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Simon
1er février 2025
Téléphone 5c. Vendredi : nuit agitée


David n'en revient pas ! Et moi non plus. Alors qu'elle vient d'encaisser six orgasmes dans la soirée (si j'ai bien compté), elle en redemande. David me sourit et dit :
- Gilles, si tu es trop crevé, je peux m'occuper d'elle.
- Je n'en doute pas, David. Je vais m'en sortir, merci.
- Si vous avez besoin de moi, je suis à côté dans le salon.



David quitte la chambre en laissant la porte ouverte. Je vais vers la porte pour la fermer, mais Sophie me dit :
- Tu veux vraiment la fermer ?
- Bah, ce sera plus intime, non ?
- Je crois qu'on n'a plus grand-chose à cacher, si ?


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- Non, effectivement, mais là, je ne sais pas... Tu veux qu'ils se rincent l'œil ?
- Je t'avoue que c'était particulièrement excitant de te voir bander en me regardant me faire tripoter par les autres.
- Cela a été bien au-delà du simple tripotage.
- Et je n'ai pas eu l'impression que ça te déplaisait.


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- Difficile de cacher ses sentiments pour un mec quand notre bite nous trahit !
- Elle vous trahit superbement. En attendant, tu te sens d'attaque ?
- D'après toi ?



- J'aurais tendance à dire que oui...
- Et n'as pas eu ton compte ce soir ?
- En fait, j'ai surtout envie de toi et de toi seulement...
J'avoue que cela flatte mon ego et quand elle s'étend sur le lit, cuisses ouvertes et écartant de ses doigts les lèvres de son joli coquillage, je ne me pose plus de questions.


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Je m'approche, sexe tendu. Je sais que je peux la prendre ainsi, sans préambule. Elle est prête, mouillée et accueillante. Mais elle ne veut pas juste être baisée. Elle veut être baisée par moi, son mari. Et la différence est de taille. Je m'accroupis donc au bord du lit, entre ses cuisses et plonge ma bouche contre sa fente. Malgré le sperme (essentiellement celui de David, si je me souviens bien), c'est le parfum du nectar de Sophie qui domine. Ma langue se déchaîne sur son abricot et sur son petit bouton ultra-sensible. Cela ne semble pas l'embêter que je ne la pénètre pas tout de suite puisqu'elle pose la main sur ma tête pour m'encourager à continuer.



Je sens son plaisir monter. J'hésite à lui donner un orgasme, mais c'est à elle de décider. Et elle décide : elle place deux doigts sous mon menton et me fait relever la tête vers elle pour me soupirer :
- Vas-y maintenant...
Je me redresse. Je bande à tout rompre. Il va falloir que je me concentre si je veux que ça dure plus que deux minutes. Agenouillé entre ses cuisses, je plonge sans encombre ma tige dans son délicieux fourreau.


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Ma pénétration la fait soupirer d'aise :
- Ooooh Gilles...
C'est tellement bon de lui faire l'amour, mais je suis le seul des quatre gars à ne pas avoir encore éjaculé ce soir donc autant dire que la pression est incroyable. Je dois me concentrer pour ne pas me laisser aller au plaisir trop rapide.



Quand je pense que David a éjaculé trois fois ! Il en a bien profité, le bougre. Alain est le seul à ne l'avoir pas pénétrée, mais il a apparemment passé une très bonne soirée. Je tourne la tête vers la porte, m'attendant à voir les trois lascars, ou au moins un, en train de se rincer l'œil. Mais le couloir semble parfaitement vide. Ces réflexions et ces observations me font gagner du temps. Il est pourtant bien difficile de ne pas faire revenir mon esprit vers Sophie que tous mes sens appellent.



Ses seins gonflés, ses mamelons tendus, ses lèvres entrouvertes, son regard perdu dans un brouillard de plaisir, quelle splendeur ! Et cette perfection envahissant tous mes sens n'aide pas à ce que je garde le contrôle. En quelques secondes, je sens que tout bascule. Le plaisir ultime est là, mêlant en moi un double sentiment contradictoire de frustration et de félicité. Je me penche sur elle pour trouver sa bouche alors que je sens ma lance déverser un flot de plaisir en elle. Je m'envole.


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Pourtant elle n'a pas joui. Dans un effort surhumain, je me ressaisis et replie mes ailes. Malgré la vague de plaisir qui me submerge, je parviens à m'extirper de ce nirvana pour poursuivre mes assauts et tenter de l'amener avec moi au septième ciel. Et cela a payé. Je la sens vibrer, gémir. Puis elle est gagnée de soubresauts et se met à crier. Elle jouit tant qu'elle me fait tomber sur le côté, mais nous continuons.


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C'est un plaisir inouï que de partager ainsi tous les deux notre jouissance, en parfaite harmonie. Le temps est suspendu. Nous sommes au milieu des nuages, dans un cocon de doux coton, subissant pourtant une légère brise fraîche due à la transpiration de nos corps. Épuisés et comblés, nous nous endormons tous les deux, encore enlacés.



Quelle heure est-il ? C'est mon sexe qui me réveille. Il était bien au chaud, lové contre le flanc de ma bien-aimée et il se retrouve comme nu. J'entrouvre un œil et, dans mon demi-sommeil, je vois Sophie à quatre pattes à côté de moi qui me sourit :
- Je dois aller faire pipi...



Elle se lève, puis me demande tout bas :
- Tu sais où sont les toilettes ?
- Heu, je crois qu'il faut traverser le salon. C'est la porte en face de la salle de bain. Tu veux que je t'accompagne ?
- Pourquoi ? Tu as peur que je me perde en chemin ?



Quand elle sort, je me lève pour la suivre. Pourquoi ? Pas pour l'espionner, mais pour voir si un des garçons la verrait passer et si elle n'allait pas succomber aux plaisirs charnels dans d'autres bras. Elle prend effectivement son temps pour traverser le salon. Il faut dire que si mes trois collègues dorment à poil, le spectacle ne doit pas être désagréable. Et elle semble effectivement très satisfaite de ce qu'elle voit.



En passant, grâce à la lumière du couloir, elle prend le temps d'admirer chacun des garçons. Cela m'amuse, car, si j'étais dans une situation similaire, à savoir traverser une chambre où se trouveraient trois jeune filles endormies, nul doute que j'en profiterais aussi pour me rincer l'œil. Alain et David dorment chacun sur un matelas installé de part et d'autre du canapé où dort Hugo. Alain est sur le dos, cuisses écartées, exhibant son sexe légèrement gonflé.


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Cela semble amuser Sophie de voir cette virilité au repos. Elle s'approche ensuite du canapé où dort Hugo. Lui aussi dort sur le dos et expose son sexe qui semble tout aussi endormi que lui.



Quand elle arrive au second matelas, qui accueille David, le spectacle est un peu différent. Il dort sur le ventre et offre donc à Sophie le spectacle charmant de ses fesses nues et musclées. Sophie semble apprécier aussi ce point de vue, car elle reste quelques minutes à l'observer.



Quand elle décide enfin que sa séance de voyeurisme a assez duré, elle va aux toilettes. Je reste dans l'ombre du couloir, attendant son retour, espérant qu'il se passera quelque chose quand elle retraversera le salon. Je souris en pensant que je fais moi-même du voyeurisme en observant une voyeuse. Y'aurait-il quelqu'un quelque part en train de m'observer moi-même ? Quand j'entends la porte des toilettes se rouvrir, je me recule dans la chambre en observant par l'entrebâillement de la porte. Sophie revient, passant devant mes collègues endormis, mais, avant d'atteindre le couloir, elle s'arrête et jette un dernier coup d'œil en arrière.



Son attention a été attirée par un mouvement. David vient de se retourner. Je peux le voir depuis ma cachette et le spectacle est ahurissant : malgré son sommeil, David affiche encore une érection colossale. Son sexe se dresse, telle une colonne de chair, comme si mon collègue était atteint de priapisme.


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Je ne suis pas vraiment étonné de voir Sophie faire demi-tour et revenir dans le salon pour admirer cette œuvre hors du commun. Mais comment David peut-il bander autant et aussi souvent ? Prendrait-il des médicaments ou bien serait-il en train de faire des rêves érotiques ? C'est en tout cas, amusant de voir que Sophie reste ébahie devant le phénomène et qu'elle doit être en train d'imaginer les multiples usages qu'elle pourrait faire de ce bel instrument.


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Un autre bruissement sur la gauche lui fait tourner la tête. Hugo semble réveillé et se redresse dans le canapé, se cachant pudiquement l'entrejambe avec une main. Il chuchote :
- Sophie ? Tu ne dors pas ?
Sophie ne lui répond pas. Elle veut surtout lui faire partager sa surprise :
- Tu as vu que David bande en dormant ?
- Et ça t'étonne ?



- Bah, à ce point-là, ce n'est quand même pas ordinaire...
- Moi ça ne m'étonne pas. Avec la soirée qu'on a passée, il doit faire un rêve érotique.
- Ah oui ? Tu crois qu'il pense à moi ?


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- Sophie, on pense tous à toi.
- Même toi ?
- Même moi...
Hugo retire sa main et laisse apparaître une belle érection.



Sophie est subjuguée :
- Mince ! C'est dingue que vous bandiez comme ça aussi facilement !
- Ce n'est pas le cas habituellement, mais il faut croire que tu es particulièrement excitante.
Sophie est troublée.
- C'est vrai ?... Tu me trouves excitante ?



Là, je connais suffisamment Sophie pour savoir qu'elle joue les ingénues et qu'elle souhaite juste susciter les compliments.
- Évidemment ! Tu es magnifique. Et le sexe d'un homme parle pour lui, sans contrainte. Si je bande, c'est que je te désire.
Hugo porte une main entre ses cuisses, se caressant les testicules.



Comme cela est parti, je ne me fais que peu d'illusions sur la suite de cette conversation. Sophie veut quand même s'assurer des intentions de Hugo :
- Tu n'as pas eu ton compte, hier soir ?
- Hier soir, c'était parfait. Mais cette nuit, nous pouvons jouer à autre chose qu'au billard...
- Tu n'as pas peur que ça réveille les autres ?



La question de Sophie montre qu'elle a très envie de Hugo et que la chose se fera d'une manière ou d'une autre. Hugo inspecte ses deux collègues :
- Ils dorment à poings fermés.
- Ok...
L'argument semble suffisant. Hugo se redresse pour s'asseoir dans le canapé. Sophie le rejoint et l'enjambe pour le chevaucher. Quelques secondes après je vois le gland de Hugo pénétrer le sexe de ma femme.


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Si jusque-là j'avais le sexe légèrement gonflé par l'excitation de la situation, ce que je vois achève de me faire bander totalement. Nous ne sommes plus dans les dérives érotiques d'un jeu coquin autour d'une table de billard. Sophie se donne à mon collègue et elle monte et descend sur son dard en gémissant tandis qu'il en profite pour lui caresser à pleines mains sa splendide poitrine.


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Pourquoi suis-je aussi excité ? Pourquoi est-ce que je laisse faire alors que Sophie me trompe avec un collègue ? D'accord, ils l'ont déjà pénétrée hier (quoique je ne suis pas sûr qu'Alain ait eu cette occasion), mais j'étais présent. Alors que là, ils ne savent pas que je suis à les observer. Sophie me trompe-t-elle sciemment ? Je devrais être malade de jalousie, mais au lieu de ça je bande comme un âne en regardant la vulve de ma femme monter et descendre lentement sur la tige de Hugo.


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Et même si le bougre n'est pas mieux monté que moi, il faut bien avouer qu'il parvient à faire grimper Sophie au rideau. Peut-être est-elle aussi particulièrement excitée avec toutes ces bites qu'elle a vues et manipulées depuis hier soir. Toujours est-il que les gémissements étouffés se transforment rapidement en petits glapissements qu'elle ne parvient pas à retenir quand l'orgasme la gagne.


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Bien sûr, je constate que cela finit par sortir Alain et David du sommeil. Réveillés et de bonne humeur, si j'en crois les sourires affichés sur leur visage, les deux hommes se redressent et admirent la fin de cette chevauchée nocturne, alors que Hugo semble être en train d'éjaculer en Sophie tout en lui pétrissant les seins. Ayant entendu du bruit derrière elle, Sophie se retourne vers David.


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Celui-ci se lève :
- Voilà une visite bien agréable, Sophie. Gilles est trop fatigué pour combler tes besoins ?
- Gilles m'a très bien fait l'amour. Avec Hugo, je... je n'aurais pas dû.
- Mais tu l'as fait. Et moi j'avoue que ça me donne envie aussi, surtout quand je vois ton petit anus frétillant.



- Là, tu peux toujours rêver.
Ouf ! Sophie n'est pas assoiffée de sexe à ce point et j'espère qu'elle me réservera la découverte de la sodomie. David revient pourtant à la charge :
- Hier soir, il me faisait déjà de l'œil et j'ai cru voir que ça te faisait réagir positivement quand Alain t'a léché ou quand il t'a doigté la rondelle.
- Désolée, mais ça, je ne pratique pas.


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Elle se dégage de Hugo et le laisse se relever. David lui dit :
- Dommage, je suis certain que tu adorerais.
- Sans doute, mais ce n'est pas à toi de décider de ce que je veux pratiquer.
- Un si joli cul, c'est gâché.
- Oh, mais si c'est juste pour admirer les qualités esthétiques de mon séant, ça ne me dérange pas que tu te rinces l'œil.
Sophie s'appuie au dossier du canapé et se cambre, exposant sa croupe.



Je suis une fois de plus surpris qu'elle se montre non seulement impudique, mais même exhibitionniste. Mes collègues semblent croire qu'elle a toujours été comme ça, mais moi je sais que tout cela ne date que de quelques jours. David s'approche :
- Si on peut admirer à loisir, j'en profite. Ah ! Je crois que tu as un peu de sperme de Hugo qui coule...



Sophie se retourne et porte la main entre ses cuisses :
- Oups, c'est vrai...
- Bon, tu ne pratiques pas la sodomie, mais je peux bénéficier de ce que tu pratiques, non ?
- Tu penses à quoi ?


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David s'allonge dans le canapé et masturbe lentement son sexe :
- Mmmmm, ce serait trop long de t'expliquer tout ce à quoi je pense en ce moment en ce qui te concerne. Dis-moi, toi, ce qui te ferait plaisir.
Vu la manière dont il manipule son énorme sexe, Sophie doit bien se douter de ce qu'il espère.



Je pensais qu'elle allait profiter de ce colosse de chair, mais elle se contente de lui dire :
- Ce qui me ferait plaisir, c'est de retourner dormir avec Gilles.
- Allons, tu ne peux pas me laisser comme ça. Tu n'as aucune pitié ?
Sophie semble réfléchir un peu. Serait-elle tiraillée entre son désir pour ce sexe hors norme et le fait de rabrouer mon collègue qui se montre particulièrement grossier ?



- T'es chiant, David !
Malgré sa contestation, Sophie vient le rejoindre et s'agenouille à côté de lui sur le canapé. Elle saisit le membre dressé et se penche dessus pour le lécher.



David ne se prive pas de se vanter de la situation auprès des deux autres :
- Vous voyez, les gars ? Elle ne peut pas résister à une grosse queue.
Sophie devrait l'abandonner à son sort, mais son désir de profiter de cette tige à plaisir est sans doute plus grand que le dégoût inspiré par les réflexions de ce goujat.


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Sophie a engouffré le gland dans sa bouche. Elle commence à monter et descendre sur le membre turgescent. Quand j'entends David grogner et poser sa main sur sa nuque pour la forcer à plonger plus loin sur sa queue, je crains qu'il ne soit arrivé au bout et qu'il ne se mette à éjaculer dans la bouche de ma femme sans lui laisser d'autres choix que d'avaler.


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Cela ne semble heureusement pas être le cas et je le vois d'ailleurs retirer sa main, laissant Sophie libre de gérer sa fellation. Je constate que Sophie regarde souvent dans ma direction, et je suis convaincu qu'elle m'a repéré. Elle sait donc que je la regarde. Drôle de sensation de voir ma femme sucer l'énorme queue de mon collègue tout en me regardant.



Soudain, elle se redresse et lui dit :
- Voilà.
- Quoi ? Tu ne peux pas me laisser comme ça. C'est de la torture !
- Moi, ça ira, merci. Si tu veux, tu peux te palucher dans la douche.
- Ah non, dans l'état où tu m'as mis, je devrais avoir le droit de te sodomiser !



Sophie fait un pas en arrière, comme si elle était apeurée par cette proposition :
- Tu es fou ! Regarde la taille de ton engin.
- Allons, avec un peu de préparation, je sais que je te ferais bouffer la moquette tellement tu prendras ton pied.
- N'insiste pas. Tu es beaucoup trop gros.



Alain, qui était resté discret jusqu'à présent, se manifeste :
- Moi, je suis beaucoup moins gros et je n'exigerais pas de te sodomiser.
Sophie le regarde. Il affiche une érection plus que raisonnable et cela amuse Sophie :
- Voilà un homme qui sait parler aux femmes.
- Disons que je suis surtout opportuniste...



Sophie se dirige vers lui :
- Dans ce cas, je vais aussi être opportuniste et je vais essayer cette jolie queue.
- Effectivement, hier soir, tu ne l'as que prise en bouche...
Elle semble d'accord pour réparer cette injustice et vint s'empaler sur sa tige en lui tournant le dos.



Dans cette position elle me permet de bien voir le sexe de mon collègue s'enfoncer lentement en elle. Alain gémit de plaisir :
- Mmmmm, j'adore l'opportunisme...
Alors qu'elle descend peu à peu sur le membre palpitant, Sophie semble regarder dans ma direction.


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J'espère qu'elle n'attend pas de moi que j'intervienne, car je suis beaucoup trop captivé par sa merveilleuse silhouette qui commence à monter et descendre en faisant joliment bouger ses seins. D'ailleurs cette position, je ne suis pas le seul à en profiter car, comme moi, Hugo et David semblent en extase devant ce spectacle.


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Alain lui écarte les cuisses et la soulève pour la faire coulisser lui-même sur sa queue. Sophie lui demande :
- Alors ? Oooooh... Tu aimes ?... Aaaaah...
- Han... J'adore... Ahhhhh...
Même si Alain n'est pas aussi bien monté que David, cette pénétration semble parfaitement convenir à ma femme.


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David commente :
- Faudra qu'on organise plus souvent ce genre de soirée. Elle en a besoin, la petite.
Hugo, lui, ne commente pas. Il monte sur le canapé et vient présenter son érection à la jeune femme pour se faire sucer. Elle ne semble pas vouloir lui refuser et, malgré une position apparemment inconfortable, elle gobe le sexe offert. Elle est si excitée que ses mamelons sont tendus à l'extrême. Cela n'a pas échappé à Hugo qui s'amuse à lui pincer gentiment les tétons.


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- Ooooh !!!
Je suis surpris par le cri de Sophie. Elle-même est surprise. Occupés par la fellation qui commençait, nous n'avons pas fait attention que Alain a profité de cette distraction pour faire passer sa tige dans l'autre orifice, celui qu'elle refusait à David. Et force est de constater que le sexe de Hugo ne semble pas lui faire peur, car elle le laisse la pénétrer lentement.


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Alain donne des petits coups de reins et, à chaque assaut, je vois son sexe s'enfoncer chaque fois un peu plus dans le fondement de ma femme. Elle se rejette en arrière et nous voyons tous sa moule béante et trempée de mouille. Alors, ça y est ? Elle vient de découvrir la sodomie et ce n'est pas moi qui l'aurai initiée. Je devrais être en colère, mais ses gémissements ne me trompent pas : elle prend du plaisir.


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Comment font David et Hugo pour ne pas succomber à cette moule, venir la rejoindre pour la sucer voire même la pénétrer. Être prise par deux hommes serait à nouveau une première pour elle, mais je ne pense pas que les garçons comptent se restreindre à ne lui faire découvrir qu'une seule nouvelle pratique ce soir. Alain s'immobilise. Il reste emmanché en elle sans bouger, quelques secondes, lui caressant les seins. Essoufflée, elle lui demande :
- Tu... tu veux arrêter ?
- Non, je dois me calmer si je ne veux pas éjaculer tout de suite.



- Tant pis, ne t'arrête pas !
Et elle se met à onduler du bassin pour coulisser sur le membre immobile. Elle glisse même sa main jusqu'à sa fente pour y faire pénétrer deux doigts. Comment peut-elle être autant assoiffée de sexe ?


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Hugo et David se regardent et semblent hésiter : lequel des deux va aller remplacer ces deux doigts par une virilité plus efficace. Hugo dégaine le premier. Il retourne se mettre debout sur le canapé et présente son sexe devant la bouche de Sophie qui ahane de plaisir.


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Sophie le suce quelques secondes puis lui dit :
- Aaaah, c'est bon... Oooooh... Tu bandes assez... Oooooh....
Assez pour quoi faire ? Est-ce qu'elle vient elle-même de lui demander à venir la prendre en sandwich ? Mince, je n'aurais pas cru qu'elle le demanderait elle-même ! En tout cas, Hugo répond positivement à sa requête et vient glisser son membre dressé dans son fruit juteux.



Mince ! Encore une fois, elle découvre une nouvelle pratique à laquelle je ne participe même pas ! Et pourtant, je bande à tout rompre et je me retiens de me masturber, car je sais que sinon j'éjaculerais aussitôt tant l'excitation est grande. Quand son nouveau partenaire commence à bouger, elle hurle de plaisir.


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Bon sang ! Quel orgasme incroyable ! Je sens mon sexe battre et je me garde d'y toucher de peur que cela ne suffise à le faire exploser. Même si je ne participe pas à cette jouissance, la voir ainsi prendre un tel pied me procure un plaisir inouï, comme si ma participation se suffisait à laisser mes collègues la faire jouir encore et encore.



Et je suis autant abasourdi par la puissance et la durée de cet orgasme que par mes collègues qui continuent à aller et venir en elle sans faillir. Comment peuvent-ils avoir une telle résistance alors que, moi, il suffirait d'un rien pour que j'ouvre les vannes à une effusion incontrôlable de sperme. Et pourtant, ils vont et viennent en elle, inlassables.



Hugo se retire. Je ne comprends pas, je suis certain qu'il n'a pas joui. Pourquoi abandonner alors que Sophie était en plein dans le plus bel orgasme qu'elle n'ait jamais connu ? Alain montre alors toute sa force. Gardant sa queue plantée dans l'anus de ma dulcinée, il la soulève pour se lever. Après un effort incroyable, il se tient debout et présente Sophie, cuisses écartées et moule offerte.


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Et là, je comprends la manœuvre : les deux lascars se sont sans doute entendus pour changer de position. Sophie semble se remettre seulement de son incroyable orgasme que Hugo revient se positionner devant elle et plonge d'un coup sa lame dans le fourreau brûlant, faisant partir derechef les cris de jouissance de Sophie.


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Mon Dieu ! Est-ce que ça va trop loin ? Ne vont-ils pas la tuer de plaisir ? Heureusement, debout, les garçons ont moins d'espace pour bouger et j'ai l'impression que l'orgasme s'atténue. David s'accroupit à côté du trio pour admirer les deux queues pénétrant les orifices de Sophie.
- C'est bien, les gars ! Elle va bientôt être prête pour m'accueillir.


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Les garçons s'arrêtent. Je vois Alain se contracter et je comprends à son expression qu'il est en train de se vider en elle. Hugo ne bouge plus non plus, mais ne semble pas être en train de venir. Peut-être sent-il les giclées de sperme propulsées par son copain. Sophie semble apprécier cette sensation et caresse la tête d'Alain pendant qu'il jouit.


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Après un moment durant lequel le trio reste emboîté, Alain se retire en disant :
- Incroyable ! Incroyable...
Moi-même j'ai du mal à croire que tout cela est bien réel. Sophie reste emmanchée sur Hugo et ses fesses écartées laissent échapper quelques gouttes du sperme d'Alain.



Ayant repris son souffle, Alain demande :
- Vous allez passer la nuit comme ça ?
Sophie répond :
- Hhhhh... Hugo n'a pas encore... Hhhhh... Il n'a pas joui...
Moi, quand je vois le visage d'Hugo, j'ai le sentiment qu'il se concentre pour ne surtout pas jouir comme s'il voulait profiter de Sophie encore et encore.



David intervient :
- Je crois que ce garçon a une résistance hors norme.
Sophie murmure à l'oreille de Hugo sans doute de la laisser descendre, car il la laisse remettre un pied au sol et commence à s'extraire lentement du doux fourreau.



- Attendez un peu ! On va finir en beauté !
Incrédule, je vois David venir se mettre derrière ma femme avant qu'elle ne se libère de l'emprise de Hugo et guider son énorme érection dans son anus, l'enfonçant d'une traite de plus de la moitié de sa longueur. Sophie crie, mais je ne suis pas certain que ce soit de douleur.


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J'hésite à intervenir pour stopper David, mais les cris suivants de ma femme ne laissent plus de doute. Elle a déjà un nouvel orgasme ! C'est totalement hallucinant ! J'ai alors une idée curieuse : pourquoi ne pas immortaliser cet instant unique ? Je retourne dans la chambre prendre mon téléphone portable et, restant dans l'ombre du couloir, je reviens pour prendre quelques photos.



Les garçons se déchainent ! Leurs râles se mêlent aux cris de Sophie qui sont particulièrement explicites :
- Oooooh ouiiii ! Ouiiiiii ! Ouiiiiii !
David doit être ravi de faire jouir ainsi ma femme.


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Puis les deux gars jouissent enfin, mêlant des râles puissants aux cris de plaisir de Sophie. Cet orgasme est encore plus fort que le précédent qu'elle a eu et quand je vois comment tout son corps vibre, je ne suis pas étonné que Hugo et David n'aient pas pu se retenir plus longtemps. C'est un spectacle incroyable : ma femme prise ainsi de spasmes alors que les couilles de ses deux bienfaiteurs se contractent à chaque seconde pour expulser leur liqueur dans ses entrailles.


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Mes photos seront floues... Je n'arrive pas à me calmer et puis... je viens. Je ne touche même pas à mon sexe et le voilà qui a décidé tout seul qu'il fallait libérer ce flot de sperme qui bouillonnait en moi depuis le réveil de mes collègues quand Sophie a traversé le salon. Plusieurs jets de sperme viennent s'écraser contre le mur à l'entrée du couloir.



Quand tout se calme enfin, Hugo et David relèvent Sophie. C'est impressionnant de voir ces deux colonnes de chair luisantes de sperme et de cyprine s'extraire des orifices de ma petite femme. Doucement, ils la reposent sur le matelas de David. Elle se met sur le ventre et nous voyons alors plein de sperme s'échapper de sa fente béante.



Les deux garçons s'affalent sur le canapé. Hugo regarde Sophie :
- Est-ce que ça va Sophie ? David ne t'a pas fait mal ?
David répond à sa place :
- Ne dis pas de connerie ! Tu as vu comment je l'ai fait gueuler ? Elle va en rêver pendant des années de ma queue et viendra rapidement me demander à lui remettre dans le...
- C'est bon, on a compris !
Je vois maintenant du sperme qui s'écoule de son anus. Ma tendre Sophie a pris cher.


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Alain prend un torchon dans la cuisine et vient essuyer doucement l'entrejambe de ma femme.
- David ? Tu m'aides à la ramener dans la chambre. Là, je crois qu'elle va pioncer un moment.
- Ouais, nous aussi... Attention à ne pas réveiller Gilles.
Je file dans la chambre et m'allonge dans une position simulant un sommeil profond. Ils allongent Sophie à côté de moi, puis repartent en refermant la porte.



Derrière la porte, je les entends murmurer :
- Putain, on a été trop loin. Pas un mot de tout ça à Gilles.
Sophie est déjà endormie. Complètement lessivé par cette soirée, je n'ai aucune peine à l'imiter.

Au petit matin, la lumière du jour me réveille. Sophie dort encore, superbe.



J'ai un instant de doute. Les événements de cette nuit, la partie de billard... Tout cela s'est-il réellement produit ou n'était-ce qu'un rêve ? Quand mes yeux s'habituent à la lumière, j'inspecte l'environnement et constate que nous ne sommes pas dans notre chambre. J'ai donc réellement vu Sophie se faire prendre par mes trois collègues... Je passe un doigt sur son épaule pour la réveiller. Sans doute encore trop fatiguée, elle se contente de pivoter pour me tourner le dos. J'ai alors sous les yeux le magnifique spectacle de sa croupe dénudée.



À voir ces deux charmants orifices qui ont été visités par les queues de mes trois collègues cette nuit, l'excitation reprend et je sens qu'une érection commence à poindre. Doucement j'avance ma main et la pose sur sa croupe. Sophie ne se réveille pas. Je descends ma main entre ses fesses et effleure son doux coquillage. Elle ne se réveille pas.



Je caresse ses cuisses, puis remonte à sa moule. J'y sens une légère humidité. Serait-elle en train de mouiller, déjà excitée par mes attouchements discrets ? Plus probablement, j'imagine qu'il peut s'agir de la sève de Hugo et David, puisqu'ils l'ont ramenée à la chambre sans qu'elle se soit douchée.



Quand je pense aux orgasmes qu'elle a eus cette nuit, pas étonnant qu'elle ait besoin de dormir encore. Et ce dernier orgasme ! Quelle apothéose ! Voilà que j'ai à nouveau une érection de tous les diables. En voyant sa croupe offerte, il me vient un instant l'idée de profiter de son sommeil pour la réveiller par une douce pénétration.



N'importe quoi ! Je chasse cette idée saugrenue. Mon aimée dort, ce n'est pas un objet sexuel dont je peux disposer librement. Pourtant, j'ai besoin d'elle. Il faut que l'on parle de ce qui est arrivé cette semaine, hier soir et cette nuit. Dans un souffle d'abord, je l'appelle :
- Sophie ?



Elle bouge. Je réitère en chuchotant :
- Sophie ? Mon amour...
Elle ouvre les yeux.



- Bonjour, ma chérie.
- Quelle heure est-il ?
- Pas loin de dix heures.
- On est où ?
- Dans la chambre de David. Tu ne te souviens pas ?
- Oh putain... si !



Elle semble gênée :
- Merde, je crois que je suis allée un peu loin avec tes collègues...
- Ne t'inquiète pas.
Je m'allonge, soupirant d'aise aux souvenirs de cette nuit.



Elle se redresse :
- Je sais que tu nous as vus cette nuit...
- Oui, j'ai vu tes regards.
- Pourquoi n'es-tu pas intervenu ?
- Parce que tes orgasmes étaient magnifiques.
- Espèce de pervers.
À quatre pattes, elle vient à moi et saisit mon sexe pour prendre le gland en bouche.



La fellation qu'elle me fait est divine. J'ai l'impression qu'elle a toujours fait ça :
- Oh ma chérie ! Ta bouche est un délice... C'est parce que je suis un pervers que tu m'offres une fellation ?
Elle redresse la tête :
- Non, parce que tu as été courageux de regarder ta femme prendre du bon temps avec tes trois collègues.
Elle replonge sur mon dard.


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- Du bon temps ? Est-ce comme ça que tu qualifies les deux plus gros orgasmes de ta vie ?
Elle relève la tête :
- Dis ! Tu veux qu'on parle vocabulaire ou tu veux que je te suce ?
Sans attendre ma réponse, mais la connaissant, elle replonge sur mon sexe.


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Est-ce une manière pour elle d'éviter les questions ? Se sentirait-elle coupable de ce qui s'est passé cette nuit ? Il faut absolument que je lui avoue que nous avons été manipulés par mes collègues qui ont usurpé mon identité sur mon téléphone. Il faut que... Mince... Elle est en train de m'avoir ! Je vais jouir. Je sens la sève monter. Sophie aussi. Elle se redresse et pompe mon gland. Les premiers jets sont aspirés dans sa bouche.


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Elle garde la bouche ajustée autour de mon gland et reçoit ainsi tout mon plaisir blanchâtre, jusqu'à la dernière goutte. S'asseyant sur le lit, elle me dit :
- Quelle nuit incroyable ! J'ai du mal à croire que nous ayons vraiment vécu cela.



Il est temps de lui avouer :
- Sophie, tu sais nos échanges de messages...
Je n'ose pas affronter son regard quand je vais finir ma phrase.


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Et je n'ai pas à la finir, car Sophie me devance :
- Oui, je sais. Je t'avais mis en garde sur le mot de passe de ton téléphone. J'ai compris assez vite que ce n'était pas toi.
- Tu... ?
- Oui, et j'ai vu le lundi soir à quel point cela t'avait excité et ça m'a donné envie de savoir jusqu'où tu étais prêt à me laisser me dévoiler devant tes collègues.



- Je... Là, ce n'était pas juste te dévoiler...
- Arrête-moi, mais tu étais présent cette nuit, non ? À quel moment est-ce que tu as demandé à ce qu'on calme le jeu ? À quel moment tu as empêché tes collègues d'abuser de moi ?
- Là, c'est toi qui abuses. J'ai bien vu que tu les menais tous à la baguette, cette nuit.



- Non, je vous menais à la braguette ! Hihi...
- Mais... comment es-tu devenue comme ça ? Je veux dire de la fille prude à...
- À une salope assoiffée de sexe ?



Je me lève, gêné.
- Oui... non... ce n'est pas ça. Enfin si, j'ai l'impression que ton besoin de sexe a augmenté pendant cette semaine jusqu'à atteindre un niveau hallucinant. Et je me sens coupable car, même si ce sont mes collègues qui t'ont manipulée, dès le premier soir, je savais ce qu'ils avaient fait.



- Mon pauvre Gilles ! Ne culpabilise pas. Je t'ai dit que je m'en doutais. L'un comme l'autre, on a préféré ne rien dire pour voir jusqu'où ça allait.
- Alors, nous sommes tous manipulateurs dans cette histoire ?
- Disons que chacun a laissé croire à l'autre que c'était lui qui contrôlait la situation.



C'est vrai que mes collègues, dès le deuxième jour devaient bien se douter que j'avais lu les messages et mon absence de réaction leur a laissé penser que j'étais leur complice dans cette histoire. Sophie s'allonge à plat ventre et cela m'inspire une question :
- Tu as aimé la sodomie ?
- D'après toi ?



- Tu as eu l'air de prendre un pied incroyable. Je ne t'avais jamais vu jouir comme ça !
- Oui, c'était incroyable de se sentir remplie comme ça !
Elle s'arrête quelques secondes, se cambre et me dit :
- Je regrette que ce ne soit pas toi qui m'aies fait découvrir ça.



Je prends mon téléphone et m'amuse à prendre quelques photos :
- Mmmmm, tu es vraiment divine dans cette position.
- Tu me prends en photo ? Pour envoyer à tes collègues ?
- Oh, pas besoin. Ils savent se servir tout seuls sur mon téléphone.



- Tu en as pris aussi hier soir ?
- Oui, tu étais tellement rayonnante !
- Pendant qu'ils me sodomisaient ?



- Oui, quand ils t'ont prise en sandwich...
- Mmmmm, c'était... incroyable ! Cela m'excite d'y repenser...
- Je vois ça...
- Je mouille ?



- J'ai l'impression, oui...
- Et ça t'excite de me voir mouiller ?
- Oui, tu es très bandante.
- Tu me prends en photo, là ?
- Maintenant que je sais m'en servir, j'en profite.



- Mais tu sais, mon chéri, si je garde cette pose, ce n'est pas pour que tu me prennes en photo...
- Ah oui ?
- Non, c'est pour que tu me prennes, tout court.



Je pose le téléphone et viens la rejoindre sur le lit. Mon sexe est parfaitement bandé. Je le guide dans sa fente humide sans la moindre résistance. Elle feule de plaisir tandis que je m'enfonce lentement en elle. Je vois son joli œillet dont David a largement profité cette nuit et ne résiste pas à y insérer mon pouce.


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Elle gémit :
- Oh ouiii... Prends-moi par-là !
- Tu... tu veux que je te sodomise ?
- Bah oui. Pourquoi pas toi ?
C'est vrai ça. Pourquoi moi je ne pourrais pas essayer alors que mes collègues l'ont fait hier soir ? Je me redresse et guide mon pieu dans l'étroit canal.


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Quelle sensation incroyable ! Le passage est étroit, mais il permet d'aller beaucoup plus loin. C'est différent que par le passage habituel, mais c'est une expérience sublime d'investir ainsi l'anus de Sophie. Elle crie de plaisir alors que mon dard la pénètre petit à petit, jusqu'à la garde.


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Je guette la porte, craignant de voir débouler quelques-uns de mes collègues pour s'inviter à la fête, mais la porte de la chambre reste heureusement close et nous pouvons donc nous amuser. Je commence à aller et venir. Elle gémit. J'accélère. Elle feule. Je la laboure. Elle crie. Et je déclenche son orgasme.



Les spasmes de ses cuisses et de son bassin font d'intenses vibrations qui ont raison de ma résistance. Dans un râle profond, j'éjacule généreusement en elle, alors que son orgasme semble durer particulièrement longtemps. Quand je ressors ma queue, du sperme s'écoule du trou béant. Par simple plaisir, j'y replonge.



M'allongeant sur elle, je l'embrasse dans le cou.
- Je t'aime, ma chérie.
- Je t'aime aussi.



Nous voyons les semaines à venir sous un angle différent.



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