crois surtout que David a beaucoup de ressources. En me regardant plus spécifiquement, Sophie nous demande : - Seriez-vous jaloux ? Je lui souris et je lui mens : - Un petit peu quand même... - Alors tu vas pouvoir te venger puisque c'est à tour d'être mon perturbateur. Sophie prend la queue et se met en position devant la table. J'admire la pose car j'ai l'impression qu'elle commence à bien maîtriser. - Hey ! Attends-moi avant de jouer ! - Viens me perturber tout de suite, sinon je joue. Souhaite-t-elle que je la pénètre ? Que j'enfonce mon sexe là où vient d'éjaculer David, là où est passé aussi Hugo ? - Alors ? Comment vas-tu me perturber ? - Je ne sais pas encore... - Tant pis pour toi. Je veux prendre mon temps et je commence par frotter mon gland contre son anus. images similaires Elle frémit, mais ne me laisse pas l'opportunité d'aller plus loin, car elle tire. Et la bille de choc percute une bille rouge qui part rejoindre un angle et tombe dans un trou. Le point est empoché. Elle se redresse et tourne la tête vers mon visage : - Tu as été trop long... Je ne pouvais pas attendre. - Attendre quoi ? - Je voulais que tu me pénètres, toi aussi. - Mais je l'aurais peut-être fait. - Tu m'as dit ne pas savoir... J'ai opté pour une stratégie offensive. - Offensive ? S'étonne Alain. - Oui. Comme j'ai empoché la rouge, je peux faire de lui ce que je veux. - Et quelle est ton idée ? - Tu vas voir... Elle vient se coller à moi, son ventre contre le mien, ses seins contre mon torse, sa bouche contre la mienne. Elle me serre dans ses bras et, rien que ça, c'est le paradis. Quand elle interrompt son baiser, c'est pour me murmurer à l'oreille : - Soulève-moi et prends-moi, debout devant tes collègues... L'esprit embrumé tant par l'alcool que par l'excitation, je m'exécute : je la soulève et elle enserre mes hanches avec ses cuisses. Lentement, je la fais redescendre pour qu'elle s'empale sur mon érection. La pénétration est directe et franche. Je prends conscience de ne pas être le premier à passer et David y a en plus laissé un peu de sa liqueur. Je commence à faire aller et venir Sophie en la maintenant par les cuisses. Ses yeux semblent m'exprimer son plaisir infini à faire l'amour ainsi avec moi. Ni l'un ni l'autre ne sommes gênés par la présence des autres. - Oh Gilles... Aaaaaaah... Accrochée à mon cou, elle reprend son baiser. images similaires Mes collègues semblent admirer notre prestation. J'entends David commenter : - Les copains, j'ai l'impression que la soirée n'est pas terminée et que la petite Sophie a encore envie de découvrir plein de choses nouvelles. Je ne sais pas à quelles choses nouvelles il pense, mais les érections de trois gars me laissent imaginer de nombreuses possibilités. Soudain, Sophie se tend et je dois la maintenir fermement pour qu'elle ne m'échappe pas. Son orgasme est là. - Ooooooh, Gilles ! Aaaaaaaaaah... Je ressens les contractions de son plaisir sur chaque parcelle de mon sexe et la concentration que cela me demande pour ne pas éjaculer tout de suite est presque une torture. images similaires Elle met un peu de temps à revenir parmi nous et je la redépose doucement au sol. Je suis assez fier d'avoir pu lui donner un orgasme sans éjaculer moi-même. - Oh, mon chéri ! C'était divin. Tu veux que je te finisse. - Pas nécessairement, sinon ce ne serait pas vraiment un gage... - Va dire ça à David qui s'est répandu généreusement dans ma bouche. Nous nous embrassons à nouveau. Sophie interrompt son baiser en sentant une présence derrière elle : Hugo vient de nous rejoindre, il lui murmure à l'oreille : - C'est à mon tour d'être ton perturbateur... - Ah oui ? La partie continue ? David rigole : - Comme ce n'est pas une vraie partie, puisque tu joues seule, ce sera à toi de décider quand tu voudras arrêter. Sophie se met en position devant la table : - D'accord. Je suis prête à tenter encore quelques coups... Hugo rigole : - Héhé, fais attention à ce que tu dis... Le jeune homme est déjà bien excité, le sexe au garde-à-vous et personne ne se fait d'illusion sur la manière dont il va essayer de perturber ma Sophie. Toujours cambrée, Sophie tourne la tête et rigole : - Tu sais, avec le billard... entre les queues et les trous, il n'y a pas à se forcer pour être graveleux... - Cela n'en demeure pas moins excitant de t'entendre t'exprimer ainsi. - Alors, si cela t'excite, viens donc me perturber bien profondément ! - Avec joie ! Hugo la pénètre sans rencontrer la moindre résistance. Comme j'ai pu le constater moi-même juste avant, le passage est accueillant. Sophie poursuit sur l'humour potache : - Mmmm, c'est un plaisir de sentir ta joie me pénétrer ainsi... Quand je vois le sexe de mon collègue aller et venir dans le sexe de femme, je me rends compte que Hugo est aussi plutôt bien doté par la nature. Certes, son sexe n'atteint pas les proportions hors-normes de celui de David, mais il est probablement aussi gros que le mien. Je me dis que ma douce Sophie a bien de la chance de pouvoir profiter ainsi de quatre mecs bien membrés et qu'elle se souviendra longtemps de cette partie de billard. Sophie gémit de plaisir, mais elle parvient pourtant à saisir la queue et à se mettre en position pour tirer. Elle n'a pas demandé la couleur suivante, mais elle doit se souvenir de ce que lui avait dit David au coup précédent, car elle semble viser la bille marron. Elle parvient à tirer et à toucher la bille marron, mais le coup manque d'un peu de force et la bille s'immobilise à un centimètre du trou. Elle lâche la queue tandis que Hugo lui attrape les bras pour la forcer à se cambrer un peu plus. Je la sens à deux doigts de l'orgasme, pourtant le coup n'était pas encore perdu. Les coups de boutoir que lui assène Hugo font bouger la table et, peu à peu, la bille marron s'approche du trou pour finalement y tomber. Alain rigole : - Ahah ! C'est ta vigueur, Hugo, qui aura permis à Sophie de marquer ce point. Hugo s'immobilise alors. Est-il vexé de ce point qu'il lui a fait gagner ? Non ! Nous le voyons sortir soudain son sexe et se mettre à éjaculer sur les fesses de Sophie. David le chambre : - Beh, mon salaud, tu lui en as mis partout ! Je vois Hugo lui jeter un regard noir avec, j'imagine, l'envie de répliquer que ce n'est pas pire que lui qui a tout lâché en elle. Mais comme il n'a pas encore retrouvé tous ses esprits et qu'il n'y a sans doute pas de manière élégante de répliquer, il se contente de regarder le dos de Sophie maculé de sperme : - Désolé, Sophie... - Ne t'en fais pas. Le principal, c'est qu'il n'y en ait pas sur le tapis du billard. Elle se redresse et s'appuie à lui, frottant doucement ses fesses poisseuses de sperme contre le sexe de Hugo. - Je vais avoir du mal à débander si tu continues... - Qui a dit que l'un de vous devait débander ? Il l'enserre dans ses bras et en profite pour lui caresser les seins. Pour David, Alain et moi, c'est sûr qu'aucun de nous trois n'a débandé. Je n'en reviens pas qu'elle ait exprimé ainsi son fantasme. Elle se retourne face à Hugo et lui sourit : - La bille marron est rentrée. J'ai le droit de te mettre un gage. Elle s'agenouille devant lui et me regarde alors qu'elle commence à lui lécher les couilles. images similaires Mais d'où sort-elle toutes ces idées ? Quand je pense que je peux compter sur les doigts d'une main le nombre de fellations qu'elle m'a faites jusqu'à présent, alors qu'elle en a peut-être fait tout autant rien que ce soir ! Et pourtant, je ne regrette rien. Quel plaisir de la découvrir ainsi ! Elle lèche le membre tendu de Hugo. Celui-ci semble retenir sa respiration et se demande sans doute si elle ira jusqu'au bout comme avec David. images similaires Son jeu de langue finit par remonter jusqu'au gland gonflé. Elle l'enserre entre ses lèvres et commence à le sucer doucement. David ne peut s'empêcher d'exprimer la comparaison qu'il fait entre Hugo et lui : - Celle-ci doit être moins difficile à prendre en bouche, n'est-ce pas Sophie ? Ma femme ne répond pas à l'arrogant et poursuit sa fellation. images similaires Pourtant, elle tourne la tête vers nous et s'attarde plus particulièrement sur David qui se masturbe lentement en la regardant. Elle interrompt son ouvrage pour lui dire : - Peut-être que Hugo ne verra pas d'objection à ce que tu viennes le rejoindre ? - Je te remercie, mais je me réserve pour être au top pour te perturber... - Qui te dit que je vais continuer à jouer encore assez longtemps ? - Je prends le risque. Alain s'avance alors : - Puisque ce goujat refuse l'invitation, si elle tient pour moi, je suis partant. Sophie lui sourit : - Tu es le bienvenu, évidemment. Alain vient donc les rejoindre et Sophie attrape aussitôt son érection. David observe en souriant et me dit : - Grave erreur stratégique... J'avoue que je ne comprends pas. Ce qui est certain, c'est que Sophie suce Alain en regardant David, manifestement pour lui faire regretter d'avoir passé son tour. Je la trouve délicieuse à prendre cet air de défi. C'est comme si elle était en train de sucer les deux garçons, non pas pour leur plaisir, mais davantage pour exciter ceux qui ne se font pas sucer. Et elle alterne les deux queues, passant de Hugo à Alain et de Alain à Hugo, tout en masturbant celui qui n'a pas l'honneur de sa douce bouche. images similaires La coquine sait bien gérer son affaire. En quelques minutes, elle amène les deux garçons à éjaculer, presque de manière synchrone. Dans un concert de râles de plaisir, Sophie les fait gicler un peu sur son visage, et surtout sur sa poitrine, toujours sans quitter David des yeux. Sans les regarder, elle félicite Hugo et Alain. - Bravo, les garçons. Vous avez été généreux. images similaires Elle se relève et étale le sperme sur son visage et sur ses seins, comme si cela pouvait suffire à le faire disparaître. Elle se tourne vers le billard et invite Alain à la rejoindre : - C'est à ton tour, non ? Alain semble embêté. Encore essoufflé, il répond : - Là, ça va être compliqué... Je passe mon tour. David me fait un clin d'œil : - Tu vois, erreur stratégique ! Puis il se tourne vers Sophie et se propose de prendre le tour d'Alain : - Moi, je suis d'attaque, Sophie. Sophie se mord la lèvre, et je vois à son sourire qu'elle se retient de manifester son enthousiasme. - Si tu es partant. Allons-y. Perturbe-moi fort. - Tu devrais t'en souvenir pour longtemps... David vient la rejoindre et pénètre la croupe cambrée de ma Sophie. Sophie pousse un profond gémissement de plaisir. - Oooooooooh... Nul doute que David réussira à tenir sa promesse d'une levrette inoubliable. Son sexe a déjà été suffisamment visité ce soir pour qu'aucune résistance ne se fasse à la pénétration pourtant conséquente du sexe de David. Je m'amuse à chambrer David : - Tu aurais pu lui laisser le temps de prendre la queue. Évidemment, il me rétorque en rigolant : - Elle en a déjà une qui semble la combler... Et il faut bien reconnaître que Sophie donne déjà l'impression d'être au bord de la jouissance alors que David ne la prend en levrette que depuis quelques secondes. Elle se retourne pour lui dire : - David... Elle est si grosse... Il lui répond fièrement : - Eh oui, ma belle ! Je suis quelqu'un de généreux... Cela provoque l'hilarité d'Alain et Hugo. Pour ma part, je pourrais commencer à apprécier moyennement que ma femme porte autant d'intérêt à la taille du sexe, mais je dois avouer que cela m'excite terriblement de la voir prendre autant de plaisir. Ses gémissements sont de plus en plus forts. Ils deviennent peu à peu des cris et ses cris sont de plus en plus violents. - Aaaah ! Oooooooh ! Aaaaaaaah ! Oooooooooooooooh... Et l'orgasme arrive alors, puissant et divin. Tout son corps est secoué de spasme et elle tomberait sans doute si David ne la maintenait pas fermement. David s'immobilise et se penche sur elle. Je sais immédiatement ce que cela signifie. Avec un râle étouffé, il est en train de jouir et il remplit de sa semence le sexe de ma femme. Et j'imagine son éjaculation abondante. Je me demande si chaque couinement de Sophie espacé de deux secondes ne correspond pas à chaque giclée de sperme qu'il propulse en elle. Quand il se retire, Sophie reste penchée sur le billard. Alain, qui s'est décalé derrière, s'exclame : - Oh putain, la vache ! Hugo et moi venons le rejoindre pour constater qu'un flot de sperme s'échappe de sa fente béante. Cette fois-ci, ni David, ni Sophie ne peut nous faire croire qu'il s'agit de cyprine. David s'est affalé dans un fauteuil, la queue pendante, enfin rassasiée. Sophie met quelques minutes à reprendre ses esprits, alors qu'on reste, Alain, Hugo et moi, comme des cons, à regarder, fascinés, le sperme de David s'écouler de sa moule. Puis, elle se redresse et, très naturellement, elle nous dit : - Bon, c'était sympa cette partie de billard, mais là, je crois qu'on va arrêter... Nous sommes bien sûr tous les trois déçus, mais c'est Alain qui a la présence d'esprit de rappeler les règles établies : - Sauf qu'il a réussi à te perturber, donc tu lui dois une faveur... - Mais je n'en peux plus moi ! Vraiment ? Vous y tenez ? - Oui ! Répondons nous tous les trois d'une seule voix. Et c'est David qui lui supplie de l'épargner : - Pitié, Sophie, je n'en peux plus... Je n'ai même plus la force d'aller me doucher... Sophie sourit. Elle prend un verre et s'approche de David. Elle s'agenouille entre ses cuisses et saisit son sexe pour le plonger dans son verre d'alcool : - Pas besoin de douche. Je me charge de le nettoyer avec les moyens du bord. Curieusement, David ne lui demande pas pitié à nouveau. Ni quand elle relève sa queue et se met à le lécher sur toute la longueur. Et là, l'impensable se produit. Nous pensions tous que David était arrivé au bout et qu'il débanderait complètement, retrouvant un sexe aux proportions moins monstrueuses, mais la dextérité de la langue de Sophie parvient à faire reprendre une forme olympique au sexe de mon collègue. Je me demande si elle est capable de refaire éjaculer David. Je n'aurais pas la réponse car celui-ci s'écarte de ma femme en lui disant poliment : - Merci Sophie. C'est très gentil, mais je pense que ça ira. Sophie se redresse : - Dommage, j'aurais voulu savoir si tu pouvais enchaîner... - Avec ce que je t'ai mis, tu pourrais estimer que c'est suffisant. Et nous constatons tous que le sperme qui s'échappe encore de sa moule illustre lui aussi la "générosité" de David. David prend son portable pour regarder l'heure : - Minuit... On a tous mérité de dormir. Sophie se précipite sur son téléphone : - Attendez les garçons ! J'aimerais quand même avoir un souvenir des collègues de mon mari. Est-ce que je peux vous prendre en photo tous les trois ? David rigole : - Bien sûr ! Je n'en reviens pas. Ma femme demande à avoir une photo de mes collègues à poils et ils accèdent à sa demande bien volontiers, posant en se tenant chacun le sexe. À peine a-t-elle immortalisé cette incroyable partie de billard, que Hugo va récupérer son téléphone et demande à Sophie : - Moi aussi, je peux garder un petit souvenir de cette soirée ? Sophie ne répond pas, mais se cambre pour prendre une pose mettant en valeur sa magnifique plastique. images similaires Hugo ne se prive pas pour shooter et semble ne pas se contenter d'une seule photo : - Merci Sophie. Tu es superbe ! - Oui, dit Alain. Tournant la tête, je me rends compte que chacun des trois lascars est en train de photographier ma femme en toute impunité. Sophie semble s'amuser à être ainsi le modèle de ces trois photographes amateurs. - Bon, les gars, ça suffit. Il est tard. On va se rentrer Gilles et moi. David pose alors son téléphone : - Il n'est pas question que qui que ce soit prenne sa voiture ce soir. Trop d'alcool. Gilles et Sophie, vous prenez ma chambre. Nous, on va dormir dans le salon sur le canapé et des matelas gonflables. - C'est hyper sympa, mais ça me gêne de te prendre ton lit. - T'inquiète, ça me fait plaisir. Allez, viens. Je te montre. - Non, mais garde ta chambre. On va dormir Gilles et moi sur le canapé ou sur un matelas gonflable. - Ce n'est pas négociable. Sophie essaye de s'extirper de l'emprise de David, mais celui-ci l'attrape par la taille et la hisse sur son épaule comme un balluchon et l'emmène vers la chambre. Sophie rigole de cette prise qui ne lui laisse pas le choix. Je rigole aussi : - Bah moi, je vais accepter ton offre David, car je ne tiens pas à ce que tu me déplaces comme ça sur ton épaule... Je les suis jusqu'à la chambre. David jette littéralement Sophie sur le lit et lui dit : - Hop ! Au dodo. Sophie, encore dans la position où elle s'est réceptionnée sur le lit, me demande : - Mon chéri, tu penses avoir encore un peu d'énergie pour moi ? images similaires

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